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Chuck-A

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Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. En effet, cela progresse beaucoup de ce côté-là aussi. Ce n'est pas très évident d'y photographier les travaux, mais je peux confirmer qu'on travaille fort dans la tranchée entre les voies autoroutières (tout comme à Panama à Brossard, où je parviens à y apercevoir le squelette du béton armée de la fondation de la station). Voici les photos que j'ai prises des travaux à l'IDS, lors de ma petite tournée de vendredi dernier. Désolé si elles ne sont plus trop trop d'actualité..., étant vieilles de 7 jours. 06-03-2020
  2. Good catch, @Miska. Voici mes quelques prises du jour. 13-03-2020
  3. Lien vers le document du Chantier de l'emploi de Montréal - Dans les coulisses du pont Samuel-De Champlain, tenu aujourd'hui au Grand Quai du Port de Montréal, afin de partager la construction du corridor du pont Samuel-De Champlain. C'est un très bon résumé de l'accomplissement de ce chef d'oeuvre et on y retrouve de nombreuse magnifiques photos.
  4. jeudi 12 mars 2020 DÉMÉNAGEMENT DU TERMINUS PANAMA En raison des travaux de construction du futur terminus du REM, le terminus Panama sera prochainement déplacé à proximité du stationnement temporaire, ouvert en novembre dernier. La date de ce déplacement n’est pas encore connue, mais la migration devrait avoir lieu au cours du printemps. Afin de vous familiariser avec le terminus temporaire, voici le plan des lignes : La date de l’ouverture du terminus temporaire sera annoncée sur notre site internet, sur nos réseaux sociaux, sur l’application Chrono et aux terminus Panama et Centre-Ville. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à contacter notre Centre de relation et d’information clientèle au 450 463 0131. https://www.rtl-longueuil.qc.ca/fr-CA/actualites/avis-a-la-clientele/2020/demenagement-du-terminus-panama/
  5. En effet, pour le moment. C'est certain que les vols d'avions contenant plus de 250 passagers en même temps (sous le même "toit", ou la même cabine) se font rares ces temps-ci et que les terminaux aéroportuaires paraissent généralement plutôt vastes..., exceptés aux douanes de Montréal durant les périodes «peak» des vacances. D'ailleurs, plusieurs artistes ont publié dernièrement des messages sur les réseaux sociaux que l'aéroport YUL semblait vide ces jours-ci (mais je ne l'ai pas vu de mes propres yeux... : Peut-être que David Usher était sur le même vol que Simon-Olivier Fecteau. ------------------------- Même si on ne peut comparer la situation de Montréal à celle de Rome, la capitale italienne va fermée l'aéroport Ciampino et un teminal à Fiumicino. https://www.tvanouvelles.ca/2020/03/12/rome-fermera-un-de-ses-aeroports-vendredi-et-reduira-lactivite-du-deuxieme-mardi ------------------------- Mais là, on s'écarte "joyeusement" du sujet du métro de Montréal...
  6. Malgré le fait que le PM a décrété l'interdiction de rassemblement intérieur de plus de 250 personnes et que le covid-19 pourrait survivre sur une surface (siège, barre latérale, porte, rampe,...) pendant plusieurs heures, le métro reste ouvert. Je ne veux pas paraître trop alarmiste, mais est-ce que je devrais m'en réjouir ? Les trains Azur peuvent continuer à rouler avec plus de 1000 personnes en heure de pointe PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, ARCHIVES LA PRESSE L’interdiction de rassemblements intérieurs de plus de 250 personnes, décrétée par le premier ministre François Legault afin de contrer la propagation de la COVID-19 ne s’applique pas au métro de Montréal. Publié le 12 mars 2020 à 14h24 | KATHLEEN LÉVESQUE | LA PRESSE C’est ce que soutient la Société de transport de Montréal (STM) même si les trains Azur qui comptent chacun neuf voitures et contiennent, en heure de pointe, plus de mille personnes confinées dans un même lieu. En effet, les usagers peuvent circuler d’une voiture à l’autre puisque les trains Azur sont construits comme un seul véhicule. « L’annonce du premier ministre en conférence de presse, ça n’implique pas pour nous de changements dans nos procédures ou dans la gestion des déplacements en métro. » - Patrick Déry, porte-parole de la STM Ce dernier souligne que la STM est en contact étroit avec la Direction de la santé publique et suit ses recommandations. La STM a toutefois décidé d’augmenter la fréquence du nettoyage des autobus, trains de métro et stations à titre préventif. Plus tôt jeudi matin, la mairesse Valérie Plante a affirmé que les transports collectifs montréalais pourraient être fermés si le gouvernement donne une « directive claire » à cet effet. Saint-Patrick Il en va autrement pour de grands événements populaires comme la fête de la Saint-Patrick. Le défilé prévu au centre-ville de Montréal le 22 mars a été annulé jeudi. Cette décision des organisateurs de l’événement qui devait en être à sa 197e édition a été prise à la suite de l’interdiction formulée par le premier ministre. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202003/12/01-5264346-les-trains-azur-peuvent-continuer-a-rouler-avec-plus-de-1000-personnes-en-heure-de-pointe.php
  7. Cela devait en effet être cela. Et j'ai bien peur pour tes voisins, @ScarletCoral, que cela se poursuivra pour les prochaines nuits. Ils ont déplacé plusieurs autres poutres aujourd'hui afin de les rapprocher des voies du CN... 😉
