Aller au contenu
publicité

Chuck-A

Membre
  • Compteur de contenus

    1 807
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    22

Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. indeed, À ma connaissance la construction des infrastructures du SRB est en attente de la réfection des infra souterraines.. En effet, @Maximus et @danny12345, je me demande bien de quelle façon la ville se prendra-t-elle afin de rattraper les retards bien présents... Des retards sur le chantier du SRB PHOTO COURTOISIE 24 HEURES | GUILLAUME PELLETIER | Mardi, 28 janvier 2020 22:27 La première phase des travaux d’installation du Service rapide par bus (SRB) sur le boulevard Pie-IX, à Montréal, ne s'est pas déroulée comme prévu: seulement 75 % des tâches ont été exécutées. «[La première phase des travaux] n'a pas été à la hauteur de ce que l'on voulait», a admis mardi le directeur principal du projet piloté par la Société de transport de Montréal (STM), Marc Dionne, devant une centaine de citoyens du quartier Rosemont réunis dans une salle des Habitations Nouvelles Avenues. La phase 1 du chantier a pris fin le 20 décembre dernier, mais seulement les trois quarts des travaux ont été réalisés. L’asphaltage sur le côté ouest du boulevard Pie-IX n’est fait qu’à 50 %, et ne pourra reprendre que vers la mi-mai, après le dégel. Sur 4 des 37 tronçons visés, les travaux n’ont même pas été commencés. PHOTO COURTOISIE L’accès à certains commerces et résidences et l'aménagement de couloirs piétonniers ont également été déficients, a noté M. Dionne. Ces retards sont dus en partie au manque de ressources de l'entrepreneur EBC Inc, responsable des travaux, ainsi qu'aux nombreux bris de conduites de gaz souterraines qui ont requis l'intervention des équipes d'Énergir, a mentionné le directeur. Des changements à la structure organisationnelle de l'entrepreneur ont depuis été apportés pour que la situation s’améliore, a-t-il assuré. La prochaine phase des travaux débutera en mars. La STM estime que ces retards ne devraient pas affecter la livraison du projet SRB Pie-IX, toujours prévue pour 2022. Rappelons que l’aménagement du SRB est jumelé à la réfection complète des infrastructures municipales sur les neuf kilomètres du trajet en territoire montréalais. https://www.journaldemontreal.com/2020/01/28/des-retards-sur-le-chantier-du-srb
  2. Franchement très heureux d'entendre que le 2e segment (Gare Centrale > Du Ruisseau) est toujours sensé ouvrir en avril 2022... du moins, pour l'instant. En espérant que ce ne soit pas un (mauvais) poisson d'avril. [...] Avril 2022 Le prochain échéancier est fixé au 1er avril 2022, date estimée pour la mise en service du tronçon du REM qui reliera la gare Du Ruisseau à la gare Centrale, à Montréal. [...]
  3. Avis aux intéressé(e)s. Portes ouvertes du Campus MIL ce dimanche (26 janvier). Inscription dans le lien ci-dessous: https://admission.umontreal.ca/evenements/sur-le-campus/portes-ouvertes/complexe-des-sciences-du-campus-mil/ Visite du Complexe des sciences Le 26 janvier 2020, visitez votre futur lieu d’études et ses espaces à la fine pointe de la technologie. Vous pourrez également poser toutes vos questions aux professeurs et étudiants des quatre départements du Complexe des sciences : chimie, physique, géographie et sciences biologiques. Les visites partiront en continu de l'Atrium du Complexe des sciences, 1375 avenue Thérèse-Lavoix-Roux, et auront une durée d'environ 30 minutes. Pour se rendre sur place, des navettes partiront toute la journée du 3200 Jean-Brillant. Le campus MIL est facilement accessible en métro depuis la station Acadie. Veuillez noter qu'aucun stationnement n'est disponible sur place.
  4. En tant qu'Ahuntsicois, merci @J-F d'avoir partagé cette nouvelle. Je mets ci-dessous le lien de l'article que tu as affiché: https://www.journaldemontreal.com/2020/01/24/montreal-mise-a-letude-dun-projet-de-modernisation-de-lurgence-de-lhopital-fleury Et voici un autre article sur cette annonce: Lancement des études pour la modernisation de l’urgence de l’hôpital Fleury Journal Métro | Ahuntsic-Cartierville | 15:16 | 24 janvier 2020 | Par: Amine Esseghir Photo: Amine Esseghir/Courrier Ahuntsic | L’urgence de l’hôpital Fleury n’a pas connu de travaux majeurs depuis des décennies. Québec vient d’octroyer 1,5 M$ pour lancer les études de modernisation de l’urgence de l’hôpital Fleury. Un projet attendu depuis 2013. C’est Danielle McCann, ministre de la Santé et des Services sociaux, qui en a fait l’annonce aujourd’hui à l’hôpital Fleury. La somme est destinée au lancement des études du projet de modernisation de l’urgence pour évaluer la nature de travaux à entreprendre. L’objectif est de tripler la surface de cette structure et pallier les problèmes de vétusté des locaux. L’urgence actuelle, d’une capacité de 18 civières, occupe un espace total d’un peu plus de 1000 mètres carrés. Les besoins sont évalués à environ 3 300 mètres carrés. Les travaux devraient permettre d’augmenter la capacité d’accueil, d’agrandir le triage et d’aménager une salle de réanimation d’au moins deux lits. Cette phase d’études prendra deux à trois ans avant de lancer les travaux. Ce sont aussi ces premières études qui permettront de connaitre les délais de réalisation ainsi que les coûts afférents. Une vieille demande La demande pour une urgence plus moderne et plus grande à l’hôpital Fleury est sur la table depuis plus de sept ans. Cette annonce permet d’espérer «avoir enfin une urgence moderne et confortable pour les patients», a indiqué Dre Josée Savoie, directrice générale adjointe au Ciusss du nord de l’île de Montréal. Elle a aussi remercié les infirmières et le personnel hospitalier «pour leur grande patience.» Le financement de ce projet est l’une des actions principales de la fondation Ahuntsic-Montréal-Nord, qui met déjà 2 M$ dans la cagnotte. «Nous continuerons à travailler pour augmenter la somme», a promis Michael Vachon, président de la fondation. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2414786/lancement-des-etudes-pour-la-modernisation-de-lurgence-de-lhopital-fleury/
