Aller au contenu

Chuck-A

Membre
  • Compteur de contenus

    1 807
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    22

Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. Il ne faut pas oublier que NouvLR a débuté la construction d'un nouveau viaduc à la Montée Gobeil/Chemin des Prairies afin de fournir un accès direct à la station Brossard aux autobus et automobilistes à partir de l'A10 (en provenance ou en direction de Chambly/St-Jean).
  2. Des tweets différents ont été partagés par les ministres présents lors de l'annonce: pour les antis et pro-masques; 😷 pour ceux qui voient en couleur... et en noir et blanc.
  3. Vu sur Reddit: https://www.reddit.com/r/montreal/comments/izhl0a/travailler_sur_les_toits_à_certains_avantages/ Avec la magnifique vue sur le stade, celle-là est pour toi, @Rocco !
  4. Chuck-A

    Autoroute 50

    Le gouvernement va de l'avant avec l'autoroute 50 entre Mirabel et L'Ange-Gardien NOUVELLES FOURNIES PAR | Cabinet du ministre des Transports | Sept 25, 2020, 11:00 ET LACHUTE, QC, le 25 sept. 2020 /CNW Telbec/ - La ministre responsable des Affaires autochtones et ministre responsable de la région des Laurentides, Mme Sylvie D'Amours, et la députée d'Argenteuil, Mme Agnès Grondin, au nom du ministre des Transports et ministre responsable de la région de l'Estrie, M. François Bonnardel, annoncent la publication d'un important appel d'offres en lien avec le projet de bonification de l'autoroute 50 entre L'Ange-Gardien et Mirabel. Avec le projet de loi concernant l'accélération de certains projets d'infrastructure, déposé le 23 septembre dernier à l'Assemblée nationale, les travaux, attendus depuis longtemps par la population, pourraient enfin débuter dès 2022, ce qui représente un gain important de plusieurs années sur l'échéancier habituel des grands projets. Ce projet de bonification comprend la séparation des chaussées, le doublement des voies, pour les sections à chaussée unique, ainsi que la construction d'une nouvelle chaussée au nord de la chaussée existante. Cela permettra le doublement des voies de l'autoroute et la séparation des deux directions. Citations « Votre gouvernement est en action pour sécuriser l'autoroute 50 sur toute sa longueur. Le tronçon entre Mirabel et L'Ange-Gardien connaissait un problème de sécurité, et il était primordial de corriger la situation. L'octroi de ce mandat va nous permettre de poursuivre la préparation du projet en vue de sa réalisation. » - François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l'Estrie « Avec notre projet de loi sur l'accélération des projets d'infrastructures, notre gouvernement démontre sa volonté de réaliser des projets plus rapidement. Je souhaite ardemment son adoption rapide afin que les travaux du projet de l'autoroute 50 débutent au moins un an plus tôt ». - Sylvie D'Amours, ministre responsable des Affaires autochtones et ministre responsable de la région des Laurentides « En parallèle du projet majeur, le travail se poursuit en vue d'élargir l'autoroute entre Gatineau et L'Ange-Gardien. Le début des travaux est toujours prévu pour le printemps 2021. D'ici là, la glissière flexible à haute tension qui a été mise en place cet été sera maintenue. À ce jour, pas moins de sept véhicules ont été retenus par celle-ci. Nous continuerons à suivre avec attention les résultats de ce projet pilote. » - Mathieu Lacombe, ministre de la Famille et ministre responsable de la région de l'Outaouais « Ce projet est fortement attendu par mes concitoyens. Dans les dernières années, plusieurs mesures ont été mises en place afin d'améliorer la sécurité sur l'autoroute 50, particulièrement pour le tronçon entre Lachute et Mirabel. La réalisation du projet de bonification apportera une solution définitive aux enjeux de sécurité dans ce corridor. » - Agnès Grondin, députée d'Argenteuil Faits saillants De L'Ange-Gardien à Mirabel, l'autoroute 50 est principalement composée de voies contiguës, soit une voie par direction. Le contrat qui sera octroyé comprendra la réalisation de différentes études complémentaires d'avant-projet (géotechnique, environnementale et hydraulique), les travaux d'arpentage ainsi que de la préparation des plans et devis qui permettront de passer à la réalisation du projet. Le mandat comprend aussi l'accompagnement du Ministère pendant la réalisation des travaux. La réalisation du tronçon entre Lachute et Mirabel est priorisée en raison de problèmes de sécurité qui y ont été constatés et de débits de circulation plus élevés. Entre 10 000 et 25 000 véhicules circulent chaque jour sur l'autoroute 50 entre L'Ange-Gardien et Mirabel, selon les secteurs. En plus du projet de bonification, le Ministère prévoit commencer les travaux d'élargissement du tronçon entre les chemins Findlay et Doherty, à Gatineau et à L'Ange-Gardien, au printemps 2021. Liens connexes Bonification de l'autoroute 50 entre Gatineau et Mirabel Suivez-nous sur Twitter et sur Facebook. SOURCE Cabinet du ministre des Transports https://www.newswire.ca/fr/news-releases/le-gouvernement-va-de-l-avant-avec-l-autoroute-50-entre-mirabel-et-l-ange-gardien-877762194.html ---------------- Voici les cartes des améliorations de l'autoroute 50 entre Gatineau et Mirabel : En raison de problèmes de sécurité constatés et de débits de circulation plus élevés, les interventions sont priorisées sur deux tronçons aux voies contiguës, soit : entre les chemins Findlay et Doherty, à Gatineau et à L’Ange Gardien - tronçon 1 de la 1ère carte; entre les municipalités de Lachute et de Mirabel (dans les Laurentides) - tronçon 7 de la 1ère carte. https://www.transports.gouv.qc.ca/fr/projets-infrastructures/reseau-routier/projets-routiers/outaouais/autoroute-50-bonification/Documents/carte-amelioration-A50.pdf Le début des travaux d’élargissement du tronçon de 7 kilomètres, situé entre Gatineau et L’Ange-Gardien, est prévu au printemps 2021, tandis que le tronçon entre Lachute et Mirabel est en préparation. Les autres tronçons, soit ceux situés entre L’Ange-Gardien et Lachute, sont à l’étude. https://www.transports.gouv.qc.ca/fr/projets-infrastructures/reseau-routier/projets-routiers/outaouais/autoroute-50-bonification/Pages/default.aspx
