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Chuck-A

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Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. Construction de la future station A40 ACTIVITÉS CHANTIER À partir de janvier 2020 Montréal (centre et aéroport) Nature des travaux À compter du 30 mars 2020, l’interruption de service partielle sur la ligne de train de Deux-Montagnes entre la gare Du Ruisseau et la gare centrale permettra de réaliser différentes phases de travaux sur tout ce tronçon, dont le retrait et la conversion à terme du système caténaire (câblage aérien assurant l’alimentation électrique du train, puis du REM), ainsi que le retrait des rails et du ballast de pierres sur lequel repose les rails. De nouveaux rails seront installés à terme, correspondant aux spécifications du REM. À compter du printemps, la roche extraite lors des travaux d’excavation dans le tunnel Mont-Royal sera également entreposée sur le site de correspondance A40. Voici un aperçu des travaux à venir pour les prochains mois (Dates sujettes à changement) : La carte suivante illustre l’emplacement des différentes zones de travaux sur le site : Impacts et mesures d’atténuation L’objectif du bureau de projet du REM et du consortium NouvLR est d’atténuer les impacts sur les riverains et d’assurer la sécurité de tous, en mettant en œuvre les mesures appropriées. Du bruit, des vibrations et de la poussière pourraient être engendrés par ces travaux. Certains travaux occasionneront du camionnage dans le quartier et des entraves à la circulation longue durée pourraient être mises en place pour minimiser le transit et sécuriser les zones de chantier. https://rem.info/fr/info-travaux/construction-station-a40
  2. Dans un même ordre d'idée, BIXI aimerait bien discuter avec la ville de Montréal de la planification des services de trottinettes & vélos sans ancrage, qui est qualifié (à juste titre, selon moi) de distraction. https://twitter.com/B_Chapdelaine/status/1217862297416237059»
  3. Les consortiums NouvelR et GPMM semblent avoir prévu des mesures afin de refroidir les ardeurs de l'hiver québécois. [...] Conçu pour l’hiver Le design ne se limite pas au choix des couleurs! Par exemple, le bout avant du REM adopte une forme particulière pour éviter l’accumulation de neige. Toutes les caractéristiques ont été conçues pour opérer dans des conditions hivernales extrêmes : seuils de porte et des planchers chauffants, coupleurs automatiques chauffés en extrémité, équipement de protection contre la glace, pare-brise chauffant, grattoir à glace sur les pantographes… En 2020, des tests seront réalisés dans l’une des meilleures chambres climatiques au monde à Vienne, puis sur la piste d’essai du REM au centre de l’autoroute 10. https://rem.info/fr/actualites/design-materiel-roulant Le chauffage en station devrait également aider à garder les portes palières fonctionnelles. Du moins, seul l'avenir nous le dira. Ci-dessous, une image vaut mille mots.
  4. La Ville de Montréal va-t-elle entendre la demande du parti de l'opposition d'interdir les trottinettes Lime et Bird, ... et, un coup rendu, les vélos Jump (Uber) ? Est-ce que quelqu'un connaît les termes des entente qu'a Montréal avec ses cies ?
  5. La Communauté métropolitaine de Montréal demande au gouvernement du Québec d'investir (minimalement) 2,7 M$ afin de soutenir la planification d’aires TOD autour des stations du REM (2020-2025). Extrait du document énumérant les demandes de la CMM (page 9 /12): [...] 3. PROGRAMME TOD : PLANIFIER DES QUARTIERS AUTOUR DES STATIONS DU REM La vision d’un Québec durable passe par la création de milieux de vie répondant à quelques grandes caractéristiques : des densités soutenant le transport en commun, une diversité des usages, une mixité sociale, des espaces publics et un design urbain de qualité. Cette vision a inspiré le grand pari du PMAD, entré en vigueur en mars 2012, qui est la réalisation de quartiers de type TOD (Transit-Oriented Development) autour des stations du réseau de transport en commun métropolitain structurant. Au total, avec les stations du REM, 159 aires TOD sont identifiées au PMAD où il est proposé d’orienter 40 % voire 60 % de la croissance des ménages d’ici 2031. À ce jour, la Communauté a investi 1,7 M$ dans le financement de 17 projets novateurs de planification de quartiers TOD répartis au sein de 14 villes du Grand Montréal, afin d’encourager l’aménagement de milieux de vie de qualité à proximité des points d’accès au réseau de transport en commun. Cette initiative s’inscrit dans le cadre du Programme d’aide financière à la conception des aires TOD adopté en 2013 par la CMM qui a pour but d’inciter les municipalités à trouver des approches innovantes dans la planification de leur aire TOD et de diffuser les réalisations à tous les partenaires de la Communauté. Le programme a été très apprécié des municipalités de la région. La Communauté a entrepris la phase II du Programme TOD avec une enveloppe de plus de 1,8 M$. Cette phase II portera à 35 le nombre de projets appuyés par la Communauté sur les 155 aires TOD identifiées au PMAD. De nouvelles sommes sont donc requises, dont une somme de 2,7 M$ qui est nécessaire pour assurer la conception de l’aménagement des aires TOD du REM. La Communauté demande donc au gouvernement de prévoir dans le budget 2020-2021 le financement d’un nouveau volet du Programme d’aide financière à la conception des aires TOD existant portant sur les aires TOD associées aux 27 stations du Réseau express métropolitain (REM). La contribution financière visée pour la conception de l’aménagement des aires TOD du REM est fixée à 2,7 M$. https://cmm.qc.ca/wp-content/uploads/2020/01/demandes_prebudgetaires_CMM.pdf