  5. STM: des incitatifs financiers envisagés pour améliorer le service Journal Métro | Montréal | 05:00 | 23 janvier 2020 | Par: Henri Ouellette Vézina, Métro Photo: Pablo Ortiz/Métro | En Europe, plusieurs sociétés de transport utilisent des incitatifs pour stimuler la progression du transport collectif. L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) envisage sérieusement la possibilité d’inclure des exigences de rendement qui seraient associées à des incitatifs financiers dans ses ententes avec les opérateurs dont la STM. L’objectif: stimuler la livraison efficace du service pour les usagers. «Les accords actuels avec la STM (et les autres opérateurs) ne contiennent pas de clauses de bonus ou de pénalités. Cependant, la prochaine génération d’accords que nous négocions actuellement avec eux en aura», expliquait fin novembre l’ancien directeur général de l’ARTM, Paul Côté, dans un échange de courriels dont Métro a obtenu copie. Depuis, M. Côté a été remplacé par Benoit Gendron. L’ARTM est responsable des budgets et de la planification du transport dans le Grand Montréal. Les exigences envisagées s’appliqueraient donc aux sociétés de transport de Montréal (STM), de Laval (STL) et de Longueuil (RTL), ainsi qu’à l’organisme exo, responsable des trains de banlieue. Atteindre les objectifs Contacté par Métro, le porte-parole de l’ARTM, Simon Charbonneau, indique que le but est de «fixer des objectifs d’amélioration conjointement avec les sociétés de transport». «Afin d’atteindre ces objectifs, il sera primordial d’appuyer financièrement les opérateurs afin d’investir dans l’amélioration du service», ajoute-t-il. En contrepartie, les organismes de transport en commun devront «atteindre certaines cibles de service», soutient M. Charbonneau. L’ensemble des indicateurs seront développés avec chaque groupe, en fonction de ses réalités. «Nous n’appliquerons pas aveuglément les mêmes critères partout», promet-il, ajoutant que chaque réseau a ses particularités. Les négociations sont en cours depuis l’été 2019. Le but serait d’adopter un règlement en la matière d’ici le 31 décembre 2020. À la STM, le porte-parole Philippe Déry confirme qu’il est prévu «qu’un tel mécanisme pourrait être inclus à une prochaine entente». Selon lui, toutefois, il est prématuré de se prononcer sur les impacts qu’auront ces nouveaux indicateurs, les négociations venant tout juste de commencer. «Il est encore trop tôt pour pouvoir identifier les aspects qui seraient visés», précise M. Déry. Mercredi, la STM soulignait que la livraison du service de bus s’est améliorée depuis le retour des Fêtes. L’organisme demeure toutefois au-dessus de la limite visée de 19% de véhicules immobiles. Exo veut d’abord des outils De son côté, exo soutient n’avoir eu aucune discussion avec l’ARTM pour le moment. L’organisme dit prioriser d’autres dossiers pour le moment. «Avant de parler de la gestion de la performance, on estime que l’ARTM doit commencer par fournir les bons outils aux opérateurs.» - Louis-André Bertrand, porte-parole d’exo Parmi les enjeux urgents, il cite l’harmonisation des tarifs ainsi que la création d’une politique de financement de la mobilité pour le Grand Montréal qui inclurait aussi la croissance démographique des couronnes. «Il y a 700 titres de transport dans la métropole, dont 600 chez exo. De notre côté, c’est un frein pour optimiser les déplacements inter-secteurs, d’est en ouest par exemple», observe M. Bertrand. Une idée à peaufiner Appelé à réagir, l’expert en économie urbaine et professeur à l’Université de Montréal (UdeM), Jean-Philippe Meloche, affirme que l’imposition d’indicateurs de performance aux opérateurs est une bonne idée, mais qu’elle doit être déployée de manière progressive. «Dans le marché privé, c’est quelque chose qu’on voit souvent de mettre des incitatifs dans les relations contractuelles pour s’assurer de la qualité du service et du développement du réseau. Je pense qu’on essaie d’imiter ce modèle-là à Montréal, sauf que ce n’est pas dans notre héritage. Il y aura des périodes d’ajustement», raisonne-t-il. Avant 2017 – année de fondation de l’ARTM – les sociétés de transport géraient leur propre système de transport en commun, de la coordination jusqu’à la tarification de celui-ci. «La nouvelle formule avec l’Autorité au centre, elle est à peaufiner, illustre le spécialiste. Dans ce cas-ci, l’idée est bonne, mais tout est dans la façon de mettre en place le système.» Des risques à prévenir pour l’ARTM S’il reconnaît que le transport collectif a besoin de mécanismes incitatifs pour grandir, M. Meloche prévient aussi qu’il existe des risques à imposer des pénalités aux transporteurs comme la STM. «Si on se met toujours à récompenser les gagnants, puis à sanctionner les perdants, on peut finir par générer des iniquités de financement. Il y a toute une complexité dans la mise en œuvre.» - Jean-Philippe Meloche, spécialiste en économie urbaine Un point de vue que partage le président de Trajectoire Québec, François Pépin, qui trouve le concept fort pertinent, en demeurant toutefois sur ses gardes. «Si on veut encourager les opérateurs, l’idée de bonus peut être très intéressante pour le développement, indique-t-il. Par contre, c’est extrêmement difficile d’enlever de l’argent à des sociétés de transports. Elles dépensent leur budget jusqu’au dernier sous», fait-il remarquer. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2414033/des-incitatifs-financiers-envisages-pour-ameliorer-le-service-a-la-stm/
  6. PRENDRE LE VIRAGE… EN AUTOBUS ! ÉDITORIAL FRANÇOIS CARDINAL | LA PRESSE | Édition du 23 janvier 2020, L’achalandage des transports en commun stagne dans le Grand Montréal. On n’a jamais autant parlé d’environnement, de gaz à effet de serre, de congestion et de mobilité durable. Et pourtant, l’achalandage des transports en commun fait du surplace dans la région. Tout de même incroyable. Oui, on peut chipoter sur la méthodologie de l’Enquête origine-destination ou sur la curieuse façon d’en dévoiler les résultats à la va-vite par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM). Mais que la hausse de l’achalandage de 2013 à 2018 soit de 4 % ou plutôt de 5 %, peu importe : ça demeure négligeable comme changement en regard de ce qu’il faut faire. Et en regard, aussi, des résultats passés qui étaient beaucoup plus encourageants. Voyez par vous-même les bonds faits par les transports collectifs selon les enquêtes précédentes. De 1998 à 2003 : + 7 % De 2003 à 2008 : + 14 % De 2008 à 2013 : + 8 % Puis de 2013 à 2018… à peine + 4 % *** Comment expliquer des résultats aussi décevants ? Facile. On n’a pas amélioré le réseau de transports publics pour la peine. Nommez un grand projet structurant qui a vu le jour depuis 