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Chuck-A

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Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. Et dans le même sens, voici un article de Radio-Canada... Transports en commun : Québec doit aller plus vite, réclament des organismes Le chantier de la Rive-Sud du REM. | PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Radio-Canada | Vincent Rességuier | Publié à 4 h 10 Pendant la campagne électorale provinciale, Équiterre et l'organisme Trajectoire avaient publié une liste de 12 projets de transport collectif jugés prioritaires au Québec. Un an plus tard, le bilan est mitigé : la moitié des projets sont en cours, mais d’autres font du surplace. Selon la directrice de Trajectoire, Sarah V. Doyon, le gouvernement Legault n’a pas tenu toutes ses promesses, loin de là. Mme Doyon souligne cependant qu'il reste près de trois ans au mandat caquiste pour les réaliser. Sarah V. Doyon retient notamment l'engagement fait en campagne d’équilibrer le budget d’investissement avec 50 % pour les transports collectifs et 50 % pour le transport routier. Un objectif qui ne s’est pas concrétisé dans le premier budget de la CAQ. Mais Mme Doyon garde espoir, parce qu’en coulisses elle dit recevoir des messages positifs en ce sens. Mme Doyon entend donc surveiller de près le prochain budget du gouvernement Legault. « Même si les actions sont limitées, on espère que le rythme va s’accélérer. Pour l’instant, on leur fait encore confiance. » - Sarah V. Doyon, directrice de Trajectoire Urgence d’agir pour le ligne orange Parmi les déceptions, Trajectoire et Équiterre mentionnent d’abord le statu quo concernant le raccordement de la ligne orange du métro de Montréal à la station Bois-Franc du Réseau express métropolitain. Un tronçon de 1 kilomètre qui faciliterait « les transferts entre les différents modes de transport et qui offrirait une alternative en cas de panne », soutient le communiqué signé par les deux organismes. Une demande formulée en particulier par les usagers de la ligne de trains de banlieue de Deux-Montagnes. Pendant les travaux du REM, ils vont devoir utiliser des navettes pour aller de la station de train Bois-Franc jusqu’au métro Côte-Vertu, ce qui irrite notamment le maire de Deux-Montagnes. Une situation dont pourraient également pâtir les automobilistes qui vont voir débarquer sur l’autoroute 40 de nombreux autobus à l’heure de pointe. Un gros morceau et une occasion ratée, selon Sarah V. Doyon, de réaliser une connexion facile alors qu’il y a un investissement massif dans un nouveau système de transports en commun moderne et lourd. Une occasion ratée également parce qu’il aurait été possible de profiter du tunnelier qui va servir pendant les travaux du REM. Une option qui pourrait aller de pair avec un autre projet dans la couronne nord de la métropole qui est au ralenti : la mise en place de voies réservées pour les transports en commun. Selon Trajectoire, il est indispensable d’améliorer la fluidité des déplacements dans ce secteur comprenant Laval, où les citoyens perdent environ 50 millions d’heures par année dans les transports. Les régions oubliées Trajectoire et Équiterre regrettent qu’il n’y ait toujours pas d'annonce pour la mise en place d’un système rapide, comme un système léger sur rail, dans l’ouest de Gatineau. Une installation qui permettrait de créer un lien avec le réseau de transports d’Ottawa et qui est vue d'un bon oeil des usagers et des élus locaux. Autre ombre au tableau, selon Sarah V. Doyon, l’absence de plan régional de transport collectif dans la région de La Tuque-Shawinigan-Trois-Rivières. Il y a pourtant un énorme besoin, dit la directrice de Trajectoire, surtout depuis que les lignes interurbaines ont été abolies. Elle recommande une vision globale [...] pour coordonner le transport collectif de la région. Des projets en cours de réalisation Au rang des satisfactions, la directrice de Trajectoire, Sarah V. Doyon, se réjouit de trois projets qui vont bon train. En premier lieu, le financement du réseau structurant de Québec qui comprend le tramway et qui a été annoncé par le gouvernement fédéral en août dernier, juste avant les élections. Elle retient également deux projets montréalais. Le prolongement de la ligne bleue du métro, qui avance enfin après 40 ans de discussion et la mise sur pied d’un service rapide par bus rapide Saint-Laurent Ahuntsic-Cartierville, qui est en construction et qui devrait être inauguré d’ici la fin 2020. Sarah V. Doyon attend avec impatience une annonce pour le projet de train à grande fréquence entre Québec et Windsor. Des études sont en cours, on a bon espoir que ça devrait se faire rapidement, conclut-elle. Les projets non réalisés : Lien rapide de l’ouest de Gatineau Amélioration du train de Mont-Saint-Hilaire Plan de transport collectif dans la région La Tuque-Shawinigan-Trois-Rivières Train Montréal-Sherbrooke, via Saint-Jean sur Richelieu Raccordement de la ligne orange du métro avec le REM à Bois-Franc Voies réservées pour les autobus dans la couronne nord de Montréal Les projets en cours de réalisation : Réseau structurant de la ville de Québec (Tramway) Services rapides par bus à Sherbrooke Prolongement de la ligne bleue du métro dans l’est de Montréal Réseau express métropolitain (REM) Services rapides par bus à Montréal entre Saint-Laurent et Ahuntsic-Cartierville Transport collectif autonome et intelligent Étude en cours : Train grande fréquence Québec-Windsor Source : Équiterre et Trajectoire https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1413834/gouvernement-legault-transports-commun-environnement-equiterre-trajectoire
