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Chuck-A

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Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. En effet, ceci est nécessaire. Mais ce serait en principe déjà le cas, puisque la ligne 171 (en partance de la station de métro Henri-Bourassa) sera reliée au REM à la station Montpellier, avant de rejoindre à nouveau la ligne orange du métro à Côte-Vertu. (En n'embarquant pas à la station Du Ruisseau, les usager embarqueraient ainsi à une station du REM plus près du c-v de Montréal, ... et auraient techniquement une moins longue distance à parcourir dans ce réseau. Surtout que l'on s'aligne vers un mode de paiement "tap-in"/"tap-out". Mais encore, je ne pense pas qu'on "économisera" tant que ça...) Par contre, je suis tout à fait d'accord qu'une ligne locale Est-Ouest sur Henri-Bourassa (un peu comme la ligne 121, sur Sauvé/Côte-Vertu) serait plus que la bienvenue.
  2. Outre la demande qu'il y ait une seconde consultation sur la construction d'un futur stade de baseball, l'OCPM a aussi fait des recommandations afin de "dérouter" la rue Bridge et de rediriger le traffic de ce secteur, tel que mentionné dans l'article de The Gazette ci-dessous et par @ScarletCoral un peu plus tôt aujourd'hui. MLB stadium in Montreal? Consultation office pitches more consultation At the same time, the Office de consultation publique supports the re-routing of Bridge St. around a proposed Irish Famine memorial park. MARIAN SCOTT, MONTREAL GAZETTE | Updated: March 9, 2020 In recent years, the Olympic Stadium has hosted Major League Baseball exhibition games that have drawn large crowds. DARIO AYALA / MONTREAL GAZETTE Montreal’s consultation bureau has sidestepped the question of whether a new Major League Baseball stadium should be built near the Peel Basin southwest of Old Montreal. In a report released Monday on the future of the Bridge-Bonaventure district between the Old Port, Griffintown and Pointe-St-Charles, the Office de consultation publique de Montréal said separate consultations should be held on the proposed stadium. “The committee considers that it would be irresponsible to decide on this project on the basis of the partial information available to it,” the bureau said in a 134-page report. It noted that no plans for the stadium had been submitted to it during public consultations on the district that were held in October. “This is a project … whose size and scale require that many different aspects be considered,” it said. However, the report gave the thumbs up to the idea of re-routing Bridge St. around a proposed memorial park commemorating Montreal’s Summer of Sorrow in 1847, when thousands of Irish immigrants infected with typhus died in fever sheds near the present-day Victoria Bridge. Their burial ground is marked by the Black Rock, which stands in a median in the middle of Bridge St. Fergus Keyes, a director of the Montreal Irish Memorial Park Foundation, welcomed the report. “They seem to agree with what we’re saying — that to make it a real world class park, Bridge St. really has to be moved,” he said. “We’re really, really pleased that the office of consultation agrees with our presentation and agrees with the history and the importance of it,” he added. The report also called for diverting commuter traffic from the Victoria Bridge onto the Bonaventure Expressway from Bridge St., which would become a local street rather than a commuter artery. It calls for retaining economic activities related to shipping and food milling, which are key to area’s history, and said that any future housing projects should be complementary rather than dominant. https://montrealgazette.com/news/local-news/consultation-needed-on-baseball-stadium-ocpm?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1583777832
  3. Le maire de Laval démissionne comme administrateur de l’ARTM PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE | Marc Demers Le maire de Laval, Marc Demers, a décidé de confier à un autre élu de son équipe le soin de participer dorénavant à la planification du transport collectif au sein de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM). Publié le 09 mars 2020 à 14h51 | KATHLEEN LÉVESQUE | LA PRESSE « J’ai remis ma démission du conseil d’administration de l’ARTM parce que je souhaite avoir plus de temps pour me consacrer aux intérêts de la population lavalloise », a indiqué M. Demers par voie de communiqué lundi. À son cabinet, on a donné l’assurance à La Presse qu’il ne s’agit pas d’une façon pour lui, de remettre progressivement les dossiers politiques dans d’autres mains, afin de préparer une éventuelle sortie de la scène publique en vue de l’élection municipale de l’année prochaine ni d’un geste critiquant l’ARTM. Chose certaine, en janvier dernier, les présidents des quatre sociétés de transport de la région métropolitaine, dont la Société de transport de Laval (STL), avaient dénoncé l’attitude de l’ARTM, qu’ils jugeaient « inadmissible et inexcusable » à l’occasion de la publication de l’enquête origine-destination. La STL et ses homologues n’avaient pas été invitées à la présentation des résultats. La STL est présidée par le conseiller municipal Éric Morasse de l’équipe du maire Demers. Quant au siège qu’il occupe à l’ARTM, M. Demers proposera la nomination du conseiller municipal Nicholas Borne, membre associé du comité exécutif pour les dossiers de transport. Une rémunération annuelle de quelque 20 000 $ est associée à ce poste. La candidature de M. Borne devra franchir quelques étapes et recevoir l’appui notamment du comité exécutif, du conseil municipal ainsi que du conseil d’administration de l’ARTM. Marc Demers continuera d’assumer ses responsabilités d’ici à ce que son remplaçant soit confirmé dans ses fonctions. « L’aggravation de la congestion routière nécessite de travailler à l’essor des transports collectifs et actifs ainsi qu’à l’édification d’aménagements urbains adaptés. » - Marc Demers, maire de Laval Le maire de Laval a présidé un forum sur la mobilité il y a deux ans, auquel 19 maires des Basses-Laurentides avaient participé, afin de réclamer des interventions importantes de la part du gouvernement du Québec. La présentation du budget gouvernemental mardi pourrait peut-être apporter quelques réponses au problème de congestion, espère-t-on tant à Laval que dans l’ensemble de la région métropolitaine. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202003/09/01-5263898-le-maire-de-laval-demissionne-comme-administrateur-de-lartm.php
  4. Chuck-A

    REM de l'Est

    Je pense que @mk.ndrsn fait référence au fait qu'on devrait connaître les résultats des études pour l’évaluation d’un nouveau système de transport collectif électrique dans l’Est de Montréal d'ici la fin de la présente année... J'espère qu'on n'attendra pas jusqu'à décembre avant de nous offrir ce cadeau (lire, les résultats des études...).
