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MartinMtl

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Tout ce qui a été posté par MartinMtl

  1. Si tu lis le document de la ville en en-tête, il explique que la facade sera effectivement conservée et même mise en valeur par un sorte de cadre dans l'architecture que l'on voit partiellement sur les évocations.
  2. MartinMtl

    BanK - 16 étages (2015)

    Merci pour les photos Memphis! Oui, ça fait du bien de voir enfin cet immeuble en chantier. La rue Saint-Jacques renaît lentement mais surement.
  3. I'm sure that's all this is about for now.
  4. Seriously, what would it takes to make you appreciate positive news about Montreal ? Your constant negativity is a really heavy load.
  5. Franchement, tout est laid et quétaine: le nom du projet, le design de l'affiche et du web site, les couleurs, le graphisme, on dirait un sous-produit pour Windsor ou Hamilton. Ça n'augure rien de bon pour l'architecture. Je prédis un design médiocre.
  6. Pas de quoi. Le magasin montréalais L'ancien grand magasin Eaton de Montréal fut fermé à l'automne 1999. À l'été 2000, le promoteur immobilier Ivanhoé, filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec, a racheté le bâtiment pour 34 millions de dollars. Après une reconversion de 100 millions de dollars, l'immeuble rouvrit en 2002 partiellement en immeuble de bureaux et partiellement en un centre commercial de plus de 60 boutiques; Le Complexe Les Ailes. Conçu par les architectes Ross et Macdonald, l'immeuble de Montréal demeure un point d'intérêt sur la rue Sainte-Catherine. Le célèbre restaurant du neuvième étage, conçu en 1930 par le Français Jacques Carlu d'après la salle à manger de la première classe du paquebot Île-de-France, a récemment été restauré par les architectes Fournier, Gersovitz, Moss et associés et a été classé site historique protégé à l’été 2000 à cause de sa riche décoration art déco et de son mobilier d'origine. Source: Wikipedia
  7. Je m'excuse d'insister, mais tu as tort. Ce que nous appelons aujourd'hui le Complexe Les Ailes, c'était avant le magasin à rayons Eaton. C'est ce magasin que nous voyons sur la photo. Je ne parle pas ici du Centre Eaton, construit à côté, et qui évidemment n'existait pas à l'époque.
  8. Hé ben, bravo! Quelle densité ça va ajouter au coin du Carré Phillip. Yes!
  9. J'ai déjà posé la question sans obtenir de réponse.
  10. Le top de retour ce matin... Snowy Streets of Montreal, March... par cmr75 on Flickr
  11. Centre-ville de Montréal: des firmes prévoient ériger des immeubles locatifs neufs Publié le 20 mars 2013 à 08h23 ANDRÉ DUBUC La Presse Le centre-ville de Montréal est mûr pour accueillir plusieurs chantiers de tours d'appartements locatifs, croit plus d'un observateur de la scène immobilière locale en dépit du fait que le niveau des loyers ne le justifie pas. «Je pense qu'on va voir un projet d'importance dans le multilocatif d'ici 24 mois au centre-ville, dit Benoit Egan. Il y a des promoteurs qui regardent sérieusement la possibilité de faire un projet d'importance. Il y a certains projets qui pourraient lever sur certains sites stratégiques.» Pour construire du neuf, il faut pouvoir louer les nouvelles unités de 2,00 à 2,25$ le pied carré, dit l'évaluateur agréé. Pour un logement de 2 chambres de 800 pi2, ça se traduit par un loyer mensuel variant de 1600 à 2000$. «Certains sites se prêtent à ça», précise M. Egan. Le promoteur Devimco construira une tour de 260 logements locatifs sur la rue Wellington, au coin de la rue Murray, a confirmé Éric Cimon, conseiller politique dans l'arrondissement du Sud-Ouest. Le projet de quelque 60 millions prévoit des locaux commerciaux au rez-de-chaussée. «Au centre-ville, et dans Griffintown, il y a des sites à l'étude», renchérit