  2. Un autre article traitant de cette nouvelle, mais avec quelques photos inédites de ces fouilles archéologiques... dont une, à l'intérieur d'un trou qui contiendra un pilier de la structure aérienne du REM. Evidence of mass Irish grave site unearthed during REM light-rail dig Some 6,000 people died of typhus in the 1840s, and many were buried in unmarked graves Montreal | CBC News · Posted: Nov 30, 2019 7:00 AM ET | Last Updated: November 30 Archeologists have been sifting through the dirt by hand, lowered into a tube-shaped hole in a basket. The hole will eventually house a pillar to support elevated train tracks. (REM) During work on a future light-rail station in Pointe-Saint-Charles, archeologists have discovered what could be the bones of Irish immigrants who died after fleeing the Great Famine more than a century-and-a-half ago. The dig site is a stone's throw from the Black Rock — a three-metre-tall boulder that, erected in 1859, marks the site where some 6,000 people are buried. Workers on the Réseau express métropolitain (REM) are digging a hole to to install a concrete support pillar for its trains. As part of the survey, they sent in a team of archeologists who discovered the bones of 12 to 15 people. Archeologists were lowered by crane into the ground and have been working to excavate the remains by hand. Bone fragments have been discovered belonging to at least 15 different people believed to have died during the typhus epidemic in the mid-1800s. (REM) In 1847 some 6,000 Irish famine refugees died of typhus in Pointe-Saint-Charles. It's believed they were buried in a mass grave. "We made sure that the work here would be done with respect," said Elizabeth Boivin, the REM's deputy director of environment. Wood that may be from coffins has also been unearthed in the dig. The yellow, cylindrical basket fits perfectly into the hole so experts can carefully comb through the dirt in search of bone fragments and other artifacts. (CBC) Before crews began digging in June, a ceremony was held in collaboration with the Irish community. Largest Irish grave site outside of Ireland Because the dig affects less than one per cent of the site, the project will leave many other graves undisturbed, Boivin said. Still, finding evidence of as many as 15 bodies in such a small area demonstrates just how many people are buried there — giving credence to the claim that it is the largest Irish grave site outside of Ireland, said Fergus Keyes. He has been co-leading a push for a memorial park near the site for the last decade. Fergus Keyes has been pushing for a memorial park near the Black Rock site for a decade. ( Simon Nakonechny/CBC) "We always knew that, in that area, 6,000 Irish were buried," Keyes said. "Nobody has ever dug into that earth since the mid-1800s, as far as we know." The hope is that lab tests will provide more information about who they were, how they lived and how they died, Keyes said. Then they'll be put back close to where they where found. "We will re-inter them in a very nice, proper ceremony at some point near the Black Rock," he said. With files from Simon Nakonechny https://www.cbc.ca/news/canada/montreal/irish-grave-site-montreal-black-rock-1.5379413
  3. Respect pour ces travailleurs. Tout un déménagement à accomplir d'un pont à l'autre, distant d'à peine quelques dizaines de mètre... Ancien pont Champlain : nids de faucons et haute voltige PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE | Sur les piliers de l’ancien pont Champlain sont perchés trois nichoirs. Sur les piliers de l’ancien pont Champlain sont perchés trois nichoirs. Ils abritent le rapace le plus rapide au monde en vol piqué, le faucon pèlerin. Cet oiseau chasseur a migré vers une température plus clémente, comme chaque hiver, et sera de retour au mois d’avril. Des nids flambants neufs l’accueilleront, fixés sur la nouvelle structure baptisée Samuel-De Champlain. Cet hiver marque le début des travaux de démolition de l’ancien pont. Il sera complètement déconstruit d’ici deux ans. L’équipe de Skytech, entreprise spécialisée en travaux en hauteur, a hérité d’un mandat complexe : celui de récupérer les nids, difficilement accessibles. La Presse a assisté vendredi dernier à cette opération. Publié le 02 décembre 2019 à 6h00 | TEXTE : MAYSSA FERAH, LA PRESSE | PHOTOS : PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE | Stéphane Sorensen, président de l’entreprise Skytech, et son équipe « Si vous êtes fatigués ou si vous avez froid, dites-le maintenant », indique le dynamique Stéphane Sorensen, président de l’entreprise Skytech, comme s’il s’adressait à sa propre famille. L’opération, qui a duré plus de quatre heures, a commencé au petit matin. Il faut des points d’ancrage solides pour parvenir à faire descendre deux membres de l’équipe le plus près possible du nid, directement sur le pilier du pont. PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE | Stéphane Lemire au travail Il a fallu descendre en appui sur corde, les pieds dans les airs, pour désinstaller le premier nid. « Ce n’est pas une course ni un endroit pour trouver des solutions seul si vous êtes en danger. C’est un travail d’équipe », rappelle M. Sorensen. Les plus expérimentés se chargent d’aller chercher les nichoirs, tâche qui demande contrôle et dextérité. Stéphane Lemire, ancien guide de montagne, est l’un d’entre eux. PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE | Des employés au travail L’opération est délicate et risquée. Il y a le froid et l’humidité. Être au-dessus de l’eau impliquerait un sauvetage plus complexe en cas d’accident, admet M. Sorensen. « Tout est dans la planification et dans l’expérience de l’entreprise. Notre équipement à la fine pointe de la technologie est inspecté rigoureusement. » PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE | Cécile de Sérigny, de l’entreprise Services environnementaux Faucon, et Stéphane Sorensen Cécile de Sérigny, de l’entreprise Services environnementaux Faucon (SEF), et Stéphane Sorensen s’apprêtent à dévisser l’imposante structure de bois remplie de gravier. Chaque nichoir sera remis à la société d’État fédérale Ponts Jacques Cartier et Champlain, et abritera d’autres faucons en milieu urbain. Jean Maher, pour qui les grues n’ont aucun secret, a soulevé le nid de façon adroite et rapide. Les nichoirs de bois ont été conçus par SEF, spécialisée en gestion de la faune. PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE | Il a fallu deux heures pour récupérer le premier nichoir, difficile d’accès. Pour le deuxième, environ une heure et demie. Tous les techniciens sont des cordistes professionnels de premier ou deuxième niveau. Alors que les plus novices s’occupent des cordes, les plus expérimentés se chargent de retirer les nids et de les fixer à la grue. Il a fallu deux heures pour récupérer le premier nichoir, difficile d’accès. Pour le deuxième, environ une heure et demie. Chaque fois, il faut préparer le cordage, faire descendre les deux grimpeurs et défaire les ancrages. PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE | Des employés