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Chuck-A

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Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. Non mais sérieux? 🙄 Il manque quelques fois de constance et de rigueur dans plusieurs écrits (de la part des villes, journaux)... Mais il est vrai qu'au début du projet, on faisait bel et bien mention du Réseau ÉLECTRIQUE (et non Express) Métropolitain, d'où l'erreur qui peut parfois être faite... No comment !
  2. Et dire que ce secteur, d'une part industriel et d'autre part résidentiel, était orphelin d'un service de transport en commun lourd efficient (à l'exception de la gare Montpellier qui se situe à 1 km de la future station A-40) et a toujours été enclavé entre autoroutes et voies ferrées... 🙄 Et là, on a maintenant l'occasion d'y implanter un nouveau service de TEC, digne du métro de la STM (et du 21e siècle !), et on trouve encore le moyen d'avoir des excuses afin de dire que cela se fera au détriment de certains par une possible augmentation du loyer (on pourrait dire que c'est une façon détournée de faire une utilisation du "NIMBY"-sme). Sans vouloir trop faire l'avocat du diable, il faut comprendre que vivre à Montréal à un coût, si on veut obtenir des services. L'évaluation foncière à augmenter pour la majorité des propriétaires sur l'île de Montréal en 2019, tout comme nos taxes municipales pour 2020 (tel qu'on nous l'a annoncé aujourd'hui). Cela se traduira possiblement par une hausse du loyer pour des locataires. De toute façon, la Régie du Logement du Québec a des règles bien définies sur l'augmentation du loyer. Je le sais, en connaissance de cause. REM: accès aux logements locatifs compromis dans Hodge – Place Benoit? Photo: Nouvelles Saint-Laurent News – Laurent LavoieLa station A40 sera localisée entre les gares Montpellier et Mont-Royal, près de l’autoroute. Journal Métro | 12:13 25 novembre 2019 | Par: Laurent Lavoie L’accès aux logements locatifs dans le secteur Hodge – Place Benoit, à Saint-Laurent, pourrait être restreint avec l’arrivée de la station A40 du Réseau express métropolitain (REM) et d’un TOD, craint le Centre communautaire Bon Courage (CCBC). La présence croissante de citoyens plus aisés financièrement et une spéculation immobilière qui entraînerait une hausse significative des loyers sont les principales préoccupations de l’organisme. «Le pouvoir d’achat de la population [actuelle] va diminuer», dit la chargée de projet du centre, Line Beauséjour. À leur arrivée à Saint-Laurent, plusieurs immigrants se tournent vers le quartier de l’est de l’arrondissement. «Ce qui est inacceptable, c’est que tout ça se passe sans que les ministères ou la Ville pensent à [ceux qui habitent déjà le secteur]», déplore Mme Beauséjour. Un coup de sonde a été mené auprès de 49 personnes au début de l’été à propos de l’arrivée du REM, qui devrait être en service dès 2022. Parmi les répondants, 19 se disaient très inquiets, 11 l’étaient un peu, 16 n’étaient pas en mesure de se prononcer et trois ne connaissaient pas du tout l’enjeu. Solutions Pour contrer les effets de la spéculation immobilière, Montréal devrait réserver des terrains sur le parcours du REM et autour de ses stations, selon le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU). «On ne peut pas compter sur le marché privé dans ces contextes-là quand les locataires sont menacés comme ça, dit la porte-parole Véronique Laflamme. Il faut avoir de meilleures protections.» Pour tous nouveaux projets de construction, incluant les rénovations, un règlement de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) exige 109$ en redevances immobilières par mètre carré dans un rayon d’un kilomètre d’une station pour contribuer au financement du projet du REM. Cela exempte les projets de certains groupes tels que les organismes à but non lucratif et les coopératives de solidarité. Renouveau Depuis cet été, des rénovations ont été entamées afin d’améliorer la qualité des logements dans des blocs récemment acquis dans le quartier Hodge – Place Benoit. De nombreuses amendes auraient été imposées par la ville-centre dans les dernières années en raison de cas d’insalubrité, explique Mme Beauséjour. En 2017, avec l’arrivée imminente de la station du REM, l’arrondissement a commencé des démarches pour revitaliser le quartier en étudiant l’implantation d’un Transport oriented development (TOD) qui inclurait des changements de zonage pour limiter l’espace aux entreprises de grandes surfaces. «Le secteur se rajeunit, de jeunes familles s’y installent et il y a de beaux projets de maisons écoresponsables», soulignait à l’époque le conseiller du district de Côte-de-Liesse, Francesco Miele. Au bureau du REM, on assure que des efforts sont déployés pour adapter le projet de transport aux besoins des citoyens et de la municipalité. Perspective Difficile de savoir quand les effets de la station A40 se feront concrètement sentir, mais ce serait surtout à long terme, selon la professeure spécialisée en gestion municipale à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), Danielle Pilette. Les impacts du métro de Montréal sur le marché immobilier «ont pris beaucoup de temps à se manifester, compare-t-elle. Ça peut être reporté plusieurs années après l’entrée en service du REM». La spécialiste estime que plusieurs facteurs peuvent accélérer la spéculation immobilière, comme un TOD, l’implantation d’un nouveau pôle d’emploi ou encore une rareté des terrains. https://journalmetro.com/local/saint-laurent/2400933/rem-acces-aux-logements-locatifs-compromis-dans-hodge-place-benoit/