  5. Après le pont Clément, le nouveau pont de l'Îles-Des-Soeurs (et le pont de contournement... temporairement encore debout pour les besoins de NouvLR), il y existe maintenant un nouveau lien entre l'île de Montréal (à Pointe-Saint-Charles) et l'IDS. Les dernières poutres de la structure aérienne du REM ont été posées ce matin à PSC. https://www.pontsamueldechamplain.ca/chantier/chantier-en-direct/
  6. L'annonce de l'élargissement de l'autoroute 30 , partagée hier par @Miska et @nephersir7, s'intégrerait potentiellement au projet du RMVR "par l’ajout d’une voie réservée dans chaque direction pour le transport collectif ainsi que d’une «gestion dynamique des voies» pour améliorer la fluidité". Élargissement de l’A-30 entre Brossard et Boucherville: l’appel d’offres est lancé Le Courrier du Sud | Le 24 septembre 2020 — Modifié à 17 h 35 min le 24 septembre 2020 - Temps de lecture : 5 min | Par Ali Dostie Le ministre des Transports François Bonnardel (Photo : Le Courrier du Sud - Ali Dostie) Le ministère des Transports du Québec a lancé l’appel d’offres pour l’étude d’avant-projet de l’élargissement dans les deux directions de l’autoroute 30, entre Brossard et Boucherville. Concrètement, cela pourrait se traduire par l’ajout d’une voie réservée dans chaque direction pour le transport collectif ainsi que d’une «gestion dynamique des voies» pour améliorer la fluidité. Le début des travaux est estimé à la fin de 2022. L’appel d’offres concerne la préparation de l’avant-projet, des plans, des devis et d’autres études nécessaires. L’étude permettra de bien cibler les problèmes et surtout les pistes de solutions possibles pour réduire la congestion routière, sur le tronçon d’une vingtaine de kilomètres entre l’autoroute 20 et le boul. Matte. Bref, elle déterminera de quelle façon le transport en commun et la mobilité durable seront favorisés. En conférence de presse au Solar Uniquartier, le 24 septembre, le ministre des transports François Bonnardel a donné en exemple le dégagement possible de deux vois sur trois pour le transport en commun dans une direction, en fonction des heures de pointe. Cette annonce est l’un des premiers lancements d’appel d’offres faisant suite au dévoilement, au début du mois, du Réseau métropolitain de voies réservées dans la grande région de Montréal. Sur la Rive-Sud, les autoroutes 20 et 30, ainsi que la route 116, ont été ciblées. M. Bonnardel estime que l’élargissement de l’autoroute s’attaquera au problème de congestion routière, sur cette artère qui, avec ses 80 000 automobilistes quotidiens, et une proportion de 15% du trafic qui constitue du camionnage, est «très achalandée», a-t-il reconnu. Confiant que l’élargissement de l’autoroute 30 ne contribuera pas à l’étalement urbain, il a réitéré le défi qu’il s’est donné, comme ministre des Transports, de convaincre les automobilistes de changer de comportement, pour adopter le transport collectif. Un gain de trois ans grâce au PL-66 La présidente du Conseil du trésor Sonia Lebel Il s’agit aussi d’une des premières annonces depuis le dépôt du projet de loi 66, qui vise à accélérer la construction de 181 projets d’infrastructures au Québec. «S’il est adopté rapidement, on pourrait gagner jusqu’à trois ans», a fait valoir la présidente du Conseil du trésor Sonia Lebel. Et c’est le retrait des évaluations environnementales qui permet principalement ce gain. Le projet d’élargissement de l’A-30 a été extrait de diverses évaluations du BAPE, car il qui avait «déjà fait l’objet d’évaluations environnementales», relève Mme Lebel. «C’est un tronçon bien défini. On parle d’un élargissement dans l’emprise de la route, a-t-elle justifié. Le ministère de l’Environnement sera là pas à pas avec le ministère des Transports.» Réactions unanimes Deux ans et demi après la création de la Coalition A-30 qui réunit la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud, des municipalités, organismes, entreprises et représentants de l’industrie du transport qui réclamaient des moyens pour réduire la congestion routière de cette autoroute, la nouvelle ne pouvait être que bien accueillie. La mairesse de Brossard Doreen Assaad s’est réjouie de ce «point de départ vers une plus grande fluidité» pour Brossard et la Rive-Sud, d’autant plus avec l’arrivée du REM. L’élargissement de l’A-30 favorisera l’utilisation mais aussi le développement du transport collectif, a-t-elle fait valoir, participant en vidéoconférence à l’événement. «C’est un point tournant pour que l’A-30 devienne adaptée à la mobilité d’aujourd’hui et de demain.» La présidente de L’UMQ et mairesse de Sainte-Julie Suzanne Roy a relevé les effets collatéraux bénéfiques de doter de voies réservées cette «colonne vertébrale pour la Montérégie»: des gains sur le plan de la qualité de vie des citoyens, de la productivité des entreprises et sur le plan économique, notamment. «Plusieurs entreprises, notamment celles situées dans les nombreux parcs industriels, vont bénéficier d’une meilleure fluidité», a-t-elle exposé. Autres réactions La Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud (CCIRS) estime que les efforts de la Coalition A-30, qui demandait de «mettre en place des actions concrètes et rapides pour décongestionner l’autoroute 30 dans une perspective de développement économique et social», ont porté fruit. «La mobilité est au cœur des actions de la Chambre depuis plusieurs années. La congestion est devenue un facteur lourd pour notre économie, a indiqué le président Richard D’Amour. L’annonce d’aujourd’hui est une solution proposée il y a longtemps qui va faciliter la fluidité des marchandises et de l’ensemble des usagers du transport routier.» Du côté du Réseau de transport de Longueuil, «avec l’arrivée prochaine du Réseau express métropolitain (REM), l’ajout de cette voie est un facteur de plus pour assurer le succès de ce mode de transport électrique sur rail, a indiqué le président du conseil d’administration Jonathan Tabarah. Nous espérons que ce projet soit accéléré afin qu’il voie le jour le plus rapidement possible.» Pour Exo, dont 13 lignes d’autobus empruntent l’autoroute 30, cela permettra d’améliorer l’offre de service pour les usagers de la Rive-Sud, et de rendre le transport en commun plus attrayant. https://www.lecourrierdusud.ca/elargissement-de-la-30-entre-brossard-et-boucherville-lappel-doffres-est-lance/
