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Des nouvelles de The Gazette, commanditées par la STM.

STM does significant work behind the scenes

MEGAN MARTIN, POSTMEDIA CONTENT WORKS  |  Updated: November 25, 2019

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This fall, elevator installation projects will be underway in 11 stations on all métro lines simultaneously, which has never been done before. SUPPLIED

With the planning that’s underway today, the STM is set to bring the city’s transit system into the future by optimizing services and implementing visionary projects all aimed at improving the user experience.

To provide quality service, it’s necessary to have basic equipment, infrastructure, and buildings that are in good condition. It’s for this reason that the STM invests heavily to maintain, renovate, replace or improve its bus and métro systems. In fact, with investments of $16 billion over the next 10 years devoted to infrastructure development, modernization and maintenance projects, the STM is embarking on its largest phase of development since the construction of the métro in the 1960s.

“Over the last few years, the company has tripled its investments to maintain or upgrade its infrastructure and equipment, since it’s the basis for offering quality service to customers,” said Luc Tremblay, STM’s CEO. “Across our network, major work is underway with minimal impact on service.”

Tremblay added: “Behind the scenes or under the eyes of our customers, our networks are transforming and our teams take on the challenge of carrying out this transformation while ensuring service. It’s quite a feat!”

Each maintenance project is a complex operation carried out by STM teams, who are able to conduct these projects while mitigating their impact.

“It’s a lot like repairing a plane in full flight, with passengers on board,” Tremblay said. “Even at night, while the métro is closed, the sites are teeming with activity. We only have a few hours each night to set up, work, and then disassemble the site to deliver the service as planned the next morning.”

Among the STM’s most noteworthy projects is the installation of elevators in métro stations in order to provide universal access to all users. There are currently 15 stations accessible by elevator, and the company is tripling its efforts to ensure this figure reaches 41 by 2025. This fall, elevator installation projects will be underway in 11 stations on all métro lines simultaneously, which has never been done before.

These projects require a significant financial investment from the STM, since this transformation involves a high degree of complexity as it has to be carried out in an environment with many constraints.

“Our crews must be resourceful when it comes to installing the elevators, since we cannot simply dig in a straight line from the street to the subway platforms,” Tremblay said.

For example, it was necessary to enlarge the entrance building at du Collège station to ensure its accessibility. For other stations, it will be necessary to carry out new constructions. Based on the configuration of certain stations, it’s often necessary to add several elevators to ensure the accessibility of a single station.

“The introduction of elevators improves mobility for all: customers with reduced mobility, parents with strollers or young children, and those carrying heavy luggage,” said Tremblay.

In addition to the elevator project, other major works are also underway throughout the rest of the métro network. For instance, the STM is currently in the midst of maintaining, repairing or replacing its 293 escalators. Work is also underway to build new ventilation stations and renovate existing buildings.

“We are also taking advantage of the renovations carried out at the stations to deploy the new signage, which is clearer and more accessible, to facilitate travel within our network,” said Tremblay.

Whether it’s behind the scenes in the middle of the night, or at peak hours under the curious eyes of customers, STM teams are working tirelessly to create state-of-the-art métro and bus networks in order to improve the quality of service for all.

The STM’s team is growing

These major projects require hands-on work from a range of skilled teams. This means the STM is looking for new talent in several areas of expertise, such as bus drivers, engineers, IT specialized workers and operation managers. Submit your application at stmemplois.com.

For more information about all of the STM’s ongoing and future projects visit stmprojets.com.

This story was created by Content Works, Postmedia’s commercial content division, on behalf of STM.

https://montrealgazette.com/sponsored/news-sponsored/stm-does-significant-work-behind-the-scenes

  • Confused 1
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  • 2 semaines plus tard...
1 minute ago, Rusty said:

Il y a une nouvelle map officiel de tout le reseau inclus REM ... l'avez vous vu ?  

je lai vu sur mon telephone mais tres petit ... et au travail je ne peux utiliser FB 

je l'ai vu sur FB 

Dans ce fil. 

