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et le cirque du soleil et le casino, c'est clair ils ont canceller super vite juste parcequ'il voulait pas etre associe avec le niaisage!

 

Et dire que les plus grosses villes du monde se battent pour attirer le cirque du soleil dans leur villes, nous on les as dans notre cours, ils s'offrent pour creer un projet extraordinaire, et on reussi a se les tourner a dos.

 

Heureusement que Guy Lalliberté a un amour immense pour Montreal, et qu'il est pret a faire bcp pour cette ville(ouverture des jeux de la FINA, Outgames, Course de Champcar a Tremblant, tous des projets qui n'ont pas été les plus payant pour le cirque mais qui sont fait par considération pour la ville), sinon ca ferait longtemps qu'ils seraient a Vegas.

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  • 3 mois plus tard...
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Membres prolifiques

10-06-2007 TORONTO | Avec la première édition de son festival des arts et de la créativité Luminato, Toronto s'est clairement positionnée comme une concurrente de Montréal pour le titre de "ville des festivals". Avec l'aide du président de Culture Montréal, Simon Brault, présent à Toronto cette semaine, Le Journal de Montréal a dressé une liste des points forts de chacune des villes dans cette lutte qui s'amorce. Voici le compte rendu de ce qu'on a pu constater sur le terrain.

 

Toronto

 

Le consensus

 

Depuis le SRAS, les gens de Toronto se sont serré les coudes pour se sortir du marasme.

 

La Ville, les organismes culturels, le gouvernement provincial et les entreprises, tout le monde ici pousse dans la même direction et regarde en avant.

 

L'implication du privé

 

Le Toronto culturel jouit de l'appui indéfectible de ses gens d'affaires. Sans l'implication des "Luminaries", ces individus qui ont donné près de 3 M$ pour le festival Luminato, celui-ci n'aurait probablement jamais vu le jour.

 

C'est sans compter les compagnies (les sièges sociaux sont nombreux dans la ville) qui n'hésitent pas à s'impliquer. Et elles ne le font pas par simple intérêt mercantile, elles le font par souci de voir leur ville réussir.

 

C'est du moins ce que laisse entrevoir le fait que cinq grandes banques - pourtant concurrentes - se soient impliquées dans la première édition du Luminato.

Le marketing

 

Dans les médias torontois, tout le monde est positif par rapport au Luminato. "Ils sont très affirmatifs et n'ont pas peur d'en mettre épais, affirme Simon Brault. À Montréal, parfois, on est trop modestes ou trop critiques. On aime ça se critiquer."

La nouveauté

 

Il s'agit probablement du plus grand avantage de Toronto par rapport à Montréal. Tout est nouveau, tout est beau. Implanter des festivals s'avère un défiintéressant et le relever est encourageant.

 

À Montréal, les événements sont déjà bien implantés et il s'agit plutôt de les maintenir. "On est dans une situation de deuxième souffle, et c'est plus difficile à aller chercher. L'émergence est toujours plus sexy, plus attirante que de se dire qu'on doit se consolider, unir nos forces et changer nos façons de faire, ce que Montréal doit faire", indique Simon Brault.

 

Montréal

 

Le Quartier des spectacles

 

Dans un kilomètre carré, on retrouve plus de 30 salles de spectacle à Montréal. Tout se fait à pied. C'est un avantage indéniable, surtout pour les grands rassemblements populaires qui font la renommée des festivals montréalais.

 

À Toronto, qui est une ville moins compacte, tout est éloigné. "On a toujours été avantagé parce qu'il y avait de la place dans le centre-ville, c'est quelque chose qu'on ne doit pas perdre, affirme Simon Brault. La place des festivals et la configuration du Quartier des spectacles doivent être sauvegardées."

 

L'appui des gouvernements

 

Historiquement, le gouvernement provincial a toujours appuyé les festivals montréalais. Il s'agit souvent de leur plus gros bailleur de fonds. Nos festivals reçoivent également de l'argent du gouvernement fédéral et de la Ville de Montréal. Là-dessus, Montréal a toujours une longueur d'avance sur Toronto, mais c'est de moins en moins vrai avec l'appui massif que le gouvernement ontarien a octroyé au Luminato.