2013… Il y a le train de Mascouche. Et c’est à peu près tout. On n’a donc pas implanté de projets majeurs. Pire, on a réduit la fréquence des bus à Montréal. Ce à quoi il faut ajouter les pannes et les pépins du métro et des trains de banlieue. Rien d’étonnant à ce que le nombre d’usagers augmente d’à peine 4 %. Un chiffre insignifiant quand on sait que la population du 450 a connu une croissance sur la même période de… 4 % ! Si, au contraire, l’achalandage a connu des hausses atteignant 14 % il y a une dizaine d’années, c’est parce qu’on avait alors prolongé le métro vers Laval. Tout simplement. Leçon d’urbanisme 101 : si on veut plus de monde dans les transports collectifs… eh bien, il faut offrir plus de transports collectifs. *** Heureusement, il y a actuellement quelques grands projets en chantier dans la région. Il suffira donc de mener à terme le SRB Pie-IX, le prolongement de la ligne bleue et le REM pour que les prochaines Enquêtes origine-destination soient un peu plus positives. Mais ça ne sera pas assez. Ça ne sera pas assez, en fait, si on souhaite réellement renverser la vapeur et réduire les émissions de gaz à effet de serre au Québec qui proviennent en grande majorité des déplacements routiers. Donc, on fait quoi ? On mise sur le bus. Et vite. La solution réside en effet dans le développement massif de lignes d’autobus à grande fréquence roulant sur leurs propres voies réservées. À l’image du SRB qui verra le jour sur Pie-IX en 2022-2023. Mais en s’assurant que ces projets de « service rapide par bus » voient le jour… de manière plus rapide. *** Au cabinet de la mairesse Valérie Plante, on travaille justement sur un tel plan à l’horizon 2025. Un plan qui sera dévoilé dans les prochains mois. En gros, selon ce qu’on a appris, on veut commencer par bonifier des lignes de bus existantes en élargissant les heures de service des voies réservées et en multipliant les mesures préférentielles comme des feux de service prioritaires. On va le faire sur l’avenue du Parc, par exemple, sur René-Lévesque, sur Notre-Dame. Puis dans un deuxième temps, on veut rendre les voies réservées permanentes avec des barrières physiques pour améliorer la fréquence et la rapidité. On veut le faire sur les axes Côte-Vertu (en cours), Côte-des-Neiges et Henri-Bourassa, notamment. Précisément l’orientation qu’il faut prendre ! Mais attention, ça va faire mal. Ça va brasser. Car pour toute nouvelle voie réservée, il faut forcément retirer une voie aux autos. C’est ce qu’on a dû faire, par exemple, sur Papineau pour faire passer le 445 express. C’est un succès phénoménal, comme rarement la STM en a connu pour un service de bus. Mais cela s’est fait au prix d’une importante grogne, car il est vrai que les automobilistes écopent. Un lourd prix à payer, oui, mais pour faire passer plus de 3000 personnes chaque matin, tout de même. Ça équivaut à environ 2500 voitures ! Voilà donc le genre de projets qu’il faudra multiplier, et vite, si on veut que les prochaines enquêtes soient plus encourageantes. http://plus.lapresse.ca/screens/aa73f0fa-2c75-49b1-b241-89fa0db8acb7__7C___0.html
  7. Brownstein: Le Cathcart food court opens with no booze restrictions The 35,000-square-foot mega-facility — with its nine food counters, three full-service restos, two cafés and a biergarten, all housed under a 7,000-square-foot glass pavilion — opens Thursday BILL BROWNSTEIN, MONTREAL GAZETTE | Updated: January 22, 2020 Federico Bianchi of Del Fornaio prepares pizza during a tour for the media and food bloggers of Le Cathcart in Place Ville Marie on Wednesday, Jan. 15, 2020. | ALLEN MCINNIS / MONTREAL GAZETTE Talk about a transformation: It had to require some design wizardry to turn what was once a fairly bland and soulless part of Esplanade Place Ville Marie into what has become the majestic Le Cathcart food court. Officially opening Thursday, this 35,000-square-foot mega-facility — with its nine food counters, three full-service restos, two cafés and a biergarten, all housed under a 7,000-square-foot glass pavilion — resembles a ginormous yet inviting garden setting bathed in bright light, dazzling colours and plant life with funky furniture from THIS century to accommodate 1,000 customers. “My philosophy has always been ‘under-promise but over-deliver,’” says Alexandre Besnard, while surveying the area. Besnard is curator and operator of Le Cathcart and, along with Patrick Hétu and Antonio Park, one of its three partners. And Besnard has delivered. Just two months ago, the venue looked far more combat zone than epicurean centre. But Besnard got a massive assist, both from the construction teams and the Sid Lee Architecture and Menkès Shooner Dagenais LeTourneux Architectes groups. “The idea was that this would link the inside and outside and be an extension of the Montreal spirit and its joie de vivre,” says Sid Lee architect Jean Pelland, while pointing out that Mount Royal and the cross can be scoped from under the court’s glass ceiling. Along with Le Central and Time Out Market, this is part of the continuing evolution of the local food-court scene, designed to bring life into what was recently a downtown culinary graveyard. These halls will never be confused for the all-too-familiar drab and windowless basement outlets designed for patrons to devour fast food and depart within moments of grub going down gullets. Le Cathcart plays a prominent part in Ivanhoé Cambridge’s $200-million revitalization of Place Ville Marie and the $1 billion it is investing on downtown properties, including the Eaton Centre and Time Out Market. The differences between Le Cathcart and always-jammed Time Out are quite evident. Whereas Time Out boasts a bevy of rock-star chefs like Toqué!’s Normand Laprise, Montréal Plaza’s Charles-Antoine Crête and Le Club Chasse et Pêche’s Claude Pelletier, Le Cathcart, save for Park, features a coterie of lesser-known players but who have also worked with the best. Le Cathcart’s nine counters hit the right variety, taste and price points, serving up everything from veg to burgers to Korean fried chicken, and are decidedly utilitarian. The married tandem of Raegan Steinberg and Alexandre Cohen, owners of the popular St-Henri eatery Arthur Nosh Bar, are at the helm of, respectively, the Dirty Greens salad bar and the adjacent Italian sandwich spot Patzzi here. The three full-service restos are filled by Akio, a Japanese-styled