  8. Pour les hispanophones de MTLURB, cette chronique a été rédigée par une agente immobilière, originaire du Mexique et vivant maintenant à Montréal, à des fins générales et informatives, sans autre but que d'illustrer les aspects immobiliers de la province de Québec à ses lecteurs. Bref, pour répondre à certaines questions de futurs acheteurs immobiliers (d'ailleurs elle invite ses lecteurs, intéressés à acheter bientôt, à participer à la conférence qui aura lieu au siège social de la Banque Scotia situé au 3064 Boulevard St-Charles, Kirkland, le samedi 21 mars à partir de 10h30). En bout de ligne, intérêt pécunier ici. Mi futura casa y el REM NM Noticias | Inicio | Blogs | Tu casa: una realidad | Mi futura casa y el REM | miércoles, 11 de marzo de 2020 Publicado en: Tu casa: una realidad | Por: Martha Velázquez Méndez Montreal está creando entornos de vida atractivos y dinámicos, diseñados de acuerdo con principios de desarrollo duraderos y sustentables. Se piensa que en 2031 habrá 4.3 millones de habitantes en el Gran Montreal 530,000 más que actualmente. Se crearán más de 150,000 nuevos empleos y para ello se asegurara la creación de viviendas, transporte y servicios en un ambiente seguro. Actualmente 30% de las personas que habitan el Gran Montreal utilizan transporte público, en 10 años será el 35%. Además se creará una red de ciclopistas y senderos peatonales que fomentarán los desplazamientos entre los lugares de residencia y los principales lugares de empleo y estudio. El objetivo es tener una red de transporte rápida, accesible y flexible, así como también disminuir el parque vehicular y las emisiones contaminantes. El (REM) Red Metropolitana de trenes rápidos es un importante proyecto de transporte público en construcción. El REM tendrá 26 estaciones y cruzará la Gran Región de Montreal con una red de 67 km que promete ahorros de tiempo y una mayor frecuencia de pasajes. La línea Deux-Montagnes será completamente reemplazada por la REM. En general, el precio de las propiedades cerca de las estaciones de tren y metro aumenta a medida que disminuye la distancia al centro de la ciudad. En el contexto específico del transporte público REM, varios compradores están dispuestos a pagar un precio adicional en una vivienda para estar cerca de una estación de tren suburbano. vDe hecho, el precio de las propiedades cerca de las estaciones es, en promedio, más alto que el de las propiedades más distantes, siendo todas las demás características iguales. El REM también será sinónimo de nuevas alternativas de transporte para la gente de Brossard y las ciudades circundantes en la Ribera Sur, pero también para todos los residentes del Oeste de Montreal y de L’Île-des-Sœurs, que se beneficiarán con la llegada de una nueva línea de tren ligero. Las propiedades en las cercanías de estas nuevas estaciones probablemente se beneficiarán del valor agregado local luego de la puesta en marcha del REM. De hecho, el efecto en los precio comienza a reflejarse de acuerdo a la proximidad. Una vez que el REM esté terminado y en servicio, será interesante ver cómo los precios de los bienes raíces residenciales e incluso comerciales habrá cambiado en los municipios beneficiados por el nuevo REM. La presente columna es hecha a título general e informativo, sin otro propósito que el de ilustrar al lector sobre aspectos inmobiliarios en la Provincia de Quebec. Queda el lector invitado a buscar las respuestas concretas a sus necesidades con el consejo de su profesional de confianza. [...] http://nmnoticias.ca/2020/03/11/mi-futura-casa-y-el-rem/ ----------------------- Pour ceux et celles dont l'espagnol est plutôt "basique" et/ou fonctionnel (en voyage), voici une libre traduction de l'article en français (merci Google): Ma future maison et le REM Montréal crée des milieux de vie attrayants et dynamiques, conçus selon des principes de développement durable et durable. On pense qu'en 2031, il y aura 4,3 millions d'habitants dans le Grand Montréal, 530 000 de plus qu'aujourd'hui. Plus de 150 000 nouveaux emplois seront créés, ce qui assurera la création de logements, de transports et de services dans un environnement sûr. Actuellement 30% des gens qui vivent dans le Grand Montréal utilisent les transports en commun, dans 10 ans ce sera 35%. De plus, un réseau de pistes cyclables et de sentiers pédestres sera créé pour favoriser la circulation entre les lieux de résidence et les principaux lieux de travail et d'études. L'objectif est de disposer d'un réseau de transport rapide, accessible et flexible, ainsi que de réduire le parc automobile et les émissions polluantes. Le (REM) Metropolitan Rapid Rail Network est un important projet de transport public en construction. Le REM comptera 26 stations et traversera la grande région de Montréal avec un réseau de 67 km qui promet des gains de temps et une fréquence de passages plus élevée. La ligne Deux-Montagnes sera entièrement remplacée par le REM. En général, le prix des propriétés à proximité des gares et des stations de métro augmente à mesure que la distance au centre-ville diminue. Dans le contexte spécifique du transport public REM, plusieurs acheteurs sont disposés à payer un prix supplémentaire sur une habitation à proximité d'une gare de banlieue. En fait, le prix des propriétés à proximité des gares est, en moyenne, plus élevé que celui des propriétés plus éloignées, toutes les autres caractéristiques étant égales. Le REM sera également synonyme de nouvelles alternatives de transport pour les gens de Brossard et des villes avoisinantes de la rive sud, mais aussi pour tous les résidents de l'ouest de Montréal et de L'Île-des-Sœurs, qui bénéficieront de l'arrivée d'une nouvelle ligne de métro léger. Les propriétés situées à proximité de ces nouvelles stations bénéficieront vraisemblablement d'une valeur ajoutée locale après le lancement de REM. En fait, l'effet sur les prix commence à se refléter en fonction de la proximité. Une fois le REM terminé et en service, il sera intéressant de voir comment les prix de l'immobilier résidentiel et même commercial auront évolué dans les communes bénéficiant du nouveau REM. Cette chronique est faite à des fins générales et informatives, sans autre but que d'illustrer le lecteur sur les aspects immobiliers de la province de Québec. Le lecteur est invité à rechercher des réponses spécifiques à ses besoins avec les conseils de son professionnel de confiance.