 

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Après la Charte des droits des voyageurs en avion, verra-t-on une charte semblable pour les usagers de la STM ?

Journal Métro  |  Montréal  |  13:02 9 décembre 2019  |  Par:  Henri Ouellette VézinaMétro

La STM sommée de créer une Charte des droits des usagers

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Photo: Josie Desmarais | Métro  |  La station de métro Berri-UQAM est particulièrement congestionnée aux heures de pointe.

L’opposition officielle somme la Société de transport de Montréal (STM) de mettre sur pied une Charte des droits des usagers. Celle-ci affirmerait haut et fort le droit «au respect de la ponctualité», mais aussi la garantie pour les citoyens d’avoir un «environnement propre et sécuritaire» dans le métro et les bus. Une motion sera débattue à ce sujet au prochain conseil municipal, le 16 décembre.

«N’importe quelle personne [qui utilise le réseau de transport à Montréal] sait deux choses: il y a des pannes de métro, et les bus sont en retard, explique à Métro l’instigatrice du projet, Karine Boivin-Roy. Autant au niveau des communications directes avec le public que du service à la clientèle, il y a des lacunes profondes.»

Elle dit vouloir mettre de la pression sur la STM afin que celle-ci «soit meilleure pour les usagers au quotidien et pour l’image de marque de Montréal auprès des touristes».

«On doit arrêter de prendre l’usager pour acquis. Il serait temps de le traiter comme un client qu’on veut revoir.» -Karine Boivin-Roy, conseillère dans le district de Louis-Riel

Ensemble Montréal estime que le manque de ponctualité grandissant des bus décourage les Montréalais à les utiliser au quotidien. «Aucun usager ne devrait se dire: je vais partir 20 minutes plus tôt parce que c’est sûr que l’autobus va être en retard. C’est pourtant une réflexion courante à Montréal», déplore l’élue.

La création d’une politique «claire et connue de tous» assurerait un service fiable et à «la hauteur des attentes», ajoute-t-elle. «Nous ne nions pas les avancées réalisées par la STM. C’est tout le contraire: une charte des usagers est le moyen de les consolider en les rendant permanentes», témoigne Mme Boivin-Roy.

Harcèlement et environnement sain

En voulant insérer le principe de «droit à un environnement sécuritaire» à sa charte, Ensemble Montréal fait directement référence aux cas de harcèlement sexuel dans le transport en commun. En avril 2017, le Centre d’éducation et d’action des femmes de Montréal (CÉAF) affirmait que 94% des 218 répondantes à un sondage avaient déjà vécu du harcèlement dans le réseau de la STM. De ce nombre, 147 l’auraient vécu dans le métro et 109 aux arrêts d’autobus.

«Les récents événements entre les inspecteurs et certains montréalais issus des minorités ne donnent pas non plus un excellent sentiment de sécurité face aux agents de la STM», martèle Karine Boivin-Roy.

Celle-ci appelle aussi à des exigences de propreté à la STM, soutenant entre autres que l’organisation «ne nettoie pas assez souvent ses installations». «On semble se satisfaire des sondages sur la question de la propreté, mais les articles de journaux récents sont pourtant assez clairs», tranche-t-elle.

«Trop tôt» pour se prononcer

Appelée à réagir, la porte-parole de la société de transport, Amélie Régis, affirme qu’il est «trop tôt pour se prononcer» sur la création d’une Charte des droits des usagers de la STM.

«Il faudrait d’abord analyser ce qu’une charte des droits implique pour la STM.» -Amélie Régis, porte-parole de la STM, refusant de s’avancer davantage.

Même son de cloche pour la porte-parole du comité exécutif à la Ville de Montréal, Laurence Houde-Roy. «Nous allons en parler lors du conseil municipal», a-t-elle simplement fait savoir.