 

"Mais il faut qu'à Montréal, l'octroi de deniers publics soit mieux coordonné pour que l'effet de levier soit maximal", estime Simon Brault.

La créativité

 

La culture à Montréal est omniprésente. La place qu'occupent les créateurs est enviable, le star-system est bien développé et la qualité des créations artistiques du Québec et de Montréal est reconnue partout dans le monde.

 

"On présente des festivals, mais on présente en plus une expérience culturelle totale, explique Simon Brault. Quand les gens viennent à Montréal, la vie artistique tourne en continu.

 

De son côté, Toronto dit: Venez voir Luminato, venez voir le festival de films. Mais elle n'est pas encore rendue à dire: Venez voir Toronto.

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Le Journal de Montréal

11-06-2007 Maire de Toronto, David Miller est catégorique. Toronto ravira le titre de ville des festivals à Montréal avant longtemps.

 

«Je pense que présentement, la place où aller pour les festivals au Canada est Montréal. Dans cinq ou dix ans, ce sera Toronto», affirme sans détour David Miller. Dans son entrevue avec Le Journal de Montréal, le

 

maire de Toronto ne cache pas ses ambitions de faire de sa ville LA ville des festivals au Canada.

 

«Nous l'espérons. Et je crois que nous sommes bien préparés pour y arriver», indique-t-il.

 

Se doutant bien que ses propos pourraient faire réagir dans la métropole québécoise, David Miller insiste pour dire que cela n'enlève rien aux qualités de Montréal.

 

«Montréal sera toujours excellente, mais les gens vont se dire qu'aller à Toronto, c'est plus excitant», affirme-t-il.

 

«Don't worry»

 

Selon lui, les Montréalais ne doivent pas s'inquiéter de l'ambition de Toronto. Les deux villes peuvent obtenir chacune du succès. Il donne en exemple le Festival Juste pour rire, «un festival fantastique» selon ses dires.

 

Justement, Toronto a mandaté Gilbert Rozon pour lui concocter un Festival Juste pour rire dont la première tenue aura lieu cet été dans la Ville reine.

 

«Nous allons commencer par quelque chose de modeste», affirme David Miller.

 

Toutefois, le maire n'entend pas en rester là. «C'est certain que nous voulons que ça prenne de l'ampleur dans les prochaines années», soulignet- il.

Compétition bien préparée

 

Contrairement à son vis-à-vis Gérald Tremblay, le maire de Toronto semble considérer que l'industrie des festivals donne lieu à une véritable compétition internationale. Et David Miller connaît bien les atouts de sa ville par rapport aux autres agglomérations comme Montréal.

 

«On pense qu'on peut avoir beaucoup de succès dans cette industrie», assure-t-il. «La Ville a l'appui du secteur privé, du gouvernement provincial et de Tourisme Toronto. Et nous avons un large appui du public. Nous allons compétitionner par l'excellence.

 

«Il ne faut pas oublier qu'à Toronto, nous avons un festival pratiquement chaque semaine pendant l'été, argue le maire. Nous pouvons nous forger une réputation d'une ville où les gens peuvent se rendre pour assister à des événements.»

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La Presse Le jeudi 14 juin 2007

http://www.cyberpresse.ca/article/20070614/CPARTS/706140637/5155/CPACTUALITES

Dans cinq ou dix ans, Montréal ne sera plus la ville des festivals. La métropole québécoise aura perdu son titre honorifique, sa devise informelle et son slogan publicitaire pompeux de «capitale des festivals». Une appellation d'origine incontrôlable, qui ne sera plus qu'une coquille vide, une vue de l'esprit, un vieux souvenir à conserver pour ses vieux jours

C'est du moins le souhait du maire de Toronto, David Miller. Il ne le dira jamais en ces termes, mais il n'en pense pas moins. M. Miller, de passage hier à Montréal, s'est fait beaucoup plus diplomate qu'en début de semaine, alors qu'il déclarait au Journal de Montréal que dans cinq ou dix ans, le lieu privilégié par les festivaliers de tout acabit ne sera plus Montréal mais bien Toronto.