  9. Toutes les cinq à six semaines!!!??? Si on m'avait posé la question hier, j'aurais deviné : "je ne sais pas... tous les jours?" wow... Après l'épisode d'une personne infectée ayant pris le métro et l'autobus à Montréal et Longueuil à 2 occasions dernièrement (24 février & 6 mars) révélée dans les médias hier, êtes-vous rassurés ? Quelqu'un ? Coronavirus: STM steps up cleaning and disinfecting of buses and métros "There’s no reason to worry or not to use public transportation," Mayor Valérie Plante says. JASON MAGDER, MONTREAL GAZETTE | Updated: March 11, 2020 The Société de transport de Montréal is stepping up hygiene measures in an effort to prevent the spread of the coronavirus. In a statement, STM spokesperson Philippe Déry said the transit authority “is in close contact with public health authorities, who are keeping us informed of the situation, any cases that might concern us and the measures to be taken.” He said experts have said the risk of transmission on public transit is low, as the virus does not survive more than three hours on dry surfaces. On Tuesday, public health authorities reported a patient with COVID-19 travelled by public transit between Longueuil and Montreal, and the department took the unusual step of releasing the person’s travel route. Montreal Mayor Valérie Plante said there is no need to be afraid to use public transit. “Yesterday we learned that someone had used the métro and also taken the bus in Longueuil, but the two transportation companies have decided to increase safety measures,” she said during the weekly executive committee meeting. “There’s no reason to worry or not to use public transportation, but obviously we are asking the public to follow the basic rules, as the Quebec public health department has been saying, to wash their hands often and cough into their elbow.” The STM has increased the frequency of cleaning and disinfecting buses, paratransit minibuses, métro trains and stations to more than once a week, following the recommendations of health authorities. The STM has also distributed disinfectant wipes to STM station agents, operators and drivers of buses and paratransit minibuses. “Authorities are recommending that if customers (or employees) have fever or cough symptoms, they should contact the public health line (Info-Santé, 811) and stay off public transit. Further instructions will then be provided to these customers,” Déry said. He added the STM’s emergency response team is following the situation closely and preparing a contingency plan. Exo, the commuter train authority, said it too is stepping up preventive measures. Exo spokesperson Catherine Maurice said Wednesday additional cleaning measures will be put in place in the coming days. All Exo trains will be cleaned daily in the spots prone to spread a virus like seats, support poles, buttons to open train doors, toilets and door handles. An anti-microbial product will also be applied to surfaces on all trains in the coming days. Exo is also communicating with its service providers to increase the cleaning frequency of commuter buses, Maurice said. On the South Shore, the Réseau de transport de Longueuil said it has stepped up cleaning surfaces in buses to every second day. Normally, RTL buses are cleaned daily with a broom and an exterior washing, but a deep cleaning is done only every 10,000 kilometres, according to spokesperson Alicia Lymburner. Marian Scott of the Montreal Gazette contributed to this report. https://montrealgazette.com/news/local-news/stm-steps-up-hygiene-measures-to-help-prevent-spread-of-coronavirus?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1583947307
  10. Nouvelle parue dans l'édition "Mercier & Anjou" du Journal Métro de la semaine dernière. Il est intéressant d'apprendre que les Galeries d'Anjou valent plus de 430M$..., mais que celles-ci ne seront pas à première vue connectées directement (en souterrain) à la ligne bleue du métro. À voir si elles le seront d'ici 2026... Prolongement de la ligne bleue : « On met en péril les Galeries d’Anjou » Journal Métro | Mercier & Anjou | 12:09 | 3 mars 2020 | Par: Félix Lacerte-Gauthier Le tracé du prolongement de la ligne bleue. Le métro se rendra jusqu'aux Galeries d'Anjou. Le projet de prolongement de la ligne bleue du métro, tel qu’il est actuellement prévu, met en péril les Galeries d’Anjou, selon le maire d’Anjou, Luis Miranda. Selon lui, la STM doit retourner à la table à dessin. «Dans sa proposition, la STM veut construire le terminus là où on a toujours dit qu’il ne devrait pas être fait, avance M. Miranda. J’ai participé à toutes sortes de réunions au cours des 22 dernières années concernant la venue du métro. Ce qui a été présenté dans le passé n’est pas ce qui est sur la table actuellement. Il en a particulièrement contre l’emplacement du futur stationnement incitatif de 1200 places et du terminus d’autobus. Environ 25% de la superficie du stationnement du centre commercial a été réquisitionnée. Plusieurs commerces du boulevard des Galeries-d’Anjou seront aussi expropriés. C’est lors d’une «séance d’expression des opinions» mis en place dans le cadre du prolongement de la ligne bleue qu’il a interpellé la STM. «Ce qui est proposé actuellement ne répond pas aux besoins des Galeries d’Anjou. On répond aux besoins des 1 200 automobilistes qui viennent de l’extérieur », s’est-il exclamé alors qu’il abordait la question du stationnement incitatif. Le maire d’Anjou réclame plutôt que ceux-ci soient construits en banlieue. « On a toujours dit qu’il ne faut plus amener de véhicules à Montréal. Je me suis battu pour le pont de la 25, et pour qu’il y ait des voies réservées. Amenons ces gens en autobus. » De son avis, les travaux pour la construction du stationnement incitatif et du terminus d’autobus, dans leur forme actuelle, feraient en sorte que le centre commercial soit difficilement accessible. Il propose d’enfouir les lignes électriques situées à proximité de l’intersection du boulevard des Galeries d’Anjou et de la rue Bélanger afin que le terminus d’autobus puisse être construit au nord de cette dernière. De son côté, la STM ne souhaite pas réagir aux propos du maire. « Nous laissons les intervenants s’exprimer auprès des commissaires indépendants dans le cadre de ces sessions d’expression et que, par conséquence, nous ne commenterons pas à cette étape-ci du processus », indique Isabelle A. Tremblay, conseillère corporative auprès de la Société. Selon la dernière évaluation foncière de la Ville de Montréal, les Galeries d’Anjou a une valeur de 435,8 M$. Son dernier compte de taxes municipal s’est élevé à un total de 15,6 M$. https://journalmetro.com/local/saint-leonard/2425376/prolongement-de-la-ligne-bleue-on-met-en-peril-les-galeries-danjou/