  5. Ça ne semble pas être pour tout de suite qu'on connaîtra la décision sur l'avenir du secteur... Peut-être un peu plus tard en 2020(-2021) ? Stade de baseball: une deuxième consultation nécessaire, dit un rapport PHOTO YVES TREMBLAY, ARCHIVES LES YEUX DU CIEL | Le groupe mené par Stephen Bronfman qui travaille pour le retour d’une équipe de baseball majeur à Montréal a identifié un terrain de 800 000 pieds carrés au bassin Peel pour construire un stade de baseball qui accueillerait une équipe à temps partagé avec Tampa Bay. Doit-on réserver un terrain d’environ 800 000 pieds carrés au bassin Peel pour la construction d’un stade de baseball professionnel ? Publié le 09 mars 2020 à 6h25 | VINCENT BROUSSEAU-POULIOT | LA PRESSE Avant de prendre une décision finale, la Ville de Montréal devrait faire une deuxième consultation portant uniquement sur le projet d’un stade de baseball au bassin Peel, a conclu l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) dans un rapport à la Ville de Montréal rendu public lundi. Selon l’OCPM, la Ville de Montréal en sait trop peu actuellement sur le projet de stade de baseball du groupe de l’homme d’affaires montréalais Stephen Bronfman pour décider s’il faut réserver un important terrain du bassin Peel. Ce projet, que l’Office qualifie de « très controversé », devrait être analysé « sur la base d’un projet plus développé. » D’après l’OCPM, il « serait irresponsable de statuer sur ce projet sur la base des informations parcellaires dont elle dispose. Il s’agit d’un projet d’équipement majeur pour la Ville de Montréal dont la taille et l’ampleur requièrent qu’on en mesure les impacts sous divers aspects. Aucun plan, de même qu’aucune étude en mesurant les impacts économiques, sociaux et environnementaux n’ont été portés à la connaissance de la commission. Il en est de même pour une évaluation des conséquences de sa mise en activité sur les installations sportives et culturelles déjà présentes à proximité, comme le Quartier des spectacles au centre-ville ou l’Espace 67 sur l’île Sainte-Hélène », écrivent les trois commissaires de l’OCPM dans leur rapport. L’Office estime que le projet de stade de baseball au bassin Peel est « très controversé ». Selon le questionnaire en ligne de la consultation publique, 51,2 % des répondants sont contre ce projet. Si la Ville de Montréal faisait une consultation spécifique sur le projet de stade de baseball, ce ne serait pas une première : elle a procédé de cette façon pour l’agrandissement du centre de tennis au parc Jarry (2003) et du stade de football Percival-Molson (2006) à l’Université McGill, ainsi que pour un complexe municipal de soccer (2012). Pas de nouveau stade, pas d’équipe de baseball Le groupe mené par Stephen Bronfman qui travaille pour le retour d’une équipe de baseball majeur à Montréal a identifié un terrain de 800 000 pieds carrés au bassin Peel pour construire un stade de baseball qui accueillerait une équipe à temps partagé avec Tampa Bay. Pour le baseball majeur, le retour d’une équipe à Montréal passe obligatoirement par la construction d’un stade au centre-ville. Le terrain que convoite le groupe de M. Bronfman au bassin Peel appartient au gouvernement fédéral (Société immobilière du Canada), mais la Ville de Montréal a en quelque sorte un « droit de veto » sur le projet sur ce terrain. La Ville a inscrit un droit de premier refus sur le terrain en cas de vente (un droit de préemption) et peut ainsi bloquer la vente du terrain en l’achetant. Montréal et Ottawa doivent donc s’entendre au sujet de l’avenir de ce terrain. C’est dans ce contexte que la Ville a organisé une consultation publique menée par l’OCPM pour sonder les Montréalais sur les façons de développer le quartier du bassin Peel (le quartier Bridge-Bonaventure). L’administration Plante devrait normalement réagir ce lundi au rapport de l’Office de consultation publique de Montréal. Un développement immobilier « à échelle humaine » Si l’OCPM n’a pas fait de recommandation sur la construction d’un stade de baseball au bassin Peel, l’organisme fait toutefois une recommandation importante à la Ville : le développement résidentiel du secteur du bassin Peel devra être à « échelle humaine » et ne pas seulement comprendre des tours résidentielles de 30 étages. Il devra aussi comprendre des cibles de logement social, abordable et familial, selon l’OCPM. Deux visions s’affrontaient lors des consultations publiques tenues en octobre dernier. D’un côté, des promoteurs immobiliers suggéraient un développement