cantina and collaboration between Park and Olivier Vigneault of Jatoba fame; Pizza del Fornaio, Neapolitan-styled pies, overseen by former Bottega chef Federico Bianchi; and Mirabel, an all-purpose brasserie specializing in steak and pasta and being run by former Joe Beef chef Nick Giambattisto. Le Cathcart is in the enviable position of being part of the Place Ville Marie mini-city, where 12,000 work and where many of whom will be daily customers. Also, the underground connection to the CN station as well as to other downtown office structures is certain to draw crowds. What will come as welcome news to those who have complained about Time Out’s segregated booze zone (where those under 18 can’t enter) is the fact that alcohol served at any of the Le Cathcart spots can be consumed anywhere in the food hall — with kids not being separated from their parents. “Le Cathcart and the other halls will help put Montreal on the map again for locals and visitors alike,” Park pledges. “But more importantly, it will hopefully inject life into a downtown core that really needs it and turn it into the vibrant place it once was — without having to go outside, either.” That has always been the plan, Besnard acknowledges. “I think we’ve set the bar really high with these new food courts,” Besnard says. “We’ve pushed the limits on a concept few saw coming. Hopefully, this will also be a much-needed breath of fresh air downtown.” Nor would it hurt if the city could conscript the same construction and design teams to magically transform downtown roads next. https://montrealgazette.com/opinion/columnists/brownstein-le-cathcart-food-court-opens-with-no-booze-restrictions?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1579784657
  8. Merci @IluvMTL pour le partage. Voici un article paru dans le Mtlblog dans lequel on fait directement mention de ce vidéo, réalisé par Patrick Bergeron. Video Shows What It's Really Like To Cross The New Champlain Bridge Pedestrian & Bike Path Mtlblog | CanadaQuébecMontreal | Teddy Elliot | 4 hours ago | Updated on January 23 @ 09:05 AM A local cyclist captured incredible footage along the bridge's new path. Patrick Bergeron | YouTube A video posted online shows what it's really like to cross the Champlain Bridge's new multi-use pedestrian and bike path. The video (shared with permission below) gets us excited for the summer days ahead! During one balmy winter day, local cyclist Patrick Bergeron decided to try out the new multifunctional bike and pedestrian path that opened on the new Champlain Bridge. On his way, he took some stunning footage and reminded us all of carefree Montreal summers where you're speeding down a bike path. Though it might be a little early to be thinking about summer activities, there's nothing like a little reminder of warmer days to lift your spirits. Forecasts predict there's sunshine on the horizon, but don't forget that we're still in the thick of winter. The new Champlain Bridge multiuse bike and pedestrian path officially opened on December 23, 2019. It was a perfect early Christmas gift to Montrealers and offered a preview of what's in store for us this summer. Recent snowfall and inclement weather haven't been kind to winter cyclists hoping to use the bike path but hopefully, a spell of nice weather will see the path opened once again. If you don't feel like braving the cold on a bike, you're welcome to walk along the path and take in the stunning views of the Saint-Lawrence River. Here's hoping that Bergeron's video puts a little pep in your step today! The video (seen below) shows what you can expect when you ride along the new Champlain Bridge. Bergeron is riding up the path via Brossard on the South Shore. At first, you might spot a bit of construction but don't mind that, it'll all be gone soon enough (hopefully!). Travelling from the South Shore offers an unparalleled sight from under the bridge, showing off the incredible infrastructure. Patrick Bergeron | YouTube After a short jaunt up a winding path, the path opens up to offer a breathtaking panoramic of the Saint-Laurence River. Patrick Bergeron | YouTube Riders are encouraged to respect a 20-kilometre per hour speed limit along the 3.4-kilometre multiuse path. Since cyclists share the path with pedestrians, it's expected that everyone treats each other well. Pedestrians and cyclists who want to visit the path must travel via the City of Montreal's Île-des-Sœurs to the South Shore's La Riveraine bike path and back again. Patrick Bergeron | YouTube Mayor Valérie Plante said that the opening of the new Champlain Bridge multiuse path is "excellent news for the active mobility of citizens in the metropolitan region." The path will be incredibly busy this summer so make sure to take full advantage as soon as the weather starts warming up! Patrick Bergeron | YouTube Are you as excited as I am about the new Champlain Bridge bike and pedestrian path? See you all on the bridge! https://www.mtlblog.com/news/canada/qc/montreal/new-champlain-bridge-bike-path-offers-incredible-views-of-the-structure-and-city-video
  9. Article provenant de la publication du Journal Métro, paru dans mon arrondissement. Plusieurs projets de TEC en cours (REM & SRB Côte-Vertu/Sauvé) et en devenir (le prolongement de la branche Ouest de la ligne orange & la ligne rose) y sont abordés. Rapprocher l’est de l’ouest Ahuntsic-Cartierville | 15:59 | 20 janvier 2020 | Par: Amine Esseghir Photo: Archives/Métro Media | Le SRB Sauvé/Côte-Vertu roulera sur le même tronçon que le bus 121 actuel et desservira les mêmes stations, mais plus rapidement, sept jours sur sept et 24 heures sur 24. Pour connecter l’est à l’ouest, et pallier l’engorgement du métro, des experts et des politiciens plaident pour un prolongement de la ligne orange et le creusement de la ligne rose. Or, il y a peu de chances que ces chantiers soient réalisés d’ici 2030. Pourtant, les projets de transport en commun dans l’Est risquent d’augmenter le nombre d’usagers dans le réseau déjà saturé de la STM. Le prolongement de la ligne orange du métro entre Côte-Vertu et la gare Bois-Franc semble être la solution la plus efficace pour faciliter le passage d’est en ouest à Montréal. Récemment, l’organisme Trajectoire Québec clamait qu’un tel raccordement était carrément une urgence. Outre le fait qu’il rendrait l’ouest de l’île «plus accessible», il aiderait aux passages d’un mode de