  6. Nouvel article sur le Cathcart, en prévision de son ouverture au public jeudi prochain. Bien hâte d'y faire une halte restauration. J'en salive déjà... Le Cathcart, nouveau paysage de Place Ville Marie PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE | L’espace de restauration du Cathcart Restaurants et Biergarten ouvrira officiellement ses portes au public le 23 janvier. C’est mercredi que quelques médias et blogueurs ont pu découvrir pour la première fois le superbe espace de restauration du Cathcart Restaurants et Biergarten, qui a été aménagé sous l’Esplanade de Place Ville Marie et qui ouvrira officiellement ses portes au public le 23 janvier. Suivez le guide ! Publié le 16 janvier 2020 à 6h00 | IRIS GAGNON-PARADIS | LA PRESSE Un projet d’envergure Avec son Projet Nouveau Centre, Ivanhoé Cambridge a investi ces dernières années plus d’un milliard de dollars. L’objectif ? « Redonner une vitalité au centre-ville de Montréal », résume Annik Desmarteau, vice-présidente bureaux – Québec, et ce, grâce à quatre piliers : la revitalisation du Fairmont Le Reine Elizabeth, la construction de l’immeuble Maison Manuvie sur De Maisonneuve, le renouveau au Centre Eaton (avec notamment l’arrivée du Time Out Market Montréal et la venue prochaine d’Uniqlo) et, enfin, le Cathcart, nouvel espace de restauration de Place Ville Marie, qui va main dans la main avec le redéveloppement de l’Esplanade, un investissement total de 200 millions, qui viendra recréer le lien historique entre McGill et René-Lévesque, grâce notamment à un immense escalier extérieur. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE | Alexandre Besnard, membre fondateur du groupe A5 Hospitality, Annik Desmarteau, vice-présidente bureaux – Québec d’Ivanhoé Cambridge, et Jean Pellan, architecte et associé principal chez Sid Lee Un plafond de verre unique Le point d’orgue de ce redéveloppement est sans conteste le « Plafond de verre PVM » de 650 m2, créant un véritable jardin intérieur, une « prouesse technique » réalisée par Sid Lee Architecture, en collaboration avec Menkès Shooner Dagenais LeTourneux Architectes, affirme Jean Pellan, architecte et associé principal chez Sid Lee. « C’est un élément unique, qui vient établir le lien avec les bâtiments en périphérie et crée un prolongement naturel avec l’activité extérieure. La nuit, ça vient chercher tout le halo lumineux de la ville et des bâtiments autour », ajoute-t-il. Lors de notre passage, le cocktail météo des derniers jours avait recouvert le plafond de verre d’un mélange de glace et de neige qui n’avait pu être retiré, mais normalement, on pourra y admirer le paysage montréalais dans toute sa splendeur, jusqu’au mont Royal. Une offre gourmande diversifiée C’est le groupe A5 Hospitality (Jatoba, Kampai, Flyjin, Hà Vieux-Montréal) qui a été chargé de penser l’offre gastronomique de l’endroit, qui se déploie en deux temps : du côté est, une zone destinée à la restauration rapide, avec neuf comptoirs alimentaires ; dans la zone plus à l’ouest, c’est une expérience plus complète qui est proposée, avec trois restaurants offrant le service aux tables. En tout, c’est 1000 places assises dans un espace de 3250 m2 qui sont offertes aux clients du Cathcart, dans une formule qui se veut conviviale et adaptée à tous : « Lors de la conception, il était impératif pour nous de créer des atmosphères qui répondraient aux besoins de différentes clientèles, que ce soit l’énergie dynamique des kiosques ou les restaurants où on peut prendre son temps pour manger », résume Alexandre Besnard, membre fondateur du groupe A5 Hospitality. Sur le pouce… Avec ses neuf comptoirs de service rapide, le Cathcart propose une belle variété de choix et de types de cuisine pour manger sur le pouce. S’y trouvent quelques établissements qui ont déjà fait leur marque à Montréal, comme le Hà et sa cuisine asiatique, qui ouvre ici son tout premier comptoir, ou encore l’Omnivore, avec ses classiques libanais revisités, l’institution Mon Nan et sa cuisine cantonaise sichuanaise, sans oublier Uniburger, avec ses burgers, frites et laits frappés. Le chef de Miami réputé Michael Lewis a développé pour le Cathcart le Chikin, consacré au poulet frit coréen, alors que le couple derrière le populaire Arthur Nosh Bar, Alexandre Cohen et Raegan Steinberg, a créé deux nouveaux concepts, soit le Patzzi, sandwicherie italienne, et le Dirty Greens, où se régaler de copieuses salades santé. A5 reprend aussi deux concepts développés pour le Comptoir général, l’ancienne aire de restauration éphémère de Place Ville Marie, soit les tacos du Tulum Taqueria et les bols de poké de Karma Poké. Le café Veloce, par le chef et styliste culinaire Blake Mackay, s’ajoute à tout cela avec son offre de cafés, viennoiseries et sandwiches à emporter. … ou en formule resto L’offre restaurant est alléchante et propose trois environnements aux ambiances distinctes. L’élégante brasserie Mirabel est sous l’égide du chef Nicholas Giambattisto, anciennement au Caffe Un Po’ Di Più, et propose un mélange de plats d’inspirations française et italienne, dont des pâtes, des poissons, etc. Ce sera aussi le seul endroit à proposer une carte pour le petit-déjeuner. La cantine Akio promet d’être animée avec son concept d’izakaya, développé conjointement par Olivier Vigneault (Jabota, Westwood) et Antonio Park. Des sushis, mais aussi de petits plats inspirés de la cuisine de rue d’Osaka y seront servis, comme des brochettes cuites sur charbon. Finalement, la Pizza del Fornaio veut proposer un « nouveau style » de pizza, affirme le chef Federico Bianchi, anciennement au Bottega, avec une pâte plus croustillante et ferme (faite à partir de farine italienne) que la pizza napolitaine, cuite dans un four à pizza au gaz. À boire ! Au centre, se déploient sous le plafond de verre l’aire commune du Biergarten et sa sélection de bonnes choses à boire. On y trouve des bières de microbrasseries, choisies par Stéphane Pilon (fondateur des Vilains Brasseurs et de Broken 7), des vins provenant majoritairement de petits producteurs et des sakés, sélectionnés par le sommelier Marc-André Nadeau (Jatoba), ainsi que des cocktails qui promettent d’être succulents, créations de Daphnée Vary Deshaies (anciennement chez Foxy). L’endroit se veut la destination pour les 5 à 7, et proposera diverses animations, notamment lors des jeudis apéro, en collaboration avec Aire commune, qui seront lancés le 30 janvier, en compagnie du chef Antonin Mousseau-Rivard et de Rose Simard de 1 ou 2 Cocktails. https://www.lapresse.ca/gourmand/restaurants/202001/15/01-5256993-le-cathcart-nouveau-paysage-de-place-ville-marie.php
  7. Reportage de Jean-Sébastien Cloutier ce soir, au Téléjournal 18 h:
  8. Chuck-A

    REM de l'Est