résidentiel à forte densité et de hauteur élevée (de 15 à 36 étages), un peu comme dans le quartier voisin de Griffintown. De l’autre côté, plusieurs intervenants suggéraient un développement résidentiel « à échelle humaine », avec des immeubles résidentiels entre deux et huit étages, en plus d’avoir des cibles de logements sociaux et familiaux. Dans son rapport, l’OCPM recommande un développement résidentiel « à forte densité, mais à échelle humaine ». Qu’est-ce que ça signifie exactement ? L’Office ne précise pas s’il exclurait les immeubles de 15 à 36 étages en développement résidentiel. Il recommande aussi de créer une zone tampon à 200 mètres de rayon de l’autoroute Bonaventure où il n’y aurait pas de développement résidentiel pour des raisons de santé publique. Le rapport de l’OCPM est consultatif, et ce sont les élus de la Ville de Montréal qui auront le dernier mot dans ce dossier. En plus du stade de baseball, M. Bronfman veut faire un développement immobilier autour du stade. Si la Ville autorise seulement des immeubles de huit étages, le secteur sera alors moins attrayant pour les promoteurs immobiliers. Lors de son passage devant l’Office de consultation publique de Montréal, en octobre dernier, Stephen Bronfman a indiqué vouloir faire un projet de stade de baseball avec une préoccupation pour l’environnement, notamment en favorisant le transport en commun et l’arrivée d’un pôle d’entreprises de technologies vertes dans le quartier. La construction d’un stade du baseball majeur demande environ 440 000 pieds carrés, a alors expliqué M. Bronfman. Une bonne partie du reste du terrain du gouvernement fédéral (environ 345 000 pieds carrés) pourrait ainsi servir à un développement immobilier de Claridge (la société de M. Bronfman) et Devimco, un autre promoteur immobilier allié à Claridge dans ce dossier. — Avec la collaboration d’André Dubuc, La Presse https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202003/09/01-5263831-stade-de-baseball-une-deuxieme-consultation-necessaire-dit-un-rapport.php
  6. De rien, @danny12345 ! J'aime beaucoup faire ce genre de virée pour voir ce qui se cache derrière les caméras... de Devisubox. J'ai également pris quelques photos des travaux autour de la station Île-des-Soeurs. Par contre, ce n'est pas trop trop concluant, car la visibilité était cachée par les voies autoroutières et par le rond-point de la rue Jacques Le-Ber et du boulevard René-Lévesque (j'hésite à les afficher sur le fil de la station...). J'ai toutefois remarqué que ça travaillait très fort de ce côté là aussi !
  7. Ce fut un réel plaisir, @Megafolie. Il manquait de paires de yeux sur les caméras Devisubox pour couvrir tous les angles... J'étais content de voir le premier pilier du chenal de l’Île-des-Sœurs, et de remarquer qu'un second s'en vient près du pont de l'IDS. J'ai également très hâte d'observer de quelle façon se fera la traversée du REM au-dessus des voies du CN, près du pont Victoria. Cela m'a tout de l'air qu'il y aura une structure similaire (sinon bien plus imposante) que celle près des rues Wellington et St-patrick, près du Bassin Peel.
  8. Petit tournée en voiture d'un vendredi après-midi, entre l'Île-des-Soeurs... et le Bassin Peel. 06-03-2020
  9. +1 pour le nouveau nom du fil. Je t'envois mes louanges, @Normand Hamel ! Et merci pour le partage des images, rendus et hyperliens de ce(s) projet(s) ! C'est prometteur.
  10. Étrangement, l'équipe du REM a affirmé sur leur compte FB il y a une semaine, qu'il y aura un lien direct entre la station Panama et le secteur T, connecté à l'avenue Tisserand (voir commentaire de la photo que j'ai partagée). Après avoir réaménagé la bretelle A10-E > route 134 (boul. Taschereau) afin d'y construire un tunnel piétonnier pour accéder à l'"ouest" des voies autoroutières, il est possible qu'il y ait qu'un seul accès vers la Place Portobello (et ce ne serait pas le premier passage du REM vers l'arrière d'un centre commercial... "Bonjour Cineplex Dix30..."). Par contre, il existe également 2 arrêts d'autobus (pour les lignes 14 et 49 de la RTL) directement sur le coin de l'avenue Tisserand et à proximité de ce futur passage piétonnier. Ligne 14: Ligne 49: Donc, comme tu as bien dit @Miska, ce sera "...à voir"... éventuellement, après la refonte d'autobus à la RTL.
  11. De rien. Et également merci à toi, @IluvMTL de l'avoir déposé sur ce fil de discussion, traitant de façon plus complète la revitalisation de ce secteur (ex-"Faubourg à la m'lasse" et future ancienne brasserie Molson).