transport à l’autre (train vers le métro, voire le REM) et il proposerait des «alternatives» lors de pannes sur le réseau de la STM. «C’est un projet indispensable pour améliorer la fluidité des déplacements», avait déclaré Sarah V. Doyon, directrice de Trajectoire Québec à Métro Média. Cet appel se faisait au moment où la conseillère de Bordeaux-Cartierville Effie Giannou faisait voter une motion pour rappeler l’utilité de ce prolongement d’un peu plus de 2 km. Le but de cette déclaration politique était de mettre sous les feux des projecteurs cette demande. «Tout le monde est d’accord avec cette revendication, avait souligné Mme Giannou en entrevue avec Métro Média. Je me disais qu’il fallait une demande officielle pour aide à accélérer le processus.» Cependant, le projet n’est pas inscrit dans les priorités gouvernementales. Or, ce prolongement était à un moment sur la table des décideurs. Un article publié en décembre passé par le Journal de Montréal révélait que des études réalisées entre 2011 et 2015 par la défunte Agence métropolitaine de transport (AMT) concluaient que ce prolongement de la ligne orange aurait permis de transporter plus d’usagers, aurait donné une alternative à l’automobile et offert un gain de temps supérieur à celui attendu du prolongement de la ligne bleue. Par ailleurs, une telle extension aurait soulagé le tronçon est de la ligne orange, toujours surchargée en heures de pointe. Ligne rose La ligne rose du métro promise par Projet Montréal durant la campagne électorale municipale de 2017 relierait Montréal-Nord à Lachine en passant par les quartiers centraux et le centre-ville sur près de 30 kilomètres. Un bureau de projet a été mis sur pied par la Ville de Montréal il y a un peu plus d’un an pour plancher sur cette proposition. Il a été doté d’un financement de 1 M$. Mais Métro Media a appris qu’en une année, ni mémoire ni bilan des activités de ce bureau n’ont été fournis. Une situation qui a suscité l’ire de l’opposition. «On n’est aucunement surpris d’apprendre que le Bureau de la ligne rose n’a rien fait à date depuis sa création. C’est un exemple concret du gaspillage d’argent des payeurs de taxes de la Ville de Montréal», avait commenté le chef d’Ensemble Montréal, Lionel Perez. Un SRB en route L’aménagement d’un Service rapide par bus (SRB) sur le boulevard de la Côte-Vertu sur près de 5 km reliera les stations de métro Sauvé et Côte-Vertu. Les travaux pour la réalisation ont été lancés en avril 2019. Ils sont effectués en trois phases. Deux ont été déjà achevées. La dernière, entre la gare Montpellier à la rue Décarie, devrait être terminée en juin 2020. En 2015, le coût de ce projet était estimé entre 20M$ et 26M$, incluant les mesures de mitigation pendant les travaux. Ce sera le premier SRB de Montréal, même s’il n’est pas de la même ampleur que celui de Pie-IX et n’aura pas de quais d’embarcation rapide. Il ne comportera aucune reconfiguration des stations, ce seront les mêmes que pour la ligne 121 qui dessert actuellement ce tronçon. La voie réservée bénéficiera de feux prioritaires, d’un pavage spécifique à certains endroits et d’une reconfiguration géométrique par l’élargissement de certains trottoirs. Ces améliorations permettront de réduire la durée du voyage de 10 à 20%. https://journalmetro.com/local/ahuntsic-cartierville/2413313/transport-en-commun-rapprocher-est-ouest/
  10. STM: la situation des bus s’améliore, mais demeure sous les attentes Journal Métro | Montréal | 17:35 | 22 janvier 2020 | Par: Zacharie Goudreault, Métro Photo: Pablo Ortiz | MétroLa STM se donne comme cible d'avoir un taux de bus immobiles de 19%. Le manque de bus disponibles aux heures de pointe se fait moins criant, constate la Société de transport de Montréal (STM). Le transporteur a toutefois encore du chemin à parcourir pour offrir un service à la hauteur de ses cibles et des attentes de ses clients. «Nous observons une nette amélioration du nombre de bus disponibles depuis le début du mois et nous souhaitons nous assurer de maintenir et d’améliorer ces résultats», a déclaré mercredi la STM dans un communiqué. Elle y affirme ainsi que le taux de bus immobiles est passé de 33 à 24% dans les dernières semaines. Depuis plus d’un an, le manque de véhicules plombe le service de bus de la société de transport. À plusieurs reprises, en décembre, environ 140 bus de la STM manquaient à l’appel aux heures de pointe. Ainsi, sur les 1425 véhicules nécessaires pour livrer un service normal pendant cette période de fort achalandage, moins de 1300 étaient présents sur les routes. Au total, la STM compte plus de 1800 autobus. «Nous sommes conscients que le service promis durant cette période n’a pas été à la hauteur de nos standards habituels», a reconnu la STM. Plusieurs facteurs expliquent cette situation, notamment l’arrivée progressive des 300 autobus hybrides promis par Valérie Plante, ainsi que les travaux d’agrandissement dans trois centres de transport de la STM. Les conditions hivernales affectent aussi souvent la ponctualité du réseau de bus. Embauche Mercredi, toutefois, il y avait 1408 véhicules à l’heure de pointe matinale. Une situation que la STM attribue notamment à l’embauche de 80 nouveaux mécaniciens actuellement en formation. La réouverture du centre de transport Saint-Denis le 6 janvier dernier, après un an de travaux, permet aussi de faciliter l’entretien d’une partie de la flotte. Le centre peut accueillir jusqu’à 165 bus. D’ailleurs, pendant le temps des Fêtes, le nombre de bus disponibles sur les routes a souvent été supérieur aux 1425 requis, selon le transporteur. La STM souligne toutefois qu’elle devra continuer à travailler fort si elle veut atteindre sa cible d’avoir un taux de seulement 19% d’autobus immobiles aux heures de pointe de façon récurrente. «Nous visons à ce que [cet objectif] soit atteint dans les meilleurs délais, mais nous devons poursuivre nos efforts», a indiqué à Métro un porte-parole de la STM, Philippe Déry. L’an dernier, la STM a reçu 30 166 plaintes reliées à son réseau de bus, soit 32% de plus qu’en 2017. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2414173/stm-la-situation-des-bus-sameliore-mais-demeure-sous-les-attentes/
  11. Sur le FB du REM: Attention au vertige à Édouard-Montpetit. J'avoue que c'est un sacré gouffre, vu d'en haut. C'est fort impressionnant; tout comme le sera la descente (et la montée) en ascenseur dans 2 (ou 3) ans !