  11. (Vieille) nouvelle parue dans l'édition locale "Ouest-de-l'Île" du Journal Métro il y a 2 semaines. J'imagine que cela concerne une future "densification" à la station Sunnybrooke. Quelqu'un est au courant d'un quelconque projet à ce sujet à DDO ? Nouveau plan d’urbanisme à DDO Journal Métro | Local | 16:57 28 février 2020Par: Francois Lemieux Photo: François Lemieux/Cités Nouvelles | Dollard-des-Ormeaux débute un processus de consultation en vue de réaliser un nouveau plan d’urbanisme. Créée en 1960, la municipalité de Dollard-des-Ormeaux devrait atteindre une population de plus de 50 000 personnes cette année. Les besoins en termes de développement économique et immobilier sont en évolution. C’est pourquoi les résidents seront appelés à se prononcer sur le nouveau plan d’urbanisme. «Il faut renouveler le zonage en général. On a commencé à faire des recherches là-dessus il y a 18 mois. Le Réseau express métropolitain (REM) va arriver près de nous et ça va amener une certaine pression sur certains secteurs. On parle de choses comme la densification de certains quartiers et d’occupation mixte, par exemple», soutient le maire, Alex Bottausci. Comme la Ville doit s’adapter, des consultants en urbanisme ont été engagés pour étudier la question. Le processus n’a pas été fait depuis de nombreuses années. «Il y a eu des changements sur le zonage comme du spot zoning, mais la ville est devenue comme du fromage suisse. Ce n’est pas uniforme, explique le maire Bottausci. Quand je suis arrivé en poste, en 2017, je me suis dit qu’il fallait avoir des zones uniformisées.» La première phase de la consultation aura lieu le 25 mars. Un sondage confidentiel sur l’aménagement du milieu de vie sera disponible sur le site Web de la Ville. Des copies papier sont également fournies à la bibliothèque, à l’hôtel de ville et au Service de l’aménagement urbain et de l’ingénierie. D’autres activités de consultation seront organisées au cours des prochains mois. Il faudra aux experts engagés jusqu’à 10 mois pour compléter leurs analyses. Les suggestions de la population seront ajoutées à leurs conclusions. Le conseil municipal devrait adopter son nouveau plan d’urbanisme d’ici le printemps 2021. https://journalmetro.com/local/2424623/nouveau-plan-durbanisme-a-ddo/
  12. Nouvelle parue dans l'édition "Montréal-Nord" du Journal Métro de la semaine dernière. Retour des travaux sur Pie-IX: des commerçants se préparent pour «le pire été» Journal Métro | Montréal-Nord | 17:03 | 2 mars 2020 | Par: Olivier Faucher Photo: Olivier Faucher - Métro Média | Maude Royal, propriétaire du St-Hubert du boulevard Pie-IX et présidente de l’Association des commerçants Pie-IX Montréal-Nord. À Montréal-Nord, les commerçants du boulevard Pie-IX se préparent pour une deuxième année difficile. Alors que les travaux majeurs pour aménager le Service rapide par bus (SRB) sont sur le point de reprendre, ce sont les commerces du côté est de l’artère qui écoperont le plus en 2020. Quelle allure aura le boulevard Pie-IX pour cette deuxième année de travaux? Pratiquement un copier-coller de ce qu’on a pu voir en 2019, mais du côté est du boulevard. En 2019, c’est le côté ouest qui avait été complètement fermé à la circulation, perturbant fortement l’achalandage de certains commerces, comme le restaurant Dic Ann’s. «On a vraiment été barricadé pendant 29 semaines», explique Frédéric Ouellette, propriétaire du restaurant. L’accès à ce dernier est devenu si difficile que bon nombre de clients réguliers ont conclu qu’il était fermé. «Un client sur deux pensait ça, donc ils ne venaient pas», mentionne M. Ouellette, qui indique avoir perdu 350 000$ sur son chiffre d’affaires en 2019, l’équivalent de plus de 40%. Il compte demander la compensation maximale de 30 000$ qu’offre la Ville de Montréal pour les commerces enregistrant des pertes de plus de 15% sur leurs revenus par rapport à l’année précédente. Se préparer pour «le pire été» Maude Royal, propriétaire du restaurant St-Hubert, situé du côté est, a déjà vu une baisse «de 15% à 25%» sur son chiffre d’affaires en 2019. «C’est une moyenne baisse, mais ce n’est pas réjouissant», considère-t-elle. L’accès à son restaurant sera encore plus restreint en 2020. «On se prépare psychologiquement pour le pire été», dit-elle, bien qu’elle ait «espoir» que ses pertes n’empireront pas. Quelques centaines de mètres au nord, le Centre des Viandes F. Iasenza, également du côté est du boulevard, voit les obstacles s’accumuler pour sa clientèle. En plus d’avoir entendu plusieurs plaintes de celle-ci sur la clarté de la signalisation et sur la circulation, il a récemment appris que le stationnement pour ce commerce spécialisé sera encore plus difficile en raison d’une expropriation imposée par la Ville visant à assurer la sécurité des piétons. «On a demandé de garder notre stationnement», dit le propriétaire Michele Digenova. Le grossiste en viande dit enregistrer des pertes qui pourraient éventuellement le pousser à prendre des mesures draconiennes, comme le licenciement d’employés ou un déménagement pour quitter l’artère. M. Digenova ne voit pas d’un bon œil la fermeture de son côté de la rue. «C’est sûr que s’il y a un trou en avant, je ne sais pas comment les gens vont se rendre.» «Plus personne ne vient manger» Le restaurant chinois Li Wah, qui partage le même stationnement partiellement exproprié, traverse des moments difficiles. «Il n’y a presque plus personne qui vient manger ici, confie le fils du propriétaire, Peter Chin. On a trois ou quatre clients par jour dans la salle à manger.» Le restaurant, qui survit maintenant grâce à la livraison, a dû se départir de la majorité de ses serveuses et envisage de réduire ses heures d’ouverture. Fermetures imminentes? Selon l’Association des commerçants Pie-IX Montréal-Nord, tous les commerces ont pu survivre à la première année du chantier. Or, pour Frédéric Ouellette du Dic