  12. Petite discussion sur le sujet (principalement) et sur d'autres projets environnants (i.e. futur ex-brasserie Molson, Prével (rue De Lorimier)) ce matin, à "Puisqu'il faut se lever" au 98.5FM. Doit-on s'inspirer du Quartier des lumières sur le site de Radio-Canada ? Avec Paul Arcand, Luc Ferrandez et Alexandre Taillefer https://www.985fm.ca/extraits-audios/opinions/289768/doit-on-sinspirer-du-quartier-des-lumieres-sur-le-site-de-radio-canada
  13. EXCLUSIF Une place animée et 60 commerces sur le site de Radio-Canada ILLUSTRATION FOURNIE PAR MACH On a très peu entendu parler jusqu’ici de l’offre commerciale imaginée par le groupe Mach qui transformera complètement le site de la SRC pour en faire le Quartier des lumières. Le groupe Mach ambitionne d’aménager une « plaza animée été comme hiver » qui offrira un « niveau de confort » accru aux piétons ainsi qu’une soixantaine de commerces sur le site de Radio-Canada. Composé de six zones, le quartier ne sera « pas un centre commercial avec des tours au-dessus », jure-t-on. Publié le 06 mars 2020 à 5h00 MARIE-ÈVE FOURNIER | LA PRESSE On a très peu entendu parler jusqu’ici de l’offre commerciale imaginée par le groupe Mach qui transformera complètement le site de la SRC pour en faire le Quartier des lumières. Pourtant, elle occupera une place centrale dans ce projet multi-usage de 1 milliard de dollars. Sa mission : créer une « expérience ». Les rez-de-chaussée des 12 édifices qui seront construits dans les prochaines années autour de la tour emblématique du diffuseur public seront tous occupés par des détaillants, des restaurants et des services (clinique médicale, banque, nettoyeur à sec, soins esthétiques). De plus, les consommateurs pourront faire leurs emplettes dans six grandes surfaces situées au sous-sol, mais accessibles à partir d’entrées aménagées à la surface qui pourraient être qualifiées de grandes vitrines. Les documents de promotion utilisés par Mach évoquent la possibilité que la première phase comprenne une épicerie, une quincaillerie, un détaillant d’articles de sport et une pharmacie. Ce type d’aménagement est à peu près inexistant au Canada, fait valoir la directrice de la conception et du développement du projet, Marie-Geneviève B-Pelland. La diplômée en architecture et en économie a accepté de rencontrer La Presse pour faire part des détails du projet et des plus récentes esquisses. [...] 《Les grandes surfaces répondent à un besoin, mais ce n’est pas ce qu’il y a de plus attrayant visuellement.》 - Marie-Geneviève B-Pelland Le constat est exactement le même en ce qui concerne les espaces de stationnement. Pour cette raison, ils seront tous cachés sous la terre. En tout, 2000 cases seront aménagées sur deux niveaux. Les commerces seront directement accessibles à partir de ce vaste lieu souterrain, comme c’est le cas dans le Square du DIX30, par exemple. Peu de vent, beaucoup de soleil Mach prévoit en outre aménager autour de la tour de Radio-Canada une « plaza » qui sera animée toute l’année. L’été, un marché fermier pourrait s’y installer le jour, tandis que des spectacles y seraient présentés en soirée. L’hiver, ce pourrait être « un marché de Noël comme on en voit en Europe et une patinoire », donne en exemple Marie-Geneviève B-Pellan. « On s’est assurés d’accroître le niveau de confort des gens, ajoute-t-elle. Ce ne sera pas la Floride en janvier quand il fait - 40, mais ce sera agréable d’y rester. » Les vents seront minimisés, on veut aussi offrir un maximum d’ensoleillement et proposer un environnement esthétique. ILLUSTRATION FOURNIE PAR MACH Mach prévoit aménager, autour de la tour de Radio-Canada, une « plaza » qui sera animée toute l’année, même l’hiver. Aussi, Mach a-t-il imaginé six zones ayant chacune sa vocation. Les services de santé et de bien-être, par exemple, seront regroupés dans les tours donnant sur le boulevard René-Lévesque, « qui n’est pas une artère commerciale ». En bordure de la rue Viger, qui procure beaucoup de visibilité, on privilégiera plutôt des détaillants aux « noms puissants ». Au centre, dans la plaza, on retrouvera des restaurants avec terrasses et des boutiques uniques en leur genre. La rue De La Gauchetière, qui sera prolongée pour traverser le site, ne sera pas exclusivement réservée aux piétons. Par contre, « on fera tout pour que l’automobiliste ne se sente pas le bienvenu, assure Marie-Geneviève B-Pellan. On veut qu’il ait un doute et se demande “est-ce que je peux y aller ?”