    Journal Métro | Mercier & Anjou | 13:55 | 15 janvier 2020 | Par : Félix Lacerte-Gauthier et Olivier Faucher La mobilité en 2030 : la fin de l’enclavement de l’Est ? Photo: Archives Métro | À Montréal, la mairesse Valérie Plante demande davantage d’investissements dans la mobilité depuis son entrée en pouvoir. En termes de transport collectif, l’est de Montréal ne connaît pas grand-chose d’autre que l’autobus, et ce, depuis des décennies. Or, les astres semblent alignés pour que ce secteur de l’île soit desservi par plusieurs projets de transport d’ici 2030. Cette transformation promet d’avoir un impact majeur sur les dynamiques de déplacement dans la métropole, mais risque aussi de causer des maux de tête aux usagers du métro et du réseau d’autobus. Bien qu’il soit situé à quelques kilomètres du centre-ville, le secteur de l’est de Montréal est l’un des territoires les moins bien desservis de la région métropolitaine par rapport à ses besoins de transport en commun. «C’est un milieu à faible ou moyenne densité et les distances sont relativement grandes, remarque le président de Trajectoire Québec, François Pépin. C’est pourquoi l’auto est plus facile à utiliser.» La carence en transport collectif ne date pas d’hier. Dès la planification des premières lignes du métro, ces besoins étaient connus. Pas moins de trois lignes étaient envisagées pour desservir le secteur, et ce, dès les années 1960. «Le problème dans l’Est, c’est qu’il n’y a pratiquement pas eu de changements depuis longtemps, explique Pierre-Léo Bourbonnais, associé de recherche et chargé de cours en génie civil à Polytechnique Montréal. Ce sont toujours les mêmes lignes d’autobus, qui sont pris dans la congestion.» Seulement un résident sur cinq dans l’est de Montréal utilise le transport en commun selon la dernière enquête Origine destination. À titre comparatif, ils sont près de 70% à préférer leur voiture. Cette réalité pourrait toutefois changer au courant des 10 prochaines années. Florence Junca-Adenot, professeure au département d’études urbaines et touristiques à l’UQAM et ex présidente-directrice générale (PDG) de la défunte Agence métropolitaine de transport (AMT), est convaincue que le transport collectif prend actuellement une importance dont il ne bénéficiait pas auparavant. «L’économie va mieux, mais surtout, je pense que le monde est écœuré de la congestion. Il y a aussi une sensibilisation de plus en plus forte aux effets des gaz à effet de serre, et cette conscience se transforme en pression sur les décideurs.» Si tout se concrétise comme prévu, en 2030, des infrastructures majeures de transport auront finalement vu le jour dans l’est de Montréal. Grâce au prolongement de la ligne bleue du métro, la portion sud de Saint-Léonard et l’ouest d’Anjou seront connectés directement depuis quatre ans au centre de Montréal. À partir des cinq nouvelles stations, les deux arrondissements seront à moins de 30 minutes de la station Berri-UQAM. Florence Junca-Adenot, professeure au département d’études urbaines et touristiques à l’UQAM et ex PDG de la défunte AMT. Sur la rue Notre-Dame, le projet de transport structurant électrique reliant le centre-ville à la pointe de l’île pourrait être terminé ou en voie de l’être. La mairesse Valérie Plante a évoqué que les travaux pour celui-ci prendraient de 8 à 10 ans. La décontamination de terrains, première étape du projet, débutera au printemps 2020. Le projet est toujours à l’étude, cependant. Le Service rapide par bus (SRB) du boulevard Pie-IX, quant à lui, sera en service depuis huit ans. Pouvant transporter 70 000 personnes par jour, il devrait permettre aux résidents de Montréal-Nord d’atteindre le centre-ville grâce à ses correspondances avec le métro. On prévoit qu’il reliera le boulevard Henri-Bourassa à la rue Notre-Dame en moins de 25 minutes. L’ensemble du réseau d’autobus devrait avoir été revu de manière globale afin de mieux desservir les usagers et les quartiers laissés pour compte. La STM a d’ailleurs amorcé des consultations en 2018. D’autres projets plus inusités pourraient se greffer au réseau. Imaginez un réseau de navettes fluviales qui transportent les travailleurs sur les eaux du fleuve Saint-Laurent et de la rivière des Prairies vers les quais du Vieux-Port. C’est précisément ce qu’envisage Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports, depuis le succès du projet-pilote amorcé à Pointe-aux-Trembles à l’été 2019. Ces bateaux pourraient même pallier la congestion routière que causera la réfection majeure du pont-tunnel Louis-Hyppolyte-Lafontaine. Des enjeux actuels et à venir Toutefois, des écueils se pointent à l’horizon. Comme la majorité des utilisateurs du transport en commun finit par se retrouver dans le métro, une augmentation du nombre d’usagers pourrait avoir un effet pervers. Les projets prévus pour les prochaines années vont inévitablement exacerber le problème de congestion qui afflige déjà les lignes orange et verte. «Il est pratiquement impossible de rajouter des gens sur ces tronçons en pointe du matin : on ne peut pas rajouter du service parce que les intervalles sont déjà trop courts pour la technologie actuelle, et on ne peut pas rajouter du monde dans les trains Azur», explique Pierre-Léo Bourbonnais, de la Polytechnique. Il croit d’ailleurs que le prolongement de la ligne bleue accentuera cette problématique jusqu’à un point de non-retour. «C’est trop tard, et ce n’est plus la bonne solution !, constate-t-il. Il faudra rajouter du métro. Il n’y a pas d’autre choix. Les réseaux routier et d’autobus ne sont pas capables de prendre les nouveaux usagers qui vont venir s’ajouter.» L’ARTM, qui s’occupe de la planification à long terme du réseau de transport, n’a pas souhaité émettre de commentaires. «Nous allons bientôt lancer un processus de consultation pour établir notre plan stratégique de développement pour les dix prochaines années, et nous ne voulons pas devancer la démarche en cours», explique Simon Charbonneau, conseiller, Affaires publiques et relations médias. La ligne rose: une nécessité ? Pour M. Bourbonnais, la réponse viendra inévitablement de la ligne rose, le projet défendu par la mairesse Valérie Plante, dont la première phase relierait Montréal-Nord au centre-ville, en passant par Saint-Léonard. L’associé de recherche, qui avait lui-même collaboré à la conception du projet, croit d’ailleurs que cet axe en diagonale devra inévitablement être annoncé d’ici dix ans, alors que le métro, selon lui, ne sera plus capable de bien fonctionner. «Plus c’est saturé, plus il y a d’arrêts de services parce qu’il y a trop de monde. C’est l’escalade qui commence, et il n’y aura pas d’autres solutions.» Néanmoins, selon certains experts consultés, les autres projets déjà annoncés devraient aider à décongestionner les lignes orange et verte. L’éventuel transport structurant électrique sur la rue Notre-Dame offrirait une option aux lignes déjà saturées, à condition que le projet soit bien intégré au réseau. Enfin, bien qu’il ne se connecte pas au centre-ville, le SRB Pie-IX pourrait aider au désengorgement de la ligne orange, en se reliant à la ligne verte et à l’éventuel projet sur la rue Notre-Dame. Des solutions à petite échelle Les grandes infrastructures de transport ne convaincront cependant pas les résidents de les utiliser s’ils ne peuvent pas y accéder facilement. «Ça prend de nouvelles formes de mobilité pour se rabattre sur le transport en commun, pense François Pépin, de Trajectoire Québec. Si c’est trop loin, pas assez fréquent et trop compliqué, les gens vont rester dans leur voiture.» La navette fluviale, par exemple, a transporté 60 000 personnes sur le fleuve entre Pointe-aux-Trembles et le Vieux-Montréal lors de son premier