Ann’s, ce ne serait qu’une question de temps avant de voir des premières fermetures sur ce boulevard. «Je m’attends à voir des commerces fermer d’ici la fin de l’été. On est un commerce solide, une chance, mais ceux qui sont le moindrement vulnérables ne survivront pas.» Les effets de l’Association Publicités, lumières décoratives , formations pour les commerçants : l’Association des commerçants Pie-IX Montréal-Nord reçoit 12 000$ par mois de Montréal dans le but de soutenir ses membres et de mettre de l’avant l’artère pour attirer les gens du quartier. La propriétaire du St-Hubert Maude Royal en est présidente. Elle commence à voir la pertinence de son mandat, malgré son scepticisme initial. «J’ai l’impression que ce n’est pas un coup d’épée dans l’eau. Il y a quelque chose qui émerge de ça. Ce n’est pas quantifiable, mais ça fait parler de nous. Ça crée aussi une collaboration avec les commerçants et ça aide.» https://journalmetro.com/local/montreal-nord/2425185/retour-des-travaux-sur-pie-ix-des-commercants-se-preparent-pour-le-pire-ete/
  13. Nouvelle parue dans l'édition "Lachine & Dorval" du Journal Métro. Bretelles fermées Journal Métro | Lachine & Dorval | 12:55 | 9 mars 2020 | Par: Éric Martel Photo: Messager Lachine & Dorval - Éric Martel | L’échangeur Saint-Pierre liant la route 138 à l’autoroute 20 a été construit en 1966. Une réfection majeure de l’échangeur Saint-Pierre au cours des deux prochaines années forcera la fermeture de bretelles d’accès. Des garde-fous seront ajoutés et l’éclairage sera amélioré. Des poutres et la charpente seront également réparées afin d’assurer la conformité de l’infrastructure liant l’autoroute 20 à la route 138 vers l’ouest. Le budget est estimé entre 25 M$ et 30 M$ pour cette première phase des travaux. Le processus d’appel d’offres est en cours pour trouver un entrepreneur. Le ministère des Transports procédera à des études afin de s’assurer que l’impact des travaux sur la circulation soit minimisé. Des rencontres avec des citoyens, des organismes spécialisés en circulation routière ainsi que des cols bleus du secteur sont prévues au cours des prochains mois. La reconstruction de l’échangeur Turcot, qui relie les autoroutes 15, 20 et 720 se poursuivra simultanément. Elle devrait être terminée d’ici la fin de l’année. https://journalmetro.com/local/lachine-dorval/2427106/bretelles-fermees/
  14. Vieille nouvelle, parue dans l'édition "Île-Des-Soeurs" du Journal Métro de la semaine dernière. Avec la fin de l'hiver qui approche, ce ne sera plus très très utile maintenant. Du moins, espérons-le. Du jus de betterave pour déglacer le pont Samuel-De Champlain Journal Métro | Île-Des-Sœurs | 06:00 | 4 mars 2020 | Par: Katrine Desautels Photo: IDS/Verdun-Hebdo - Katrine Desautels | La piste multifonctionnelle de 3,5 km est utilisée par 75 % de piétons et 25 % de cyclistes depuis son ouverture. Afin de pouvoir se déplacer sécuritairement tout l’hiver sur la piste multifonction du pont Samuel-De Champlain, l’épandage de saumure de sel utilisé contient du jus de betterave. Une pratique écologique et efficace, mais qui, rassurez-vous, ne tache ni les vélos ni les vêtements. Le jus provient non pas du légume qu’on retrouve en épicerie, mais bien de la betterave à sucre, plutôt blanchâtre, qui est transformée. L’extrait est ajouté pour humidifier le sel dont l’efficacité passe de -15 degrés à environ -30 degrés Celsius. Ce mélange à concentration réduite de sel limite la contamination du fleuve et prévient la formation de glace noire. De plus, les nouvelles accumulations de neige ne peuvent former une couche de glace. «Il en résulte donc un produit à faible potentiel de corrosion et ayant un point de congélation relativement bas, explique Benoît Chamoutin, porte-parole de Signature sur le Saint-Laurent (SSL), qui gère l’entretien. C’est moins dommageable pour la structure et c’est aussi efficace que d’autres abrasifs.» Plusieurs autres municipalités de la province utilisent ce produit depuis déjà quelques années. En plus du jus de betterave utilisé pour l’entretien du pont Samuel-De Champlain, des tracteurs munis d’une souffleuse à neige ou d’une pelle fixe sont aussi utilisés pour dégager le passage. S’en suit un nettoyage au balai mécanique pour éliminer la neige résiduelle. Exceptionnellement, des fondants granulaires ou d’autres types d’abrasifs peuvent être appliqués. Critiques Si l’entretien est globalement satisfaisant selon certains utilisateurs, quelques difficultés ont été notées durant le mois de janvier, notamment parce que le corridor quatre saisons doit être temporairement fermé durant les opérations de déglaçage. «Il a y eu quelques critiques par rapport à la fréquence à laquelle la piste était ouverte, indique Camille Girard, membre de l’Association pour la mobilité active de Verdun (AMA-V). Fut un temps où elle était plus souvent fermée qu’ouverte en raison de la neige.» La cycliste croit toutefois qu’il y aura des ajustements puisque le pont est neuf et la piste n’est accessible que depuis la fin décembre. Il est encore trop tôt pour souligner une amélioration, selon Mme Girard. «Jusqu’à présent, l’hiver a été jalonné de grandes variations de température et d’événements météorologiques importants, tels que de grandes quantités de pluie verglaçante, de grésil, ainsi que de fortes chutes de neige mélangées à de forts vents. Au-dessus du fleuve Saint-Laurent, les conditions d’utilisation de la piste peuvent se détériorer rapidement», explique M. Chamontin. SSL décide d’une fermeture pour l’entretien en fonction des alertes météo et des critères d’entretien établis avec Infrastructure Canada, notamment concernant les accumulations, la poudrerie et la sécurité générale. «Si j’avais la certitude que la piste du pont Samuel-De Champlain n’allait pas fermer [durant une tempête], ça ne me découragerait pas [de prendre mon vélo]», témoigne la Verdunoise, qui se rend régulièrement au travail à bicyclette, à Brossard. Pour s’informer de l’état de la piste multifonction, il s’agit de se rendre sur le site web NouveauChamplain.ca, sur Twitter ou de consulter les panneaux à chacune des entrées. Il est aussi possible de s’inscrire aux alertes pour recevoir les mises à jour. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2425526/jus-de-betteraves-piste-multifonction-pont-samuel-de-champlain/