  3. Petites réflexions sur le projet du REM et ses phases subséquentes, suite à l'implémentation de l'O-Train (ligne Confédération) à Ottawa. Train léger d’Ottawa : quelles leçons pour Montréal ? Les Affaires | 25 novembre 2019 | Publié à 09:30 Réseau électrique métropolitain (REM), Service rapide par bus (SRB) du boulevard Pie-IX, prolongement de la ligne bleue du métro… Montréal a plusieurs projets sur la table en matière de transports collectifs. Que peut-on apprendre de l’expérience d’Ottawa qui vient d’inaugurer son train léger (O-Train) ? Pierre Barrieau, président de Gris Orange Consultant et chargé de cours en urbanisme et en planification des transports à l’Université de Montréal et à l’UQAM, partagera son point de vue sur le sujet lors du Sommet Transport et mobilité, présenté le 26 février à Montréal par les Événements Les Affaires. Quel impact le chantier de l’O-Train a-t-il eu sur les déplacements dans la région d’Ottawa ? Pierre Barrieau : C’était le chaos. Il faut savoir que le train léger remplaçait un système d’autobus en site propre dont la capacité ne répondait plus à la demande. Quand les travaux ont commencé, les autobus ont perdu leur voie exclusive et ils se sont retrouvés sur des routes déjà congestionnées. La Ville a dû élargir des routes et fermer des rues aux voitures pour faire passer les autobus. Tout cela a causé beaucoup de problèmes. La leçon pour Montréal, c’est qu’il faut bien planifier les mesures d’atténuation et les mettre en œuvre avant de lancer le chantier. Qu’en est-il de la reconfiguration des réseaux d’autobus autour des nouvelles stations ? P.B. : À Ottawa, la reconfiguration du réseau d’autobus a été faite tardivement et cela a entraîné beaucoup d’insécurité. Quand on planifie un projet qui bouleverse les habitudes des gens, il faut communiquer le plus possible avec eux. Ça veut dire entre autres de préparer la reconfiguration du réseau d’autobus avant la première pelletée de terre. Les gens veulent savoir comment ils se rendront à la station de train, une fois le nouveau système de transport en place. Cela peut les amener à changer d’emploi, de garderie, ou à déménager. Que pensez-vous du mode de réalisation de projet Design/Build utilisé pour le O-train ? P.B. : Avec le Design/Build, un ou parfois deux consortiums prennent en main l’ingénierie et la construction. Ils sont responsables de tout. Le donneur d’ouvrage aime cela, car son risque financier est diminué et la réalisation du projet va plus vite. Pour le REM, c’est le mode Design/Build/Operate qui a été choisi. L’ouvrage sera donc exploité par son constructeur. Le grand inconvénient de ces deux modes de réalisation, c’est que les donneurs d’ouvrage perdent du contrôle sur leur projet. De plus, ils ne sont pas à l’abri des demandes pour des dépassements de coûts. Mon conseil : mettre en place davantage de mesures de contrôle et de suivi. Oui, on délègue des responsabilités, mais on ne doit pas s’en laver les mains. Un bon coup d’Ottawa dont Montréal pourrait s’inspirer ? P.B. : Dès la conception de la première phase de son O-Train, Ottawa commençait à penser aux phases suivantes. Cela permet de voir à long terme et de concevoir le premier segment en fonction de ce qui s’en vient. À Montréal, on s’apprête à prolonger la ligne bleue du métro. On devrait déjà planifier les autres prolongements et en mettre un autre en chantier dès que le premier sera terminé. Les travailleurs seront expérimentés, le tunnelier sera déjà ici, il faut en profiter. On diminuera ainsi les coûts de construction et on accélérera la cadence des travaux. Même chose pour le REM, dont les phases suivantes sont déjà à l’étude. Quel est le rôle des politiciens dans les grands projets de transport ? P.B. : À Ottawa, le train léger est arrivé avec plusieurs années de retard et des dépassements de coûts énormes à cause des politiciens. Le projet a été modifié à plusieurs reprises à la suite de l’élection d’un nouveau maire. Or, le rôle des politiciens, c’est de vendre un projet à la population. De convaincre. Mais ce n’est pas de décider de la technologie, de la conception ni des trajets. Laissons cela aux experts en la matière. https://www.lesaffaires.com/blogues/evenements-les-affaires/train-leger-dottawa--quelles-lecons-pour-montreal/614400