surveillent leurs collègues. Tous les câbles étaient montés de façon à effectuer un sauvetage d’urgence, en cas de besoin. « Restez à l’écoute, si jamais j’ai besoin de personnes en renfort », rappelle M. Sorensen. Il est le seul de l’équipe à détenir un SPRAT (Society Of Professional Rope Access Technicians) de troisième niveau, le plus élevé. Il s’agit d’une formation très poussée en secourisme de haute altitude. Cette expertise fait de lui la personne toute désignée pour guider son équipe et procéder à une opération de sauvetage, s’il y a lieu. PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE | En haut, de gauche à droite : Raphaël Isseri-Guertin, Martin Gagnon, Alexandre Morel, Jean Maher et Étienne Primeau. En bas, de gauche à droite : Stéphane Lemire, William Mackenzie-Pitre, Stéphane Sorensen et Cécile de Sérigny, de Services environnementaux Faucon. Les employés de Skytech procèdent à des actions qui passent inaperçues, comme l’inspection des toits des plus hautes tours partout au Canada ou encore la réparation des lumières d’un pont. Tous ressentent un immense sentiment d’accomplissement lié à leur profession inusitée. « Une journée qui n’est pas passée sur le plancher des vaches est une journée réussie », dit Martin Gagnon, cordiste de deuxième niveau qui peine à rester les deux pieds sur terre depuis 15 ans. https://www.lapresse.ca/actualites/environnement/201912/01/01-5252006-ancien-pont-champlain-nids-de-faucons-et-haute-voltige.php
  4. A-t-elle en tête l'initiale trajectoire diagonale de la ligne Rose ou a-t-elle revue son itinéraire ? (voir la fin du tweet de Jean-Sébastien Cloutier... )
  5. Cathcart: une nouvelle aire gourmande Place-Ville Marie Journal Métro | Art De Vivre | 10:22 28 novembre 2019 | Par: Chloe Machillot Après la découverte enthousiaste du Time Out Market et du Central par les montréalais, une nouvelle halle gourmande située Place Ville-Marie va faire le bonheur des épicuriens dès janvier prochain: le Cathcart Restaurants et Biergarten. Cette aire de restauration proposera plus de mille places assises et une quinzaine d’offres alimentaires. Ces dernières se présenteront sous la forme de neuf comptoirs inspirés de la cuisine de rue, de deux cafés, de trois restaurants avec service aux tables et d’un Biergarten. Il suffira de choisir parmi leur offre variée puis de s’installer pour un lunch, un 5 à 7, un souper… ou toute autre occasion de grignoter! À manger! Pour se mettre l’eau à la bouche, et ne citer qu’eux, la place proposera la cuisine du restaurant asiatique Hà, les plats libanais Omnivore, les spécialités de Mon Nan, le poulet frit coréen Chikin et les salades et plats santé du Dirty Greens. Côté service aux tables, le chef Nicholas Giambattisto proposera une carte aux inspirations françaises et italiennes à la brasserie Mirabel. Les chefs Antonio Park et Olivier Vigneault serviront des mets inspirés de la gastronomie japonaise au restaurant Akio. Pour sa part (c’est le cas de le dire), le chef Frederico Bianchi confectionnera des pizzas au Pizza Del Fornaio. À boire! L’espace Biergarten – définition d’un jardin ou d’une terrasse festive où l’on se réunit initialement pour boire de la bière – proposera une vaste sélection de bières locales. Des vins sélectionnés par des sommeliers de renom et des cocktails originaux et festifs y seront aussi servis. Cet ambitieux projet est une initiative du propriétaire de l’édifice, Ivanhoé Cambridge. Il a été réalisé par les cabinets d’architecture Sid Lee et Menkès Shooner Dagenais Letourneux. Dans l’esprit du biergarten, il comportera un jardin intérieur et sera particulièrement lumineux. Il est fort à parier que le Cathcart deviendra vite un lieu de rendez-vous incontournable pour les travailleurs de centre-ville et les Montréalais en quête de nouvelles adresses où sortir. Liste complète des restaurants Akio (cantine japonaise) Pizza Del Fornaio (pizzéria) Mirabel (brasserie) Dirty Greens (salades et délices santé) Patzzi (sandwicherie italienne) Chikin (pourlet frit coréen) Tulum Taqueria (Mexicain) & Karma Poké (bols de poké) Uniburger (hamburgers, frites et laits frappés) Omnivore (libano-montréalais) Mon Nan (cuisine chinoise) Hà (Asie du Sud-Est) Caffè Veloca (café, viennoiseries et glaces) https://journalmetro.com/art-de-vivre/2401918/cathcart-une-nouvelle-aire-gourmande-inauguree-place-ville-marie/
  6. Plan d'action pour offrir le service bus promis Infos pratiques > État du service Bus en service 28 novembre 2019 Aujourd’hui, il y a 1 266 bus en service sur les 1 425 requis aux heures de pointe Afin de répondre à vos besoins de déplacement, 1 425 bus sont requis sur la route durant les heures de pointe. Vous constatez donc que le nombre de bus sur la route présentement n’est pas suffisant pour offrir le service planifié. C’est pourquoi, tous les jours, nous devons réorganiser le service en fonction du nombre de bus disponibles et des besoins de la clientèle, par secteur. Nous diffuserons donc le nombre de véhicules en service sur cette page, tous les jours de la semaine (dès 9 h). Nous vous tiendrons également au courant des développements quant au plan d’action mis en branle pour remédier à la situation. Des outils pour vous aider Pour voir quand votre bus arrivera à votre arrêt, surveillez le positionnement de votre bus en temps réel. Visitez le site web de la STM ainsi que sur les applications Chrono et Transit. Voici la marche à suivre sur le site mobile : Dans Horaires et plan Sélectionnez le réseau bus, puis votre ligne et enfin votre arrêt Cliquez sur Voir le tracé sur la carte Vous verrez ainsi le tracé de votre ligne et le positionnement des bus en service Vous pouvez également vérifier si des options de déplacements s’offrent à vous, autres que votre trajet habituel. Nouveau compte Twitter @stm_bus Conversez en direct avec nos experts sur le nouveau compte Twitter @stm_bus dédié à l'état du service bus. Les causes et le plan d'action Plus de bus bientôt Soulignons également que nos 300 nouveaux bus hybrides et électriques arrivent bientôt, ce qui augmentera notre parc de bus de 15 %, du jamais vu. Dès décembre, nous commencerons la réception et la mise en service de ces nouveaux bus. Le chauffeur, votre allié Votre chauffeur n’est pas responsable de la situation. Restons courtois pour bien voyager ensemble! Liens utiles Salle de presse Stratégie 300 bus Agrandissement de trois centres de transport http://www.stm.info/fr/infos/etat-du-service/plan-daction-pour-offrir-le-service-bus-promis?utm_campaign=carrousel&utm_source=servicepromis&utm_medium=carrousel