Charles-André Latour, évaluateur agréé au Groupe Altus. Hors centre-ville, l'intérêt se concentre près des stations de métro. Habitations Trigone lance une tour de 157 logements voisine du campus de Longueuil de l'Université de Sherbrooke. Logements à l'île des Soeurs Du locatif traditionnel, la société Canvar en bâtit actuellement à l'île des Soeurs. Un premier immeuble comptant une centaine de logements est terminé. Les loyers vont de 900 à 2050$ par mois, chauffage compris, selon le site internet du locateur. En tout, 7 immeubles sont prévus pour un total de 1000 logements locatifs. Ces dernières années, Canvar a mis en location des lots d'environ 200 unités locatives à quelques reprises au centre-ville, dans le cadre d'un projet mixte ayant une portion hôtelière. C'est le cas au V, sur René-Lévesque, où l'on trouvera 245 appartements locatifs et des chambres d'hôtel. Pour la qualité Pourquoi les promoteurs se donnent-ils la peine de lancer du locatif neuf, si le niveau des loyers contrôlés par la Régie du logement ne permet pas de rentabiliser l'investissement? D'aucuns croient qu'il y existe une demande pendante au centre-ville pour des logements locatifs de qualité, au goût du jour, bâtis dans des immeubles écoénergétiques, certifiés LEED par exemple. «Il y a de la place pour du locatif neuf au centre-ville, dit Mathieu Duguay, vice-président exécutif de la Société de gestion Cogir. Comme gestionnaire, on aimerait participer à de nouveaux projets.» Qui plus est, des investisseurs d'envergure comme les caisses de retraite s'entichent maintenant pour ce genre de produits immobiliers, souligne M. Latour, d'Altus. Les institutionnels aiment leur faible profil de risque et la stabilité des flux de trésorerie qui est rattachée à ce genre d'actif. Rappelons que quatre des plus gros ensembles multilocatifs de Montréal ont changé de mains depuis 18 mois. La Caisse de dépôt a parti le bal en juillet 2011 en acquérant les 1004 logements du Rockhill, sur le chemin de la Côte-des-Neiges, pour 160 millions. Un an plus tard, True North REIT, fiducie immobilière cotée en Bourse, payait 121 millions pour mettre le grappin sur 1528 logements, répartis dans les 127 immeubles de la communauté Norgate, à Saint-Laurent, près du métro Côte-Vertu. Oxford, filiale immobilière de la Caisse de retraite des employés municipaux de l'Ontario (OMERS), a payé 232,5 millions en août 2012 pour les 1351 logements des 3 immeubles de La Cité, sur l'avenue du Parc. Puis, en novembre 2012, CAP REIT, autre fiducie immobilière, a payé 176,5 millions pour les 980 logements du Village olympique. Les quatre propriétés ont un point en commun: elles ont toutes plus de 30 ans d'âge, ayant été bâties en 1976 ou avant. Source: La Presse
  12. Le retour attendu du privé au centre-ville Publié le 20 mars 2013 à 08h20 ANDRÉ DUBUC La Presse L'époque où tout investissement en immobilier commercial au centre-ville était condamné à recevoir le soutien de l'État pour qu'il puisse voir le jour semble heureusement tirer à sa fin. C'est l'impression qui se dégage du 7e forum stratégique La métropole et ses grands projets, qui s'est tenu au Palais des congrès vendredi dernier. Pour la première fois depuis des lustres, des promoteurs privés sont en effet venus expliquer leurs projets d'immobilier commercial au centre-ville de Montréal sans que l'État ait un rôle à jouer directement ou indirectement. «Cette année, on peut dire qu'on a tourné la page sur une perception que les seuls investissements qui se faisaient à Montréal étaient exclusivement de nature publique et institutionnelle, a expliqué à La Presse Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, au terme du forum. Le privé investit, il y a des projets en route et il y a de nouveaux projets d'annoncés.» Au