  4. Chuck-A

    REM de l'Est

    La Ville de Montréal ne prévoit pas dépenser bcp d'argent en 2020 pour la ligne Rose ou autre projet de réaménagement de la rue Notre-Dame. On semble remettre la responsabilité du mode de transport structurant de l'Est de l'Île entre les mains du gouvernement du Québec. J'ai bien hâte de voir ce que la CDPQ proposera. Budget 2020: plus du tiers des dépenses à la mobilité et l’urbanisme Journal Métro | 10:36 25 novembre 2019 | Par: Henri Ouellette Vézina, Métro [...] Fait surprenant: à peine 650 000$ sont alloués à la réalisation d’études pour le projet de ligne rose et de réaménagement de la rue Notre-Dame en boulevard urbain. C’est dans cet axe que Québec entend implanter un tramway, notamment. [...] https://journalmetro.com/actualites/montreal/2400836/budget-2020-plus-du-tiers-des-depenses-a-la-mobilite-et-lurbanisme/
  5. Budget 2020: plus du tiers des dépenses à la mobilité et l’urbanisme Journal Métro | 10:36 25 novembre 2019 | Par: Henri Ouellette Vézina, Métro [...] Grands parcs et espaces verts Projet phare de Projet Montréal, le Grand parc de l’Ouest reçoit aussi sa part du gâteau. Plus de 13 M$ lui sont réservés en 2021 et en 2022, surtout pour l’acquisition de terrains nécessaires à son développement. Des consultations citoyennes, en 2020, devront toutefois précéder l’investissement, précise la Ville. «L’urgence d’agir pour lutter contre les changements climatiques nous motive à poser des gestes forts. Il faut entièrement repenser le développement du territoire, dans le but de protéger les derniers espaces verts de Montréal.» -Valérie Plante, mairesse de Montréal Montréal a acquis mi-octobre un premier terrain de 10 hectares de milieux naturels «de qualité» à Sainte-Anne-de-Bellevue pour 5,1 M$. La mairesse Valérie Plante, elle, a déjà demandé l’aide du gouvernement Legault pour «faciliter» les expropriations requises dans le cadre du projet, réclamant entre autres un changement des réglementations pour la création d’aires protégées. Près de 625 M$ seront réservés à l’acquisition d’espaces verts dans le Grand Montréal, dont 154 M$ pour des parcs locaux situés sur l’île. Environ 22 M$ vont directement au parc Frédéric-Back, afin d’y aménager six nouveaux hectares. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2400836/budget-2020-plus-du-tiers-des-depenses-a-la-mobilite-et-lurbanisme/
  6. Budget 2020: plus du tiers des dépenses à la mobilité et l’urbanisme Journal Métro | 10:36 25 novembre 2019 | Par: Henri Ouellette Vézina, Métro [...] Cette réalité oblige la Société de transport de Montréal (STM) à être de plus en plus dépensière. Par conséquent, la société de transport occupe une place de plus en plus importante dans la dette de la Ville, passant de 13% en 2017 à 22% dès l’an prochain. Parmi ceux-ci, le prolongement de la ligne bleue fera l’objet d’un investissement de 10 M$, principalement pour le chantier principal prévu entre 2021 et 2026. Près de 800 M$ sont prévus au PTI de la STM jusqu’en 2029 pour élargir le tracé de la ligne bleue jusqu’à Anjou. [...] https://journalmetro.com/actualites/montreal/2400836/budget-2020-plus-du-tiers-des-depenses-a-la-mobilite-et-lurbanisme/
  7. Budget 2020: plus du tiers des dépenses à la mobilité et l’urbanisme Journal Métro | 10:36 25 novembre 2019 | Par: Henri Ouellette Vézina, Métro [...] Le projet de corridor de biodiversité Cavendish-Laurien-Liesse, aussi annoncé en mai dernier, prendra son envol. Une somme de 15 M$ est réservée au raccordement du boulevard Cavendish nord à la rue Jean-Talon et l’avenue Paré. L’axe Cavendish sud, lui, sera relié à la rue Royalmount, ce qui «résoudra le problème d’enclavement créé par la présence des gares de triage du CN et du CP», explique la Ville. [...] https://journalmetro.com/actualites/montreal/2400836/budget-2020-plus-du-tiers-des-depenses-a-la-mobilite-et-lurbanisme/
  8. La mairesse de Longueuil semble anticiper que cela pourrait plus ressembler au REM, qu'à un prolongement du métro... Québec débloque 60 millions pour développer le transport collectif sur la Rive-Sud Il n’y a qu’une seule station de métro à Longueuil, elle est la cinquième la plus achalandée du réseau. | PHOTO : RADIO-CANADA / JANIC TREMBLAY Radio-Canada | Publié hier à 20 h 46 Québec débloque 60 millions de dollars pour déterminer quel mode de transport collectif sera développé sur la Rive-Sud. Le nouveau bureau de projet a jusqu’à l’été 2021 pour étudier la mise sur pied d'un corridor est-ouest de transport collectif. « On ne ferme aucune porte, on ouvre toutes les portes », a résumé la ministre déléguée aux Transports, Chantal Rouleau, lors de l'annonce dimanche à Longueuil. « On parle du boulevard Taschereau, ce qui implique la requalification du boulevard Taschereau. On parle d’un prolongement dans l’axe de la ligne jaune. On veut vraiment laisser