  7. On n'a malheureusement pas appris de nos erreurs du passé (i.e. le manque d'école dans Griffintown...). Au TJ 18H:
  8. Le journaliste Jean-Sébastien Cloutier a confirmé au TJ 18H que l'autoroute Bonaventure sera transformée en boulevard urbain avec piste cyclable et une promenade piétonne longeant le fleuve. Le projet a été mandaté à la Firme Daoust-Lestage, impliqué entre autres dans la Promenade Samuel-De Champlain (à Québec), tel qu'annoncé par @UrbMtl il y a un mois. Nouveau mandat pour Daoust Lestage: la promenade Bonaventure 27/11/2019 Daoust Lestage est fière d’être mandatée pour développer le concept de la nouvelle promenade Bonaventure de Montréal, en bordure du fleuve Saint-Laurent. L’autoroute de 2km entre le pont Victoria et la rue Marc Cantin fera place à un boulevard urbain, ainsi qu’à un parc linéaire au profit des piétions et cyclistes. Le projet à forts potentiels offrira des vues imprenables sur le fleuve, les ponts et le centre-ville de Montréal. https://daoustlestage.com/nouveau-mandat-pour-daoust-lestage-la-promenade-bonaventure/
  9. En plus de ces ambitions du côté de la Nouvelle-Zélande, la CDPQ s'intéresse maintenant au métro automatisé de Sydney, en Australie. D'ailleurs, Alstom vient tout juste de remporter le contrat pour le matériel roulant de la phase 2 de ce métro, inauguré au printemps 2019 et utilisant déjà des wagons Metropolis... tout comme le sera le REM. La Caisse investit dans Sydney Metro, le premier réseau de métro sans conducteur en Australie Acquisition d'une participation de 24,9 % en équité dans le contrat élargi en partenariat public-privé (PPP) pour les trains, les systèmes, l'exploitation et la maintenance de Sydney Metro Valeur totale de la transaction établie à 167 M$ AU (150 M$ CA) Partenariat stratégique avec des investisseurs locaux et internationaux unissant leurs expertises opérationnelles et financières MONTRÉAL et SYDNEY, le 27 nov. 2019 /CNW Telbec/ - La Caisse de dépôt et placement du Québec (la Caisse), un investisseur institutionnel mondial, annonce aujourd'hui l'acquisition d'une participation de 24,9 % dans le contrat en partenariat public-privé (PPP) pour les trains, les systèmes, l'exploitation et la maintenance de Sydney Metro, le plus important projet de transport en commun en Australie, qui inclut les lignes North West et City & Southwest. La valeur totale de la transaction se chiffre à 167 M$ AU (150 M$ CA). Les autres investisseurs sont MTR Corporation Limited, Marubeni Corporation, Plenary Group et CIMIC Group Limited. La ligne Metro North West, dont la mise en service s'est faite en mai 2019, compte 13 stations dans le nord-ouest de la ville de Sydney. Elle sera prolongée vers le centre de Sydney et plus loin, jusqu'à Bankstown, d'ici 2024. La ville de Sydney aura alors 31 stations de métro et un réseau autonome de voie ferrée de 66 kilomètres. « Sydney Metro est un projet transformateur pour la ville de Sydney et pour les milliers de personnes qui utilisent les transports en commun pour se déplacer rapidement et efficacement tous les jours. Ce réseau de transport permettra encore davantage de mobilité durable dans la région et contribuera à la transition vers une économie sobre en carbone en combinant les avantages des transports en commun, de l'électrification et de l'énergie provenant de sources renouvelables », a affirmé Emmanuel Jaclot, premier vice-président et chef des Infrastructures, à la Caisse. « Cet investissement cadre parfaitement dans notre stratégie d'investissement qui vise des infrastructures de grande qualité, avec des partenaires ayant une connaissance approfondie du marché et une vaste expertise opérationnelle. » Forte présence de la Caisse en Australie En plus de son investissement dans Sydney Metro, la Caisse a fait l'acquisition plus tôt cette année d'une participation minoritaire dans Healthscope, un exploitant d'hôpitaux privés. En 2016, elle a collaboré avec les fondateurs de Greenstone pour faire l'acquisition d'une participation de 44 % dans ce distributeur australien de produits d'assurance de premier plan. Dans le secteur des infrastructures, la Caisse, à titre d'actionnaire et de partenaire à long terme de Plenary Group, a investi dans plusieurs projets australiens de Plenary depuis 2012. Elle détient également une participation de 22,5 % dans TransGrid, le réseau de transport d'électricité de l'État de la Nouvelle-Galles-du-Sud et du Territoire de la capitale de l'Australie, ainsi qu'une participation de 26,7 % dans le Port de Brisbane. À PROPOS DE LA CAISSE DE DÉPÔT ET PLACEMENT DU QUÉBEC La Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) est un investisseur institutionnel de long terme qui gère des fonds provenant principalement de régimes de retraite et d'assurances publics et parapublics. Son actif net s'élève à 326,7 G$ CA au 30 juin 2019. Un des plus importants gestionnaires de fonds institutionnels au Canada, la Caisse investit dans les grands marchés financiers, ainsi qu'en placements privés, en infrastructures, en immobilier et en crédit privé à l'échelle mondiale. Pour obtenir plus de renseignements sur la Caisse, visitez le site cdpq.com, suivez-nous sur Twitter @LaCDPQ ou consultez nos pages Facebook ou LinkedIn. SOURCE Caisse de dépôt et placement du Québec https://www.lelezard.com/communique-19039276.html