  12. Quelqu'un connait-il quelqu'un de multi-milliardaire qui voudrait "investir" une p'tite (lire "énorme") fortune dans les TECs pour la métropole ? Financement du transport en commun: «35 G$ nécessaires» dans les prochaines années, selon Valérie Plante Journal Métro | Montréal | 12:40 | 22 janvier 2020 | Par: François Carabin, Métro Photo: Josie Desmarais/Métro | La mairesse de Montréal, Valérie Plante Alors que les services de transport en commun atteignent un point de saturation, l’enveloppe nécessaire pour leur développement pourrait s’élever à «35 G$ sur plusieurs années dans la région métropolitaine», avance la mairesse de Montréal, Valérie Plante. La mairesse a évoqué ce chiffre lors de son passage à Québec pour les consultations sur le projet de loi provincial 44. Le commentaire de Valérie Plante survient au lendemain du dévoilement de la dernière enquête Origine-Destination, où l’on note une progression d’à peine 4% du transport en commun dans les cinq dernières années. Il s’agit du pire rendement de ce mode de transport en 20 ans. Selon plusieurs experts interrogés par Métro, le réseau est saturé. «Les projets sont nombreux, a indiqué la mairesse Plante, mercredi. Je pense que, pour arriver à financer à la hauteur de nos ambitions, on parle dans la région métropolitaine d’à peu près 35 G$ sur plusieurs années.» En plus d’accueillir des stations du Réseau express métropolitain (REM), Montréal verra dans les prochaines années un prolongement de la ligne bleue du métro et une ligne de service rapide par bus (SRB) sur le boulevard Pie-IX. Part de financement La mairesse a profité de son passage à l’Assemblée nationale pour questionner une nouvelle disposition du projet de loi 44, qui doit entre autre mener à l’abolition du Fonds vert. Celui-ci deviendra le Fonds d’électrification et de changements climatiques. Actuellement, une règle oblige le gouvernement à allouer les deux tiers des sommes du fonds au transport. Le ministre de l’Environnement, Benoit Charette, désire toutefois éliminer cette mesure pour permettre au gouvernement de «déterminer la part minimale de ces revenus». Cette décision inquiète Mme Plante, qui exige que cette règle des «66%» soit reconduite. «Le programme d’aide au développement du transport collectif, financé par l’actuel Fonds vert, a, depuis 2006, permis à la [Société de transport de Montréal] d’augmenter son offre de service global de 36%», a-t-elle observé. «On est encore sur des morceaux de financement qui viennent de plein d’endroits. La Ville ne veut pas laisser tomber une source de financement qui est importante et qui a fait ses preuves», a pour sa part affirmé le responsable de la transition écologique à la Ville, Sidney Ribaux. Rôle de Montréal Alors que l’étude du PL44 s’amorce et à quelques jours de la présentation du prochain Plan d’action provincial sur les changements climatiques, Montréal occupe un rôle majeur dans la lutte au réchauffement de la planète, maintient la mairesse Plante. «L’atteinte de la cible québécoise de réduction des gaz à effet de serre (GES) passe nécessairement par l’atteinte de la cible montréalaise», a souligné la chef de Projet Montréal. Au mois de septembre, la mairesse s’est fixé l’objectif de réduire les émissions de la métropole de 55% d’ici 2030. La province s’est pour sa part donné la cible de 37,5%. L’arrivée d’un comité consultatif au sein du prochain Fonds vert encourage la mairesse. Elle espère toutefois que les municipalités y seront représentées. «C’est autant incontournable que nécessaire», a ajouté Mme Plante. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2413953/financement-transport-en-commun-35-milliards-necessaires-selon-valerie-plante/
  13. Merci @champdemars d'avoir posé cette question, dont plusieurs ici se posent, à l'équipe du REM. Je me suis permis d'insérer ci-dessous le rendu qu'ils ont partagé en te répondant. Et encore, bravo de nous l'avoir déniché.
  14. Le maire Beis ne semble toujours pas digérer la décision de la Ville de Montréal d'interdir l'accès aux voitures sur la voie réservée aux autobus et vélos dans l'emprise de la 440... Dossiers à surveiller à Pierrefonds en 2020 Journal Métro | Local | 17:08 | 20 janvier 2020 | Par: Francois Lemieux L’année 2020 verra les travaux de revitalisation du port de plaisance de Pierrefonds-Roxboro s’achever. L’administration du maire Jim Beis compte aussi ajouter des mesures de protection additionnelles contre les inondations et faire pression pour un boulevard urbain accessible aux voitures dans l’emprise de l’A-440. [...] Chemin de parc La décision prise par l’administration de la mairesse de Montréal, Valérie Plante, de créer un chemin de parc interdit aux voitures dans la bande de terrain qui avait été réservé pour un éventuel prolongement de l’A-440, avait fortement déplu au maire Beis, à l’été 2018. Il s’était insurgé de ne pas avoir été consulté et avait affirmé que les besoins des résidents de l’ouest de Pierrefonds n’étaient pas pris en compte. M. Beis anticipe des problèmes de circulation près de la rue Antoine-Faucon, par laquelle les autobus qui emprunteraient le chemin de parc nouvellement créé circuleraient. «Un boulevard urbain accessible aux voitures, vélos et autobus est absolument nécessaire pour que les gens puissent se rendre au nouveau Réseau express métropolitain (REM) à Kirkland», indique M. Beis. [...] https://journalmetro.com/local/2413359/dossiers-a-surveiller-a-pierrefonds-en-2020/
  15. On devrait connaître demain les faits saillants (résultats) de l'enquête Origine-Destination réalisée en 2018 par l'ARTM Avis aux médias - Dévoilement des résultats de l'enquête Origine-Destination 2018 MONTRÉAL, le 20 janv. 2020 /CNW Telbec/ - L'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) convie les représentants des médias au dévoilement des faits saillants de l'enquête Origine-Destination 2018 (OD). Plus importante enquête sur la mobilité au Québec, elle fut menée à l'automne 2018 auprès des citoyens de la région métropolitaine de Montréal et permet de décrire les caractéristiques des déplacements réalisés, peu importe le moyen de transport utilisé. Effectuée tous les 5 ans depuis 1970, l'enquête contribue directement à une meilleure planification des systèmes, réseaux et modes de transport et de l'environnement urbain de la région métropolitaine. Aide-mémoire Quoi : Dévoilement des faits saillants de l'enquête Origine-Destination 2018 Quand : Le 21 janvier 2020, à 9 h 30 Où : Autorité régionale de transport métropolitain | 700, rue de la Gauchetière O, bureau 400, Montréal, QC H3B 5M2 Qui : Monsieur Benoit Gendron, directeur général de l'Autorité régionale de transport métropolitain. L'ARTM a reçu le soutien financier du ministère des Transports du Québec ainsi que du ministère des Affaires municipales et de l'Habitation du Québec pour la réalisation de l'enquête. Cette enquête est la réalisation de l'ARTM en partenariat avec le ministère des Transports du Québec, exo, le Réseau de transport de Longueuil, la Société de transport de Montréal, la Société de transport de Laval et la Communauté métropolitaine de Montréal. SOURCE Autorité régionale de transport métropolitain https://www.lelezard.com/communique-19098211.html