 

David Miller a de quoi pavoiser. Sa ville a le vent dans les voiles. Toronto s'est doté depuis quelques années d'infrastructures culturelles à la fine pointe; ses musées, salles de concert et théâtres ne désemplissent plus; et la Ville reine est en voie de se défaire de sa (fausse) réputation de ville d'affaires ennuyeuse et sans âme.

 

Ajoutez à cela des investissements privés importants dans les arts et vous comprendrez pourquoi la déclaration de David Miller ne peut être assimilée à une boutade. Si le maire de Toronto l'a dit sans ambages, c'est qu'il a bel et bien l'intention de ravir à Montréal le titre de capitale des festivals. Il ne s'agit peut-être pas d'une déclaration de guerre, mais certainement d'une déclaration d'intention sans équivoque.

 

Penser, comme le fait le maire de Montréal Gérald Tremblay, que les rapports entre Toronto et Montréal s'harmonisent sans fin dans un esprit de cohabitation, de collaboration, de collégialité et de complémentarité, relève de la pensée magique. Dans la vie comme au hockey, ainsi que le veut le cliché sportif, il y a peu de place pour les bons sentiments. Les gars bonasses finissent rarement premiers. Surtout s'ils ne sont pas prêts à aller chercher le puck dans le coin de la patinoire.

 

Le maire Miller a le mérite d'être franc dans ses ambitions. Même si on peut remettre en question l'à-propos de sa déclaration, elle est de bonne guerre. Le maire Tremblay, en revanche, fait preuve d'une mollesse, d'un manque de tonus, d'une politesse proverbiale qui ne sont guère enthousiasmants. Montréal a besoin d'un capitaine qui va au front, pas d'un joueur de quatrième trio qui se félicite d'être laissé sur le banc de touche (fin des métaphores sportives boiteuses).

 

Alain Simard, président de Spectra et grand manitou des festivals de jazz, FrancoFolies et Montréal en lumière, ne s'inquiète pas outre mesure des ambitions de Toronto. «On ne se fixe pas l'objectif d'être numéro deux», dit-il à propos de la déclaration du maire Miller, en regrettant ce qu'il qualifie de réaction aux accents provinciaux. «C'est une question d'orgueil. On devrait s'inquiéter davantage de Chicago, qui vient d'investir 130 millions dans les festivals», m'expliquait-il hier.

 

Alain Simard ne craint pas davantage l'exode des touristes américains vers Toronto, qui sera la ville «vedette» du prochain volet Arts de la table du Festival Montréal en lumière. «Les touristes aiment venir à Montréal pour son esprit de fête, le français, le côté latin. On a une longueur d'avance. Je n'ai aucune inquiétude que Toronto plante Montréal. On leur donne extrêmement de crédit en réagissant comme ça.»

 

Il n'y a peut-être pas péril en la demeure, mais il y a lieu, à mon avis, de s'inquiéter. D'autant qu'il existe au moins un précédent en matière de modification drastique des rapports de force entre festivals montréalais et torontois, qui n'est pas à l'avantage de Montréal. Le seul exemple de la déconfiture du Festival des films du monde face au Festival international du film de Toronto devrait faire réfléchir. Il y a 10 ans à peine, la soudaine montée en puissance du FIFT sonnait l'hallali du FFM. Le caractère " latin " de Montréal n'a été d'aucun secours à Serge Losique.

 

Que cela nous plaise ou non, les festivals sont indissociables de l'été montréalais. Les Montréalais sont attachés à leurs festivals, et la visite (américaine, européenne) vient au mois de juillet, spécifiquement pour ça. Mais les acquis sont fragiles. Nos festivals sont sous-financés comparativement à des événements du même genre en Europe et aux États-Unis. À Toronto, on pallie la situation en faisant appel au privé.

