Aller au contenu

mtlurb

Messages recommendés

  • Réponses 120
  • Créé il y a
  • Dernière réponse

Membres prolifiques

Vous etes une gagne de défaitistes! Wake up,Montréal n'est pas un trou, arrêtez de vous fier à ce qui est écrit. Je suis tanné en sale de voir du monde se plaindre. Montreal va de mieux en mieux, et est sur le point de prendre une place importante en Amérique du Nord. Toronto va grossir encore plus,,,,,who cares......

 

Je suis d'accord avec toi. Il est vrai que Montréal revient de loin. Si je vous avais tous entendu vous plaindre dans les années 1990, j'aurais compris. Pas maintenant !! Ce que tu dis ici rejoint à ce que je disais. Cesosns de nous comparer à Toronto et retroussons-nous les manches.

Quant à monctezuma : wow !! Prends des anti-dépresseurs vite !! Ça presse. Si tu trouve que ça bouge pas assez à ton goût, fais ce que tu as à faire.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Vous etes une gagne de défaitistes! Wake up,,Montreal est pas un trou, arrêtez de vous fier à ce qui est écrit. Je suis tanné en sale de voir du monde se plaindre. Montreal va de mieux en mieux, et est sur le point de prendre une place importante en Amérique du Nord. Toronto va grossir encore plus,,,,,who cares......

 

Que Toronto grossisse, alors tant mieux pour eux. Cependant, ils grossissient à nos dépens. Je ne parle pas simplement de leurs succès qui attirent les talents et les entreprises mais aussi de toutes leurs tentatives pour s'accaparer de ce que Montréal a. Par exemple, les festivals, la bourse des produits dérivés et le contrôle de toutes les agences de reglémentation des valeurs mobilières au Canada, le Grand-Prix et j'en passe...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un maire, ça se remplace.

C'est vrai, mais on avait l'option de Bourque (qui je préfère)

 

On n'y peut rien. Ceux qui sont partis ne reviendront probablement jamais.

C'est vrai. Ca me fâche que la Banque de Montréal a son Siège Social à Toronto.

 

Ce n'est pas une grosse perte. Personne n'a pleuré et seul une bande de nostalgiques les regrettent.

Je suis une partie de la bande de nostalgiques. C'est juste un point qui s'applique à moi.

 

Ceci est inexcusable et nous nous devons de réagir. Une grande part de la solution de ce problème réside dans le mécénat. Les nouveaux riches québécois ne sont pas très généreux. Il faut que ça change.

Je ne suis pas vraiment certain pourquoi ils sont comme ça. Je pense que c'est lié au impots.

 

Je ne suis pas un spécialiste de la fiscalité mais je supposes qu'un gestionnaire inventif au rennes du gouvernement pourrait faire des miracles.

J'espère que oui. Je sais que notre taxe de vente est plus baisse que celle d'Ontario.

 

Le problèmes, ce ne sont pas les syndicats mais le noyautage des syndicats et la faiblesse du gouvernment municipal qui n'a pas le courage de casser les fiers-à-bras de ce syndicat.

Si j'ai bien compris, je pense que je suis d'accord. Il y a des personnes dans les syndicats (certainement pas tous) qui causent le trouble. Je suis membre d'un syndicat moi-même (TUAC/Teamsters), mais j'apprécis qu'es que les unions on fait pour les travailleurs. Je n'apprécis pas les grèves des services essentiels.

 

Là non plus je ne suis pas un expert mais si tu as des chiffres à l'appui, ce serait intéressant de les connaître.

J'ai entendu que la province du Québec a plus de fonctionnaires par habitant que l'Etat entier de Californie a en totale. C'est quelques années depuis que j'ai entendu parler.

 

C'est plutôt qu'on tente de les intégrer au lieu de faire le contraire.

Tous les autres juridictions en Amérique du Nord semblent d'avoir les mêmes problèmes. Mais ca semble bizarre que tous ces nouvelles d'accomadation raisonnable on juste apparu l'an dernier. Je n'a jamais entendu parler avant.

 

. Tu as raison. Je n'en ai qu'un seul. Mon épouse n'en voulait pas d'autre. Et toi, tu en as combien ?

J'ai zero. Je suis seulement 19 ans.. ;) Mais je voudrais continuer ma ligne de famille.

C'est évidemment un constat assez défaitiste et un peu exagéré.

Les bactéries comme C. difficile sont partout dans les hopitaux. Les lignes d'attentes sont très longues. Nous n'avons pas assez de médicins et infirmières. Dans les écoles, nous avons un haut taux élevé de renvoi, surtout dans les communautés pauvres.