  10. Bien qu'on pouvait s'y attendre en raison des travaux d'excavation du REM dans ce secteur, une 2e découverte archéologique majeure datant du 19e siècle vient d'être réalisée en quelques jours à Montréal... (après celle faite près du Pont Jacques-Cartier et partagée ici par @IluvMTL). Montreal archeologists find remains of 19th century Irish famine victims The bone fragments were discovered last week by archeologists digging along the path of a future light-rail system in southwestern Montreal. THE CANADIAN PRESS | Updated: November 27, 2019 Victor Boyle and Fergus Keyes, left, at the Black Rock in Montreal, on Thursday, May 18, 2017. Boyle says the new discovery is a vindication for those have long insisted the site could be the biggest Irish gravesite outside Ireland. DAVE SIDAWAY / MONTREAL GAZETTE FILE PHOTO MONTREAL — Archeologists digging at the site of a future light-rail station unearthed a piece of Montreal history last week when they uncovered what is believed to have been a cemetery for Irish immigrants who died after fleeing famine in 1847. The bone fragments of between 12 and 15 people were discovered in a spot about 2.3 metres in diameter that will eventually hold one of the light-rail system’s pillars, according to Elizabeth Boivin, a spokeswoman for the Reseau express metropolitain, or REM. She said more remains could be discovered in the next few days, since archeologists don’t yet know how deep the graves lie. While the bones have been sent to a laboratory for analysis, she said archeologists believe they belong to some of the estimated 6,000 immigrants who came across the ocean on overcrowded ships only to die of typhus in fever sheds erected on the banks of the St. Lawrence. “It was in the context of an epidemic, so there was a public health problem, and the bodies were stacked up, put into coffins, but it wasn’t an organized cemetery as we know it,” she said in a phone interview. She said pieces of wood, presumably from coffins, have been found with the bones. The remains are in good condition, she said. Boivin said the REM was aware of the possibility of a graveyard on the site and hosted a blessing in June prior to beginning the dig. Because the area is bound by railway tracks, archeologists had to work in a confined, cylindrical hole in the ground, where they were lowered by crane. She said the remains will not affect the work on the train system. The sombre discovery was nevertheless an exciting one for members of Montreal’s Irish community, who have been lobbying for a decade for a memorial park to honour the 1847 famine victims. Victor Boyle, the co-president of the Irish Memorial Park Foundation, said it lends credence to the historians who say the site could be the biggest Irish grave site outside Ireland. “It’s a vindication, and it brings back to life the story of 1847, when 6,000 people lost their lives,” he said. He said other digs carried out in other locations near the site in recent years turned up artifacts but no remains. The bodies were found near the Black Rock, a three-metre-tall boulder erected by railway workers in 1859 that is believed to be the first-ever memorial to victims of the potato famine. Fergus Keyes, who co-leads the park effort with Boyle, says an estimated 100,000 people came to Canada in the summer of 1847 aboard overcrowded vessels known as “coffin ships.” Some 70,000 of them — many sick and dying — landed in Montreal, overwhelming a city whose population numbered only 50,000. “By September and October of 1847, we know they were running out of coffins and started trenching people,” Keyes said in a phone interview. “At the end of the day, they were digging a trench and throwing in 30 bodies here, there and elsewhere.” Keyes and Boyle say the project to create a memorial park at the site will be a tribute to both the Irish victims and all the Montrealers risked their lives to nurse and care for them. That includes French-Catholic priests and nuns, British military, Montrealers who adopted orphaned children, First Nations who contributed food and money and Montreal’s mayor at the time, John Easton Mills, who died of typhus after volunteering to nurse the sick. In a time of polarizing debates over immigration, Keyes says it’s important to remember the response to a group he describes as “the worst immigrants you can imagine.” “They were poor, they were hungry, they didn’t speak the language, for the most part they were illiterate and on top they brought disease,” he said. “And a bunch of Montrealers of every language and culture went to help them, provide food, provide care, provide comfort.” Keyes and Boyle hope the bones at the site may provide clues such as the age, gender and cause of death of the victims — and maybe even DNA that could link them to descendants. Eventually, though, they believe it would be best that they be reburied at the site. “It seems to me unseemly that you would take bones that have been there for more than 100 years and move them somewhere else,” Boyle said. This report by The Canadian Press was first published Nov 27, 2019 https://montrealgazette.com/pmn/news-pmn/canada-news-pmn/montreal-archeologists-find-remains-of-19th-century-irish-famine-victims/wcm/59270255-1a55-4be4-b616-96948b66018e ----------------------------------------------------- Dans un même ordre d'idée, voici un reportage vidéo de Global News, apparaissant dans un article citant la même nouvelle que The Gazette. Commemorative Park planned for Black Rock site : https://globalnews.ca/video/rd/1428065347590/?jwsource=cl
  11. Merci d'avoir partagé ces articles sur cette nouvelle destination culinaire à Montréal, @ScarletCoral et @acpnc ! Ce sera également une place à découvrir... Certains rendus du projet disponible dans ces articles étaient possiblement affichés ailleurs sur ce fil de discussion; voici les images qui les accompagnaient. One More Food Hall Is Coming This Winter, With Restaurants From Owners of Uniburger and Arthurs A rendering of Le Cathcart | Le Cathcart/Sid Lee Architecture A rendering of Japanese restaurant Akio | Sid Lee Architecture/Le Cathcart https://montreal.eater.com/2019/11/27/20984275/le-cathcart-restaurants-uniburger-omnivore-arthurs-mon-nan -------------------------------------------- Le Cathcart annonce ses couleurs MODÉLISATION FOURNIE PAR A5 HOSPITALITY | Neuf comptoirs de cuisine de rue permettront aux travailleurs pressés d’être servis rapidement sur l’heure du lunch. MODÉLISATION FOURNIE PAR A5 HOSPITALITY | Images de l’Esplanade Place Ville Marie et de la nouvelle foire alimentaire. https://www.lapresse.ca/gourmand/restaurants/201911/26/01-5251321-le-cathcart-annonce-ses-couleurs.php