  7. Bureau de la ligne rose: sept études en cours à la Ville de Montréal Journal Métro | Montréal | 05:00 25 septembre 2020 | mise à jour le: 24 septembre 2020 à 22:20 - temps de lecture: 4 minutes | Par: Zacharie Goudreault, Métro Photo: Archives | Métro | Le réseau du métro de Montréal. La Ville de Montréal a mandaté plusieurs experts externes pour faire avancer divers projets de mobilité, dont la ligne rose, qui fait actuellement l’objet de sept études différentes, a appris Métro. L’administration de Valérie Plante a recruté au cours des 12 derniers mois plusieurs experts afin d’assister la Direction des projets de mobilité durable de la Ville (DPMD). Celle-ci chapeaute notamment le bureau de projet de la ligne rose et celui portant sur la «revitalisation» de la rue Notre-Dame, en prévision du prolongement du Réseau express métropolitain (REM) dans l’est de l’île. Elle analyse aussi la possibilité de prolonger la ligne orange vers l’ouest. Parmi les postes comblés dans les derniers mois, on compte notamment celui d’ingénieur, de chargé de projet et de consultant en planification de transport. La DPMD a aussi fait appel en mars à l’ancien directeur général de la Société de transport de Montréal, Carl Desrosiers, afin d’analyser «les différents modes de transport guidés disponibles», a constaté Métro en épluchant les contrats de la Ville. «Nos partenaires ont des mandats complexes en cours avec la Ville, donc l’ajout de ressources [de l’externe] était nécessaire», justifie à Métro l’attachée de presse du comité exécutif, Laurence Houde-Roy. La ligne rose en premier plan Dans les différentes offres d’emplois qui ont mené à l’octroi de ces contrats, le projet de ligne rose revient en premier plan. Plusieurs d’entre elles décrivent d’ailleurs cette promesse électorale dans sa forme initiale, soit comme «une nouvelle ligne de métro» qui permettrait de relier Montréal-Nord à Lachine en passant par plusieurs quartiers centraux. Mme Plante a pourtant qualifié en juin 2019 le projet de création d’un tramway entre Lachine et le centre-ville de «tronçon ouest» de la ligne rose. Par écrit, Mme Houde-Roy assure que les démarches du bureau de projet de la ligne rose «avancent bien». Celui-ci a amorcé sept études socioéconomiques qui portent notamment sur «la contribution de la ligne rose à l’équité sociale, à l’amélioration des conditions de vie et de mobilité des résidents des quartiers traversés». D’autres analyses portent aussi sur «les coûts et bénéfices des prolongements des réseaux existants», indique-t-elle. Les études principales du projet sont toutefois assumées par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM). Contactée par Métro, celle-ci a confirmé qu’«aucune fiche d’avant-projet n’a été déposée» à ce jour. «Il est trop tôt pour se prononcer sur un mode [de transport], un tracé ou une priorisation à ce stade», ajoute un porte-parole, Simon Charbonneau. «Inexcusable» En avril 2019, le directeur des projets de mobilité durable à la Ville, David Therrien, alors nouvellement en poste, s’était montré confiant de voir le projet de la ligne rose «franchir des étapes» d’ici aux prochaines élections municipales, en 2021. Six mois plus tard, en novembre 2019, Métro révélait toutefois que le bureau de projet de la ligne rose n’avait toujours rédigé aucun mémoire ni complété aucune étude, un an après sa création. Il avait pourtant reçu en 2018 un premier financement de 1 M$ de la Ville. «La mairesse se plaint depuis des mois comme quoi elle n’a pas d’argent, comme quoi elle veut avoir un budget déficitaire, qu’il y a beaucoup de pertes de revenus. Et là, elle a l’occasion de sauver de l’argent [en cessant de financer l’étude de la ligne rose] et elle refuse de le faire. C’est inexcusable», fustige le chef d’Ensemble Montréal, Lionel Perez, en entrevue à Métro. «C’est vraiment un gaspillage scandaleux de l’argent public», déplore également le conseiller indépendant de Snowdon, Marvin Rotrand. La ligne rose, un «symbole»? Chargé de cours à l’UQAM et expert en planification des transports, Pierre Barrieau, estime quant à lui que la Ville devrait concentrer son énergie à se préparer à l’arrivée du REM dans l’Est, un projet appuyé par le gouvernement Legault, contrairement à la ligne rose. «Pourquoi continuer à engranger des fonds dans un projet qui a reçu une fin de non-recevoir de Québec?» - Pierre Barrieau, expert en planification des transports À cet égard, l’experte en gouvernance et professeure à l’UQAM, Danielle Pilette, rappelle que la ligne rose a constitué un des piliers de la dernière campagne électorale de Projet Montréal. Il pourrait d’ailleurs bien faire partie de ses promesses en prévision des prochaines élections municipales. «Politiquement, [Projet Montréal] ne peut pas se permettre de laisser croire que [le projet de ligne rose] est désuet», estime Mme Pilette. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2525834/bureau-de-la-ligne-rose-sept-etudes-en-cours-a-la-ville-de-montreal/
  8. Train à grande fréquence - VIA Rail veut une réponse d’ici décembre PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE | Le projet de train à grande fréquence (TGF) prévoit la construction de rails réservés à VIA Rail entre Québec et Windsor, un corridor qui génère déjà 96 % des passages et des revenus de cette société de la Couronne. VIA Rail entretient le « désir profond » d’obtenir une réponse positive du gouvernement fédéral à son projet de train à grande fréquence dans le corridor Québec-Windsor avant la fin de l’année, a indiqué jeudi sa présidente et chef de la direction, Cynthia Garneau. Publié le 25 septembre 2020 à 10h00 | JEAN-FRANÇOIS CODÈRE | LA PRESSE « Notre objectif et notre désir profond, c’est de nous assurer qu’on a une décision favorable du gouvernement d’ici la fin de cette année, de façon à ce que ça puisse faire partie du budget 2020-2021 », a affirmé Mme Garneau, dans le cadre d’une conférence organisée par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Le président de la Chambre, Michel Leblanc, qui interrogeait Mme Garneau, en a profité pour faire valoir la position de son organisme. « En ces temps où l’on parle de stratégie d’investissement