les spécialistes nous faire les recommandations les plus adéquates », a-t-elle expliqué. Tout est sur la table, a renchéri le président du Conseil du Trésor et ministre responsable de la Montérégie, Christian Dubé. « Comment maximise-t-on l'axe est-ouest le plus rapidement possible? Et comment va-t-on pouvoir faire pour que tous nos citoyens de la Rive-Sud puissent avoir accès à un réseau de qualité, comme il est en train d'être développé dans l'axe nord-sud avec le REM? » - Christian Dubé, président du Conseil du trésor Au centre, la mairesse de Longueuil Sylvie Parent. À sa droite, la ministre Chantal Rouleau et à sa gauche le ministre Christian Dubé. | PHOTO : RADIO-CANADA / RENÉ SAINT-LOUIS La mairesse de Longueuil, Sylvie Parent, se réjouit de cette annonce, même si le mode de transport retenu pourrait s'apparenter davantage au REM qu'à un prolongement du métro. « C'est vrai qu'on est rendu à une étape de pouvoir dire que notre réseau d'est en ouest, ça pourrait être un seul corridor qui irait chercher des gens qui sont à La Prairie et qui pourrait se rendre à Boucherville, et pourquoi pas plus loin. » - Sylvie Parent, mairesse de Longueuil C'est ce même type de bureau d'étude en 2015 qui a donné naissance au projet du Réseau express métropolitain (REM). En 2017, rapporte la Société de transport de Montréal (STM), la station Longueuil–Université-de-Sherbrooke était la cinquième des plus achalandées du réseau de métro, avec près de huit millions d'entrées durant l'année. Les autres stations les plus achalandées étaient, dans l'ordre, Berri-UQAM, McGill, Guy-Concordia et Bonaventure. Avec les informations de René Saint-Louis https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1403795/longueuil-ligne-jaune-metro-prolongement-tramway-bureau-projet
  9. Dévoilement du New Flyer, l'autobus 100 % électrique de la STM Le nouvel autobus 100% électrique de la STM, le New Flyer, a été dévoilé samedi au Centre de transports Legendre. | PHOTO : RADIO-CANADA / RENÉ SAINT-LOUIS Radio-Canada | Publié le 23 novembre 2019 La Société de transport de Montréal (STM) présentait samedi son premier autobus 100 % électrique qui commencera à circuler en janvier prochain. Le New Flyer est la tête de série d'une nouvelle façon de faire à la STM, a indiqué la direction. « Il y en a 29 autres qui vont rentrer pour un total de 30 qu'on va tester. Mais nous ce qu'on veut faire, comme c'est de plus en plus concluant, on s'apprête à vraiment électrifier l'ensemble de notre parc. On veut faire en sorte pour le futur d'acheter seulement des bus électriques. » - Luc Tremblay, directeur général de la société de transport L'autonomie de ce modèle, soit 250 kilomètres, constitue un facteur important dans la commande soumise par l'organisation, explique la directrice exécutive bus à la STM, Renée Amilcar: « Normalement, un autobus diesel va faire à peu près 550 kilomètres. Donc, celui-là va faire un petit peu moins que la moitié. » - Renée Amilcar, directrice exécutive Fabriqué au Canada, le New Flyer possède une rampe d'accès avant pour les fauteuils roulants, des ports de recharge USB pour la clientèle et des sièges en PVC. Le nouvel autobus 100% électrique de la STM. | PHOTO : RADIO-CANADA / RENÉ SAINT-LOUIS Un banc d'essai « Depuis trois ans, on a quand même une expérience avec les bus électriques qui sont à recharge électrique rapide. Ce n’est pas le même principe, mais cela a quand même permis de tester cette technologie-là et de s’assurer qu’on peut aller de l’avant. C’est ce qui a servi de banc d’essai. Maintenant, ce qu’on va tester c’est la recharge lente », explique Luc Tremblay. On ne sait pas encore sur quelles lignes ces véhicules circuleront en janvier prochain. Le New Flyer faisait sensation samedi au Centre de transports Legendre où la STM fêtait le centième anniversaire de son service d'autobus. Près de 2500 personnes ont répondu à l'invitation de la Société pour visiter les ateliers d'entretien et de réparation et voir de bons vieux autobus retraités. Un vieil autobus de la STM exposé au Centre de transports Legendre à l'occasion du 100e anniversaire du service d'autobus. | PHOTO : RADIO-CANADA / RENÉ SAINT-LOUIS Avec les informations de René Saint-Louis https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1403086/vehicules-recharge-autonomie-environnement-pollution
  10. Merci @SkahHigh ! J'apprécie beaucoup tes photos du projet. Bien hâte de voir la progression à partir de janvier (que 2 mois à attendre...).
  11. Avis de recherche Nous sommes à la recherche d'un "dividu", possiblement barbu et vieux entre une vingtaine et une trentaine d'années, et qui paraissait visiblement confus ou gelé (c'est selon...), lors de la capture d'image de "Devisubox - Canal Lachine", ce matin vers 08:09. Si vous avez des informations à partager, n'hésitez pas à les communiquer avec le Sergent Bigras ou le lieutenant Bouliane (feux-RBO). 10-4 !