total, près d'une dizaine de promoteurs y sont venus décrire leurs ambitions. Les investissements totalisent 14 milliards, dont certains sont de nature privée, comme celui de Cadillac Fairview. «J'annonce qu'au cours des 15 prochaines années, Cadillac Fairview prévoit investir près de 2 milliards pour construire dans le secteur entourant la gare Windsor afin d'en faire un nouveau quartier», a dit Sal Iacono, vice-président principal, développement et gestion immobilière, portefeuille de l'Est du Canada, qui était le dernier promoteur à prendre la parole au cours de l'événement. Il s'agit d'un projet à vocation mixte, composé de tours de bureaux, de locaux commerciaux et de tours de copropriétés. De la somme totale, 400 millions seront investis dans la construction de la Tour des Canadiens de 50 étages et dans l'édifice de bureaux Deloitte, rue Saint-Antoine, qui cherchera à décrocher la certification écologique LEED platine, soit le nec plus ultra en matière de construction écoénergétique. M. Iacono n'a pas manqué de rappeler qu'il était lui-même engagé auprès du promoteur qui a mené à terme la construction de la dernière tour de bureaux d'initiative privée au centre-ville de Montréal, il y a plus de 20 ans. C'était la Tour IBM Marathon, que l'on nomme aujourd'hui 1250, René-Lévesque. Bien sûr, il s'est fait des choses au centre-ville depuis 1992. Mentionnons la construction du siège de l'Organisation de l'aviation civile internationale rue University, le centre d'affaires de la Caisse de dépôt dans le quartier international, la Cité du Multimédia et la Cité du commerce électronique. Tous ces immeubles ont la particularité d'avoir bénéficié d'un appui de l'État, soit directement, comme dans le cas de la Caisse de dépôt, soit indirectement par des programmes de subventions aux locataires des cités du multimédia et du commerce électronique. Dans la dernière année, Kevric a bien entrepris la construction de la tour Aimia, qui est une tour 100% privée, mais à vocation mixte, puisque 25 des 35 étages seront des copropriétés de luxe. Les dix premiers étages logeront des bureaux, dont ceux d'Aimia, promoteur du programme de fidélité Aeroplan. À la tribune du forum stratégique, M. Iacono avait été précédé par deux promoteurs de projets privés: Michael Broccolini, du Projet Avenue, et Daniel Perizt, de Canderel. L'investissement public se tarit Cette résurgence du privé arrive à point nommé pour Montréal, car le robinet de l'investissement public se fermera au terme des chantiers des deux mégahôpitaux universitaires. «Le démarrage d'autres projets pourrait tarder, prévient d'ailleurs la Commission de la construction du Québec dans sa plus récente revue de l'activité dans l'industrie, de sorte que le soutien du bâtiment institutionnel pourrait vaciller.» Selon les statistiques compilées par la Communauté métropolitaine de Montréal, les immobilisations privées progressent depuis la fin de la crise de 2008-2009 à Montréal et dépassent les 17 milliards depuis deux ans, aidés principalement par l'investissement résidentiel privé, mais pas uniquement. «Les entreprises manufacturières, qui demeurent confrontées à la nécessité d'augmenter leur compétitivité, continuent d'accroître leurs investissements», y lit-on dans le plus récent bulletin L'économie métropolitaine. Si on se fie à ce qu'on a entendu à la Chambre de commerce, les projets de gratte-ciel à vocation bureaux emboîteront le pas bientôt aux nombreux projets de tours résidentielles Source: La Presse