été. «Les gens disent que c’est une bébelle, mais ça transporte du monde!», lance Florence Junca-Adenot. La flotte d’autobus doit aussi faire l’objet d’importants investissements. D’abord pour que la STM puisse combler sa pénurie de véhicules en service, mais aussi pour amorcer sa transition vers une flotte électrique. Au moins 1 milliard de dollars seront nécessaires pour adapter les garages à cette nouvelle technologie. Mme Junca-Adenot rappelle qu’il faut néanmoins garder les pieds sur terre. «C’est bien beau parler des grands projets, mais ce que les gens attendent, ce sont aussi les petites améliorations qui viennent chaque année», conclut l’ancienne PDG de l’AMT. L’ARTM, qui s’occupe de la planification à long terme du réseau de transport, n’a pas souhaité émettre de commentaires. Un représentant explique qu’elle lancera bientôt un processus de consultation pour établir son plan stratégique pour les dix prochaines années, processus que l’agence ne souhaite pas devancer. Des effets sur l’économie Pour la présidente-directrice générale de la Chambre de commerce de l’Est de Montréal (CCEM), Christine Fréchette, il ne fait aucun doute que les différents projets amèneraient un renouveau dans l’est de Montréal. Ceux-ci inciteraient davantage de commerçants et d’entreprises à s’y installer. «C’est difficile dans bien des secteurs de se rendre en transport en commun, rappelle-t-elle. Ça peut jouer dans la décision des entreprises de s’implanter, ou non, dans un territoire donné. Et pour celles déjà présentes, c’est plus difficile d’attirer des employés s’ils doivent absolument avoir une voiture pour se rendre au bureau. » 40 minutes Le temps qu’un résident d’Anjou prendrait pour parcourir les 5 kilomètres le séparant de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont. Dans son Livre Blanc, la CCEM donnait plusieurs exemples qui montrent que de courts déplacements dans l’Est peuvent prendre une éternité https://journalmetro.com/actualites/montreal/2411669/la-mobilite-en-2030-la-fin-de-lenclavement-de-lest/
  9. Janvier 2020 Le chantier progresse bien - Importants travaux à l’intérieur et autour de la station Viau Déjà près de 50% des travaux sont complétés à la station Viau et au centre d’attachement. Les travaux de construction des ascenseurs, de reconstruction des escaliers fixes et de remplacement de la céramique sont en cours. Au niveau de l’atelier souterrain, l’agrandissement qui permettra de doubler la superficie progresse bien, la construction des dalles de toit permettra de poursuivre les travaux à l’abri des intempéries. On voit bien l’espace où sera installé un des nouveaux ascenseurs Reconstruction d’un escalier fixe avec glissoire à vélo À l’extérieur, le chantier de l’atelier souterrain se fait en même temps que le remplacement de la membrane d’étanchéité du toit souterrain de la station Agrandissement de l’atelier souterrain et remplacement de la membrane d’étanchéité Le projet en images Deux nouveaux ascenseurs relieront la mezzanine aux quais Une première structure sera érigée à l’arrière de la station Mise à niveau des abords de la station (quai de chargement, monte-charge, puits de ventilation naturelle, etc.) Son design s’harmonisera à celui de la station Relocalisation du débarcadère à l’arrière de la station viendra rehausser la sécurité des piétons à l’avant de la station Une seconde structure abritera un puits de ventilation mécanique, en remplacement des équipements désuets http://www.stm.info/fr/infos/etat-du-service/travaux/viau-0
  10. Alstom a identifié le fournisseur pour les écrans d'affichage d'informations à l'intérieur et extérieur des stations du REM. Il s'agit de l'entreprise technologique finlandaise Teleste, ayant une solide expérience dans les conditions nordiques. Alstom Selects Teleste's Information Displays for the REM Transit System in Canada NEWS PROVIDED BY Teleste Corporation | 15 Jan, 2020, 11:20 GMT TURKU, Finland , Jan. 15, 2020 /PRNewswire/ -- Teleste Corporation will supply Alstom with information displays for the stations of the REM (Réseau express métropolitain) light-rail transit system in Montreal, Canada. The deployment will consist of 284 ETL certified indoor and outdoor TFT LCD displays, which will be delivered to Alstom from 2019 to 2022. Once completed, the REM Montreal light-rail transit system will be one of the largest automated transport networks in the world. The system will cover 26 stations and its daily ridership is estimated to reach close to 200,000. It will also connect to the other public transit systems in the area, including bus, metro and commuter rail lines to create a region-wide transportation network. "As today's passengers expect to navigate through the city-wide public transport networks smoothly and safely, the relevant travel information needs to be available and clearly displayed at every step of their journey. In addition to excellent travel experience, seamless delivery of information is needed to manage the strong growth in passenger traffic that we see taking place wordwide today. We are pleased to work with Alstom to ensure the high availability of passenger information within the REM transit system, and are confident that our display technologies will help provide an easier journey for the users of the Greater Montreal public transport network", explained Cyrille Bordes, Sales Director for Teleste. The REM system aims to meet its passengers' everyday public transport needs by offering services such as competitive travel times and full integration with the city's other public transit systems. To support the smooth passenger flow and easy traveling, Teleste's TFT LCD display technologies offer a solid platform for sharing information from various data sources and displaying it at stations, platforms and entrances. The clear and sharp displays have excellent visibility, and features such as automatic brightness control and low reflection make them highly suited for both indoors and outdoors. Special technical requirements for the delivery of information in the REM system are set by the city's weather conditions with heavy snow and freeze during winter time. As a manufacturer with profound experience in Nordic conditions, Teleste has ensured that its displays withstand demanding outdoor environments: they are protected against snow, dust and rain, and they offer reliable year-round operation even in very low temperatures. For more information about our display solutions, please visit our website. https://www.prnewswire.co.uk/news-releases/alstom-selects-teleste-s-information-displays-for-the-rem-transit-system-in-canada-882689071.html
  11. https://twitter.com/CMM_info/status/1216804918914437120 J'opte tellement pour l'option 3.