  12. Début de construction: 2021. Ouverture des nouvelles installations aux patients: 2024. Le design semble avoir été plutôt modifié par rapport au rendu initial, en février dernier... L’agrandissement de l’Hôpital de Verdun se concrétise 09:00 23 novembre 2019 | Par : Katrine Desautels Photo: Gracieuseté | L’Hôpital de Verdun augmentera sa superficie d’environ 60%. Le nouveau pavillon de cinq étages sera relié au bâtiment existant par une passerelle. Le projet d’agrandissement de l’Hôpital de Verdun suit l’échéancier fixé. Au terme des travaux, 201 des 244 lits actuels seront convertis en chambres individuelles. L’hôpital du boulevard LaSalle comptera autant de lits, mais 82% de chambres seront individuelles, comparativement à 11% présentement. La plupart seront dotées d’une toilette et il y aura un salon privé à chaque étage. Avec le même nombre de patients à soigner, aucun ajout de médecin ou de personnel clinique n’est prévu. Parmi les nouvelles unités de soin, les plans incluent des salles d’isolement respiratoire, deux chambres pour personnes obèses et une chambre de traitement à l’iode. Consultations externes Les cliniques externes seront quant à elles aménagées au rez-de-chaussée. «Actellement, on manque d’espace, ça va nous permettre d’améliorer de façon considérable nos services à la population», explique le directeur général adjoint, Pierre Paul Milette. La médecine de jour aura deux aires de traitement supplémentaires. Il y aura quatre salles d’examen dédiées alors qu’elles sont actuellement partagées avec la préadmission. D’autre part, des bornes d’enregistrement numérique seront installées à l’accueil pour accélérer l’inscription des patients dès leur arrivée. «Les salles d’attente seront spacieuses, complètement vitrées comparé à ce qu’on a aujourd’hui», décrit M. Milette. Il y aura aussi l’ajout de trois ascenseurs. Le centre de prélèvement fera également peau neuve et sera converti en atrium. «Présentement, c’est un corridor étroit un peu en courbe et les gens se cherchent constamment, explique le directeur général adjoint. Ça va devenir un axe de circulation beaucoup plus large et ça va être plus facile pour la clientèle de se retrouver dans l’établissement.» Avancement «Ces projets sont toujours très longs, mais je pense qu’on progresse très bien, souligne la présidente-directrice générale du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, Sonia Bélanger. Étant l’ancienne directrice générale de l’Hôpital de Verdun jusqu’en 2015, elle est très consciente de l’impatience de la communauté pour ce projet. Le plan d’agrandissement a atteint un point de non-retour. «Ce qui était important pour moi, c’était que le projet de Verdun ne soit pas retardé, parce qu’il y a d’autres projets urgents un peu partout», soutient Mme Bélanger. Le maire Jean-François Parenteau a souligné le complément architectural du projet. «J’aime que ce soit une signature qui ressemble beaucoup au projet de l’Auditorium qui est à côté. On vient garder le cachet du patrimoine, mais aussi une signature vers le futur», décrit-il. Les préparatifs aux chantiers débuteront dès l’an prochain, la construction commencera en 2021 et on prévoit accueillir les patients dans les nouvelles installations en 2024. https://journalmetro.com/local/verdun/2399260/agrandissement-hopital-verdun-se-concretise/
  13. D'ici au 21 décembre 2019: réouverture des voies sur le boulevard Pie-IX D’ici au 21 décembre 2019, les travaux du projet intégré SRB Pie-IX seront majoritairement interrompus pour une pause hivernale. Les travaux reprendront majoritairement au printemps 2020. Des travaux auront cependant lieu dès la mi-janvier dans le secteur du boulevard Pie-IX, entre les rues Saint-Zotique et Everett. Ces travaux occasionneront la fermeture de certaines voies. Certaines fermetures de voies ou d’intersections pourraient aussi avoir lieu ponctuellement. Des communications suivront à ce moment. http://www.stm.info/fr/a-propos/grands-projets/grands-projets-bus/projet-integre-srb-pie-ix#id_deuxieme
  14. C'est certain que la mairesse de Brossard ne voulait pas se tenir à côté de celle de Longueuil (on se souvient que Mme Assad n'avait pas tellement apprécié que l'Agglomération de Longueuil n'ait pas participé au financement du viaduc du Quartier près du Dix30). Au moins, la ville de Brossard est prête à collaborer avec le Réseau de transport de Longueuil (RTL) à la mise en place d’un mode de transport structurant dans l’axe du boul. Taschereau....
  15. Mis à part qu'ils soient d'origine chinoise, ce sont loin d'être les premiers taxis électriques ayant roulé au Québec (la flotte de Téo Taxi était entièrement électrique, tout comme de nombreux taxis de Montréal...). Étrangement, le site de Téo Taxi semble tjrs être actif (je n'ai pas osé commandé un taxi... ). Quelqu'un a des nouvelles à ce sujet depuis l'achat de la marque Taxelco par PKP en juin dernier. Invitation - Arrivée des 25 premiers taxis électriques chinois au Québec MONTRÉAL, le 26 nov. 2019 /CNW Telbec/ - Les cofondateurs de E-Taxi, MM. Yung Cuong et Fabien Cuong, invitent les représentants des médias à une prise d'images des 25 premiers véhicules BYD e6 en sol québécois dédiés à l'électrification de la flotte de taxis. Les représentants d'E-Taxi émettront quelques commentaires à la suite de la prise d'images, à l'extérieur du site. Afin d'assurer une coordination efficace, il est obligatoire de confirmer votre présence avant l'évènement. Aussi, le port de bottes de protection sera obligatoire sur les lieux. Des dossards et lunettes de protection peuvent être fournis sur place. Voici également une présentation vidéo du projet E-Taxi : AIDE-MÉMOIRE QUOI : Prise d'images du véhicule BYD e6 QUAND : Mercredi 27 novembre 2019 14 h OÙ : 5901, avenue Westminster Côte-Saint-Luc (Québec) H4W 2K8 Bâtiment 21 Fondée à Montréal en 2017, E-Taxi a pour mission de prendre part activement à l'électrification des transports au Canada. SOURCE E-Taxi inc. https://www.lelezard.com/communique-19037406.html
  16. Après le Plan d'action en électrification des transports 2015-2020, fil de discussion sur le Plan d’électrification et de changements climatiques (PECC) qui sera géré par le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques du Québec. https://www.quebec.ca/gouv/participation-citoyenne/consultations-publiques/plan-electrification-changements-climatiques/ On devrait en savoir plus au début de 2020... Et dans un même ordre d'idée, l'électrification des transports (géré par le ministère du Transport du Québec): https://www.transports.gouv.qc.ca/fr/ministere/role_ministere/electrification/Pages/electrification.aspx http://www.hydroquebec.com/electrification-transport/ https://electricity.ca/fr/conduire/centre-dexcellence/electrification-des-transports/