 

La question se pose à Montréal: où sont les mécènes, les huiles, les légumes et les gros bonnets? Quels projets incarnent aujourd'hui l'ambition, le dynamisme, la créativité de Montréal? On parle depuis des années à Montréal de projets d'envergure comme le Quartier des spectacles, le complexe Spectrum (mort-né) ou la nouvelle salle de l'OSM. Peut-être que je l'ai ratée, mais il ne me semble pas avoir vu la moindre pelletée de terre. Vous êtes-vous promenés récemment sur la Main, entre Sainte-Catherine et René-Lévesque? On est peut-être dans le Quartier des spectacles, mais celui des spectacles continuels...

 

Cela n'enlève rien à Montréal que Toronto ait un caractère culturel plus fort. À condition bien sûr que ce développement ne se fasse pas au détriment de Montréal. Toronto a ravi jadis à Montréal son titre de métropole canadienne. Toronto est plus gros, plus riche, plus entreprenant que Montréal, qui n'ose plus se donner les moyens de ses ambitions. Voilà que la Ville reine veut aussi enlever à Montréal son statut de métropole des festivals. Si rien n'est fait pour l'en arrêter, c'est exactement ce qui va arriver. Et on aura été averti...

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  • 2 semaines plus tard...
Cela n'enlève rien à Montréal que Toronto ait un caractère culturel plus fort. À condition bien sûr que ce développement ne se fasse pas au détriment de Montréal. Toronto a ravi jadis à Montréal son titre de métropole canadienne. Toronto est plus gros, plus riche, plus entreprenant que Montréal, qui n'ose plus se donner les moyens de ses ambitions. Voilà que la Ville reine veut aussi enlever à Montréal son statut de métropole des festivals. Si rien n'est fait pour l'en arrêter, c'est exactement ce qui va arriver. Et on aura été averti...

 

ça en dit long...

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MONTREAL (CP) - While David Miller may have a case of festival envy when he looks at Montreal, the Toronto mayor insists he’s not out to make his own city the cultural and festival capital of Canada.

 

Miller staked out his cultural turf earlier week when he said Toronto will be the place to go in five or 10 years to see festivals galore.

 

But at a Montreal news conference Wednesday, Miller appeared to backtrack and denied he was trying to take festivals away from La belle province.

 

"My view is in five or 10 years, Canadians and Americans and hopefully Europeans will come to both cities," he said before a speech to an international relations group.

 

His earlier remarks didn’t appear to bother Montreal Mayor Gerald Tremblay who countered that his city was a victim of its own success.

 

"I think he (Miller) creates a useful tension," Tremblay told reporters at a separate news conference.

 

"All we have to do now is to have good ideas, better ideas and remain the best."

 

Alain Simard, the founder of the Montreal International Jazz Festival, says both cities should keep their eyes on Chicago.

 

"We’re not competing with Toronto as much as with New York and Chicago," he said. "The city of Chicago puts $130 million into festivals.

 

"There’s always that threat of a bigger city, like Quebec City being afraid of Montreal."

 

Miller said Toronto intends to build "strong festivals" which he hopes will help attract new business.

 

"All economic research shows that when cities are creative, when they’re very livable and vibrant, that’s when you welcome new business," he said.

 

"So our goal is not about trying to eclipse Montreal, it is about Toronto succeeding in its own right as an important cultural centre in Canada.

 

"From Toronto’s perspective, we’re learning from Montreal. Montreal is ahead of us I think, in its festivals, and we hope to be as successful as Montreal."

 

Miller noted that Toronto’s film festival is probably a little ahead of Montreal’s main film festival but that Montreal’s jazz festival outstrips the jazz fest in his city.

 

(Courtesy of The Canadian Press)

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Le Journal de Montréal

03-07-2007 Quand vient le temps d'attirer les tournages américains et leurs millions de dollars, la concurrence est forte. Montréal connaît présentement sa meilleure saison depuis des années avec la venue de films avec Brad Pitt et Brendan Fraser, mais la lune de miel avec Hollywood pourrait bientôt être troublée par Toronto.