  12. Prise de vue différente des travaux de la station. Je ne pouvais pas être aussi proche du chantier pour la prendre... https://www.facebook.com/REMgrandmtl/photos/p.1010639479302213/1010639479302213/?type=3&theater
  13. Une première station accessible sur la ligne jaune Nouvelle | 22 novembre 2019 Munie maintenant d’ascenseurs, la station Jean-Drapeau devient la première station de la ligne jaune universellement accessible et la 16e station du réseau du métro. Les travaux, qui ont été entrepris en avril 2018, ont nécessité : l’installation de deux ascenseurs menant du niveau mezzanine vers chacun des quais; la démolition du commerce nécessaire pour permettre l’installation des ascenseurs; l’installation de deux nouveaux portillons à ventaux et relocalisation de deux distributrices automatiques de titres pour rendre les déplacements plus fluides. La station Jean-Drapeau a été priorisée, car les études de faisabilité étaient complétées et la complexité technique du site était jugée faible, donc moins coûteuse à réaliser. Par ailleurs, cette station est très fréquentée par les familles avec des enfants en poussette, qui pourront aussi bénéficier des ascenseurs. La station a accueilli 1 505 875 d’entrants en 2018. Accessibilité dans le réseau du métro Rappelons que des travaux d’accessibilité sont en cours aux stations Berri-UQAM (ligne verte), Mont-Royal, Viau, Vendôme, Place-des-Arts, Préfontaine, Villa-Maria, Angrignon et Jolicoeur. Ces efforts permettent à la STM de se rapprocher de son objectif d’offrir 41 stations accessibles d’ici 2025, selon son Plan stratégique organisationnel. http://www.stm.info/fr/presse/nouvelles/2019/une-premiere-station-accessible-sur-la-ligne-jaune
  14. Aye ! J'ai mal à mon compte de taxe ! L’usine d’ozonation de Montréal coûtera un demi-milliard de dollars L'usine d'ozonation de Montréal | PHOTO : RADIO-CANADA Radio-Canada | ACCUEIL | SOCIÉTÉ | POLITIQUE MUNICIPALE 18 h 23 | Mis à jour à 19 h 54 La plus importante usine d’ozonation du monde verra finalement le jour à Montréal pour désinfecter les eaux usées de la ville avant de les retourner au fleuve. Elle coûtera au moins un demi-milliard de dollars et elle ne sera pas prête avant 2023. À elle seule, l’île de Montréal produit 45 % des eaux usées de tout le Québec, et sa station d’épuration de Rivière-des-Prairies est la troisième en importance au monde. L’eau y est traitée, mais elle n’est pas désinfectée. Par conséquent, des bactéries, des résidus de médicaments ou des détergents sont encore envoyés dans le fleuve. Pour régler le problème, les élus montréalais, dès 2008, ont promis une usine d’ozonation. Cependant, traiter à l'ozone une telle quantité d’eau présentait un défi d’ingénierie énorme qui a été long à résoudre. « La solution a été identifiée, on est en train de terminer les cahiers techniques et les plans pour permettre de lancer un appel d’offres le plus rapidement possible. » - Bruno Hallé, directeur de la station d’épuration D’abord évalué à 210 millions de dollars, le coût du projet a explosé en 11 ans. Le nouveau plan triennal d’immobilisations de la Ville, qui sera rendu public lundi, prévoit maintenant 500 millions de dollars pour construire l’usine. « Il y a une augmentation de coût essentiellement pour essayer de régler le problème technique qui a été identifié. Et évidemment, le fait que le projet a aussi été décalé dans le temps; bien évidemment il y a l’inflation. » - Sylvain Ouellet, responsable de l’eau au comité exécutif de Montréal C’est à la fin de 2023 au plus tôt que la nouvelle usine d’ozonation de Montréal sera opérationnelle. À lire aussi : Une décennie à attendre l’usine d'ozonation des eaux usées de Montréal Avec les informations de Jean-Sébastien Cloutier https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1400637/traitement-eaux-usees-ozonation-montreal-cout
  15. Budget 2020 de la STM et Programme des immobilisations 2020-2029 : Croissance et amélioration de l’expérience client au rendez-vous Communiqué | 21 novembre 2019 La Société de transport de Montréal (STM), en présence de la mairesse de Montréal, Mme Valérie Plante, a rendu publics son budget 2020, qui se chiffre à près de 1,6 G$, et son Programme des immobilisations 2020-2029, qui présente des investissements de 17,8 G$. Deux éléments qui démontrent son contexte de croissance et qui misent sur des mesures d’amélioration pour l’expérience client. « Le budget 2020 et le Programme des immobilisations 2020-2029 de la STM constituent une éclatante déclaration d’amour envers le transport collectif. Notre administration croit fermement en la pertinence du transport en commun et, depuis notre arrivée à la tête de la Ville de Montréal, nous n’avons pas hésité à investir massivement dans la STM pour assurer sa croissance et améliorer son offre de service. Les résultats sont d’ailleurs au rendez-vous et nous sommes confiants que la mise en service des 300 nouveaux bus hybrides que nous avons commandés à notre arrivée au pouvoir permettra à la STM de connaître des résultats historiques. Les Montréalaises et les Montréalais ont soif de transport collectif efficace et c’est avec fierté que nous continuons de répondre à l’appel », a déclaré la mairesse de Montréal, Mme Valérie Plante. Budget 2020 «La STM est en pleine croissance et le contexte est des plus favorables au transport collectif. Les clients sont au rendez-vous et l’année qui vient et celles qui suivront laissent entrevoir des avancées significatives tant au niveau du maintien d’actifs, de l’amélioration du service que du développement du réseau », a indiqué le président du conseil d’administration