  17. La STM lance deux concours pour des œuvres d’art public dans le métro Communiqué | 25 novembre 2019 La STM annonce aujourd’hui le lancement de deux concours pour la réalisation d’œuvres d’art qui seront installées dans le métro de Montréal, plus précisément aux stations Préfontaine et Villa-Maria. Montréal, le 25 novembre 2019 – La STM annonce aujourd’hui le lancement de deux concours pour la réalisation d’œuvres d’art qui seront installées dans le métro de Montréal, plus précisément aux stations Préfontaine et Villa-Maria. Ces concours s’inscrivent dans le cadre de l’agrandissement de ces stations en vue de l’ajout d’ascenseurs, avec le financement du ministère des Transports du Québec, et de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics (politique du 1 %). Les artistes professionnels du Québec sont invités à soumettre leur candidature d’ici le 10 janvier 2020, à 16 h. Les propositions gagnantes seront connues en septembre de cette même année. Les règlements et programmes des concours sont disponibles en annexe. Pour la réalisation de ces deux projets, la STM bénéficie de l’appui du Bureau d’art public de la Ville de Montréal, qui possède une expertise remarquable en la matière. Elle a également sollicité la collaboration de personnalités influentes dans le milieu des arts visuels montréalais afin de constituer deux jurys qui sélectionneront d’abord trois finalistes pour chaque projet, puis retiendront la proposition gagnante de chacun. Deux stations, deux approches Dessinée par l’architecte Henri Brillon et inaugurée en 1976, la station Préfontaine fait partie des toutes premières stations construites par le Bureau de transport métropolitain (BTM). La nouvelle œuvre d’art, de nature sculpturale, sera située à l’extérieur de la station, près du nouvel édicule. Elle rendra hommage aux employés du BTM, organisme public créé officiellement le 24 février 1970. L’œuvre servira également à signaler la présence d’une nouvelle marquise, tout en accompagnant la clientèle vers le nouvel édicule. La station Villa-Maria a été ouverte en 1981. En guise d’œuvre d’art pour la station, l’architecte André Léonard a conçu des éléments décoratifs colorés servant à orienter les voyageurs dans cette vaste cathédrale de béton. La nouvelle œuvre d’art, de nature murale, aura pour objectif d’annoncer les accès aux ascenseurs et à en comprendre le cheminement dans le grand espace qui domine les quais et la passerelle. Toutefois, elle ne devra pas entrer en compétition avec les éléments décoratifs imaginés par l’architecte d’origine. Rappelons que lors de la construction du réseau initial du métro, au moment de l’Exposition universelle de 1967, et par la suite lors des chantiers de prolongement du métro, les autorités montréalaises ont eu l’heureuse initiative d’intégrer des œuvres dans la plupart des stations. Cette collection impressionnante qui se déploie dans tout le réseau compte aujourd’hui plus de 85 réalisations d’artistes québécois. Documentation Règlement et programme du concours pour une oeuvre d'art intégrée à la station Préfontaine Règlement et programme du concours pour une oeuvre d'art intégrée à la station Villa-Maria Images de la station Préfontaine Images de la station Villa-Maria http://www.stm.info/fr/presse/communiques/2019/la-stm-lance-deux-concours-pour-des-oeuvres-d-art-public-dans-le-metro
  18. Des nouvelles de The Gazette, commanditées par la STM. STM does significant work behind the scenes MEGAN MARTIN, POSTMEDIA CONTENT WORKS | Updated: November 25, 2019 This fall, elevator installation projects will be underway in 11 stations on all métro lines simultaneously, which has never been done before. SUPPLIED With the planning that’s underway today, the STM is set to bring the city’s transit system into the future by optimizing services and implementing visionary projects all aimed at improving the user experience. To provide quality service, it’s necessary to have basic equipment, infrastructure, and buildings that are in good condition. It’s for this reason that the STM invests heavily to maintain, renovate, replace or improve its bus and métro systems. In fact, with investments of $16 billion over the next 10 years devoted to infrastructure development, modernization and maintenance projects, the STM is embarking on its largest phase of development since the construction of the métro in the 1960s. “Over the last few years, the company has tripled its investments to maintain or upgrade its infrastructure and equipment, since it’s the basis for offering quality service to customers,” said Luc Tremblay, STM’s CEO. “Across our network, major work is underway with minimal impact on service.” Tremblay added: “Behind the scenes or under the eyes of our customers, our networks are transforming and our teams take on the challenge of carrying out this transformation while ensuring service. It’s quite a feat!” Each maintenance project is a complex operation carried out by STM teams, who are able to conduct these projects while mitigating their impact. “It’s a lot like repairing a plane in full flight, with passengers on board,” Tremblay said. “Even at night, while the métro is closed, the sites are teeming with activity. We only have a few hours each night to set up, work, and then disassemble the site to deliver the service as planned the next morning.” Among the STM’s most noteworthy projects is the installation of elevators in métro stations in order to provide universal access to all users. There are currently 15 stations accessible by elevator, and the company is tripling its efforts to ensure this figure reaches 41 by 2025. This fall, elevator installation projects will be underway in 11 stations on all métro lines simultaneously, which has never been done before. These projects require a significant financial investment from the STM, since this transformation involves a high degree of complexity as it has to be carried out in an environment with many constraints. “Our crews must be resourceful when it comes to installing the elevators, since we cannot simply dig in a straight line from the street to the subway platforms,” Tremblay said. For example, it was necessary to enlarge the entrance building at du Collège station to ensure its accessibility. For other stations, it will be necessary to carry out new constructions. Based on the configuration of certain stations, it’s often necessary to add several elevators to ensure the accessibility of a single station. “The introduction of elevators improves mobility for all: customers with reduced mobility, parents with strollers