  15. Belle promenade ce midi. Merci d'être nos yeux sur le terrain, @Miska.
  16. On dirait qu'ils ont un "je ne sais quoi" de ressemblant... Ah oui ! Ils savent tous les 2 s'exprimer dans un micro.
  17. Chuck-A

    Expos de Montréal

    Chronique d'Yves Boisvert, parue dans La Presse ce matin. Le poker de Stephen Bronfman Il y a des limites à jouer au strip poker tout habillé. Publié le 11 mars 2020 à 5h00 | YVES BOISVERT | LA PRESSE Depuis quelques années déjà, Stephen Bronfman est à la tête du « Groupe de Montréal », qui entend ramener les Expos en ville. Va-t-il acheter une équipe ? Douteux, c’est trop cher, a-t-il déclaré au Journal de Montréal. Le coût estimé d’une équipe varie entre 1 et 2 milliards de dollars. US. Combien coûtera le stade « modeste » de 30 000 places qu’il veut faire construire ? Quel est le montage financier ? Si le groupe entendait le financer entièrement, j’imagine qu’il l’aurait déjà déclaré haut et fort. Ce serait une rare exception dans le monde du sport professionnel nord-américain, largement financé par les fonds publics en subventions, congés de taxes, cessions de terrains, taxe hôtelière spéciale de toutes sortes. Une exception dont fait partie le Canadien de Montréal, qui a payé le Centre Bell lui-même. Rien ne serait plus populaire que de déclarer un financement privé, non ? Ça n’a pas été fait. Il faut donc présumer qu’on demandera au public une contribution. Laquelle ? Une subvention touristique ? Un escompte sur le prix du terrain fédéral ? Un congé de taxes ? Ou un financement direct ? Je comprends qu’il y a beaucoup de stratégie dans ce projet. Je vois bien que la partie n’est pas simple. Mais on est rendu là. On est rendu au moment de mettre cartes sur table et de cesser le bluff. C’est quoi, le plan, au juste ? *** Le terrain est fédéral, mais la Ville de Montréal peut bloquer la vente. Autrement dit, la mairesse Valérie Plante ne choisit peut-être pas l’acheteur, mais elle peut dire un « non » retentissant. Enfin, pas la mairesse, mais l’administration. Et justement, lundi, Mme Plante, sans dire « non », a demandé à M. Bronfman, son groupe et le promoteur Devimco d’être « créatifs ». « Il faut qu’ils nous montrent quelque chose absolument, sinon on jase, mais on jase de quoi ? », a-t-elle dit en point de presse. Effectivement, on parle dans le vide actuellement. N’oublions pas que ce secteur est un superbe emplacement à deux pas du centre-ville, où le REM arrêtera. Avant de donner les clés, faudrait savoir un peu où on s’en va. *** Valérie Plante a toutes les raisons d’être dubitative. D’un groupe qui disait il y a un an à peine que « l’argent ne sera pas un problème », on est rendu à un groupe qui déclare officiellement ne pas avoir les moyens d’acheter une équipe. D’où cette idée d’une équipe en garde partagée, Tampa-Montréal. Une équipe dont on ne sait pas trop si le Groupe de Montréal sera l’actionnaire, ni quand. L’appétit public pour le financement des équipes professionnelles n’est pas très élevé au Québec, et encore moins depuis l’aventure décevante du Centre Vidéotron. Mais au moins, à Québec, il fallait remplacer l’ancien Colisée, totalement désuet. La capitale pouvait espérer un amphithéâtre neuf, qu’on critique ou non le montage financier et l’ampleur de l’édifice. Dans le cas de Montréal, même si le Baseball majeur n’exige rien pour l’instant, un stade n’aurait aucune utilité sans équipe de baseball. Pour une équipe à temps partiel, le stade ne coûtera pas moins cher. Mais l’amortissement sera évidemment moindre et la pertinence de le faire financer publiquement, encore plus difficile à démontrer. *** J’ai l’air terriblement opposé au projet du retour des Expos. Je ne le suis pas. J’accepterais même une forme d’aide publique, si elle pouvait être justifiée, comme pour tout autre secteur économique « porteur ». Si cette aide apportait quelque chose de tangible, et pas cette supposée notoriété et publicité de la ville, qui est de la foutaise, comme en témoigne notre désintérêt total pour la sympathique ville de Milwaukee. L’injection de fonds publics dans le sport professionnel n’apporte généralement que peu ou pas de retombées économiques véritables, quand elle n’est pas carrément ruineuse. Le fardeau de la preuve est donc sur les épaules des promoteurs, et ce qui ressort de la consultation publique, c’est qu’elle n’a même pas été commencée. La consultation, justement, sera… recommencée. Peut-être M. Bronfman peut-il enfin élaborer, expliquer son plan, plutôt que de se contenter d’entrevues vagues et générales dans les médias sportifs – je dis ça en tout respect, mais l’enjeu ici n’est pas sportif, il est social, politique, urbain. Peut-être le groupe de M. Bronfman attend-il un éventuel retour de Denis Coderre, promoteur politique fanatique du retour des Expos ? Le signal en tout cas est clair à la mairie aujourd’hui : la fin de match approche pour Stephen Bronfman et ses associés. On comprend qu’il est soumis à des contraintes de son éventuel partenaire de Tampa. Mais ça, c’est son problème. Jusqu’à preuve du contraire, on peut très bien développer ces terrains sans stade et sans demi-Expos. https://www.lapresse.ca/actualites/202003/10/01-5264107-le-poker-de-stephen-bronfman.php