  12. Lancement de la construction de la future station Du Ruisseau ACTIVITÉS CHANTIER De janvier à juin 2020, surtout en semaine de 7h à 19h Montréal (centre et aéroport) Nature des travaux À compter du 30 mars 2020, l’interruption de service partielle sur la ligne de train de Deux-Montagnes entre la gare Du Ruisseau et la gare centrale permettra de réaliser différentes phases de travaux sur tout ce tronçon, dont le retrait et la conversion à terme du système caténaire (câblage aérien assurant l’alimentation électrique du train, puis du REM), ainsi que le retrait des rails et du ballast de pierres sur lequel repose les rails. De nouveaux rails seront installés à terme, correspondant aux spécifications du REM. Impacts et mesures d’atténuation L’objectif du bureau de projet du REM et du consortium NouvLR est d’atténuer les impacts sur les riverains et d’assurer la sécurité de tous, en mettant en œuvre les mesures appropriées. Du bruit, des vibrations et de la poussière pourraient être engendrés par ces travaux. Certains travaux occasionneront du camionnage dans le quartier et des entraves à la circulation pourraient mise en place pour minimiser le transit et sécuriser les zones de chantier. Les activités de coupe d’arbres sont contrôlées et orchestrées par des experts en environnement ; Un programme de reboisement prévoyant le remplacement des arbres coupés dans les aires temporaires de construction, plus 10% de bonification, dans le même territoire municipal que celui où les arbres ont été coupés, une fois terminée la construction du REM. https://rem.info/fr/info-travaux/construction-station-du-ruisseau
  13. Mise à jour du calendrier des travaux de la station sur le site du REM: À compter du 30 mars 2020, l’interruption de service partielle sur la ligne de train de Deux-Montagnes entre la gare Du Ruisseau et la Gare Centrale permettra de réaliser différentes phases de travaux sur tout ce tronçon, dont le retrait et la conversion à terme du système caténaire (câblage aérien assurant l’alimentation électrique du train, puis du REM), ainsi que le retrait des rails et du ballast de pierres sur lequel repose les rails. De nouveaux rails seront installés à terme, correspondant aux spécifications du REM. https://rem.info/fr/info-travaux/construction-station-montpellier
  14. Est-ce que c'est ce qu'on appelle "vouloir le beurre et l'argent du beurre". Le maire Desousa semble se plaindre de la façon de faire de CDPQi, du moins dans les médias. Par contre, il se réjouit du pouvoir d'attractivité qu'apportent les 5 futures stations du REM dans son arrondissement avec la manne de projets immobiliers qui s'y développent et qui apporteront une hausse importante des revenus en taxation. En plus d'y implanter un nouveau réseau structurant digne d'un métro dans son arrondissement, CDPQi y a déjà procédé à la réfection de plusieurs viaducs ferroviaires (boul. Côte-Vertu, rue Grenet, boul. Marcel-Laurin) qui nécessitaient des travaux importants et va en construire de nouveaux afin de retirer des passages à niveau (avenue O'Brien et rue Toupin), ce qui assurera une plus grand fluidité dans son réseau routier. Aussi, on fait cadeau d'ajouter 2 nouvelles stations (A40 et Technoparc) à l'arrondissement de Saint-Laurent. Il est peut-être vrai que le dialogue avec CDPQi n'est pas des plus aisés, mais on constate qu'elle livre la marchandise, elle au moins. Elle "ne branle pas dans le manche" afin de respecter ces échéanciers, ce qui semble si difficile à suivre la plupart du temps. Je peux imaginer que cela ne doit pas toujours être évident pour la Caisse de "dialoguer" avec tous ces maires/mairesses, organismes en TEC, groupes environnementaux, paliers de gouvernement, fournisseurs, parfois les médias, etc. qui veulent tous et toutes tirer la couverte de leur bord. Si tout roule comme sur des roulettes (ou sur des rails...), on aura enfin un nouveau métro en fonction dans environ 2 ans... ce qui est incroyable en soi ! Près de 400 M$ en projets de construction à Saint-Laurent en 2019 Journal Métro | Montréal | 17:25 | 10 janvier 2020 | Par: Laurent Lavoie Photo: Gracieuseté – Arrondissement Saint-Laurent | La valeur des projets s’était élevée à 260 M$ en 2018 comparativement à près de 400 M$ l’an dernier. Des espaces commerciales et de nouvelles unités d’habitation prendront place sur le boulevard Décarie. La valeur des projets de construction approuvés à Saint-Laurent a atteint un sommet l’année dernière, avec 398 M$ dans les secteurs industriel et résidentiel. L’arrivée imminente du Réseau express métropolitaine (REM) serait un des principaux facteurs. Les cinq stations qui seront construites dans l’arrondissement d’ici 2023 stimuleraient les investissements qui ont bondi de 53% par rapport à 2018. «On sait qu’on est dans une période d’expansion économique. On ne sait jamais quand elle va arrêter, souligne le maire Alan DeSousa. Les promoteurs savent qu’il y a de l’engouement pour les divers [projets] qui seront offerts sur notre territoire.» Pour ce qui a trait aux permis de construction résidentiels, la majorité des projets, dont la valeur globale s’élève à 197,6 M$, vise la certification environnementale LEED. «Les promoteurs savent exactement quelles sont nos attentes, donc ils viennent avec des projets incluant [des éléments] qui ouvre la porte à cette certification», précise M. DeSousa. En marge des projets de type Transit-Oriented Development (TOD) près de la station Bois-Franc, les firmes Montclair, Sotramont et Vertex ajouteront 487 nouvelles habitations, pour des investissements de 88 M$. Des espaces commerciaux s’y grefferont. Entre les rues Decelles et de l’Église sur le boulevard Décarie, un projet de 3,8 M$ est actuellement en cours. Au-dessus d’un rez-de-chaussée qui sera commercial, 18 nouvelles unités seront disponibles. Le nouveau projet de résidence pour la Congrégation des Sœurs de Sainte-Croix, au coût de 27,5 M$ sur le boulevard de la Côte-Vertu, offrira 170 nouvelles chambres. Pouvoir d’attraction du REM L’accessibilité au transport favorisée par la venue du REM encourage les citoyens à demeurer à Montréal, estime Rémy Trudel, professeur invité à l’École nationale d’administration publique (ENAP). «[Les logements], ça va se vendre comme de petits pains chauds», dit-il. Ces aménagements seront synonymes de revenus en taxation pour l’administration laurentienne. «Plus il y a de logements, plus il y a de pieds carrés, plus il y a d’immobiliers, plus il y a de revenus [pour l’arrondissement]», explique M. Trudel. En 2019, la taxe relative aux services a rapporté 13,2 M$ et pourrait permettre d’engranger 13,5 M$ cette année. Dans le secteur industriel, on note deux projets d’agrandissement dans le campus Saint-Laurent de Technoparc Montréal – qui est désormais une propriété de la Ville de Montréal. Les travaux de Néomed et Vantage Data Centers Canada sont évalués à plus de 40 M$. Ces chantiers visent une certification environnementale LEED. --> 2 122: Saint-Laurent a accordé 2 122 permis de construction en 2019. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2411200/pres-de-400-m-en-projets-de-construction-a-saint-laurent-en-2019/
  15. Le vitrage de l'étage supérieur de la station est pratiquement terminé du côté du Solar. Par contre, il n'est pas encore commencé du côté du Dix30. Ça progresse bien ! 🙂 10-01-2020
  16. Les 32 (premiers) nouveaux autobus hybrides de la STM sont accueillis au centre de transport LaSalle. http://www.stm.info/fr/presse/nouvelles/2020/les-nouveaux-bus-hybrides-font-leur-apparition-sur-le-reseau-de-la-stm
  17. Et plus de détails dans l'article suivant, tiré du site de la STM: http://www.stm.info/fr/presse/nouvelles/2020/les-nouveaux-bus-hybrides-font-leur-apparition-sur-le-reseau-de-la-stm
  18. RESPECT pour tou(te)s les travailleurs(-ses) du REM ! J'espère qu'on leur donnera congé en fin de semaine (avec le cocktail météo qui s'en vient!), comme cela a été annoncé pour les travaux de Turcot.