  13. Bon moment pour construire ou rénover Publié le 20 mars 2013 à 08h28 GUY PAQUIN, COLLABORATION SPÉCIALE La Presse Au dernier trimestre de 2012, les locataires d'espaces de bureaux du centre-ville de Montréal ont été très gourmands. Ils ont loué plus de 365 000 pi2 d'espaces disponibles, plus que dans tout le reste de l'année. À la fin de 2012, seulement 4,3% des espaces de bureaux du centre-ville étaient inoccupés. C'est ce qui ressort du Tableau de bord du marché de bureaux du centre-ville de Montréal, réalisé par la firme Colliers International. «La demande pour les bureaux de prestige reste ferme et explique en partie cette gourmandise, note Jacques-Yves Bouchard, analyste à la recherche chez Colliers. En fait, dans la catégorie la plus élevée, AAA, bureaux pour sièges sociaux d'entreprises internationales, il ne reste plus rien à louer dans le centre-ville. C'est assurément le moment opportun pour construire ce type de bâtiment. Les locataires signent déjà.» Et qu'on ne s'attende pas à des transactions majeures entre promoteurs. «Ce n'est pas qu'il n'y ait pas d'acheteurs potentiels pour nos espaces de bureaux de prestige, constate James Papadimitriou, leader en droit immobilier au cabinet d'avocats McCarthy Tétrault. L'argent est là. Mais personne ne veut vendre.» Pourquoi vendre, d'ailleurs, quand la rentabilité de l'investissement immobilier commercial augmente avec les mois qui passent? Durant les 18 derniers mois, toujours selon les estimations de Colliers International, le taux net de loyer au centre-ville est passé de 16,40 à 18,17$ le pied carré. Toutefois, le coût des terrains est monté en flèche. «Dans les dix dernières années, la valeur foncière des terrains au centre-ville a crû beaucoup plus vite que le taux des loyers commerciaux, rappelle Christian Yaccarini, président de la Société de développement Angus. Par contre, les loyers d'habitation de luxe, eux, ont suivi une courbe fortement ascendante. Pour rester dans la zone de profits, les promoteurs favorisent donc de plus en plus le mélange bureaux de prestige et condos de luxe, comme la tour Aimia.» Trois projets à surveiller d'ici 10 ans Le projet Les Tours du Quartier des spectacles Advenant sa réalisation, il s'agira de deux tours totalisant 1,2 million de pieds carrésd'espaces locatifs s'élevant au coin des rues Bleury et Sainte-Catherine. Canderel et le Fonds immobilier de solidarité FTQ, les deux promoteurs, ont assemblé deux terrains totalisant 90 000 pi2 pour bâtir les tours. Selon Normand Bélanger, président du Fonds, «la demande est forte». La Vitrine de commerce mondial Le Fonds immobilier de solidarité FTQ travaille à un autre projet de développement au centre-ville. «Ça pourrait éventuellement prendre la forme d'un grand immeuble de bureaux, reconnaît Josée Lagacé, directrice des communications du Fonds. Nous sommes à l'étape des discussions.» L'assemblage des 50 000 pi2 de terrain est complété près de l'intersection des rues Viger et Bleury. Le 544, rue de l'Inspecteur Autre projet du Fonds immobilier de solidarité FTQ, celui d'un vaste centre d'hébergement de données informatiques sur la rue de l'Inspecteur, près de la rue William, non loin de l'École de technologie supérieure. Le Fonds vise l'acquisition d'édifices de cinq étages dont on doublerait la superficie. Source: La Presse
  14. En passant, je ne comprends pas pourquoi ce projet est dans la section du Quartier des spectacles. C'est une tour à bureaux avec des commerces, sans aucune composante culturelle. Ça n'a absolument rien à voir avec le projet du Quartier des spectacles en tant quel tel. De façon aussi arbitraire, aussi bien mettre aussi le Petersen et le V dans cette section.
  15. La tour ouest, coin Ste-Catherine et Bleury.
  16. That is so totally not true. At all.
  17. Image parue dans Le Devoir de ce samedi, cahier Habitations.
  18. Voici un rendu paru ce matin dans le cahier spécial habitation du Devoir. Il s'agit de la première image, à ma connaissance, que nous avons de la nouvelle version de 40 étages.
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