dans nos infrastructures liée à une reprise économique, si on n’est pas capable là de prendre une décision sur le train à grande fréquence, on ne sera jamais capable de la prendre », a-t-il affirmé. « On s’attend à ce qu’ils puissent prendre une décision d’ici décembre et on s’attend à ce qu’elle soit positive. » Après l’accord d’Ottawa, « c’est sûr que c’est un minimum de quatre à cinq ans » avant que le train ne soit mis en service, a indiqué Mme Garneau. Ce délai tient compte de la construction elle-même, qui devrait prendre un an au minimum, mais surtout des évaluations environnementales et des consultations publiques. Québec toujours au programme pour VIA Mme Garneau s’est montrée un peu plus évasive lorsqu’on lui a demandé si le corridor Montréal-Québec faisait toujours partie du projet. À l’été 2019, La Presse Canadienne avait mis la main sur un document interne du gouvernement fédéral selon lequel l’abandon du tronçon Montréal-Québec serait bénéfique pour VIA Rail, puisqu’il était non rentable. « Aujourd’hui, la Ville de Québec fait partie de notre réseau actuel », a répondu Mme Garneau, en insistant sur le mot « aujourd’hui ». « Pour le futur et dans le projet de VIA Rail, la Ville de Québec a toujours fait partie du projet aussi et continue de faire partie de toutes les études qui ont cours présentement. Desservir la Capitale-Nationale est définitivement un besoin hyper important. » « C’est 20 000 passagers en moyenne par semaine qui transitent entre Québec et Montréal, donc c’est un élément très important de notre réseau actuel et futur. » - Cynthia Garneau, présidente et chef de la direction de VIA Rail Le projet de train à grande fréquence (TGF) prévoit la construction de rails réservés à VIA Rail entre Québec et Windsor, un corridor qui représente déjà 96 % des passages et des revenus de cette société de la Couronne. Cette dernière ne détient actuellement que 3 % des rails sur lesquels passent ses trains et est par conséquent soumise à de nombreuses restrictions qui limitent ses horaires, sa fréquence et sa ponctualité. Ces restrictions et le parc ferroviaire vieillissant font en sorte que VIA Rail « touche aux limites de [son] potentiel de croissance », selon Mme Garneau. Un nouveau parc a déjà été commandé et devrait entrer en service au printemps 2022. L’attribution de ce contrat à Siemens, qui prévoit construire ces trains en Californie, avait suscité un tollé, au moment où l’usine de Bombardier à La Pocatière était – comme encore à ce jour – désespérément à la recherche de mandats. Y aura-t-il des retombées canadiennes grâce à la construction du TGF ? « Ça va de soi », a affirmé Mme Garneau. « Il y aura définitivement un appel d’offres qui va maximiser ces aspects-là. […] On va toujours tendre à maximiser l’impact canadien en allant chercher des fournisseurs près de nous. C’est définitivement une belle opportunité à ne pas manquer. » https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-09-25/train-a-grande-frequence/via-rail-veut-une-reponse-d-ici-decembre.php
  9. Aménagement du stationnement Nord et prolongement de la rue Chemin-de-Fer PIÉTONNE ET CYCLISTE À partir du 28 octobre, en semaine et certaines fins de semaine - De 7 h à 19 h* Rive-Nord Nature des travaux Dans le cadre des travaux du REM dans le secteur de Sainte-Dorothée, des aménagements routiers seront réalisés afin d’éliminer les passages à niveau actuels pour faciliter le passage du futur REM et assurer la sécurité de tous. Étant donné que la configuration de l’avenue des Bois sera modifiée pour passer sous les voies ferroviaires, un réaménagement de la rue du Chemin-de-Fer s’avère nécessaire. Cette dernière sera prolongée en longeant l’actuel stationnement incitatif et se raccordera plus au nord sur l’avenue des Bois. De plus, pour faciliter l’accès des usagers à la gare Sainte-Dorothée, le stationnement incitatif situé au nord sera aménagé pour plus de convivialité. Un chemin de détour sera aussi construit pour les piétons et cyclistes afin que ces derniers rejoignent les installations de la gare en toute sécurité. Échéancier des travaux** : Calendrier Carte illustrant les travaux à venir : Impacts et mesures d’atténuation L’objectif du bureau de projet du REM et du consortium NouvLR est d’atténuer les impacts sur les riverains et d’assurer la sécurité de tous, en mettant en œuvre les mesures appropriées. Des murs antibruit seront installés afin de limiter les effets sonores des travaux. Il est à noter que des vibrations, de la poussière, du camionnage et des entraves à la circulation pourraient être engendrés par ces travaux. *Des travaux préliminaires et subséquents à cette plage horaire sont nécessaires afin de mobiliser et démobiliser l’ensemble des éléments requis pour l’exécution des travaux et au nettoyage du site. Toutefois, en raison de la nature des travaux, ceux-ci ne peuvent être interrompus en cours d’exécution et doivent être complétés afin d’assurer l’intégrité des infrastructures existantes. Si cette situation se présente, la plage horaire sera prolongée pour finaliser les travaux entamés. **La séquence actuelle établie et les dates sont sujettes à changement sans préavis. https://rem.info/fr/info-travaux/travaux-stationnement-et-rue-sainte-dorothee
  10. "Nouveau" clip d'Aecon Group, partenaire du consortium NouvLR, publié aujourd'hui sur YT et dans lequel on y aperçoit plusieurs images aériennes (d'archives*) des travaux du REM, dont nous avons, pour la plupart d'entre nous, déjà vues. Les plus récentes images, apparaissant dans ce vidéo, sont celles de la pose de poutres à la station Fairview–Pointe-Claire (à 2:00) et partagées dernièrement sur les réseaux sociaux par l'équipe du REM. On peut également y voit quelques images "inédites" (il me semble) des travaux aux environs de la future station souterraine Marie-Curie (à 2:25), par où débutera prochainement le forage d'Alice. https://www.youtube.com/watch?v=8GJD850LmcI * L'infographie de ce vidéo m'apparait avoir été réalisée entre février et juin de cette année, puisqu'on aperçoit la nouvelle nomenclature de 8 stations du REM dans le plan du réseau (annoncée le 13 février 2020), mais pas de trace de la station Griffintown–Bernard-Landry (annoncé le 22 juin 2020).