  19. Aucune annonce prévue à court (voire moyen...) terme, mais le fédéral ne ferme pas la porte à un potentiel financement. On ne verra probablement pas la couleur de cette nouvelle ligne de sitôt. Oups, c'est vrai... elle sera "Rose".
  20. Taxelco et Netlift s'associent pour augmenter l'offre de mobilité au Québec MONTRÉAL, le 9 janv. 2020 /CNW Telbec/ - Les entreprises montréalaises Taxelco et Netlift ont annoncé aujourd'hui la création d'un nouveau partenariat stratégique visant à accélérer le déploiement de solutions de transport électrique à la demande partout au Québec, en plus de mutualiser les opérations de taxi. Avec 1 500 véhicules sous les bannières Hochelaga et Diamond, et plus de 300 véhicules marqués Netlift, les deux entreprises représenteront plus de la moitié de l'offre de taxi au Québec. De plus, les systèmes informatiques qu'elles possèdent, comme les algorithmes de routage, de répartition, de jumelage et de gestion du covoiturage, du stationnement et des paiements intelligents, outils essentiels à la modernisation de l'industrie, seront mis à la disposition de l'ensemble des taxis du Québec. « Nous sommes très heureux d'annoncer ce partenariat novateur. En ajoutant Netlift à notre écosystème d'affaires, une entreprise qui a développé des algorithmes de covoiturage fort pertinents et très utiles, et en partageant l'expertise de notre équipe de développement mobile, nous avons une solution de mobilité complète et très robuste. De plus, le redéploiement prochain de Téo Taxi, un projet enthousiasmant, viendra compléter notre proposition de transport à la demande », de déclarer Frédéric Prégent, directeur général de Taxelco. « Un nombre important d'employeurs au Québec fait appel à nos services pour déployer du transport de personne de façon intelligente et abordable. La combinaison du covoiturage et du taxi est la clé. Nous avons besoin de travailler avec les acteurs sérieux du transport au Québec. Taxelco a une structure opérationnelle crédible qui peut accueillir les taxis de partout », de souligner Marc-Antoine Ducas, président de Netlift. Rappelons que le secteur de la mobilité se transforme rapidement au Québec. La demande pour de nouvelles solutions de transport est en forte augmentation. Les municipalités, les entreprises et les institutions veulent offrir davantage d'options de déplacements. Elles veulent le faire dans le respect de leur capacité de payer, des lois actuelles et de l'environnement. Avec l'entrée en vigueur de la loi 17, en octobre 2020, de nombreux obstacles à la mobilité des personnes seront levés et de nouvelles possibilités de transport pourront enfin être déployées. À propos de Taxelco Taxelco, propriétaire de Taxi Hochelaga, de Taxi Diamond et de Téo Techno, est le plus grand groupe d'intermédiaires de taxi à Montréal et au Québec. L'entreprise est le chef de file du transport adapté au Québec. Taxelco a pour objectifs de contribuer à l'amélioration de l'industrie du taxi et de favoriser son électrification avec des valeurs de respect, d'innovation, d'écologie et de passion pour le service à la clientèle. L'entreprise met l'accent sur l'expérience client et la qualité du service offert tout en fournissant à ses membres, propriétaires et chauffeurs, des conditions gagnantes. À propos de Netlift Netlift est une plateforme intelligente de transport planifié qui permet de combiner covoiturage, gestion du stationnement et déplacements en taxi pour des trajets plus rapides, moins coûteux et respectueux de l'environnement. Netlift permet de connecter les résidents d'une ville qui partagent le même trajet quotidien pour qu'ils voyagent ensemble, réduisant à la fois la congestion routière, les émissions de GES et les besoins en stationnement à destination. L'application Netlift est disponible sur Google Play et Apple Store. SOURCE Netlift https://www.lelezard.com/communique-19084652.html
  21. Il y a de la lumière au bout du tunnel (et non, je ne fais pas référence à celui de Mont-Royal...). STM bus situation back to normal — almost The Société de transport de Montréal reported it has nearly all the working buses it needs to meet its posted schedules. JASON MAGDER, MONTREAL GAZETTE | Updated: January 8, 2020 A hybrid bus turns onto de Maisonneuve St. while leaving the Vendome métro station in Montreal in this file photo. JOHN MAHONEY / MONTREAL GAZETTE The city’s transit agency says it is starting the decade on a positive note. After missing hundreds of buses for a good part of the last two years, the Société de transport de Montréal reported that in recent days it has nearly all the working buses it needs to meet its posted schedules. The STM has a total of 1,869 buses in its fleet. On Monday and Tuesday, it had 1,422 and 1,421 buses on the road, just shy of the 1,425 it says it needs to meet its service promises. “We are satisfied to see that the measures we put in place have borne fruit; we wish to ensure that this tendency will be maintained in the long run, so we will maintain that plan,” spokesperson Philippe Déry wrote in an emailed response to the Montreal Gazette. The STM’s maintenance woes date back to 2018. Last February, the STM revealed that hundreds of buses were unavailable for much of 2018 and the beginning of 2019. It blamed pressure tactics by its unionized maintenance workers and took the union to the essential services council, arguing that mechanics were deliberately working slower than normal. The STM only got back to delivering full service by the spring of 2019, and then the service dipped again in September, according to statistics posted on its website. By November, more than 600 buses were parked for repairs, and at that time, the STM blamed a botched implementation of a new software system. That forced the STM to cut back on its schedules, meaning that hundreds of buses were either late or did not show up. Then in late November, the STM embarked on an action plan and sent hundreds of buses to have general recall work performed by their manufacturer, Nova Bus, at factories in Lachine and Quebec City. Other maintenance work on engines was farmed out to subcontractors. More good news came in recent days as the STM’s St-Denis garage was reopened after its roof was repaired, which will boost the capacity of mechanics to fix the buses. The STM also received a delivery of 32 new hybrid buses in December, and new maintenance workers have been hired and are being trained. However, despite this good news, Déry admitted the STM is still receiving new buses with mechanical problems and has sent some of them back to Nova Bus. He said, however, that this is a normal situation when the STM gets new buses. “An assembly line problem has affected the first vehicles we received, but it has all been settled,” Déry wrote. When asked, he did not say how many of the new buses that were delivered are actually on the road picking up passengers, saying only that a “majority of the buses are available for service; we are completing the integration of the remaining vehicles.” He said that overall, the STM is satisfied with the quality of the buses. The STM will continue to receive an additional 30 buses every month until November, and by that time, the fleet will be increased by 300. By November, the STM also expects to reveal its detailed plan for how the city’s bus service will be improved with the addition of the new buses. Overall, the STM has ordered 830 new hybrid buses to be delivered by 2024 at a cost of $941.2 million. https://montrealgazette.com/news/local-news/stm-bus-situation-back-to-normal-almost
  22. Nouvelle campagne de sensibilisation sur le bon "savoir vivre" dans les réseaux (bus + métro) de la STM. http://www.stm.info/fr/presse/nouvelles/2020/--les-prehistoriques---sont-de-retour-cet-hiver