Entre 2018 et 2019, le nombre de plaintes déposées à la STM a augmenté de plus de 10 000, déplore l’opposition, «soit une hausse de près de 30,7%». Chaque année, la STM enregistre environ 365 millions de déplacements.

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2405016/la-stm-sommee-de-creer-une-charte-des-droits-des-usagers/

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  • 2 semaines plus tard...

https://www.msn.com/fr-ca/actualites/quebec-canada/stm-un-changement-de-structure-pour-répondre-au-manque-dautobus/ar-BBY5QQv?ocid=spartanntp

Quote

STM: un changement de structure pour répondre au manque d’autobus

Henri Ouellette Vézina

Il y a 21 heures

 

© Fournis par Journal Métro

Confrontée à un manque d’autobus et des défis «considérables» avec l’arrivée de 300 véhicules hybrides, la Société de transport de Montréal (STM) apporte des changements à sa structure organisationnelle. Sa direction exécutive Bus sera «scindée en deux», afin de séparer l’exploitation et l’entretien des véhicules.

Travaux d’agrandissement dans trois centres de transport, électrification du réseau de surface, arrivée des 300 autobus hybrides commandés par l’administration Plante: la STM compose avec plusieurs défis de taille pour ses bus, depuis quelques mois.

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«La réorganisation réfère en effet à la situation au niveau de nos autobus immobiles en ce moment», concède Philippe Déry, porte-parole de la société de transport.

«C’est causé par différents facteurs, dit-il. On veut ramener plus de bus sur la route. On veut offrir un meilleur service, améliorer l’expérience client et faire face aux défis. Force est de constater que la structure doit évoluer avec les changements qui s’en viennent.»

Selon lui, la direction exécutive Bus est actuellement surchargée au quotidien. «Ça va nous permettre de mieux répartir la charge de travail pour tous les projets en cours et à venir», ajoute-t-il.

Charge de travail «colossale»

Le directeur général de l’organisme, Luc Tremblay, abonde dans le même sens. La multiplication des projets «génère une charge de travail colossale qui justifie la nécessité de faire des changements significatifs», a-t-il insisté dans un communiqué mardi.

Plus tôt, la semaine dernière, M. Tremblay affirmait que la réception des 300 bus, prévue dès l’an prochain, augmentera la flotte de véhicules de 15%. «On n’avait jamais fait ça dans l’histoire de la STM», a-t-il illustré, disant devoir faire «en deux ans» ce que plusieurs autres feraient en cinq ans.

En 2019, le taux de ponctualité des bus à Montréal atteint 77,4%, lit-on dans les plus récents indicateurs de performance de la STM.

Début décembre, le Syndicat des chauffeurs de la Société de transport de Montréal (STM) avouait s’inquiéter pour l’avenir à court terme du réseau de bus dans la métropole, alors que de nouveaux services de navettes en autocars seront mis sur pied en janvier pour compenser les usagers affectés par les travaux du REM.

Au début de 2020, la réouverture du centre de transport Saint-Denis, fermé depuis un an, permettra de récupérer environ 20% des capacités d’entretien des bus, argue quant à elle la société de transport.

Deux nouvelles entités à la STM

La direction «Exploitation Bus», dans un premier temps, relèvera de l’actuelle directrice exécutive Bus, Renée Amilcar. Sa division sera entre autres chargée de la livraison du service au quotidien, mais aussi du transport adapté et de l’implantation progressive des nouvelles flottes hybrides.

C’est la directrice de l’entretien et des infrastructures, Nancy Fréchette, qui héritera de la nouvelle division «Entretien Bus». Son mandat sera notamment de superviser les opérations de maintenance «majeure» des véhicules.

Une nouvelle direction exécutive des ressources humaines sera aussi mise sur pied dès le 13 janvier afin d’entamer une «transformation culturelle» à la STM. La jeune branche se verra confier la supervision des régimes de retraite des employés et le Programme d’aide aux employés.