  11. Accessibilité universelle : La station D’Iberville munie d’ascenseurs en 2023 Nouvelle | 24 septembre 2020 La Société de transport de Montréal (STM) débutera, le 19 octobre, des travaux d’accessibilité universelle à la station D’Iberville. En plus d’installer trois ascenseurs, la STM profitera de cette occasion pour réaliser la réfection de l’édicule principal, situé à l’angles des rues D’Iberville et Jean-Talon, fermé pour la durée des travaux qui s’échelonneront jusqu’au printemps 2023. Les clients pourront accéder à la station par l’édicule secondaire, situé à l’angle des rues Louis-Hébert et Jean-Talon. Ainsi, les travaux, réalisés au coût de 38,5 M$, consisteront à : intégrer trois ascenseurs et les équipements mécaniques nécessaires; réaménager l’édicule principal, agrandir son entrée, reconstruire la dalle et refaire le plancher; installer de nouvelles loge et ligne de vente et perception; construire un poste de ventilation naturel sur le toit de l’édicule principal; refaire le toit de l’édicule; rehausser les quais. Chantiers d’accessibilité universelle La STM a pour objectif d’atteindre 41 stations universellement accessibles d’ici 2025. À l’heure actuelle, 16 stations sont munies d’ascenseurs. Des travaux sont en cours dans les 12 stations suivantes : Angrignon, Jolicoeur, McGill, Place-des-Arts, Berri-UQAM (ligne verte), Préfontaine, Viau, Vendôme, Villa-Maria, Mont-Royal, Édouard-Montpetit et Pie-IX. http://www.stm.info/fr/presse/nouvelles/2020/accessibilite-universelle---la-station-d-iberville-munie-d-ascenseurs-en-2023
  12. Une marquise par-dessus la rue. Tiens, tiens... un peu comme la Fremont Street Experience, à Las Vegas, mais en beaucoup moins "BIG". https://www.youtube.com/watch?v=k-2Tlf-SlFs "Y l'ont tu l'affaire les américains"
  13. Voici la magnifique vue en plongée de la structure d'acier de l'ancien pont. Cela donne franchement le vertige ! https://www.devisubox.com/dv/dv.php5?pgl=Project/interface&sRef=2TLT3U2WQ
  14. https://twitter.com/Val_Plante/status/1308840406881312772
  15. La redevance de transport de 10$ / pi2 pour les projets immobiliers (situés à moins de 500m d'une station du REM au c-v de Montréal; 1 km pour le reste du réseau) ne fait pas plaisir à l'ancien Président Directeur Général et fondateur de Canderel. Infra poses challenges for downtown Montreal multifamily builders Real Estate News EXchange | Danny Kucharsky | Commercial | Sep. 23, 2020 The Quebec government and the Caisse de dépôt et placement du Québec “have erred terribly” in charging a royalty to developers who build near stations on Montreal’s new REM automated, light rapid-transit line, says Jonathan Wener, founder and chairman of Montreal-based developer Canderel. Jonathan Wener, founder and chairman of Montreal-based developer Canderel. He is also Chancellor of Concordia University. (Courtesy Concordia) To finance a portion of the Réseau express métropolitain’s construction, Caisse subsidiary CDPQ Infra has been given the right to charge developers a royalty fee of $10 per square foot for new building permits granted within one kilometre of the 26 REM stations. (The Caisse is Quebec’s institutional fund manager.) “I have to say I’m rebellious about how the government agreed with the Caisse about the taxation. I think it doesn’t bode well for affordability around a REM station (for residential developments),” he said. By contrast, he noted, Montreal’s Metro system was fully paid for by taxpayers. “I don’t understand the distinction between a REM station and a Metro station. It’s mass transit,” he said. Wener was speaking Sept.15 at a webinar on the future of residential real estate in the downtown core during Concordia University’s Homecoming event. Wener, the chancellor of Concordia and a 1971 Concordia commerce graduate, recently made a $10-million donation to the university. That led to last week’s opening of the Jonathan Wener Centre for Real Estate at Concordia’s John Molson School of Business. The first-of-its-kind in Canada centre aims to be a hub for teaching and research on commercial and residential real estate. More development near Montreal REM Heather Kirk, the senior vice-president and chief financial officer of residential and seniors residence developer Groupe Sélection, who also spoke at the webinar, said the desirability of areas that are “within spitting distances” of REM stations will be improved as a result of the new transit system. Strip malls close to REM stations will likely be transformed into residential properties and interest for some suburban office buildings that were suffering from lower vacancies will likely increase, she said. [...] https://renx.ca/infrastructure-challenges-downtown-montreal-residential-development/ ===================== Pourtant la présence du REM à proximité de leurs projets immobiliers semble avoir été un "argument de vente" afin de convaincre leurs futurs clients de la TDC3... avec certaines incongruités (anachronismes) sur les détails fournis : http://tourdescanadiens.com/quartier/
