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Parc Lafontaine - Discussion générale


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Un parc en quête d’amour

Parmi les projets dont on a hâte de voir la fin à Montréal, il y a le square Viger (interminable chantier) et l’esplanade Tranquille (dans le Quartier des spectacles). Mais il y a surtout celui du théâtre de Verdure situé en plein cœur du parc La Fontaine, un lieu très fréquenté et piétiné cet été.

Publié le 23 juillet 2020 à 5h00

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2020-07-23/un-parc-en-quete-d-amour.php

Mario Girard
La Presse

Fermé au public depuis 2014, ce mythique amphithéâtre va enfin avoir un nouveau visage. Il serait trop long d’énumérer ici les multiples étapes qu’a dû franchir ce projet lancé sous l’administration Coderre, mais résumons la chose en disant que les derniers plans proposés ont finalement été approuvés par les incalculables paliers de la ville centre et de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal.

Plus contemporain, moins massif, mieux intégré dans le décor ambiant, le nouveau théâtre de Verdure a été dessiné par la firme d’architecture Lemay. J’avoue que le résultat a beaucoup de gueule. On est maintenant prêt à procéder à l’appel d’offres pour le contrat de construction.

IMAGE FOURNIE PAR LA VILLE DE MONTRÉAL

Le nouveau théâtre de Verdure pourra accueillir environ 2500 spectateurs et offrira une vue à la fois sur la scène et sur le parc.

Créé en 1956, le théâtre de Verdure était dans un état de décrépitude avancé. Il connaîtra un nouveau souffle grâce à un design qui offrira aux spectateurs une vue à la fois sur la scène et sur le parc. Sa capacité d’accueil sera d’environ 2500 personnes.

Les responsables du projet ont vu à tous les détails. Au départ, du bois d’ipé provenant du Brésil avait été prévu pour les bancs. Mais comme certains élus ont fait part de leur méfiance quant à la traçabilité de cette matière très résistante, on a plutôt opté pour du sapin de Douglas.

« On voulait que ce projet soit absolument exemplaire », m’a confié Marianne Giguère, conseillère responsable du dossier. Cette dernière hésite à parler du budget réservé à ce projet afin de ne pas influencer les propositions qui viendront sous peu des entreprises de construction.

En septembre dernier, La Presse écrivait toutefois que les travaux de construction coûteraient plus cher que prévu. D’abord estimé à 4,7 millions, le budget devrait maintenant tourner autour de 6,7 millions.

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Le théâtre de Verdure est fermé au public depuis 2014.

Avec un an de retard, les travaux devraient être lancés l’automne prochain. Quant à la construction, elle devrait commencer au printemps 2021. On vise une réouverture à l’été 2022.

Maintenant que ce projet a le feu vert, il serait temps qu’on pense à donner de l’amour au reste du parc La Fontaine. Le plan directeur adopté en 2018 prévoit des travaux de réaménagement étalés sur les 10 prochaines années.

Les canards du bassin n’ont pas fini de voir des cônes orange.

On va de l’avant à Griffintown

Des lecteurs de Griffintown m’ont écrit pour me faire part de leur inquiétude quant au projet de création de trois parcs dans leur secteur.

L’un d’eux, appelé parc des Eaux-Cachées, doit être construit entre les rues de la Montagne, du Séminaire, Ottawa, Saint-Thomas et William. Il y a quelques semaines, le terrain a été transformé en aire de stationnement, lignages au sol et balises à l’avenant.

« Ce n’est pas demain la veille qu’on aura notre parc », ont alors pensé quelques citoyens.

À la Ville de Montréal, on m’assure que ce terrain de stationnement est temporaire et qu’il ne va pas retarder le projet de parc dont les travaux doivent commencer au printemps 2021.

Comme de nombreux chantiers de construction privent des résidants d’espaces de stationnement, on a aménagé ce vaste quadrilatère afin d’accommoder certains d’entre eux.