. On veut réduire la circulation automobile au minimum. » Rappelons que trois stations de métro se trouvent à proximité. ILLUSTRATION FOURNIE PAR MACH Mach a imaginé six zones ayant chacune leur vocation. Les services de santé et de bien-être, par exemple, seront regroupés dans les tours donnant sur le boulevard René-Lévesque Une quinzaine de détaillants pressentis Jusqu’ici, près d’une quinzaine de détaillants ont été rencontrés et « il y a beaucoup d’intérêt ». L’équipe de Mach n’attend pas les offres de façon passive, explique Marie-Geneviève B-Pellan. Elle part plutôt à la recherche du bon détaillant pour chaque local afin de « créer des synergies, des interactions », une méthode semblable à celle utilisée lors du casting pour un film. Et malgré les difficultés actuelles dans la vente au détail, même les grandes surfaces sont attirées par le projet, souligne la directrice de la conception. Car elles apprécient d’avoir enfin la possibilité de s’installer au centre-ville de Montréal. Le vaste stationnement est l’autre argument de taille. « Pour que l’offre commerciale soit bien accueillie, on s’assure de ne pas entrer en compétition avec les commerçants du secteur, avec la rue Sainte-Catherine, ajoute-t-elle. On veut être complémentaires à ce qui est existant. » Répartition de l’espace commercial Grandes surfaces : 62 % Restaurants : 16 % Détaillants de proximité : 11 % Services : 11 % 10 000 personnes en tout temps Ceux qui accepteront de signer un bail bénéficieront en tout temps d’une clientèle potentielle de 10 000 personnes, évalue Mach. Le jour, il s’agira des travailleurs ; le soir, des résidants. « On essaie de créer l’esprit d’une rue principale, d’un quartier, d’un village », insiste Marie-Geneviève B-Pellan. Le promoteur immobilier pense pouvoir réduire les fuites commerciales. Bon nombre de résidants du coin doivent actuellement se résoudre à traverser le pont pour faire des achats sur la Rive-Sud ou simplement sortir du centre-ville, a conclu une étude réalisée par Altus. Ainsi, plus de la moitié des achats (53 %) sont faits à l’extérieur du quartier. Cette « étude d’impact » datée d’avril 2019 évaluait par ailleurs à 682 millions les ventes potentielles en 2021 dans la zone autour de Radio-Canada (délimitée par les rues Sanguinet, Saint-Joseph et Viau, et par le fleuve Saint-Laurent, au sud). Mach précise que le zonage actuel lui permet de réaliser l’entièreté de son projet qui inclut trois tours de bureaux, quatre tours de logements sociaux et cinq d’appartements en location. « L’antithèse de Griffintown » La date du début de la construction ne dépend plus que du déménagement des employés de Radio-Canada dans leurs nouveaux locaux construits par Broccolini dans l’ancien stationnement du côté est de la tour. Dans l’autre stationnement, du côté ouest, Devimco (Quartier DIX30) construira 2000 condos. Les travaux du projet baptisé Auguste & Louis commenceront cette année. La revitalisation du secteur prévoit aussi la construction d’une école et d’un parc. En juin 2019, le vice-président, immobilier, du Groupe Mach, Christopher Sweetnam-Holmes, a affirmé au journal Les Affaires que le Quartier des lumières sera « l’antithèse » de Griffintown, un quartier souvent considéré comme l’exemple parfait de ce qu’il ne faut pas faire en urbanisme. Notons que le Quartier des lumières a obtenu la certification Fitwel Community trois étoiles, une première pour un projet au Canada. Cela signifie qu’il met tout en œuvre pour accroître l’activité physique de la population, favoriser l’équité sociale, susciter un sentiment de bien-être et faciliter l’accès aux aliments sains, notamment. Le Quartier des Lumières en chiffres 1 milliard : Coût du projet 4,45 millions de pieds carrés : superficie totale du projet 400 000 pi2 d’espace commercial 4000 appartements (dont 400 abordables et 600 logements sociaux) 2000 espaces de stationnement 60 espaces commerciaux 6 grandes surfaces 1 école 0 espace de stationnement en surface https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.lapresse.ca/affaires/202003/05/01-5263518-une-place-animee-et-60-commerces-sur-le-site-de-radio-canada.php&ved=0ahUKEwjZ1bva44XoAhVclnIEHTHyAhwQxfQBCB8wAA&usg=AOvVaw3ARxqnSODlcqaqfuxcnO3S
  14. Quelques photos en rafale, à la pénombre... 04-03-2020
  15. Yep ! C'est ce qu'annonce TVA Nouvelles, également. 😉 Très hâte d'en apprendre plus. Un rapport sur le baseball majeur à Montréal attendu lundi Agence QMI | | Publié le 5 mars 2020 à 14:31 AFP Les fervents du retour du baseball majeur à Montréal se croisent les doigts, puisque l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) devrait dévoiler, ce lundi 9 mars, son rapport concernant l’avenir du secteur Bridge-Bonaventure. «La commission procède maintenant à l'examen de toutes les opinions entendues et de tous les documents déposés. Elle présentera son analyse ainsi que ses recommandations aux élus dans le rapport de la consultation», indique-t-on sur le site web de l’OCPM. Selon différentes sources, c’est enfin lundi que les recommandations seront émises. Celles-ci feront suite à la présentation de différents projets, dont celui de Groupe baseball Montréal. En septembre 2019, le projet piloté par l’homme d’affaires Stephen Bronfman avait été proposé dans un document de neuf pages. «Notre projet de base repose sur deux éléments complémentaires, soit l'attribution d'une franchise de la MLB et l'aménagement d'un stade de baseball qui deviendra, entre autres, le domicile de l'équipe, avait-on alors indiqué. Ce projet doit profiter à Montréal, d'un point de vue social, sportif, culturel et économique, et ce, de manière responsable. «La décision annoncée par le commissaire de la MLB, en juin dernier, ouvre une nouvelle avenue pour le retour du baseball majeur à Montréal, dans le contexte d’une saison partagée avec les Rays de Tampa Bay. C'est une proposition originale et intéressante