  23. Nice ! On pourra "apercevoir" Alice s'engouffrer dans la tranchée avant de commencer à creuser.
  24. Du FB du REM (d'un post du 28 décembre 2019). Centre de maintenance à Saint-Eustache - Octobre 2019 C'est fou comment cela a avancé rapidement de ce côté en 2019 ! Bien hâte de voir la progression de la construction des centres de maintenance et des opérations sur la Rive-Sud avec la caméra Devisubox (qui pourrait être légèrement décalée vers la droite afin de nous permettre de voir ce qui se passe du côté de la station terminale).
  25. Magnifique article avec de superbes photos. Bien qu'on n'y traite pas directement de l'Insectarium de Montréal, on y mentionne la possibilité de transformer la maison du fondateur de cette institution montréalaise en un musée. Georges Brossard, le « monarque des insectes » Il aurait voulu devenir archevêque ou pape. Il est finalement devenu notaire, puis meilleur ami des insectes. Et sa maison, qui est leur palais, pourrait bientôt se transformer en musée. UN TEXTE DE MATHIAS MARCHAL | PUBLIÉ À 9 H 04 C’est sa femme et partenaire d’aventures, Suzanne Schiller, qui nous accueille avec entrain dans leur belle maison située au cœur du parc national du Mont-Saint-Bruno. Si vous êtes de la région, vous l'avez sûrement aperçue lors d'une balade. À l’image de ses occupants, c’est la plus flyée. Au rez-de-chaussée, pas d’insectes (attendez de voir le sous-sol!). Une énorme tête de bison trône au-dessus de la cheminée, juste à côté de l’urne où se trouvent les cendres de l’entomologiste, mort en juin 2019. C’est une urne que j’ai réalisée à partir d’un nid de guêpes qu’elles abandonnent l’hiver venu, explique-t-elle. Les cendres de l'entomologiste Georges Brossard ont été déposées dans une urne réalisée à partir d'un nid de guêpes. | PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Joli clin d’œil, quand on sait que c’est justement l’expérience, très jeune, du sauvetage d’une guêpe en train de se noyer qui allait décider en partie de l’avenir du jeune Brossard. Un léopard dans la maison La seule fleur présente aux funérailles de Georges, en juillet, était une mauvaise herbe, l’asclépiade, qui est essentielle à la reproduction du papillon monarque. L’urne plus les fleurs : on imagine avec un sourire en coin les discussions préfunéraires entre le gérant du salon funéraire et la famille Brossard, qui, rappelons-le, a déjà vécu avec… un léopard. À cette époque, Georges était notaire. En allant faire signer un contrat dans un immeuble résidentiel de Montréal, il réalise que sa cliente possède une femelle léopard devenue jalouse et agressive depuis que la dame était enceinte. On l’a récupérée et elle a vécu chez nous pendant trois ans, me raconte Suzanne Schiller. Juste avant qu'il prenne sa retraite, à 38 ans, l’étude notariale du futur entomologiste tournait à plein régime, comptant trois notaires et une vingtaine de secrétaires. Avec un de ses amis avocat, il a poursuivi en Cour, et avec succès, plusieurs prêteurs immobiliers qui pratiquaient des taux abusifs et ruinaient les nouveaux propriétaires de la classe moyenne. Même dans sa vie plus rangée de notaire, le fils du fondateur de la ville de Brossard ne faisait donc visiblement pas dans la demi-mesure. Pour l’anecdote, son père songeait plutôt à donner à la ville le toponyme de Forget, du nom d'un l’évêque de l’époque, mais le premier ministre Maurice Duplessis, lui, a souligné qu'en anglais ce nom ne serait pas très avantageux pour la ville. Dans le sous-sol de Georges Brossard, les papillons morpho sont souvent en vedette.PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Mieux que les caves du Vatican Suzanne Schiller nous convie ensuite à visiter le sous-sol. Dès la première des six pièces, l’œil s’affole et ne sait plus où se poser. Des centaines de papillons, de coléoptères et de scorpions sont exposés dans des cadres qui tapissent les murs, du sol au plafond (certains sont même vissés sur la fournaise et le chauffe-eau), quand ils ne sont pas classés dans des tiroirs, faute de place. À travers ses quelque 140 voyages, la famille Brossard estime avoir rapporté plus de 800 000 insectes, soit plus que la collection de l’Insectarium de Montréal. Avec l’aide précieuse de Pierre Bourque, la famille a d’ailleurs grandement contribué à fonder l’institution montréalaise en faisant don de plus de 250 000 insectes en 1989. Le matin, notre sous-sol était plein, le soir tout était vide et mon père pleurait en bas, raconte au bout du fil Georges Brossard jr, l’un des deux fils. Je lui ai demandé ce qu’il allait faire, il m’a répondu de ne pas me faire de souci et, deux ans plus tard, le sous-sol était déjà de nouveau presque plein! Lors de nos plus gros voyages, on pouvait revenir avec 15 000 insectes. Il fallait ensuite expliquer aux douaniers, à qui l’on présentait tous les papiers en règle, que c’était pour des fins scientifiques et non pas mercantiles, précise sa femme. Une passion en héritage Au fil des ans, l’entomologiste québécois a directement ou indirectement participé à la création, dans le monde, d’une dizaine d’autres musées dédiés aux insectes. Il a aussi donné de nombreuses conférences afin de transmettre sa passion à toutes les strates de la population et leur faire comprendre l’importance des insectes pour la pollinisation, mais aussi pour diversifier notre alimentation et éviter ainsi la surpêche et la déforestation causée par l’industrie de l’élevage. La collection de Georges Brossard comprend aussi une importante armée de coléoptères aux couleurs chatoyantes. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers Ce papillon de type Morpho bleu ressemble aussi à un grand-duc, grâce au côté antérieur de ses ailes, lui permettant de faire fuir d'éventuels prédateurs. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers Ce spécimen de papillon du Sud-Est asiatique agite ses ailes ressemblant à un cobra, afin d'effrayer les oiseaux susceptibles de le manger. Incapable de butiner à cause de la petitesse de son système buccal, il vit généralement autour d’une semaine. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers Le Morpho peut vivre jusqu’à deux mois. Il doit sa couleur bleutée, à la particularité des écailles de ses ailes qui brillent à la lumière. Ce phénomène est appelé iridescence. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers L'insecte préféré de Suzanne Schiller, le scarabée girafe, qu’on ne trouve qu’à Madagascar. Il se distingue par le fait que la femme enroule une feuille afin de créer un cylindre où elle pondra un seul et unique œuf. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers La femme Morpho se caractérise par sa couleur moins prononcée. C'est un papillon qui vole généralement en altitude et que l'on peut capturer quand il descend boire ou s'alimenter. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers Le papillon lune émerge vers la mi-mai après avoir passé l’hiver sous forme de cocon. Grâce à ses longues antennes, le mâle peut sentir une femelle à plus d’un kilomètre. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers Deux papillons de Nouvelle Guinée similaires à ceux auxquels fait référence Charles Darwin dans l'Origine des espèces. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers Son sous-sol héberge des centaines de morphos, qui changent de couleur selon l’angle de la lumière, un peu comme un hologramme; le majestueux papillon comète, au vol si particulier; un spécimen de papillon dont les couleurs imitent le cobra; ou un autre qui singe le hibou pour faire fuir les prédateurs. Il possède aussi le plus gros spécimen de coléoptère au monde, le Titanus giganteus. On y trouve aussi deux spécimens prestigieux et rares. Les mêmes que ceux que Charles Darwin et son équipe ont abattus au fusil, en1859, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, les prenant pour des oiseaux. Je veux que la collection reste au Québec. Ma plus grande inquiétude, c’est qu’elle parte aux États-Unis ou ailleurs, faute d’avoir trouvé un moyen de la mettre en valeur ici. - Suzanne Schiller Cette dernière aimerait entamer des discussions avec le gouvernement du Québec et la Sépaq, qui gère le parc de Saint-Bruno, pour que sa maison soit rachetée et qu’elle devienne un musée. On ferait don de la collection, qui pourrait être installée dans les différentes pièces de la maison, selon des thématiques géographiques différentes. La maison de l'entomologiste dans le parc national du Mont-Saint-BrunoPHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Un homme peu commun Il n’y aurait pas que des insectes dans ce musée. En effet, comme « l’équipe Brossard-Schiller » a aussi le don de l’archivage, une abondante revue de presse a été conservée afin de retracer le parcours médiatique de l’entomologiste. Sans parler de son grenier, qui compte de nombreux souvenirs rapportés de voyage dans des lieux aussi reculés que le Bhoutan ou le Sikim. Parmi les moments marquants de George Brossard, il y a bien sûr la rencontre en 1987 avec David Marenger, un jeune garçon de 6 ans à qui les médecins ne donnaient plus que quelques mois à vivre à cause du cancer du cervelet qui le rongeait. À la demande de la Fondation Rêves d’enfants, Georges Brossard l’a emmené au Mexique, à la chasse au morpho bleu. La capture du papillon bleu tant désiré a provoqué un sursis de mon état et plus tard un renversement du diagnostic de mes médecins traitants. - David Marenger Ce dernier consacre désormais une partie de son temps à des visites dans les écoles, comme aimait le faire Georges Brossard. Le sous-sol de la maison témoigne aussi de la passion de Georges Brossard pour la pêche et la chasse.PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS L’histoire a fait l’objet d’un film de Léa Pool, Le Papillon bleu, mais c’est une autre anecdote qui vient à l’esprit de Suzanne Schiller lors de notre visite. La fois où, lors d’un voyage de chasse au Pérou en 1988, ils réalisent que le pape Jean-Paul II est sur le point d’arriver. Le couple croise alors un handicapé qui tentait d’avancer vers le lieu de rencontre, les jointures des mains en sang, à force de se traîner. Georges l’a pris sur ses épaules et est arrivé jusqu’au cortège de limousines des évêques pour leur confier l’homme. Devant le dédain de ces derniers, il s’est placé en avant du cortège d’autos qui fendaient la foule afin d’amener le pauvre homme le plus près possible de la scène, raconte sa femme. Georges n’était pas grand, mais c’était un grand homme. - Suzanne Schiller Le Titanus giganteus est le plus grand coléoptère au monde.Il peut atteindre 17 cm.PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS C’est à partir d’une mauvaise chute, il y a environ quatre ans, que sa bonne étoile a pâli. Il a glissé sur un tapis en portant des boîtes de papillons. Sa tête a ensuite heurté la table et des débris de verre sont venus se loger dans l’un de ses yeux. Commotion cérébrale. À partir de là, il a commencé à ne plus se rappeler des noms de certains insectes et supportait mal la lumière des tropiques lors des voyages de chasse. Impatient face à la lenteur de son rétablissement, il était devenu un peu déprimé, confie Suzanne. En mai 2019, lors d’une visite pour tenter de comprendre ce qui se cache derrière sa toux persistante, le médecin lui annonce le verdict : double cancer du poumon. Stade 4. Pas grand-chose à faire. Quand le médecin lui a confirmé que c’était fini, se rappelle Suzanne Schiller, il s’est tourné vers moi et m’a demandée en mariage. Après 53 ans de vie commune, c’était le dernier coup d’éclat d’un homme peu commun. Avant de mourir, entouré de sa famille dans une maison de soins palliatifs de la Rive-Sud, George s’est confessé. Celui qui s’était un temps vu devenir prêtre missionnaire, avant de renoncer, confie au prêtre avoir pêché par vanité. Il lui a confessé que quand il est entré au Séminaire, il voulait devenir archevêque ou, encore mieux, pape, raconte en souriant sa femme. À défaut d'avoir été pape, Georges Brossard restera pour plusieurs le monarque des insectes. Journaliste – Mathias Marchal | Chef de pupitre – Bernard Leduc https://ici.radio-canada.ca/recit-numerique/365/enotomologiste-georges-brossard-musee-collection-papillons
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