or young children, and those carrying heavy luggage,” said Tremblay. In addition to the elevator project, other major works are also underway throughout the rest of the métro network. For instance, the STM is currently in the midst of maintaining, repairing or replacing its 293 escalators. Work is also underway to build new ventilation stations and renovate existing buildings. “We are also taking advantage of the renovations carried out at the stations to deploy the new signage, which is clearer and more accessible, to facilitate travel within our network,” said Tremblay. Whether it’s behind the scenes in the middle of the night, or at peak hours under the curious eyes of customers, STM teams are working tirelessly to create state-of-the-art métro and bus networks in order to improve the quality of service for all. The STM’s team is growing These major projects require hands-on work from a range of skilled teams. This means the STM is looking for new talent in several areas of expertise, such as bus drivers, engineers, IT specialized workers and operation managers. Submit your application at stmemplois.com. For more information about all of the STM’s ongoing and future projects visit stmprojets.com. This story was created by Content Works, Postmedia’s commercial content division, on behalf of STM. https://montrealgazette.com/sponsored/news-sponsored/stm-does-significant-work-behind-the-scenes
  19. Dans un même ordre d'idée... Les autobus express en perte de vitesse à Montréal Photo: Josie Desmarais/Métro | La ligne express 445 Papineau Journal Métro | 05:00 25 novembre 2019 | Par: François Carabin - Métro Malgré la priorité que la Ville lui donne, le réseau d’autobus express de la Société de transport de Montréal (STM) peine à se démarquer. De 2012 à 2018, ces lignes ont perdu plus de 20% de leur achalandage, révèlent des données obtenues par Métro grâce à la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics. En tout, ce réseau spécial a enregistré, en 2018, près de 5 millions de passages de moins qu’en 2012. Ce sont les lignes Express 435 du Parc/Côte-des-Neiges et 467 Saint-Michel qui enregistrent les plus importantes saignées: 56% en moins pour la première et 60% pour la seconde. Selon le professeur à la Faculté de l’aménagement de l’Université de Montréal Jean-Philippe Meloche, ces chiffres témoignent de l’«inefficacité» d’un système dont la règle d’or est l’efficacité. «Ce qu’on appelle du transport de masse, les trains et les métros en font. L’express est supposée en faire, mais ce n’est pas tout à fait ça. Généralement, elles ont des circuits moins efficaces: elles ramassent des gens, en déposent, en ramassent, en déposent», signale-t-il. Même son de cloche chez le spécialiste de la planification des transports Pierre Barrieau. «Les autobus express sont tellement lents pour des autobus express qu’année après année, leur intérêt diminue» – Pierre Barrieau, chargé de cours en mobilité dans plusieurs universités En entrevue avec Métro jeudi, lors de la présentation du budget de la STM, le directeur général de la société de transport, Luc Tremblay, a soutenu qu’il y avait un besoin pour les express. Il croit toujours à leur potentiel «complémentaire» au métro. «C’est sûr que le métro va toujours rester un petit peu plus attractif parce que, initialement, le réseau du bus servait à rabattre les gens. Nous, ce qu’on veut faire, c’est de développer davantage le bus», maintient-il. De nouvelles lignes à succès? Le président de Trajectoire Québec, François Pepin, se dit pour sa part «surpris» de la baisse de performance du modèle express à Montréal. La mairesse Valérie Plante et la STM ont implanté en août trois nouvelles lignes du genre – la 445, la 465 et la 480 – à Montréal. Les résultats sont «prometteurs», d’après la STM, pour ces nouveaux bus qui circulent sur voie réservée. En moyenne, la 445, qui circule majoritairement sur l’avenue Papineau, a doublé son achalandage depuis la première semaine de service. Environ 800 «montants» par jour étaient enregistrés à la première semaine. Ce chiffre atteint près de 1600 aujourd’hui. En août, le réseau de transport a également scindé la précédente express 435 en deux, donnant naissance aux lignes 480 et 465. La première a gagné 1100 passages par jour depuis sa première semaine de circulation. La seconde stagne autour de 2500 passages par jour. Selon la STM, «il faut environ deux ans avant qu’une ligne atteigne sa maturité». L’ancienne 435, déjà en perte de vitesse, affichait encore 4500 passages quotidiens l’an dernier. «Il faut vraiment se poser la question: où est-ce qu’on peut poser des express pour que ça soit payant? On a trouvé la clé. Il y a des endroits où on peut le faire.» -Luc Tremblay, DG de la STM La STM a annoncé jeudi qu’elle acheminerait la plupart de ses nouveaux véhicules hybrides et électriques vers les circuits express 428 Parc, 496 Victoria et 445. Des pistes de solutions? Quoiqu’il en soit, François Pepin appelle la STM à faire mousser ses projets d’express davantage. L’utilisation de voies réservées se doit aussi de croître, avance-t-il. «C’est la solution à court terme. Ça peut se faire à l’intérieur d’un an», avance-t-il. «À Montréal, on est très frileux avec les voies réservées», souligne toutefois le chargé de cours Pierre Barrieau. La STM maintient qu’elle y travaille. «On veut en mettre de plus en plus. Vous allez voir, on va annoncer ça. La clé, ce sont les voies réservées et les feux prioritaires aux coins de rue», affirme M. Tremblay. Pour Jean-Philippe Meloche, le problème ne se règlera pas qu’avec des voies réservées. «Il faut que la voie réservée soit efficace. À la limite, on permet peu de virages à droite à l’heure de pointe. Pour que les automobilistes aient peu d’options», propose-t-il. M. Meloche invite la STM à «éloigner les arrêts» des express pour accélérer leur parcours. Il évoque aussi la possibilité de fournir des «télécommandes» aux chauffeurs d’autobus pour qu’ils puissent contrôler les feux de circulation. Avec la collaboration de Henri Ouellette-Vézina https://journalmetro.com/actualites/montreal/2399947/le-reseau-dautobus-express-en-perte-de-vitesse-a-montreal/
  20. J'aime bien l'histoire de nos bus se dérouler sous nos yeux...
  21. En effet, c'est probablement pour cette raison que l'on retrouve parfois cette incohérence.
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