que nous allons examiner soigneusement, en étant conscients d'être la première ville d'Amérique du Nord qui explore ce modèle. Ce geste démontre une grande marque de confiance à l'égard de Montréal comme marché et des Rays de Tampa Bay qui sont l'une des organisations les plus innovantes et des équipes les compétitives du baseball majeur.» Un projet appuyé par le Groupe CH Dans le cadre de ce processus de consultation publique, des opinions en ligne ont été recueillies du 10 septembre au 10 octobre 2019, puis l’audition des opinions a été tenue sur quatre jours au début du mois d’octobre. Geoff Molson, propriétaire, président et chef de la direction du Groupe CH, en avait notamment profité pour offrir son appui au Groupe baseball Montréal. «Je m’adresse à vous afin d’appuyer la démarche entreprise par M. Stephen Bronfman, avec un groupe de partenaires montréalais, afin de ramener à Montréal une équipe de baseball de la Ligue majeure de baseball», avait ainsi écrit Molson, dans une lettre adressée à Nicole Brodeur, présidente de la commission. «Le site que nous désirons aménager est situé sur des terrains adjacents aux bassins Peel et Wellington, précisait par ailleurs le Groupe baseball Montréal. Cet emplacement présente des caractéristiques idéales, car il est situé à proximité du centre-ville, du Vieux-Montréal et du Vieux-Port, mais aussi de plusieurs quartiers adjacents comme Pointe-Saint-Charles, Griffintown, Saint-Henri et la Petite-Bourgogne. Il n’existe aucun autre site équivalent.» https://www.tvanouvelles.ca/2020/03/05/un-rapport-sur-le-baseball-majeur-a-montreal-attendu-lundi
  16. Déclaration de l'honorable Catherine McKenna à l'annonce du consortium choisi pour le projet de déconstruction du pont Champlain OTTAWA, le 5 mars 2020 /CNW/ - « Le gouvernement du Canada investit dans des projets qui permettent de créer de bons emplois et d'améliorer la qualité et l'efficacité des principaux corridors de transport et de commerce au Canada. Quelques mois après l'inauguration tant applaudie du pont Samuel-De Champlain, nous franchissons aujourd'hui une autre étape clé avec l'annonce de la société des Ponts Jacques Cartier et Champlain Incorporée selon laquelle le consortium Nouvel Horizon St-Laurent, formé de Pomerleau Inc. et Delsan-A.I.M. Environmental Services Inc., a été choisi pour les travaux de déconstruction de l'ancien pont Champlain à Montréal. « La déconstruction du pont Champlain s'inscrira dans l'histoire du Québec comme l'un des projets d'infrastructure les plus uniques en son genre. Ce projet peut maintenant aller de l'avant sous la direction d'une équipe de calibre mondiale, qui veillera à protéger l'environnement local pour le bénéfice des résidents, des entreprises et des visiteurs de Montréal. « Ce projet offre des possibilités pour les travailleurs et les fournisseurs de la région sous forme d'emplois et de contrats, et pour les entrepreneurs, les artistes et les collectivités qui souhaitent participer au réaménagement des rives et à des méthodes novatrices et créatives permettant de réutiliser les matériaux de l'ancien pont. Une bonne partie des composantes du pont seront réutilisées dans de nouvelles infrastructures municipales, pour des projets urbains ou des oeuvres d'art publiques, ou transformées dans des centres de recyclage à travers le Québec. « La société des Ponts Jacques Cartier et Champlain Incorporée dévoilera plus de détails au cours des prochaines semaines lorsque l'échéancier des travaux et les méthodes de déconstruction auront été finalisés. Le projet de déconstruction du pont Champlain permettra de créer de bons emplois et de mettre en oeuvre les meilleurs principes de développement durable. » Twitter : @INFC_eng Web : Infrastructure Canada SOURCE Infrastructure Canada https://www.lelezard.com/communique-19161522.html
  17. J'imagine, en effet, que c'est pour protéger l'installation des équipements électriques liés au caténaires..., mais je n'en ai pas la certitude. Tout l'hiver, cette structure temporaire se trouvait au-dessus de la bretelle 30E>10E et entre les deux voies de la 10 (on pouvait un peu l'apercevoir sur la caméra il y a une semaine...). J'ai tenté de prendre une photo de l'état actuel du viaduc du REM au milieu de la 10, mais la vue était malheureusement obstruée par les clôtures à neige... 04-03-2020
  18. Pour poursuivre sur le post d' @ScarletCoral. Un projet de coopérative de logements pour la Malting Publié à 17 h 20 | 15 h 43 | Un projet 100% communautaire pour la Malting : Reportage de René Saint-Louis | Durée :8:34 Abandonné depuis 40 ans, l'ancienne usine de Canada Malting, située en bordure du canal Lachine, pourrait devenir une coopérative de logements. C'est, du moins, ce qu'espère le collectif À nous la Malting, qui a présenté le projet à l'arrondissement du Sud-Ouest. En 2013, lorsqu’un promoteur a présenté son projet de condos pour le site de la Malting, des citoyens ont demandé à l’arrondissement de mettre une réserve foncière sur le site pour qu’ils puissent eux-mêmes l’acquérir éventuellement. La Malting est un genre de cathédrale de l’époque industrielle et c’est le dernier site dans Saint-Henri, sur le canal