 

Deux affirmation un peu contradictoire. Normalement, quand on est endetté, vaut mieux ne pas s'enfoncer encore plus !!

Deut types de personnes. Les riches qui ne dépensent pas leur argent, et les pauvres qui dépensent trops.

Je ne suis pas sûr de comprendre cet enoncé, aussi générique que les autres finalement.

Tout est relié au politiques ici. Par example dans le débat sur la souveraineté, tu notes très peu de célébrités qui disent leur préférence. C'est parce-que si ils disent qu'ils l'appuient/s'opposent, ils peuvent perdre leur popularité avec environ moitié de la population. Moins de popularité = moins de ventes.

 

J'ai l'impression d'écouter la ligne ouverte de Gilles Proulx. ("Les hostis d'BS de tabarnak..." etc). Une société qui ne sait pas s'occuper des plus démunis est une société en pleine décadence.

C'est vrai qu'on devrait avoir des programmes d'assistance sociale, mais il y a tellement de personnes qui exploitent ce privilège. Va chez wal-mart au fin du mois (quand les chèques sont donnés), et dit-moi que la moitié de ces personnes peuvent pas travailler!

C'est quoi ça ? Tu veux dire qu'on est encore dans les années 1960. Parce que des hippies qui sortent dans la rue pour critiquer la guerre en Irak, j'en vois pas beaucoup. Des hippies qui grattent la guitare au coin des rues en fumant du pot et en te lançant des "paix et amour, frère", J'en vois pas beaucoup. Des hippies qui quittent la ville pour aller vivre dans des communes en campagne, j'en connais pas beaucoup non plus. Pour moi, c'était ça les hippies. A moins que j'ai manqué une épisode, des hippies on voit ça juste dans les films d'archives de Radio-Canada !!

Je parle des "hippies" que nous mentionnons de temps en temps à MtlUrb.com et SSP. C'est en référence au NIMBYs, protestataires/activistes, etc.. Les vrai hippies des années 60 sont assez cool. ;)

 

Ouf, on l'a échappé belle. N'en jetez plus !! La cour est pleine !!

A propos, Toronto n'est plus notre rivale. Nous n'avons plus de rivale. Toronto est loin devant et il faut cesser de se comparer à une ville que nous ne serons jamais. En fait Toronto devrait plutôt craindre la rivalité de Vancouver. A vouloir rejoindre Toronto, nous nous épuiserons. Oublions Toronto et concentrons-nous sur la vitalité de notre ville. Lorsque nous serons capable de comparer les chiffres et statistiques de Montréal d'une période antérieur à la période présente en constatant une amélioration (et ce, sans se comparer à Toronto ou à aucne ville finalement), alors nous aurons gagné notre pari.

Il y a beaucoup de raisons de pourquois Toronto nous a surpassé. Quels raisons dirait-tu? Comment pouvons nous améliorer? V

Vancouver surpassera Montréal avant Toronto, donc je pense que c'est à nous d'être plus peur.

 

J'espère que tu ne pense pas que j'hais Montréal. C'est pas ca du tout. Il y a juste beaucoup de choses qui me frustre, et si c'est addressé nous améliorons. (Mais c'est vrai que j'était dans mauvais humeur quand j'ai posté ça...:o )

 

P.-s. : j'espère que tu ne m'en voudras pas : j'ai corrigé tes fautes d'orthographe.

Merci pour les corrections. Je suis anglophone bilingue (compréhension presque 100% en français..) Mais quand j'écrit (ou parle), je fais beaucoup de fautes. J'ai perdu regulairement tout les points ou presque tout les points pour l'orthographe dans mes rédactions d'école secondaire et CEGEP. Les points de structure et arguments, etc a augmenté mon résultat final. C'est embarrassant, parce que la plupart de francophones sur MtlUrb écrivent parfaitement l'anglais.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Que Toronto grossisse, alors tant mieux pour eux. Cependant, ils grossissient à nos dépens. Je ne parle pas simplement de leurs succès qui attirent les talents et les entreprises mais aussi de toutes leurs tentatives pour s'accaparer de ce que Montréal a. Par exemple, les festivals, la bourse des produits dérivés et le contrôle de toutes les agences de reglémentation des valeurs mobilières au Canada, le Grand-Prix et j'en passe...