Plante et les voitures

Tiens, parlant de voitures et de stationnement, j’ai rarement autant entendu ces mots de la bouche de Valérie Plante. Invitée à prendre la parole lors du lancement du programme d’animation du centre-ville, mardi, la mairesse a affirmé qu’il y avait « beaucoup de places de stationnement » au centre-ville.

Après avoir suggéré aux Montréalais de se déplacer à vélo ou en transports en commun, elle a aussi dit (à deux reprises) que l’on pouvait venir en voiture tout en précisant que le Complexe Desjardins et le Palais des congrès offraient un millier de places de stationnement à prix modique.

Valérie Plante a dit cela avec un sourire en coin. Je crois que derrière ce sourire se cachait de nombreuses plaintes et récriminations de la part de citoyens qui voient depuis quelques semaines des places de stationnement disparaître par centaines.

Les rues sales de Montréal

Avez-vous remarqué combien les camions qui assurent le nettoyage hebdomadaire des rues ont du mal à prendre le dessus cet été ? Les artères sont mal nettoyées. Il n’est pas rare de voir encore des feuilles d’arbres de l’automne dernier le long des trottoirs.

L’une des raisons qui expliquent ce problème est le grand nombre de résidants qui ne déplacent pas leur voiture lors des périodes d’interdiction. La Ville a offert un sursis aux citoyens le printemps dernier (on a distribué des avis plutôt que des contraventions jusqu’au 11 mai). Mais il semble que beaucoup de gens s’imaginent que ce sursis est encore en vigueur.

Je suis tombé hier sur une agente de stationnement de Montréal qui distribuait des contraventions à la volée. « C’est l’enfer, cet été », m’a-t-elle dit.

Selon elle, l’endroit où l’on retrouve le plus de récalcitrants est le Plateau-Mont-Royal. « Les gens ne bougent pas leur voiture », a ajouté cette agente. À la Ville de Montréal, on a été incapable de me confirmer cette information.

Cela dit, je comprends un peu les habitants du Plateau. On déplace sa voiture pour la mettre où ? Reste l’option de tourner en rond pendant une heure, dans sa robe de chambre…

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22 juillet 2020 | mise à jour le: 22 juillet 2020 à 19:35

Par : Mathias MarchalMétro

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2485138/arbres-publics/

La valeur économique des arbres

Photo: Métro

Cet arbre du parc de La Fontaine a rapporté 15 584$ en services écologiques en 151 ans.

Les 413 297 arbres publics géoréférencés sur l’île de Montréal offrent chaque année des services écologiques d’une valeur de 4,3 M$. Pour illustrer la valeur économique d’un seul arbre depuis qu’il a été planté, des pancartes ont ainsi été accrochées sur des dizaines d’entre-eux partout sur l’île. Explications.

Cet arbre mature de 151 ans, au parc La Fontaine n’est pas juste beau. Il a côtoyé tous les premiers ministres du Québec tout en offrant 15 584$ de services écosystémiques dont 2903$ en en stockage de CO2 et 72 103$ en services de dépollution atmosphérique grâce à ses feuilles. C’est ce qu’indique une intrigante pancarte installé au pied de l’arbre comme à plusieurs autres endroits à Montréal.

L’idée de base provient de la Fondation David Suzuki qui avait organisé en 2018 un Sommet sur les infrastructures naturelles, afin de faire savoir comment la science et l’écologie peuvent se réunir pour aider les villes à s’adapter aux changements climatiques. «On voulait utiliser les données des études publiées lors du Sommet et les vulgariser à travers des pancartes pour essayer de toucher une population moins sensibilisée à l’écologie et lui faire comprendre qu’un arbre ce n’est pas juste un élément du paysage ou un problème parce qu’il bouche le drain des gouttières», confie Louise Hénault-Ethier, chef des projets scientifiques de la fondation.