de la STM, M. Philippe Schnobb. Augmentations de service La STM investira 48,6 M$ en 2020 afin d’augmenter directement le niveau de service pour ses clients. Métro : une hausse de service de 2,6 % par rapport à l’an dernier pour un total de 92,4 millions de km Fière du succès du service « 5 minutes max » amorcé en 2019, la STM élargit ce service en 2020, alors que cette fréquence sera dorénavant en vigueur tout au long de l’année, et ce, même pendant la période estivale. La STM va progressivement accueillir 17 nouveaux trains AZUR qui permettront de desservir la ligne verte à 80 %. Bus : une hausse de service de 5 %, la plus importante depuis 2012 De cette hausse, près de 3 % sera dédiée à l’amélioration de dessertes des nouveaux pôles d’emplois et de développement, à réduire l’entassement sur certaines lignes et à renforcer les mesures mises en place dans le cadre du Mouvement orange. L’autre partie de la hausse de service permettra d’assurer les mesures d’atténuation pour le Réseau express métropolitain à la suite de la fermeture du tunnel sous le mont Royal à partir de janvier 2020. Cette hausse de service est possible grâce à l’ajout de 300 bus au parc de véhicules, une augmentation de 15 %, du jamais vu. Avec les acquisitions prévues pour le remplacement, c’est près de 400 nouveaux bus hybrides de plus pour la clientèle. Transport adapté : ajout de 207 000 déplacements pour atteindre 4,6 millions, une hausse de 4,7 % par rapport au budget 2019 Autres mesures d’amélioration de l’expérience client Déploiement du « Service + » dans 53 stations qui permettront à la clientèle d’avoir accès facilement à un service après-vente, en plus des 16 « Espaces client » déjà existants Déploiement complet du réseau de téléphonie cellulaire en branchant les huit stations de métro restantes Ajout de ressources pour le soutien aux déplacements dans les stations achalandées aux heures de pointe afin d’assurer la fluidité et de réduire les incidents Mise en fonction complète d’EXTRA Connecte permettant aux clients du transport adapté d’obtenir un avis par texto ou par un appel automatisé de l'arrivée imminente du véhicule Programme des immobilisations 2020-2029 « La STM vit une période historique en termes de volume d’investissements. Au cours des 10 prochaines années, près de 17,8 G$ seront investis en maintien d’actifs et en développement, une excellente nouvelle pour nos clients. De plus, dès 2020, nous prévoyons avoir réduit plus de 1 G$ le déficit de maintien d’actifs depuis les 6 dernières années. En développant ainsi l’offre et en s’assurant de la fiabilité des infrastructures, le transport collectif joue un rôle de premier plan dans la lutte aux changements climatiques en offrant de plus en plus d’alternatives à l’auto-solo », a expliqué le directeur général de la STM, M. Luc Tremblay. L’ensemble des partenaires gouvernementaux et municipaux étant au rendez-vous, plusieurs projets d’envergure se sont confirmés au portefeuille d’initiatives de la STM. Parmi les 61 projets autorisés de ce PI, 30 projets d’envergure représentent 97 % des investissements, dont : Le prolongement de la ligne bleue pour compléter le dossier d’affaires et pour l’acquisition de terrains et d’immeubles; L’acquisition de 17 trains AZUR pour la ligne verte du métro; La mise en accessibilité des stations de métro grâce à la réalisation des programmes Accessibilité – phases 1 et 2 visant à munir 41 stations d’ascenseurs d’ici 2025; Le déploiement de la stratégie d’accueil des 300 bus avec, notamment, la construction de deux nouveaux centres de transport (Bellechasse et Est de Montréal) et l’agrandissement de trois autres; L’achat, d’ici 2024, de 963 bus hybrides, dont 465 consacrés à l’ajout de service; L’implantation d’un service rapide par bus dans l’axe Côte-Vertu/Sauvé; L’adaptation des infrastructures au Centre de transport Stinson pour bus électriques; L’ajout de valideurs aux portes arrière des bus articulés et le remplacement des lecteurs de cartes à bord des bus pour améliorer la performance; Outre le déploiement complet d’EXTRA Connecte, l’acquisition de 84 minibus dédiés au transport adapté, d’ici 2023, dont 72 pour du remplacement et 12 pour de l’ajout. Liens utiles Budget 2020 de la STM Programmes des immobilisations 2020-2029 de la STM Présentation pour le briefing technique http://www.stm.info/fr/presse/communiques/2019/budget-2020-de-la-stm-et-programme-des-immobilisations-2020-2029---croissance-et-amelioration-de-l-experience-client-au-rendez-vous
  16. La ville de Kirkland veut améliorer la sécurité des cyclistes et piétons provenant du sud de l'A-40 et désirant accéder à la station du REM (sur la rue Jean-Yves et voisin du Centre RioCan Kirkland) en utilisant le viaduc du Chemin Ste-Marie (en orange ci-dessous). Safer path leading to Kirkland's REM station in the works A plan to improve the safety for cyclists accessing Kirkland's REM station from the south is in the works. KATHRYN GREENAWAY, MONTREAL GAZETTE | Updated: November 19, 2019 Work on the REM line near Highway 40 in Kirkland continues and the city works to improve access to the future station. JOHN MAHONEY / MONTREAL GAZETTE Kirkland is working on a plan to make pedestrian and bicycle access to the city’s future light-rail station safer for people living south of Highway 40 who use a Chemin Ste-Marie overpass. There are two Chemin St-Marie overpasses in the vicinity, but the one being targeted for changes is the overpass furthest east, with traffic flow moving south to north as it heads to westbound Highway 40. “That overpass is used by both pedestrians and cyclists,” Kirkland