  16. Consultation publique de la STM sur une nouvelle infrastructure du métro dans le secteur Snowdon Communiqué | 23 septembre 2020 La STM invite tous les acteurs concernés à participer en grand nombre aux travaux de la Commission publique sur le centre d'attachement Nord-Ouest, un nouveau projet de la STM dans le secteur Snowdon. La Société de transport de Montréal (STM) amorcera l’année prochaine les travaux de construction du centre d’attachement Nord-Ouest (CANO), une nouvelle infrastructure souterraine nécessaire à l’entretien du réseau du métro qui sera située dans le secteur Snowdon. Une consultation publique sur ce projet aura lieu du 6 au 27 octobre 2020, pour donner l’occasion aux citoyens, commerçants et organismes du secteur de s’informer sur les détails du projet et d’émettre leurs opinions, souhaits et suggestions. En raison du contexte sanitaire actuel, cette consultation se déroulera exceptionnellement en ligne et comportera trois volets : 6 octobre : séance d’information (webdiffusion) 13 octobre : réponse aux questions des citoyens (webdiffusion) 27 octobre : séance d’expression des opinions et date limite pour transmission d’une opinion écrite. Au terme de l’exercice, les commissaires transmettront à la STM un rapport contenant leurs recommandations pour contribuer à l’intégration harmonieuse du projet dans son milieu. Faciliter l’entretien du métro La construction de cette nouvelle infrastructure figure parmi les stratégies de la STM pour réduire son déficit de maintien des actifs. Le réseau de métro est vieillissant et nécessite beaucoup d’interventions d’entretien et de réfection. Certaines tâches reliées à ces activités doivent être exécutées exclusivement de nuit, dans une plage horaire très restreinte, alors que le métro n’est pas en service. Cette contrainte amène une logistique de planification très complexe. Cette nouvelle porte d’entrée vers le réseau, située au croisement des lignes bleue et orange, permettra non seulement d’augmenter la capacité de réalisation des chantiers de nuit, mais aussi de diminuer le temps de déplacement des véhicules sur le réseau et d’assouplir la logistique de planification. Ainsi, la STM sera en mesure de répondre à la demande croissante de ses grands chantiers dont la cadence et l’envergure sont en accélération. Le prolongement de la ligne bleue rend également nécessaire la réalisation d’un nouveau centre d’attachement, puisque les nouvelles stations devront éventuellement être entretenues, pour les décennies à venir. C’est un rendez-vous le 6 octobre La STM invite donc tous les acteurs concernés à participer en grand nombre aux travaux de la Commission pour contribuer à un important projet qui aura, à terme, des bénéfices pour l’ensemble des clients du métro de Montréal. Pour en savoir plus sur le processus de consultation : www.stm.info/cano http://www.stm.info/fr/presse/communiques/2020/consultation-publique-de-la-stm-sur-une-nouvelle-infrastructure-du-metro-dans-le-secteur-snowdon
  17. Vu sur la page FB de Mobilité Montréal : https://www.facebook.com/mobilitemontreal/
  18. Site Louvain Est : un premier pas vers une occupation transitoire L'occupation transitoire permettra d’explorer différentes formes d’occupation temporaires du site en vue de trouver des usages pour le futur écoquartier JDV - journaldesvoisins.com | Publié le21 septembre 2020 | Urbanisme et aménagement - Vie de quartier | Simon Van Vliet, Journaliste de l'Initiative de journalisme local (IJL) Un des immeubles existants sur le terrain Louvain (Photo : jdv – archives) Le conseil d’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville a autorisé la semaine dernière l’occupation d’une partie de l’immeuble situé au 9515, rue Saint-Hubert ainsi que des espaces extérieurs environnants, ouvrant la voie à un usage transitoire du site Louvain Est. Le site de huit hectares situé entre l’avenue Christophe-Colomb, la rue de Louvain Est, la rue St-Hubert et la voie ferrée représente un secteur prioritaire de planification que la Ville de Montréal entend redévelopper dans les années à venir. Le nouvel écoquartier qui doit y voir le jour pourrait comprendre notamment des logements sociaux et communautaires, une école primaire, une bibliothèque, un espace communautaire et plusieurs espaces verts. Une première phase exploratoire « Afin de concrétiser à court terme une première phase d’occupation du site, la Ville souhaite permettre à la communauté de s’approprier de façon transitoire le bâtiment du 9515, rue St-Hubert ainsi que le terrain situé immédiatement au nord de celui-ci », indique Marilyne Laroche Corbeil, relationniste à la Ville de Montréal. Elle ajoute qu’en autorisant des usages communautaires, socioculturels, commerciaux, d’agriculture urbaine et de jardin communautaire sur le site la Ville espère que « les apprentissages tirés de cette occupation transitoire permettront d’alimenter la planification du projet et d’ainsi bonifier l’écoquartier Louvain Est.» C’est le Bureau de projet partagé (BPP), créé en mars 2019, qui assurera la coordination de cette nouvelle étape de développement du projet. « Cette résolution représente un important jalon dans le projet de réaménagement du site Louvain Est », souligne Daphne Ferguson, Coordonnatrice du comité de pilotage Louvain Est à Solidarité Ahunstic. La résolution du conseil d’arrondissement permet la tenue d’une grande variété d’activités au 9515, rue St-Hubert, ce qui permettra d’explorer différentes formes d’occupation temporaire du site en vue de trouver des usages pour le futur écoquartier. « C’est un peu comme la porte ouverte à une première étape qui va se faire par l’urbanisme transitoire », se réjouit la présidente du comité de pilotage Louvain Est, Ghislaine Raymond. « Ça