La base des données de tous les arbres publics de Montréal donne de précieuses indications, notamment sur l’âge de l’arbre, sa taille, son essence et sa localisation. En intégrant ses données au logiciel i-Tree l’équipe de chercheurs pilotée par le biologiste Jérôme Dupras ont pu calculer que les arbres de Montréal effectuent chaque année pour 3,5M$ d’amélioration de la qualité de l’air, 290 935$ en stockage de carbone et 141 123$ en services de captation des eaux de ruissellement.

Selon le scénario modéré des experts du GIEC, à l’horizon 2041-2070, on prévoit au Québec une augmentation des émissions de GES de 13% et une hausse des précipitations de 9%. Pas question pour autant d’augmenter la taille du réseau d’égout uniquement pour les cas de fortes de pluie. «Dans un contexte de changements climatiques, les villes n’auront pas les reins financiers assez solides pour pouvoir se passer des infrastructures naturelles», explique Louise Hénault-Éthier.

La Fondation David Suzuki planche d’ailleurs sur un projet permettant de faire rentrer dans la comptabilité des villes l’actif positif que représentent les milieux naturels pour une municipalité, au même titre qu’un site contaminé est désormais comptabilisable comme une dette future. Les villes participant à l’Initiative des biens naturels municipaux (MNAI) qui ont calculé la valeur de leurs milieux naturels réalisent alors que ces derniers rapportent beaucoup plus que s’ils étaient par exemple convertis en centre d’achat, malgré les taxes que cela peut faire rentrer, résume la jeune chercheuse.

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Il y a 3 heures, acpnc a dit :

Cet arbre du parc de La Fontaine a rapporté 15 584$ en services écologiques en 151 ans.

 

Pour ceux et celles qui voulaient le voir (pour le croire... ^_^), voici cet arbre:

IMG_1505.jpg?w=860
Photo: Métro  |  Cet arbre du parc de La Fontaine a rapporté 15 584$ en services écologiques en 151 ans.

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2485138/arbres-publics/

Merci @acpnc pour ces partages d'article sur le Parc Lafontaine. B|

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Il y a 10 heures, acpnc a dit :

22 juillet 2020 | mise à jour le: 22 juillet 2020 à 19:35

Par : Mathias MarchalMétro

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2485138/arbres-publics/

La valeur économique des arbres

Photo: Métro

Cet arbre du parc de La Fontaine a rapporté 15 584$ en services écologiques en 151 ans.

Les 413 297 arbres publics géoréférencés sur l’île de Montréal offrent chaque année des services écologiques d’une valeur de 4,3 M$. Pour illustrer la valeur économique d’un seul arbre depuis qu’il a été planté, des pancartes ont ainsi été accrochées sur des dizaines d’entre-eux partout sur l’île. Explications.

Cet arbre mature de 151 ans, au parc La Fontaine n’est pas juste beau. Il a côtoyé tous les premiers ministres du Québec tout en offrant 15 584$ de services écosystémiques dont 2903$ en en stockage de CO2 et 72 103$ en services de dépollution atmosphérique grâce à ses feuilles. C’est ce qu’indique une intrigante pancarte installé au pied de l’arbre comme à plusieurs autres endroits à Montréal.

L’idée de base provient de la Fondation David Suzuki qui avait organisé en 2018 un Sommet sur les infrastructures naturelles, afin de faire savoir comment la science et l’écologie peuvent se réunir pour aider les villes à s’adapter aux changements climatiques. «On voulait utiliser les données des études publiées lors du Sommet et les vulgariser à travers des pancartes pour essayer de toucher une population moins sensibilisée à l’écologie et lui faire comprendre qu’un arbre ce n’est pas juste un élément du paysage ou un problème parce qu’il bouche le drain des gouttières», confie Louise Hénault-Ethier, chef des projets scientifiques de la fondation.