«Ces changements sont nécessaires et sauront avoir un impact positif. En poursuivant sa transformation, la STM pourra véritablement affronter tous les défis qui se présentent […], pour en faire une entreprise dotée de pratiques du 21e siècle», a renchéri Luc Tremblay à ce sujet.

L’arrivée des 300 nouveaux autobus se fera sur plusieurs mois, jusqu’en septembre 2020.

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  • 3 semaines plus tard...
  • 2 semaines plus tard...

STM: une campagne de publicité de 3,2 millions pour amadouer les usagers

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PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE  |  La Société de transport de Montréal investira plus de 17 milliards d’ici 10 ans dans l’amélioration de la qualité des services offerts aux usagers, toujours plus nombreux d’une année à l’autre.

La Société de transport de Montréal (STM) chiffre à 3,2 millions la facture de la campagne publicitaire lancée l’automne dernier pour calmer la grogne des usagers, selon les données que La Presse a obtenues en vertu de la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics.

Publié le 17 janvier 2020 à 0h00  |  SUZANNE COLPRON  |  LA PRESSE

Ce montant comprend 1,1 million en coûts directs et 2,1 millions en « gratuités médias », grâce à des ententes qui lient la STM et ses partenaires commerciaux comme Québecor et le journal Métro.

« Pour mettre le coût de 1,1 million en perspective, il faut rappeler que le budget de la STM, en 2019, se chiffrait à 1,5 milliard », affirme Philippe Déry, porte-parole de la STM.

Lancée le 21 octobre, cette campagne de pub avait deux objectifs. Le premier : faire connaître les grands chantiers en cours et à venir, que ce soit l’ajout d’ascenseurs, le virage électrique, la construction de nouveaux centres de transport, le prolongement de la ligne bleue ou le premier SRB. Le second : faire patienter les usagers qui subissent les contrecoups de ces travaux, sans parler des pannes, du taux de ponctualité en baisse et des wagons archi bondés.

Selon M. Déry, la STM va investir plus de 17 milliards d’ici 10 ans dans l’amélioration de la qualité des services offerts aux usagers, toujours plus nombreux d’une année à l’autre.

« Il s’agit à cet effet d’une importante campagne d’image qui se justifie par la phase de développement historique que vit la STM, avec des investissements prévus de 17,8 milliards sur 10 ans », précise le porte-parole de la Société.

Cette campagne atteint-elle sa cible ? Il est trop tôt pour le dire, répond la STM.

« De façon générale, la campagne a reçu un bel accueil, mais je ne suis pas en mesure de commenter avec davantage de précision à l’heure actuelle, puisque nous en sommes à colliger les divers résultats », dit M. Déry.

L'avis d'experts

Frédéric Gonzalo, stratège en marketing, communication et médias, croit de son côté que la somme de 3,2 millions ne semble pas démesurée, dans la mesure où le budget consacré au marketing représente généralement un pourcentage du chiffre d’affaires de l’entreprise, et que celui de la STM est très élevé.

« Les gratuités médias font partie de la valeur de la campagne, mais ça ne sort pas de la poche de la STM », souligne-t-il.

De son côté, Mylène Forget, présidente de Massy Forget Langlois relations publiques, note que la STM a mis de nombreux outils à la disposition des usagers au cours des dernières années, afin de mieux les informer.

« Leurs campagnes sont très bien faites, juge-t-elle. La STM a l’air d’écouter les commentaires des gens et de concevoir des messages humoristiques pour les sensibiliser. À mon avis, cette technique est extraordinaire. »

Pour ce qui est de calmer la grogne des usagers, la spécialiste estime que des gens bien informés sont moins critiques.

— Avec la collaboration de William Leclerc, La Presse

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202001/16/01-5257126-stm-une-campagne-de-publicite-de-32-millions-pour-amadouer-les-usagers.php

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