  16. Have a look at Montreal's fleet of new hybrid buses CTV News MONTREAL | Rob Lurie, Video journalist, & Daniel J. Rowe, Digital reporter Published Saturday, January 18, 2020 3:25PM EST | Last Updated Sunday, January 19, 2020 4:47PM EST Video: https://montreal.ctvnews.ca/video?clipId=1879596&jwsource=cl MONTREAL -- The STM is getting 830 new hybrid buses costing almost $1 billion as part of the city's plan to get more people out of their cars and onto public transit. For the past two years, the STM has been dealing with a shortage of buses on the road because of issues at its maintenance garage, and the new buses will both replace older vehicles and bolster the fleet. The transit authority wants to give more service than ever before. "I think it's the main thing to make sure that you have frequency to meet the challenge that our clientele is looking for," said STM director-general Luc Tremblay. Tremblay said that since November, the STM has put 32 hybrid buses into service, and by the end of the year will have 300 new ones on the road. The new vehicles will mean a 5 per cent increase in overall service. The hope is to reduce crowding on some routes and take a bit of congestion out of the orange metro line. "Build it and they will come," said Tremblay. "It's the same thing with transport en common. You have to increase service and there will be an impact on ridership." The new buses are air conditioned, have USB ports and because of the material they're built with, will stay cleaner. "It's making their journey easier when they take the bus and they can refuel their iPhone easily," said Tremblay, who added that the STM hopes to have an entirely electric fleet one day. That reality, however, will require a huge increase in charging stations. "We are talking about maybe $1 billion for all eight garage depots of the STM," he said. The STM is investing almost $1 billion in hybrid buses as it tries to persuade people to get out of their cars and onto public transit. https://montreal.ctvnews.ca/have-a-look-at-montreal-s-fleet-of-new-hybrid-buses-1.4773599?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter
  17. D'importants travaux débuteront à la station McGill en février (2020) et se tiendront jusqu'au printemps 2020 qui rendront cette station universellement accessible... finalement ! Voir les détails de ces travaux dans le fil ci-dessous:
  18. Attribution des contrats pour la conception architecturale des futures stations Viau et Lacordaire. La STM octroie un contrat pour la conception architecturale de deux nouvelles stations de la ligne bleue Communiqué > 20 janvier 2020 Dans le cadre du prolongement de la ligne bleue, la STM mandate "Les Architectes FABG" pour la conception architecturale de la station Viau alors que "STGM + Daoust Lestage Architectes en consortium", se voient octroyer le contrat pour la station Lacordaire. Montréal, le 20 janvier 2020 – À la suite d’un appel d’offres public, la Société de transport de Montréal (STM) annonce qu’elle a arrêté son choix pour les firmes d’architectes qui seront responsables d’assurer la conception architecturale des deux stations restantes du prolongement de la ligne bleue, après l’octroi d’un premier contrat pour trois stations en novembre. "Les Architectes FABG" seront responsables de la conception architecturale de la station Viau, pour un montant maximum de 807 000,00 $ alors que "STGM + Daoust Lestage Architectes en consortium", se voient octroyer le contrat pour la station Lacordaire, au montant maximum de 1 256 500,00 $. Ces montants couvrent une première phase de conception. Rappelons que deux équipes d’architectes de « Lemay Bisson Fortin Architectes en consortium » partageront le mandat pour les stations Anjou et Pie-IX, alors que la firme « ACDF Architecture » est responsable de celui de la station Langelier. Pour plus d’information sur la commande architecturale dans le cadre du prolongement de la ligne bleue Texte important Ce projet s’inscrit à l’intérieur du grand chantier de revitalisation de l’Est de Montréal initié par le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal. http://www.stm.info/fr/presse/communiques/2020/la-stm-octroie-un-contrat-pour-la-conception-architecturale-de-deux-nouvelles-stations-de-la-ligne-bleue
  19. Début d’importants travaux à la station McGill qui deviendra universellement accessible Nouvelle > 20 janvier 2020 La Société de transport de Montréal (STM) procédera à d’importants travaux à la station McGill à compter de la mi-février jusqu’au printemps 2022. Les travaux Au coût de plus de 60 M$, ces travaux comprendront : la réfection de la membrane d’étanchéité du toit de la station situé sous le niveau de la rue; la construction d’un nouvel édicule qui accueillera un nouvel ascenseur afin de rendre la station universellement accessible; l’ajout d’un second ascenseur; la réfection de trois édicules : édicule 811 de Maisonneuve, édicule de Maisonneuve et édicule de la Cathédrale; des interventions mineures à trois autres édicules. Les entraves Les entraves se feront surtout sentir au niveau de la surface, alors qu’à compter de mars 2020, le boul. De Maisonneuve Ouest sera fermé entre la rue McGill College et la rue Union pour les travaux de membrane d’étanchéité. Cette fermeture sera effective jusqu’en décembre 2020. Les travaux extérieurs reprendront sur le boul. De Maisonneuve Ouest en mars 2021 jusqu’en décembre 2021 entre le boul. Robert-Bourassa et la rue Aylmer. De plus, certains édicules seront également fermés pour différentes périodes