La base des données de tous les arbres publics de Montréal donne de précieuses indications, notamment sur l’âge de l’arbre, sa taille, son essence et sa localisation. En intégrant ses données au logiciel i-Tree l’équipe de chercheurs pilotée par le biologiste Jérôme Dupras ont pu calculer que les arbres de Montréal effectuent chaque année pour 3,5M$ d’amélioration de la qualité de l’air, 290 935$ en stockage de carbone et 141 123$ en services de captation des eaux de ruissellement.

Selon le scénario modéré des experts du GIEC, à l’horizon 2041-2070, on prévoit au Québec une augmentation des émissions de GES de 13% et une hausse des précipitations de 9%. Pas question pour autant d’augmenter la taille du réseau d’égout uniquement pour les cas de fortes de pluie. «Dans un contexte de changements climatiques, les villes n’auront pas les reins financiers assez solides pour pouvoir se passer des infrastructures naturelles», explique Louise Hénault-Éthier.

La Fondation David Suzuki planche d’ailleurs sur un projet permettant de faire rentrer dans la comptabilité des villes l’actif positif que représentent les milieux naturels pour une municipalité, au même titre qu’un site contaminé est désormais comptabilisable comme une dette future. Les villes participant à l’Initiative des biens naturels municipaux (MNAI) qui ont calculé la valeur de leurs milieux naturels réalisent alors que ces derniers rapportent beaucoup plus que s’ils étaient par exemple convertis en centre d’achat, malgré les taxes que cela peut faire rentrer, résume la jeune chercheuse.

Il ne faut pas oublier aussi la valeur d'autres milieux naturels. Les milieux humides, par exemple, permettent la rétention d'eau en plus de la filtrer et préviennent les inondations. Ça peut représenter des millions de $ en dommages aux infrastructures. Ils dépolluent l'air tout en abritant une faune incroyable et les tourbières accumulent le dioxyde de carbone pour en faire une terre incroyablement fertile, la tourbe (terres noires). 

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il y a 1 minute, Wave Arts a dit :

Il ne faut pas oublier aussi la valeur d'autres milieux naturels. Les milieux humides, par exemple, permettent la rétention d'eau en plus de la filtrer et préviennent les inondations. Ça peut représenter des millions de $ en dommages aux infrastructures. Ils dépolluent l'air tout en abritant une faune incroyable et les tourbières accumulent le dioxyde de carbone pour en faire une terre incroyablement fertile, la tourbe (terres noires). 

Bien sûr, toute la nature en fait contribue au bien-être de la planète par ses infrastructures naturelles. Pareil pour les insectes et tous les autres êtres vivants (animaux ou plantes) que je considère comme les cols bleu de l'environnement. C'est pour cela qu'il faut protéger et même tenter de reproduire certains milieux naturels en zone urbaines, là où c'est possible, pour assurer justement un meilleur équilibre écologique. Ça aussi c'est faire du développement durable.

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Le parc, dû à son âge a besoin d'une bonne mise à niveau, plusieurs arbres sont abimés et je crois que la ville est déjà dans une phase de coupe et de plantation. Côté végétation, plusieurs bosquet manque d'entretient. Plusieurs attraits auraient à être amélioré, comme le restaurant qui est fermé. Bonne nouvelle qu'on refasse le théâtre. Sinon en sois le parc attire déjà une grande clientèle, mais cette dernière doit se répartir plus également dans l'espace, car actuellement on se marche sur les pieds dans la partie Ouest et c'est mort dans la partie Est, la partie centrale attire les gros groupes et les sportif, mais la partie sud du parc reste assez tranquille comparativement à la partie nord.

Tout le mobilier urbain à besoin d'une harmonisation, le parc est divisé en 3 secteurs, et plusieurs, poubelle, bancs et lampadaires sont disparates dans un même secteur (vieux et nouveaux lampadaires) Plusieurs sentier pourraient être pavés ou bien tous remis en poussière de pierres, car dans certains secteur il y a de l'asphalte et ça se marie mal avec des racines d'arbres centenaires. Dans certains endroit il y a du vieux pavés , d'autre c'est plus récents. Une harmonie dans le parc créerait une meilleure harmonies entre les secteurs.