  18. De belles nouvelles poutres ont été posées la nuit dernière au bassin Peel.
  19. Intéressant éditorial de Paul Journet, ce matin dans La Presse. On y parle des différents projets de TEC dans la grande région de Montréal à l'étude, suite au dépôt du budget 2020-2021 hier, et on s'interroge sur le fait que le prolongement de la branche ouest de la ligne Orange jusqu'à Bois-Franc n'y apparaît pas... Budget du Québec: vert… sur papier À regarder la carte du Grand Montréal dans le budget caquiste, il y a de quoi rêver. Publié le 11 mars 2020 à 5h00 | PAUL JOURNET | LA PRESSE Elle est quadrillée de nouveaux projets de transports collectifs : de possibles prolongements du REM et du métro ou de nouveaux tramways à Montréal, Laval et Longueuil. Mais, justement… Pour l’instant, ce n’est qu’un rêve. Ces projets n’existent que sur papier. Certes, il faut saluer le chemin parcouru. Dans l’opposition, la Coalition avenir Québec parlait peu d’environnement. Avec son nouveau budget, c’est le contraire. L’environnement est le seul sujet qui fait l’objet d’un cahier spécial. Les caquistes ciblent le transport en priorité pour réduire les gaz à effet de serre. Ils proposent sept nouveaux projets structurants : trois à Montréal (axes sud-ouest, nord-est et est), un à Laval (tronçon du REM est-ouest), deux à Longueuil (axe du boulevard Taschereau et prolongement de la ligne jaune) et un pour relier le REM à Chambly. Reste que ces projets sont seulement inscrits « à l’étude ». Soit la première étape, avant celles de la planification puis de la réalisation. Dans le passé, de beaux projets sont longtemps restés ainsi à l’étude avant d’être finalement abandonnés. Pourtant, les caquistes ont déjà procédé plus rapidement. À titre de comparaison, pour le troisième lien routier entre Lévis et Québec, ils ont sauté l’étape de l’étude pour passer immédiatement à la planification. Pourquoi ne pas avoir manifesté cet empressement, par exemple, pour prolonger la ligne orange de deux stations à Côte-Vertu afin de la raccorder au REM ? Bien sûr, il fallait commencer quelque part. En lançant tous ces projets, le gouvernement Legault se met lui-même de la pression. Il en met aussi sur l’Autorité régionale de transport métropolitain, qui devra préciser les projets à réaliser et dans quel ordre les faire. En plus de donner un élan, les caquistes ajoutent aussi leur couleur. C’est positif quand ils veulent desservir l’est de Montréal où ils projettent de décontaminer les terrains industriels afin d’y attirer des entreprises. Mais cela laisse songeur quand ils veulent prolonger le REM vers Chambly, ce qui risquerait surtout d’accélérer l’étalement urbain. Contrairement à la promesse électorale, les investissements en routes dépassent encore ceux en transports collectifs. À la décharge du gouvernement Legault, la majorité des sommes prévues pour les routes sont en travaux d’entretien et certains ajouts de tronçons sont en région comme sur la Côte-Nord, où ils sont nécessaires. Si on ne regarde que les nouveaux projets, il y en a plus pour le collectif que pour le routier. La CAQ n’a tout de même pas perdu ses vieux réflexes – elle étudie aussi des prolongements ou des élargissements d’autoroutes comme pour l’A13 et l’A30. Historiquement, un des gros problèmes en transports collectifs est l’extrême lenteur de la réalisation des projets. Les caquistes promettent de réviser la gestion des projets pour les accélérer. On ne demande qu’à le voir ! Toutefois, le gouvernement Legault aurait pu aussi régler un autre problème structurel : les villes payent toutes les dépenses de fonctionnement des transports collectifs alors qu’elles ne payent rien pour les autoroutes. Elles ont donc davantage tendance à réclamer des routes « gratuites » au lieu de payer des autobus. Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et désengorger les routes, le gouvernement caquiste pose maintenant le bon diagnostic et il ne manque pas d’ambition. Il ne reste plus qu’à passer à la prochaine étape. Avec la faiblesse des taux d’intérêt et la menace d’un ralentissement économique, c’est le moment d’investir. https://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/202003/10/01-5264088-budget-du-quebec-vert-sur-papier.php
  20. Rien de nouveau sur ce projet... Budget 2020-2021: le point sur les priorités montréalaises Trois dossiers d’intérêt pour les Montréalais étaient inclus dans les nombreux documents budgétaires. Le point. Publié le 11 mars 2020 à 7h00 | ANDRÉ DUBUC | LA PRESSE [...] Aucun progrès dans l’agrandissement du Palais des congrès L’agrandissement du Palais des congrès de Montréal fait du surplace, une déception pour la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM). Le projet reste au stade « à l’étude », ce qui signifie que le gouvernement n’a toujours pas approuvé le dossier d’opportunité qu’il a en sa possession. En campagne électorale à l’automne 2018, le Parti libéral avait promis 350 millions pour son agrandissement. L’élection du gouvernement caquiste a rendu l’engagement caduc. « Le budget n’engage toujours pas le gouvernement à financer rapidement l’agrandissement du Palais des congrès, un actif stratégique pour les secteurs économiques de pointe de la métropole », déplore Michel Leblanc, président et chef de la direction de la CCMM, dans un communiqué. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202003/10/01-5264109-budget-2020-2021-le-point-sur-les-priorites-montrealaises.php
  21. Budget 2020-2021: le point sur les priorités montréalaises Trois dossiers d’intérêt pour les Montréalais étaient inclus dans les nombreux documents budgétaires. Le point. Publié le 11 mars 2020 à 7h00 | ANDRÉ DUBUC | LA PRESSE [...] Québec prêt à absorber une autre facture du REM Le gouvernement prendra à sa charge le coût des équipements de la billetterie aux stations du Réseau express métropolitain (REM), le train électrique de la Caisse de dépôt et placement actuellement en construction. Sous l’appellation « équipement de billetique », le poste fait son apparition dans le PQI 2020-2030 dans la catégorie en planification. Le montant de l’investissement sera d’au moins 50 millions. À l’étape de la planification, le gouvernement doit approuver un dossier d’affaires avant de donner le feu vert à l’investissement. [...] https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202003/10/01-5264109-budget-2020-2021-le-point-sur-les-priorites-montrealaises.php
  22. Plus de 200M$ prévus le remplacement du toit et la réfection du funiculaire. Budget 2020-2021: le point sur les priorités montréalaises PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE | Pour la première fois, le gouvernement publie un chiffre officiel concernant le coût du remplacement de la toiture du Stade olympique. Une somme de 226 millions apparaît au Plan québécois des infrastructures (PQI) 2020-2030. Trois dossiers d’intérêt pour les Montréalais étaient inclus dans les nombreux documents budgétaires. Le point. Publié le 11 mars 2020 à 7h00 | ANDRÉ DUBUC | LA PRESSE 226 millions pour le toit et le funiculaire du stade Pour la première fois, le gouvernement publie un chiffre officiel concernant le coût du remplacement de la toiture du Stade olympique. Une somme de 226 millions apparaît au Plan québécois des infrastructures (PQI) 2020-2030. Aux dernières nouvelles, un dossier d’affaires doit être remis en 2020 pour approbation au gouvernement. L’installation de la nouvelle toiture est maintenant prévue en 2024. Ce montant de 226 millions couvre à la fois la toiture et la réfection du funiculaire. Le Parc olympique a refusé dans le passé de donner suite à une soumission autour de 60 millions pour la réfection du funiculaire, car il trouvait la note trop salée. Le projet consiste à reconstruire les gares de départ et d’arrivée, et à choisir un funiculaire d’un seul plancher au lieu de deux. La Régie des installations olympiques tient aussi à ce que les installations permettent aux visiteurs de sortir à l’air libre, comme à la tour du CN, à Toronto. [...] https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202003/10/01-5264109-budget-2020-2021-le-point-sur-les-priorites-montrealaises.php