montre l’appui significatif de la ville à la réalisation du projet. » Cette première phase permettra selon elle de « faire une exploration, sous un mode laboratoire, de nouvelles pratiques qu’on voudrait voir instaurées dans cet écoquartier-là en devenir. » Un appel de projets à venir Un appel de projets est prévu au début 2021 pour l’occupation des locaux, mais le BPP planche déjà sur un projet d’occupation à l’extérieur. L’idée qui germe actuellement est d’y développer un pôle alimentaire. Il s’agit d’un projet de serre qui pourrait produire à longueur d’année, mais aussi servir à des fins éducatives. Bien qu’il reste encore quelques éléments à valider concernant la conformité des usages qui seront permis à l’intérieur du bâtiment, des organismes pourront bientôt proposer des projets pour des activités ou des services qui seront offerts à l’intérieur des murs. « Les possibilités sont là ! » s’enthousiasme Ghislaine Raymond qui a visité les lieux au début du mois avec la mairesse Émilie Thuillier, ainsi que de Robert Beaudry, responsable de l’habitation, de la stratégie immobilière, des grands projets urbains, et Eric Alan Caldwell, responsable de l’urbanisme, de la mobilité et de l’Office de consultation publique de Montréal au comité exécutif de la Ville de Montréal. Un quartier à inventer ! L’élaboration d’un programme d’urbanisme transitoire et d’une charte montréalaise des écoquartiers figure parmi les actions prioritaires du Service de l’urbanisme et de la mobilité pour 2020. Le projet Louvain Est fait donc figure de pionnier à Montréal. « Il faut féliciter l’arrondissement pour son ouverture à aller dans ce sens-là », souligne Ghislaine Raymond. « On va être dans les premiers à concrétiser un tel type de projet. » S’il existe d’autres projets d’occupation temporaire et transitoire à Montréal, le déploiement d’un tel processus de planification partagée est véritablement une première. « Ce n’est pas un projet clé en main », souligne la présidente du comité de pilotage Louvain Est. Elle ajoute que ce sont « les organismes qui vont devoir collectivement définir le projet. Je pense que c’est ça qui est emballant, que ce soit une participation collective à l’élaboration et à la mutualisation d’un espace ! » L’occupation transitoire qui s’amorce n’est qu’un premier pas. À terme, le processus doit mener à une « démarche de réappropriation collective du site Louvain Est au complet », rappelle Ghislaine Raymond. Elle souligne par ailleurs qu’en parallèle à cette phase transitoire, il est important de penser aussi au projet à long terme. Peu importe les usages et les fonctions qui prendront racine dans le futur écoquartier, il faut penser d’ores et déjà réfléchir au modèle de propriété et de gouvernance qui sera mis en place. « Le mode qu’on préconise, c’est la fiducie d’utilité sociale », explique Ghislaine Raymond. Cette forme de propriété encore peu connue, qui a le double avantage d’assurer « l’abordabilité et la pérennité d’usage du terrain » permettrait de faire en sorte que le terrain et les bâtiments « ne soient pas soumis à la spéculation foncière et (…) puissent être réservés, finalement, pour les usages de la communauté. » https://journaldesvoisins.com/site-louvain-est-un-premier-pas-vers-une-occupation-transitoire/?fbclid=IwAR2isojrHzCJov_RDnkbY6lOUHYIbZOR1eQcP_Ougos0IOoLhdrvi9hYbs8
  19. La vue là-haut (tout comme à la station Kirkland) y sera fort impressionnante ! 21-09-2020
  20. Malheureusement, l'ensemble des chevêtre se situent à l'Est de la Rue Jean-Yves. Il serait étonnant qu'une entrée puisse se trouver du côté de l'ancien Madisons. Mais bon, peut-être aurons-nous une surprise... 21-09-2020
  21. Marie se trouvait toujours à la station Des Sources. Je présume que l'arrimage des voussoirs avec les chevêtres doit y être un peu plus complexe... Voici les dernières stats du litre d'essence (Régulier) de la station-service Ultramar (avec une baisse du coût qui se poursuit) : 10 avril 2019 : 131.9 ¢/litre 22 juillet 2019 : 129.9 ¢/litre 19 novembre 2019 : 121.9 ¢/litre 29 février 2020 : 112.9 ¢/litre 2 juillet 2020 : 106.9 ¢/litre 21 septembre 2020: 104.9 ¢/litre 21-09-2020
  22. On s'est manqué de peu, @Gab20442. J'ai également fait un petit tour aujourd'hui afin de jeter un coup d'oeil à cet impressionnant portique... et à la progression d'Anne. 21-09-2020
  23. Cette annonce est liée au potentiel/hypothétique/éventuel prolongement de la ligne Bleue... Toutefois, le prolongement du métro d'au minimum une station (jusqu'au Boul. Pie-IX) me semble être une évidence, mais je doute que cela en vaille le coût... SRB Pie-IX : Des travaux d’envergure à venir dans le secteur Jean-Talon Nouvelle | 21 septembre 2020 Le bureau de projet intégré du SRB Pie-IX entre ce mois-ci dans une phase importante de travaux qui comprend la construction d’un tunnel piétonnier reliant un abri SRB à la future station de métro du prolongement de la ligne bleue, au coin du boulevard Pie-IX et de la rue Jean-Talon. Comme ces travaux engendrent des entraves importantes, le bureau de projet tiendra une séance d’information publique virtuelle le 23 septembre prochain. Il est d’ailleurs possible de s’y inscrire à l’adresse suivante : srbpieix.ca En plus de la construction du tunnel piétonnier, ces travaux comprennent : Le déplacement de câbles électriques souterrains, débuté en janvier; Le déplacement d’une conduite d’aqueduc