 

Exactement! Vrai que Montréal s'Améliore, mais Toronto aussi, et les gains que nous faisons, ne sont pas assez gros pour nou srapprocher de la Ville Reine!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Administrateur

Ok gros avertissement à tout le monde, du "bitchage" et du chialage non motivé par des faits c'est une suspension automatique. Une des raisons pourquoi j'ai parti ce forum c'est justement pour contrôler cet aspect qui dérape beaucoup trop souvent dans d'autres forums.

Tenez le vous pour dit, je n'hésiterais pas.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 mois plus tard...

le mardi 13 novembre 2007 Le « Rendez-vous novembre 2007 - Montréal métropole culturelle » prend fin mercredi.

 

Pendant deux jours les quelque 1300 participants à la rencontre se sont penchés sur cinq grandes orientations, qui ont, ensuite, été déclinées en objectifs.

 

L'objectif final : donner à Montréal les moyens de devenir une métropole culturelle du XXIe siècle reconnue au Canada et à l'étranger.

Les gouvernements moteurs

 

Les gouvernements tant municipal, provincial que fédéral font leur part. Mardi, chaque palier gouvernemental a annoncé l'injection de 40 millions de dollars dans la réalisation du Programme particulier d'urbanisme, secteur Place des Arts du Quartier des spectacles.

 

La comparaison entre Montréal et Toronto montre que l'administration de la première donne plus d'argent pour la culture que la seconde.

 

Les subventions accordées à la culture par les deux villes en 2003 :

 

Montréal : 59 472 000 $ ou 32 $ par personne

Toronto : 33 265 050 $ ou 13 $ par personne

 

Le point faible : le secteur privé

La faiblesse que Montréal manifeste par rapport à la Ville-Reine vient du secteur privé.

 

Les donateurs privés sont beaucoup plus nombreux à Toronto.

 

La capitale ontarienne s'est enrichie, au cours des dernières années, de sept grands projets, dont la rénovation du Musée royal de l'Ontario, celle du Musée des Beaux-Arts, le Square Dundas et la nouvelle maison de l'Opéra.

 

Ces grands travaux ont été financés à 70% par le secteur privé.

 

Selon le conseiller en gestion d'entreprise, Michel Guay, il est beaucoup plus facile de faire des campagnes de financement à Toronto qu'à Montréal. Il parle même de sommes dix fois plus importantes.

 

Montréal peut-elle gagner la bataille?

 

Dans ces conditions, Montréal peut-elle espérer gagner la bataille contre Toronto? La réponse semble évidente quand on sait qu'en 2004, 1,5% des Québécois ont donné de l'argent à des organismes artistiques et culturels. Ailleurs au Canada, la moyenne était de 2,8%. La valeur totale des dons se chiffrait à 27 millions de dollars au Québec, et à 188 millions au Canada.

Selon Isabelle Hudon, la présidente de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, la culture est vue au Québec comme une responsabilité de l'État, encore plus qu'ailleurs au Canada.

 

Pour elle, la participation des entreprises à la culture est prioritaire et elle veut les convaincre de faire plus d'efforts.

 

Mme Hudon souligne que les entreprises et gens d'affaires québécois sont généreux. Ils subventionnent principalement trois secteurs : la religion, la santé et l'éducation.

 

La culture arrive loin derrière. La part du privé dans le financement des arts est de 13 % au Québec contre 26 % ailleurs au Canada.

Qui fait l'art?

 

La chroniqueuse culturelle du quotidien The Globe and Mail, Kate Taylor, ne cache pas que les grands projets ont transformé le visage de Toronto. Mais elle refuse de tout ramener à une question d'argent. Selon elle, ce qui est important, c'est la présence d'une vivacité culturelle à Montréal.

 

Trouver de l'argent pour faire de grands projets de construction, c'est très bien ; mais, à la fin, ce sont les artistes qui font l'art. — Kate Taylor, journaliste au Globe and Mail

De son côté, Simon Brault, le président de Culture Montréal, admet que la métropole québécoise traîne un peu de la patte en termes de grands projets. « Montréal, c'est d'abord une ville de petites et moyennes institutions culturelles et de grands événements. Montréal n'est pas une ville qui a un avenir dans le gigantisme institutionnel », dit-il.

 

M. Brault croit que Montréal ne devrait pas mener la bataille du gigantisme, des investissements privés, des infrastructures. Il affirme que notre ville perdrait cette guerre.

 

Je pense que la vraie bataille qu'on doit mener, c'est d'être vraiment une métropole culturelle du XXIe siècle qui s'illustre par la qualité de sa création.Simon Brault, président de Culture Montréal

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.




×
×
  • Créer...