  23. Si jamais Léeo se rendait un jour à Boucherville, l'actuelle administration ne veut aucunement densifier les stations de tramway... Pfff ! Projet de prolongement d’un tramway : il y a loin de la coupe aux lèvres, selon le maire Martel Le 11 mars 2020 — Modifié à 23 h 09 min le 10 mars 2020 | Temps de lecture : 2 min | Par Diane Lapointe Le maire Martel s’oppose à la densification des terrains autour d’un futur terminus de tramway. Le maire Jean Martel semble accueillir le projet de prolongement d’un tramway à Boucherville avec une certaine réserve. Pas question de le réaliser à n’importe quel prix, et pas question non plus de développer à proximité d’un futur terminus, des immeubles de huit à dix étages, comme il se fait à Brossard dans le secteur du Réseau Express métropolitain (REM). La vision de l’implantation de ce mode de transport baptisé Léeo (lien électrique est-ouest) annoncé le 27 février dernier par la mairesse de Longueuil, Sylvie Parent, ferait le lien entre le cégep Édouard-Montpetit et la Ville de Laprairie. Et au tracé prévu, un ajout est envisagé sur le territoire de Boucherville, dans une troisième ou quatrième phase. Mais le financement de ce projet est loin d’être bouclé, selon le maire Jean Martel qui commentait le projet lors de l’événement Déjeuner du maire, le 7 mars dernier. « Des ministres étaient présents lors de la présentation faite à la tribune de Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud (CCIRS), et la ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la région de Montréal et de la Métropole, Chantal Rouleau, a rappelé que ce projet doit passer, en partie, par l’agglomération. Il y a encore plusieurs étapes à franchir, et il y a loin de la coupe aux lèvres avant qu’il soit réalisé. Ici, à Boucherville, l’enjeu est la qualité de vie dans le respect de la capacité de payer de la population », a répété le maire Martel. « Ce projet qui représente beaucoup d’argent et de temps doit être examiné, poursuit M. Martel. Et ou ce train léger électrique est-ouest peut-il arriver ? Quand je regarde Brossard avec le REM, qui se finance avec du développement urbain très dense, il faut se demander ‘’ est-ce que l’on veut ça à Boucherville »? Des édifices de huit à dix étages qui poussent pour financer tout ça. Comment on veut faire les choses ? C’est le genre de questions qu’il fait se poser. » « Moi personnellement, je ne veux pas veut avoir à Boucherville ce que l’on voit à Brossard avec le REM. C’est non. Il faut examiner comment obtenir du service sans que ce soit de cette façon », conclut-il. https://www.lareleve.qc.ca/2020/03/11/projet-de-prolongement-dun-tramway-il-y-a-loin-de-la-coupe-aux-levres-selon-le-maire-martel/
  24. Montreal - How Deux-Montagnes commuters are avoiding 'mitigation measures' as REM work closes tunnel Main plan sees riders using 3 different modes of transportation when Mount Royal Tunnel closes Sean Henry · CBC News · Posted: Mar 10, 2020 5:00 AM ET | Last Updated: 6 hours ago It takes Gaetano Tagliarini just over 50 minutes from his home near the Grand-Moulin station in Deux-Montagnes to his office on McGill College Avenue. (Sean Henry/CBC) When the Mount Royal tunnel closes at the end of this month, the Deux-Montagnes commuter rail line will end service at the Bois-Franc station. To get downtown, commuters can hop on a shuttle bus to the Côte-Vertu Metro station, where they'll then board the western branch of the Orange line to reach the city centre. But with the route expected to take longer and involve multiple transfers, that option is a hard sell for some riders. Gaetano Tagliarini is planning to keep his commute as close to his current travel time as possible. It currently takes him just over 50 minutes from his home near the Grand-Moulin station in Deux-Montagnes to his office on McGill College Avenue. With the tunnel closing so work on the REM light-rail network can be done, he'd rather travel in the early morning hours — using an Exo bus route that heads straight downtown. "I find there's a lot of risk involved with all the connections. If one shuttle is not available, it would definitely delay my commute," he said. Wendy Claus has been boarding the train at the Sainte-Dorothée station in Laval for 30 years. She'll work from home a couple of days a week. And when she has to go in the office, it won't be by train. "I'm probably going to take a more direct bus that goes from Saint-Eustache to Montmorency Metro, and take the Metro to go into downtown," she said. Francis Millaire is a spokesperson for the Rally Train Deux-Montagnes group. (Sean Henry/CBC) A push for better solutions Francis Millaire, spokesperson for the group Rally Train Deux-Montagnes, has been hearing concerns from commuters since the announcement of the tunnel closure. He drives to the Deux-Montagnes station from Saint-Eustache, and his current commute is about one hour and 15 minutes. Millaire is pushing for a better solution from all those involved in the REM project. Last week, Chantal Rouleau, the province's deputy transport minister, said the province will make way for a reserved bus lane on Highway 13 starting this spring. She has not specified what distance the reserved lane of Highway 13 will cover. "Let's make these [reserved lanes] happen before the service stops," Millaire said. Sihem Chaouch said she'll likely have to live with the mitigation plan in place while the Deux-Montagnes service is paused. (Sean Henry/CBC) No choice but to ride Sihem Chaouch will be allowed to work from home at least two days a week to start, and is hoping for more days. But she may still have to use the proposed combination of train-bus-metro. "I'm worried there will be too many of us on the bus, too many of us on the Metro, and it will be jammed everywhere," she said. The portion south of Bois-Franc is closing to prepare the Mount Royal Tunnel for the start of REM service in 2022. But Deux-Montagnes users will be affected for much longer, as the entire line shuts down in mid-2021, and with the entire REM network only expected to be in service in 2023. Tagliarini hasn't thought that far ahead yet, but aims to control what he can in the short term. "For all those involved, try to stay positive," he said. "I know it's going to be rough. Try to work out with your employer some sort of a plan." For Claus, it comes down to preserving family life, and livelihood. "You depend on your family life to be able to have your family life," she said. "And if you can't get there or if you're too exhausted to get there and back … it's too many things that are affecting people's lives." https://www.cbc.ca/news/canada/montreal/deux-montagnes-commuters-1.5491506
  25. Chuck-A

    Expos de Montréal

    Lien vers un reportage de Jean-Sébastien Cloutier, au Tj 18h : https://ici.radio-canada.ca/tele/le-telejournal-18h/site/segments/reportage/158285/baseball-stade-peel-consultation Le titre du topo, "Loin d'un stade au bassin Peel", est (malheureusement) annonciateur des propos qui y sont tenus...
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