principale sous le boul. Pie-IX; L’excavation du carrefour Jean-Talon/Pie-IX pour permettre la construction du tunnel; La construction d’un abri SRB au centre de la chaussée, incluant un ascenseur et des escaliers menant au futur tunnel piétonnier; Les aménagements de surface. Certains de ces travaux nécessiteront la fermeture complète du carrefour Jean-Talon/Pie-IX du printemps 2021 à l’automne 2023, date à laquelle le projet doit prendre fin. Des mesures d’atténuation seront mises en place, tels que des détours automobiles, des détours bus ainsi qu’une nouvelle voie réservée sur le boul. Provencher et la rue Bélanger, pour limiter les impacts dans le secteur. Dans un souci de bonne coordination, la construction du tunnel piétonnier a été déléguée au bureau de projet du SRB Pie-IX afin d’éviter d’avoir à refaire des travaux dans ce secteur et d’éviter de suspendre le service du SRB lorsqu’il sera en fonction. Le SRB Pie-IX en bref Le projet du SRB Pie-IX, financé par l’Autorité régionale de transport métropolitain, la Ville de Montréal et le ministère des Transports du Québec, vise à implanter un nouveau service de transport collectif, à mettre à niveau les infrastructures municipales et à bonifier l’aménagement du domaine public sur le boulevard Pie-IX. Le SRB Pie-IX comptera 20 arrêts (18 à Montréal et 2 à Laval), répartis sur 13 km du boulevard Pie-IX, entre le boulevard Saint-Martin, à Laval, et la rue Notre-Dame, à Montréal. Il comprendra des feux prioritaires et des voies réservées en tout temps qui seront marquées par une chaussée colorée et qui seront situées au milieu du boulevard. À terme, il est prévu que 70 000 déplacements quotidiens seront effectués sur les lignes empruntant le futur SRB Pie-IX. http://www.stm.info/fr/presse/nouvelles/2020/srb-pie-ix---des-travaux-d-envergure-a-venir-dans-le-secteur-jean-talon
  24. Je comprends qu'avec l'arrivée du REV et la multiplication des VAS cet été, cela pouvait être tentant pour plusieurs d'espérer un retour des trottinettes électriques à Montréal. Toutefois, je croyais qu'à la suite de l'expérience de l'année dernière, cela faisait partie de l'histoire du passé... On mentionne dans l'article que l'opérateur Bird Canada espère une entente avec la ville de Montréal afin que les usagers puissent verrouiller les trottinettes sur les infrastructures municipales (ex.: poteaux, bancs,... et, en exagérant, bornes fontaine et cônes). Vraiment !?? Les Montréalais souhaitent le retour des trottinettes Guillaume Pelletier | Agence QMI | Publié le 21 septembre 2020 à 00:00 Joël Lemay / Agence QMI Une majorité de Montréalais souhaite le retour des trottinettes électrique en libre-service en 2021, selon un sondage CROP réalisé pour l’exploitant de trottinettes Bird Canada. • À lire aussi: Fini les trottinettes électriques à Montréal Ce sont 59 % des citoyens sondés qui espèrent pouvoir à nouveau circuler sur ces bolides l'an prochain. Cette proportion grimpe à 70 % chez les 18-34 ans. L'engouement pour ce mode de transport demeure bien présent dans plusieurs arrondissements. Les appuis se situent autour de 62% et 63% dans les arrondissements du Plateau-Mont-Royal, de Ville-Marie, d’Outremont, d’Ahuntsic-Cartierville, de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, du Sud-Ouest, de Verdun et de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. Rappelons que l’été dernier, la Ville avait autorisé l’exploitation des trottinettes électriques en libre-service de Bird et Lime dans le cadre d’un projet pilote. Le non-respect des règles de stationnement avait toutefois amené la Ville a suspendre ce projet en 2020. Seules 20 % des trottinettes étaient garées de façon conforme : les autres jonchaient les trottoirs, les parcs ou les bords de rues. Les Montréalais avaient été nombreux à se servir des trottinettes : 225 000 trajets ont été enregistrés par les opérateurs Bird et Lime en l’espace de trois mois en 2019. Ce mode de transport était beaucoup plus populaire que les vélos électriques rouges JUMP d’Uber, qui avait recensé 146 000 déplacements, et ce, malgré une plus grande flotte. Système de cadenas Bird Canada espère pouvoir revenir dans la métropole bientôt et souhaite intégrer un système de cadenas à ses trottinettes afin que les usagers puissent attacher celles-ci aux infrastructures municipales. L'entreprise compte aussi donner des amendes à ceux qui ne respectent pas les règlements. Respectivement 83 et 86 % des répondants se sont montrés en faveur de ces deux nouvelles solutions. «Bird Canada continue son travail de collaboration avec la Ville de Montréal afin de voir un retour des trottinettes électriques en 2021 et de répondre aux besoins de mobilité des Montréalais», indique son président-directeur général, Stewart Lyons. Ce dernier estime que ses propositions devraient assurer le futur de ce moyen de transport à Montréal. Des discussions sont toujours en cours avec la Ville de Montréal, mais aucune décision n'a encore été prise. La Ville est restée muette sur le sujet et n'avait pas répondu aux questions du «24 Heures» en fin de journée vendredi. Le sondage de la firme CROP a été réalisé auprès de 785 Montréalais entre le 17 et le 26 août 2020 pour le compte de Bird Canada. Le «24 Heures» a pu en consulter les résultats en exclusivité. https://www.tvanouvelles.ca/2020/09/21/les-montrealais-souhaitent-le-retour-des-trottinettes
×
×
  • Créer...