Lachine, qui n’a pas encore été converti en lofts ou en condos, souligne Fred Burrill, membre du collectif À nous la Malting. Les citoyens ont présenté cette semaine leur vision pour le site : une coopérative 100 % communautaire de 200 logements répartis dans trois bâtiments. Leur projet prévoit également des jardins communautaires sur les toits, un centre de données, une serre, un belvédère, une pharmacie et une garderie. Selon la coordonnatrice de la Corporation de développement communautaire de Saint-Henri, Shannon Franssen, la présence d’un centre de données abritant une multitude de serveurs informatiques représenterait un grand avantage : Un data center de cette taille est amplement suffisant pour chauffer tout le reste du projet. Ça veut dire que les logements ne vont pas avoir de facture de chauffage. Un intérêt patrimonial Pendant tout le 20e siècle, l’usine de la Canada Malting a transformé l’orge en malt pour la fabrication de boissons alcoolisées. Le gigantesque complexe de briques, avec ses silos à grains, est aujourd’hui un emblème du quartier Saint-Henri. Il fait l’objet d’un énoncé d’intérêt patrimonial de la Ville de Montréal. La collectif À nous la Malting souhaite d’ailleurs préserver différents éléments architecturaux du site. Les façades de brique ornementée, les fameux silos de terracotta, on propose de les conserver et de les restaurer, indique l’architecte Étienne Bourque Viens, de Monument Architecture, qui a réalisé les esquisses du projet. On conserve plusieurs autres bâtiments, dont la tour de brique qui est très emblématique dans le quartier. La tour pourrait d’ailleurs accueillir un musée industriel, comme l’explique le citoyen Fred Burril : Saint-Henri a été construit par les travailleurs et travailleuses qui luttaient pour avoir de meilleures conditions et on veut mettre cette histoire en valeur. Le collectif chiffre l’ensemble du projet à 45 millions de dollars. Le cœur du financement viendrait d’une hypothèque qui serait remboursée par les 200 loyers de la coopérative. https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/le-15-18/segments/reportage/157411/usine-patrimoine-industriel-canal-lachine-saint-henri
  19. Ça pourrait ressembler à la distance que l'on retrouverait entre les (petits) poteaux bleus dans le rendu de la station Panama ci-dessous, publié sur le site du REM le 28 octobre 2019.
  20. Intéressante entrevue, parue dans La Presse, avec la directrice générale des grands projets au ministère des Transports du Québec et le directeur de projet chez KPH Turcot sur la fin des travaux de l'échangeur Turcot. Génie | Échangeur Turcot: la voie sera bientôt libre PHOTO FOURNIE PAR AIR PHOTO MAX | Vue vers l’est des bretelles de l’échangeur Turcot, 29 décembre 2019 Après cinq ans et au terme de travaux évalués à 3,67 milliards, tout indique que l’échangeur Turcot version 2020 sera inauguré dès l’automne prochain, selon l’échéancier prévu et « dans le respect des budgets ». Entrevue avec Sandra Sultana, directrice générale des grands projets au ministère des Transports du Québec, et Olivier Beaulieu, directeur de projet chez KPH Turcot, le consortium formé par les entreprises Kiewit et Parsons. Publié le 02 mars 2020 à 13h00 | YVON LAPRADE | COLLABORATION SPÉCIALE Q. Vous estimez que le vaste chantier est terminé à 88 %. Quelles sont les prochaines étapes qui vont conduire à sa réalisation finale ? Olivier Beaulieu : Avec l’arrivée du printemps et des conditions climatiques nettement plus favorables, nous nous apprêtons à amorcer l’étape finale. Cela passera, notamment, par le pavage d’asphalte [42 000 tonnes]. Nous prévoyons également compléter l’installation des murs antibruit et de plusieurs bretelles d’accès. Même chose pour le pont « signature » à haubans du canal de Lachine, qui sera terminé d’ici à la fin du printemps. Q. Quels ont été les plus grands défis de réalisation, jusqu’à présent ? Sandra Sultana : Quand on sait que 300 000 véhicules y transitent chaque jour [en provenance ou en direction des autoroutes 15, 20 et 720], il était essentiel d’assurer cette mobilité durant les travaux, dans tous les échangeurs, alors qu’on démolissait l’ancienne structure et qu’on en construisait une nouvelle. Il a fallu construire des voies temporaires… Cela a posé un défi de coordination et de communication ! Il est bon de rappeler que nous avons détourné [et relocalisé] les quatre voies ferroviaires du Canadien National sans nuire au trafic, quand on sait que 45 trains l’empruntent chaque jour. Q. Vous faites allusion à un projet carboneutre pour compenser les émissions de GES. Ça se traduit comment, concrètement ? Sandra Sultana : À la fin, nous aurons planté 9000 arbres et 60 000 arbustes et plantes. On peut parler d’un projet d’intégration urbaine, avec des pistes cyclables. Dans la reconstruction du nouvel échangeur Turcot, nous avons vu à ce que les maisons soient les plus éloignées possible des infrastructures routières. Par souci d’économie d’entretien du réseau, nous avons réduit de 68 % la superficie des structures en béton pour la remplacer par des remblais de pierres. PHOTO FOURNIE PAR AIR PHOTO MAX | Vue aérienne du pont de la rue Saint-Jacques