 

La Ville reine est en train de construire «le plus grand complexe cinématographique en dehors de Los Angeles».

 

Un nouveau concurrent pour Montréal, puisque c'est la métropole québécoise qui compte présentement sur «le plus beau parc de studios au Canada», selon le commissaire national au Bureau du cinéma et de télévision du Québec (BCTQ), Hans Fraikin.

 

Ce parc de studio, qui fait la renommée du Québec à Hollywood, c'est la Cité du cinéma Mel's, située dans le Technoparc de Montréal et offrant des installations de dernier cri.

 

«Notre attraction, c'est surtout notre plus grand studio, celui de 36 500 pieds carrés (3346 m2)», affirme le président des Studios Mel's, Michel Trudel.

 

Conçu pour les films à grand déploiement, ce studio a été construit expressément pour accueillir le film Pluto Nash, avec Eddy Murphy.

 

Depuis, les films Sum of All Fears, The Day After Tomorrow et The Aviator, entre autres, y ont été tournés. L'établissement accueille présentement la production The Mummy 3, munie d'un budget de quelque 110 M$.

 

«Les films sont de plus en plus gros, et ils prennent souvent notre studio de 36 500 pieds carrés», indique Michel Trudel.

 

Toronto investit 50 M$

 

Toronto a bien compris que le monde du cinéma a changé. Ses installations vétustes ne correspondaient plus aux nouvelles normes hollywoodiennes.

 

«Nous étions derrière Montréal et Vancouver au niveau des infrastructures pour accueillir de gros films. Ces deux villes ont construit des studios de meilleure qualité et elles en ont récolté les bénéfices, en particulier lorsqu'on parle des grosses productions», souligne le promoteur du FilmPort à Toronto, Ken Ferguson.

 

Le deuxième centre cinématographique du pays (Vancouver est premier, Montréal troisième) perdait donc du terrain et a décidé de réagir en lançant la première phase du FilmPort, un investissement privé de 50 M$.

 

Ouvert en mars

 

Présentement en construction, la première phase comportera sept nouveaux studios à la fine pointe de la technologie, dont un méga-studio de 45 500 pieds carrés, le plus gros en Amérique du Nord.

 

L'ouverture est prévue pour mars 2008. Malgré quelques problèmes, notamment une grève des employés de la construction, Ken Ferguson compte bien rencontrer son échéancier.

 

«On prend les bouchées doubles. C'est important pour nous d'être ouvert à cette date parce que la grosse saison des tournages, c'est l'été», dit-il.

 

À terme, le projet FilmPort occupera 20 hectares (49 acres) et aura nécessité des investissements de 275 M$.

 

«Hollywood a un grand intérêt envers notre projet», assure Ken Ferguson.

 

Voilà un sérieux concurrent pour Montréal.

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Qu'ils construisent un autre studio de 50 000pc au Mel's et on va battre Toronto :D

 

 

Je ne sais pas si c'est une bonne idée d'investir autant dans se domaine. La raison principale pourquoi plusieurs films ont été tournés au Canada à la fin des années 90 et au début de ce siècle était la valeur du huard. Maintenant que le Huard est fort, je ne crois pas qu'il va y avoir autant de gros films tournés au Canada!

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Je ne sais pas si c'est une bonne idée d'investir autant dans se domaine. La raison principale pourquoi plusieurs films ont été tournés au Canada à la fin des années 90 et au début de ce siècle était la valeur du huard. Maintenant que le Huard est fort, je ne crois pas qu'il va y avoir autant de gros films tournés au Canada!

 

C'est sur que c'est moins abordable, mais il reste que pour repliquer certaines villes, Montreal est encore beaucoup moins cher que l'originale, et permet meme de combiner 2-3 villes différentes juste en changeant de rue. Et apres cela s'installer dans un studio a proximité des exterieurs est une economie de temps et d'argent (je suis sur que Mel's coute moins cher qu'un studio comparable a L.A. en location en plus des crédits d'impots)

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