Le sentier autour du bassin à besoin d'un refresh et la fontaine aussi pour remettre ses jets d'eaux originaux en valeur avec de la lumière. Parlant d'ambiance nocturne, est-ce que des guirlande lumineuse pourraient être installée dans les endroits plus achalandé le soir, car ça reste un parc très utilisé le soir. Pas juste les guirlandes dans quelques arbres autour du bassin.

Les 3 monuments on besoin d'une mise en valeur et de mise en lumière, DDO est caché dans un coin sous les arbres, Papineau n'est pas assez visible dans son trou à côté du trou de bouette, et le monument aux morts Français dans les Guerres Mondiales est caché au milieu de plusieurs bosquets. Le stationnement à besoin d'être revu (déplacés et concentrés à un endroit), on pourrait en éliminer sur Cherrier et Sherbrooke et les re-dirigés sur les terrains de la Santé Publique ? 

Les alentours de l'école et de la Santé Publiques pourraient être mieux intégrés au parc. La rue Émile Duployé à besoin d'être réduite en largeur, car elle sert principalement au bus de la 45 direction nord (fermée à cause du covid) Le triangle au sud de Cherrier mérite d'être incorporé sur le site du parc, car la Place Urbain Gaudreau-Graveline manque d'amour.

Une meilleure signalisation dans le parc pourrait être installées, avec des plans et des affiches. Aussi, plusieurs petit bâtiment pourrait être ré-utilisé et rénover pour différent services (toilettes, premier soins, café, locations d'équipements, etc)

Le coin pour enfant semble correct (jeux d'eaux et modules de jeux), cependant il y a une vieille structure en béton pourrait être retirée ou être plus kids friendly. Sinon est-ce que des structures pour différentes tranches d'âge pourrait y être installés dans les parties moins utilisées du parc, comme un gym en plein air ? Des balançoires pour adultes (personnes âgées), des supports pour slack line, pédalo, etc

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Ce parc est symptomatique de tout ce qui ne va pas à Montréal. Un vieux parc usé à la corde, pas entretenu DU TOUT, trottoirs fissurés, murets désagrégés, arbres morts partout, troncs sciés et pas désouchés, gazon en état de délabrement. Pour un parti municipal qui fait des parcs sa priorité, c'est aberrant. Ils sont plus occupés à créer des nouveaux parcs qu'à entretenir les existants. En fait, les parcs de Montréal n'ont jamais été si délabrés. Et je ne parle même pas des bacs de plantations qui poussent à tous les coins de rue et qui sont négligés totalement. On construit et ensuite on s'en sacre. 

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il y a 13 minutes, Rocco a dit :

Ce parc est symptômatique de tout ce qui ne va pas à Montréal. Un vieux parc usé à la corde, pas entretenu DU TOUT, trottoirs fissurés, murets désagrégés, arbres morts partout, troncs sciés et pas désouchés, gazon en état de délabrement. Pour un parti municipal qui fait des parcs sa priorité, c'est aberrant. Ils sont plus occupés à créer des nouveaux parcs qu'à entretenir les existants. En fait, les parcs de Montréal n'ont jamais été si délabrés. Et je ne parle même pas des bacs de plantations qui poussent à tous les coins de rue et qui sont négligés totalement. On construit et ensuite on s'en sacre. 

Mais pourtant, les gens l'adorent quand même. T'as raison, belle comparaison.

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Il y a 2 heures, Dominic723 a dit :

Les alentours de l'école et de la Santé Publiques pourraient être mieux intégrés au parc.

La Santé Publique devait déménager dans des locaux de l'hôpital Notre-Dame en septembre mais ça a été reporté à cause de la COVID (je crois que la pandémie a été mentionnée aux nouvelles...).  Je ne sais pas ce qui est supposé occuper ces locaux à l'avenir, ni de ce qui pourrait se faire autour.

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