director general Joe Sanalitro said. “What we want to do is cut into the designated bike-path portion of the overpass and link it to Parc des Bénévoles and then to the station.” The park is a stone’s throw from the future Kirkland Réseau express métropolitain (REM) station, which will be located near the RioCan retail mall, off Jean-Yves St. The Kirkland stop is one of 26 stations in the $6.3 billion, 67-kilometre network which will connect Deux Montagnes, the airport and West Island with downtown and the south shore. Construction is already underway, with the West Island section estimated to be ready to receive passengers in 2023. The goal is to have the overpass improvements completed by the time the station opens for business. Sanalitro said a significant segment of Kirkland’s population lives south of the highway near the overpass, making the creation of secure northbound passageway a priority. He said work on the overpass must be approved by Quebec’s Transport Ministry and that the process to obtain approval is underway. The overpass project will first be submitted to Kirkland council for approval and then included in the 2020-2021 budget. Sanalitro estimated the project would cost between $600,000 and $800,000. The city will apply for a government grant which would cover half the cost. The overpass improvements address the needs of citizens who are ready and able to embrace the active transport option when accessing the REM station. But walking and biking may not be a viable option when weather is bad, when physical mobility in an issue or when schedules require a faster mode of transportation. But vehicular access to the station is limited, at least at this stage in the planning. Kirkland residents hoping to access the station by car have had hopes dashed twice over the past months. Plans for a long-anticipated north/south urban boulevard which would have eased vehicular congestion in the region and fed directly into the REM parking lot were scrapped in 2018 when Montreal Mayor Valérie Plante and the Quebec Transport Ministry announced a change in plans. The urban boulevard will now offer restricted access to the Kirkland station, focusing on access for buses, taxis, pedestrians, car drop-offs and bicycles. And the original plan for a 2,000-spot parking lot for the station was dropped because the land flagged for the lot was not available. Negotiations to use a portion of the shopping mall’s parking are ongoing. https://montrealgazette.com/news/local-news/west-island-gazette/safer-path-leading-to-kirklands-rem-station-in-the-works
  17. Chuck-A

    REM de l'Est

    Pas trop surprenant d'observer que l'Île Bigras/Pariseau et l'Île Verte semblent avoir un % élevé d'utilisateurs du TEC. Et on remarque la même tendance dans le corridor de l'A-10 à Brossard. L'arrivée du REM ne changera probablement pas la donne; du moins, certainement pas à la baisse. Il sera également fort intéressant de voir cette même carte en 2026, soit 10 ans après celle qui a été présentée par @Windex... , afin que "3 ans" après la fin de la construction du REM dans l'ouest, permettant ainsi de mieux analyser et comparer l'évolution de l'utilisation des TEC dans ce secteur de la ville.😏
  18. Environ 4 mois après ma dernière visite, en juillet dernier. 😎 19-11-2019
  19. De nouvelles photos, fraîches d'hier, des travaux de démolition à la section Ouest du Fairview Pointe-Claire... 19-11-2019
  20. Boulevard Pie-IX: 66 millions pour 20 bus articulés électriques La Société de transport de Montréal (STM) prévoit dépenser plus de 66 millions pour faire l’acquisition des 20 premiers autobus articulés entièrement électriques qui assureront les déplacements du futur Service rapide par bus (SRB) du boulevard Pie-IX, dans l’est de Montréal. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201911/19/01-5250420-boulevard-pie-ix-66-millions-pour-20-bus-articules-electriques.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_grand-montreal_4233637_section_POS2 [texte complet dans le fil "STM: SRB Pie-IX"]
  21. Boulevard Pie-IX: 66 millions pour 20 bus articulés électriques PHOTO IVANOH DEMERS, ARCHIVES LA PRESSE | La STM prévoit lancer un appel d’offres d’ici à la fin de 2020 pour acquérir 20 bus articulés entièrement électriques, à recharge lente. Le fournisseur habituel de la STM, Nova Bus, implanté à Saint-Eustache, ne sera pas sur les rangs pour ce contrat puisqu’il ne construit pas d’autobus à recharge lente (au garage, pendant la nuit). La Société de transport de Montréal (STM) prévoit dépenser plus de 66 millions pour faire l’acquisition des 20 premiers autobus articulés entièrement électriques qui assureront les déplacements du futur Service rapide par bus (SRB) du boulevard Pie-IX, dans l’est de Montréal. Publié le 20 novembre 2019 à 5h00 | BRUNO BISSON | LA PRESSE Ces 20 véhicules d’un type nouveau seront testés pour la première fois par la STM à compter de 2022, lors de la mise en service de ce nouveau service express par bus de 394 millions, actuellement en construction. Les 20 autobus seront toutefois largement insuffisants pour assurer le service 24 heures par jour sur le boulevard Pie-IX. Selon la STM, le niveau de service projeté sur le futur SRB Pie-IX, qui sera aussi fréquent que le métro, nécessitera l’utilisation d’une cinquantaine d’autobus « pour assurer une offre de service 100 % électrique » sur cette infrastructure, qui pourrait transporter dès son ouverture jusqu’à 70 000 passagers par jour. La STM prévoit lancer un appel d’offres d’ici à la fin de 2020 pour acquérir ces 20 bus articulés entièrement électriques, à recharge lente. Le fournisseur habituel de la STM, Nova Bus, implanté à Saint-Eustache, ne sera pas sur les rangs pour ce contrat puisqu’il ne construit pas d’autobus à recharge lente (au garage, pendant la nuit). 