de temps durant les travaux, mais quatre accès à la station demeureront ouverts en tout temps. Par ailleurs, à partir de mars 2020, certains arrêts de bus qui desservent la station McGill devront être relocalisés à proximité de la station. Pour plus de détails sur les entraves et le projet : www.stm.info/mcgill Emplacement du nouvel édicule à la station McGill Entrée rue Union à la station McGill Emplacement d'un nouvel ascenseur niveau Mezzanine côté Angrignon Emplacement d'un nouvel ascenseur au niveau du quai Honoré-Beaugrand La station McGill en bref Au moment de la construction du réseau initial, elle est considérée comme une station de prestige, car elle possède l’œuvre d’art La vie à Montréal au XIXe siècle de Nicolas Sollogoub. La station de métro accueille 11,5 millions d’entrants par année, ce qui en fait la 2e station la plus achalandée du réseau, après Berri-UQAM. Elle compte six édicules. Elle est desservie par 4 lignes de bus (excluant les lignes de nuit). http://www.stm.info/fr/presse/nouvelles/2020/debut-d-importants-travaux-a-la-station-mcgill-qui-deviendra-universellement-accessible
  20. Nouvelles photos des travaux autour de la station Rive-Sud apparaissant sur le FB du REM:
  21. Cette semaine à l'émission Découverte à Radio-Canada, il y avait un segment sur les travaux de l’échangeur Turcot, à Montréal, qui tirent à leur fin. C'est le premier reportage dans le lien de l'émission que vous trouverez ci-dessous: https://ici.radio-canada.ca/tele/decouverte/site/episodes/452778/turcot-glace-etoile-ecologie-photoshop-tibia?isautoplay=true DIMANCHE 19 JANVIER 2020 DÉMOLIR AVEC PRÉCISION Démolir avec précision L’échangeur Turcot à Montréal, est une immense plaque tournante. Le carrefour de 4 routes majeures et plusieurs voies ferrées. Dix ans après le début des travaux, on est encore en train de démolir les anciennes structures.
  22. Je confirme @alext30. François Legault a bel et bien dit qu'il comptait construire 6 tramways au Québec, dont un... entre Chambly et Saint-Jean. Voir l'extrait à 7:17 du lien du vidéo de l'émission d'hier sur le site d'Infoman (juste avant que M. Legault transmet ses bons voeux de Noël à tous les catholiques du Québec. Lol ! ) : https://ici.radio-canada.ca/infoman/emission/2020/01/17/des-restants-des-fetes/
  23. Article paru dans La Presse ce matin et partagé par @acpnc sur la question d'imposer de péages au Québec afin de cesser de subventionner les routes. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/202001/16/01-5257116-des-peages-pour-cesser-de-subventionner-les-routes-ca-narrivera-pas-en-2020.php ------------------------------------------------------ De plus, on trouve également dans cet article un hyperlien d'une étude sur la tarification routière (51 pages) réalisée par Jean-Philippe Meloche, chercheur au CIRANO et professeur d’urbanisme à l’Université de Montréal : https://cirano.qc.ca/files/publications/2019s-36.pdf
  24. STM: une campagne de publicité de 3,2 millions pour amadouer les usagers PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE | La Société de transport de Montréal investira plus de 17 milliards d’ici 10 ans dans l’amélioration de la qualité des services offerts aux usagers, toujours plus nombreux d’une année à l’autre. La Société de transport de Montréal (STM) chiffre à 3,2 millions la facture de la campagne publicitaire lancée l’automne dernier pour calmer la grogne des usagers, selon les données que La Presse a obtenues en vertu de la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics. Publié le 17 janvier 2020 à 0h00 | SUZANNE COLPRON | LA PRESSE Ce montant comprend 1,1 million en coûts directs et 2,1 millions en « gratuités médias », grâce à des ententes qui lient la STM et ses partenaires commerciaux comme Québecor et le journal Métro. « Pour mettre le coût de 1,1 million en perspective, il faut rappeler que le budget de la STM, en 2019, se chiffrait à 1,5 milliard », affirme Philippe Déry, porte-parole de la STM. Lancée le 21 octobre, cette campagne de pub avait deux objectifs. Le premier : faire connaître les grands chantiers en cours et à venir, que ce soit l’ajout d’ascenseurs, le virage électrique, la construction de nouveaux centres de transport, le prolongement de la ligne bleue ou le premier SRB. Le second : faire patienter les usagers qui subissent les contrecoups de ces travaux, sans parler des pannes, du taux de ponctualité en baisse et des wagons archi bondés. Selon M. Déry, la STM va investir plus de 17 milliards d’ici 10 ans dans l’amélioration de la qualité des services offerts aux usagers, toujours plus nombreux d’une année à l’autre. « Il s’agit à cet effet d’une importante campagne d’image qui se justifie par la phase de développement historique que vit la STM, avec des investissements prévus de 17,8 milliards sur 10 ans », précise le porte-parole de la Société. Cette campagne atteint-elle sa cible ? Il est trop tôt pour le dire, répond la STM. « De façon générale, la campagne a reçu un bel accueil, mais je ne suis pas en mesure de commenter avec davantage de précision à l’heure actuelle, puisque nous en sommes à colliger les divers résultats », dit M. Déry. L'avis d'experts Frédéric Gonzalo, stratège en marketing, communication et médias, croit de son côté que la somme de 3,2 millions ne semble pas démesurée, dans la mesure où le budget consacré au marketing représente généralement un pourcentage du chiffre d’affaires de l’entreprise, et que celui de la STM est très élevé. « Les gratuités médias font partie de la valeur de la campagne, mais ça ne sort pas de la poche de la STM », souligne-t-il. De son côté, Mylène Forget, présidente de Massy Forget Langlois relations publiques, note que la STM a mis de nombreux outils à la disposition des usagers au cours des dernières années, afin de mieux les informer. « Leurs campagnes sont très bien faites, juge-t-elle. La STM a l’air d’écouter les commentaires des gens et de concevoir des messages humoristiques pour les sensibiliser. À mon avis, cette technique est extraordinaire. » Pour ce qui est de calmer la grogne des usagers, la spécialiste estime que des gens bien informés sont moins critiques. — Avec la collaboration de William Leclerc, La Presse https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202001/16/01-5257126-stm-une-campagne-de-publicite-de-32-millions-pour-amadouer-les-usagers.php
×
×
  • Créer...