terminé ainsi que de la nouvelle bretelle d’entrée menant à l’autoroute 15 en direction nord, 29 décembre 2019 Q. Peut-on parler d’un projet nécessitant des méthodes avant-gardistes ? Olivier Beaulieu : Oui, bien sûr. Nous avons eu recours à des drones pour le suivi des travaux. C’est ainsi que tous les mois, grâce à ce matériel visuel, nous avons pu documenter l’évolution du chantier, en collaboration avec le ministère des Transports. Il faut comprendre que ce n’était pas si simple, démanteler 300 000 mètres cubes de béton, sans parler de l’acier d’armature. Mais nous sommes parvenus à tout concasser, à tout recycler, pour leur donner une deuxième vie sur le nouvel échangeur Turcot. À vrai dire, 90 % du concassage s’est fait sur le site même des travaux. Sur la question de la santé-sécurité, nous avons acquis de la machinerie spécialisée pour minimiser les risques d’accident. C’est un défi quotidien, compte tenu de la présence de 1200 travailleurs en période de pointe, et presque autant de travailleurs employés de sous-traitants. Q. Vous affirmez que l’échangeur Turcot se démarque par son envergure et par l’ampleur du budget qui lui est consenti. Un dépassement de coûts est-il prévisible ? Sandra Sultana : Ça va se réaliser dans le respect du budget prévu [bien que] des coûts additionnels [299,7 millions] se soient ajoutés en raison d’événements tout à fait imprévisibles. On parle ici de fouilles archéologiques sur le chantier et de sols contaminés, notamment. On a apporté des modifications et des ajustements, des ajouts, au contrat du consortium. L’échangeur Turcot, c’est… – un projet qui s’étend sur un territoire de 3 kilomètres sur 7 kilomètres ; – la reconstruction des échangeurs Turcot, Angrignon, De La Vérendrye et Montréal-Ouest ; – la reconstruction de l’autoroute 20 sur près de 5 kilomètres ; – la reconstruction d’un tronçon de l’autoroute 15 sur environ 2 kilomètres ; – la reconstruction de l’autoroute 720 sur près de 3 kilomètres ; – l’aménagement de voies réservées ; – la construction de nouveaux liens sur le réseau local ; – la relocalisation du corridor ferroviaire entre l’échangeur Montréal-Ouest et l’échangeur Turcot. https://www.lapresse.ca/affaires/portfolio/202003/01/01-5262968-echangeur-turcot-la-voie-sera-bientot-libre.php
  21. La mairesse de Brossard est favorable au projet de Léeo sur Taschereau (le contraire aurait été surprenant...), et il est estimé que cela prendra 15 ans (donc, d'ici 2035) pour relier Roland-Therrien à la station Panama du REM. Et dire qu'en 2035, Cela fera plus de 10 ans que les usagers de Deux-Montagnes, du West Island et que les voyageurs (transitant par le "futur" terminal de YUL... déjà vieux de 5 ans) pourront rouler à bord du REM jusqu'au Solar et l'ancien Dix30 à Brossard; On pourra prendre le métro jusqu'aux Galeries d'Anjou depuis près d'une décennie; On pourrait espérer que le prolongement de la ligne Orange jusqu'à Bois-Franc soit réalisé depuis longtemps; On songerait à remplacer le SRB Pie-IX en SLR; Il y aurait possiblement déjà 2 nouvelles stations qui seraient ajoutées à la phase 1 du REM, soient la Gare Dorval et le stade du Bassin Peel... et peut-être une 3e sur Marc-Cantin, dans le Parc d'entreprises de la Pointe-Saint-Charles et près de l'ancienne autoroute Bonaventure; Avec un peu de chance, on pourrait probablement observer la fin de construction de la phase 2 du REM, afin de relier PAT, RDP et Lachine. Bien que cet échéancier me semble réaliste si le financement venait des paliers gouvernementaux, j'imagine que, le jour où les caisses (CDPQ) et banques (BIC) d'investissements d'ici embarqueront dans ce projet (et si Léeo s'avèrerait à engager des profits), les délais de construction seraient bien plus courts. Je me pince encore aujourd'hui de constater tout le chemin parcouru depuis l'annonce du REM, il y a moins de 4 ans. Brossard accueille favorablement le projet de tramway sur le boulevard Taschereau 2020-03-02 / Auteur: Henri-Paul Raymond La mairesse de Brossard, Doreen Assaad, accueille favorablement le méga projet d’un lien Est-Ouest par tramway sur le boulevard Taschereau entre Longueuil et La Prairie. Le projet a été présenté jeudi dernier par la mairesse de Longueuil, Sylvie Parent. Pour son homologue de Brossard ce lien peut devenir un outil privilégié pour joindre ce qui deviendra certainement le centre-ville de Brossard. Le tramway devrait, d’ici 15 ans, relier le boulevard Roland-Therrien à Longueuil à la station du REM, Panama à Brossard. Selon Mme Assaad, le tramway va connecter deux pôles de transport importants, soit le métro et le REM et elle y voit un atout majeur pour l’économie de sa ville. La MRC de Roussillon accueille favorablement l’annonce le projet, car selon le préfet et maire de Delson, Christian Ouellette, c’est un enjeu réel pour la MRC et ses 182 000 citoyens répartis dans 11 municipalités. Le maire de La Prairie, Donat Serres, souhaite maintenant que Québec inscrive ce projet de Lien électrique dans le cadre d’un grand plan de mobilité. http://www.fm1033.ca/brossard-accueille-favorablement-le-projet-de-tramway-sur-le-boulevard-taschereau/
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