3,3 millions par véhicule ? Le conseil d’administration de la STM a entériné le 6 novembre un règlement d’emprunt de 66,3 millions pour financer l’acquisition de ces 20 autobus, soit un prix unitaire de 3,3 millions par véhicule. Cette somme inclut les taxes, les équipements embarqués (comme le système iBus) ainsi que des frais de contingence de 15 % pour parer aux imprévus. Mais il représente presque trois fois le coût payé par le Réseau de transport de la Capitale (RTC) pour l’achat de six autobus articulés à propulsion hybride, acquis à un coût d’un peu moins de 1,2 million par véhicule en 2017. Toutefois, selon un porte-parole de la STM, Philippe Déry, le coût d’acquisition des véhicules ne représente qu’environ les deux tiers du budget d’ensemble du projet, en raison de multiples facteurs inhérents à l’intégration d’un nouveau type d’autobus dans le parc de véhicules de la STM, qui en compte plus de 1800. « Le montant prévu pour ce projet peut paraître plus élevé que dans le cas de contrats similaires, mais il est important de considérer qu’il s’agit d’une nouvelle technologie et d’un nouveau type de véhicule dans le parc de la STM. » - Philippe Déry, porte-parole de la STM, dans un courriel à La Presse « Dans un contexte d’une première commande pour ce type de bus, ajoute-t-il, la STM préfère se montrer prudente et procéder à une commande d’envergure plus limitée, ce qui a une influence sur le prix unitaire attendu. » À cela s’ajoutent les coûts associés à l’intégration d’une nouvelle technologie, notamment la formation des chauffeurs et des employés d’entretien, ainsi que la création d’un stock de pièces de remplacement et l’achat d’un outillage spécialisé pour entretenir ces véhicules d’un type nouveau, affirme le porte-parole. Ouverture en 2022 Le SRB Pie-IX est un ambitieux projet d’autobus express qui s’étendra sur 11 kilomètres dans l’axe du boulevard Pie-IX, entre le boulevard Saint-Martin, à Laval, et l’avenue Pierre-de Coubertin, près du Stade olympique, dans l’est de Montréal. Le SRB comptera 17 arrêts sur son parcours. Les travaux d’aménagement ont commencé il y a un an et vont se poursuivre jusqu’à l’automne de 2022. Les chantiers liés au projet rendent la circulation à peu près impossible sur le boulevard Pie-IX, et les fermetures de plusieurs rues et avenues qui le croisent contribuent à rendre le boulevard Pie-IX quasi infranchissable en périodes de pointe. Le SRB Pie-IX ne sera pas une ligne de bus comme les autres. L’infrastructure occupera la portion centrale du boulevard et les autobus circuleront sur des voies strictement réservées aux transports collectifs. L’aménagement du système de transport aura pour effet de retrancher une voie de circulation aux automobilistes dans chaque direction, sur le boulevard Pie-IX, et la fréquence de passage des autobus sera presque aussi élevée que celle des rames de voitures dans le métro. Actuellement, environ 40 000 usagers des transports collectifs se déplacent chaque jour dans l’axe du boulevard Pie-IX. Avec la mise en service du SRB, la STM espère faire passer cet achalandage à 70 000 déplacements par jour. Le coût d’implantation du SRB Pie-IX est estimé à 394 millions. Ce budget, annoncé l’an dernier, comprenait une provision de 30 millions pour l’acquisition des autobus nécessaires pour assurer le service. « Ce montant visait l’achat de bus articulés standard pour bonifier le service dans le cadre de la mise en service du SRB, a expliqué hier Philippe Déry. La décision a toutefois été prise d’acheter des autobus électriques articulés à la place, comme il s’agissait d’une opportunité intéressante de mettre à l’essai ce type de véhicules. » https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201911/19/01-5250420-boulevard-pie-ix-66-millions-pour-20-bus-articules-electriques.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_grand-montreal_4233637_section_POS2
  22. Début des travaux de longue durée pour la reconstruction du pont Jean-Talon. Cet avis aurait bien pu être déposé dans le fil "Ouvrage - Antenne Ouest-de-l'Île", mais ces travaux auront lieu tout juste à côté de la station Canora... Entrave de longue durée sur le pont Jean-Talon ROUTIÈRE | MAJEURE À partir de la mi-novembre 2019 Montréal (centre et aéroport) Nature des travaux Pour les deux ans que dureront les travaux de démolition et de reconstruction complète du pont Jean-Talon, une nouvelle entrave de longue durée sera mise en place dans ce secteur. L’entrave sera mise en place dès la mi-novembre pour permettre le marquage des voies de détour et la reconfiguration de la circulation. La reconstruction du pont Cornwall est reportée d’avril à novembre 2020, pour limiter l’impact sur la circulation dans le secteur. La carte ci-dessous illustre la zone d’entrave et les chemins de détour : Impacts et mesures d’atténuation Les travaux occasionneront du camionnage dans le quartier. L’entrave à la circulation sera en place pour minimiser le transit et sécuriser les zones de chantier. La présence de signaleurs et de la signalisation aux abords du chantier assureront la sécurité des piétons et la circulation des véhicules. Fermeture complète de la rue Jean-Talon en direction ouest entre le chemin Dunkirk et le chemin Canora Maintien en tout temps d’une voie de circulation dans chaque direction https://rem.info/fr/info-travaux/reconstruction-pont-jean-talon
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