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  1. http://urbania.ca/canaux/ImaginerMTL Le manifeste « Imaginer Montréal », publié par l'École Urbania, sera lancé jeudi le 3 octobre prochain, à 20h30 sur la place des Festivals. En amont des élections municipales, l’École Urbania propulsée par l' UQAM publie un manifeste intitulé « Imaginer Montréal ». Celui-ci regroupe 102 idées créatives pour la ville et propose une vision constructive pour Montréal, afin d’alimenter la réflexion citoyenne et inspirer les Montréalais. Pour souligner la sortie de ce manifeste d'idées, nous vous invitons au lancement officiel lors d’une soirée spéciale à Mégaphone Montréal! Soyez des nôtres jeudi le 3 octobre prochain. La publication sera distribuée gratuitement au lancement et dès le lendemain, partout à travers la ville. Suivez nous réseaux sociaux (Facebook et Twitter, par exemple) dès le 4 octobre pour plus d'information sur les lieux de distribution du recueil.
  2. IluvMTL

    Facteur D

    http://facteurd.com/a-propos-de-facteurd Qu'est-ce que Facteur D ? Un événement unique Facteur D est un événement au concept unique, pour aider les entreprises et les organisations à mieux comprendre les bénéfices économiques et sociaux que l’architecture, le design et l’urbanisme peuvent leur apporter. Facteur D veut réinventer l’expérience des événements design, en ne les abordant plus seulement par les prismes de l’esthétisme, de la tendance ou de la technique, mais en termes de valeur ajoutée économique et sociale. Cette journée riche en contenus sera organisée autour de 4 temps forts : 47 présentations inédites de projets en duos concepteur / client 3 conférences de figures internationales Une soirée Facteur D L’Assemblée générale de Mission Design L'aperçu de la journée Matin Conférence d'ouverture : Le Facteur D : le Design, actvateur d'affaires Présentations en simultané : 28 projets dans 7 disciplines Midi Midi-conférence Ponts : pour une signature architecturale Panel : Foster+Partners Dissing + Weitling Wilkinson Eyre Après-midi Présentations en simultané : 19 projets dans 7 disciplines Conférence de Jan Gehl, Architecte. Pour des villes à échelle humaine Assemblée générale de Mission Design Soir Soirée Facteur D Projets finalistes Architecture Architecture de paysage Design graphique Design industriel Design d'intérieur Design urbain / urbanisme Design multi-disciplinaire
  3. http://aduq.ca/soiree/ ADUQ [0;0;0] , soirée de lancement officiel de l’Association du design urbain du Québec, prendra place dans l’édifice ZONE, ancien bâtiment de l’industrie maritime reconverti. Nous serons fiers de vous recevoir dans ce lieu emblématique du design urbain de Montréal, situé entre Griffintown, l’autoroute Bonaventure, le faubourg des Récollets, le Canal de Lachine, et faisant face au Farine Five Roses. La soirée sera parrainée par : - Claude Cormier – architecte paysagiste, fondateur de Claude Cormier + Associés - Nik Luka – professeur associé et responsable de l’orientation Design Urbain à l’Université McGill - David B. Hanna – géographe urbain, professeur au Département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM, ancien président de la Fondation Héritage-Montréal Ces derniers seront invités à nous présenter au cours de la soirée leur vision du design urbain sous l’angle de leur discipline respective. La programmation détaillée de la soirée sera dévoilée au cours de la semaine du 17 septembre 2012 OÙ ? /// Édifice Zone (Autodesk) / 10 rue Duke, Montréal QC H3C 2L7 QUAND /// Jeudi le 27 septembre 2012 de 18h à 1h QUI ? /// Tous ceux qui s’intéressent au design urbain et à la dimension collective de la ville COMBIEN ? /// Gratuit pour les membres* / 18$ pour les 200 premiers billets / 25$ régulier QUOI ? /// Bar open de 18h à 21h / Bouchées offertes / La Mangeoire Food Truck sur place / DJ : François Lebaron * Les membres ADUQ doivent confirmer leur présence en écrivant au m.pare@aduq.ca Billetterie Utilisez ce formulaire pour l'achat de billets pour la soirée de lancement. À noter que la soirée est gratuite pour les membres de l'ADUQ. Vous n'avez aucun billet à imprimer. Vous n'aurez qu'à donner votre nom à l'entrée. Si vous ne pouvez vous présenter le soir de l'évènement, il vous sera possible de nous contacter et de transférer votre billet à une autre personne.
  4. MONTREAL, le 22 fév. /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Rosemont- La Petite-Patrie convie la population à une soirée de consultation au cours de laquelle seront présentés les enjeux du projet de transformation de l'ancien hôpital Bellechasse à des fins résidentielles. Ce projet, soumis par le Groupe Loggia, vise la transformation de l'immeuble de 5 étages en 68 logements, en plus de la construction d'un nouveau bâtiment résidentiel sur l'espace de stationnement attenant. "Vu l'ampleur du projet, je considère très important d'informer la population, notamment celle du quartier environnant, par l'entremise d'un processus de consultation clair et transparent. Ils pourront aussi émettre des commentaires et poser des questions. Je souhaite que tous les citoyens puissent s'exprimer sur cet enjeu local", a expliqué le maire de l'arrondissement, M. André Lavallée. La soirée se tiendra le mardi 27 février à 19 h à la salle Le Carrefour du collège de Rosemont, située au 6400, 16e Avenue. Il est prévu, au besoin, qu'il y ait ajournement de cette soirée et la tenue d'une seconde. La documentation relative à ce projet est disponible dès maintenant au bureau Accès Montréal situé au 2e étage du 5650, rue D'Iberville ainsi que sur le site Internet de l'arrondissement à l'adresse : ville.montreal.qc.ca/rpp.
  5. Alors que Noël est coincé cette année entre une crise financière et une récession économique, il sera difficile d'éviter le sujet autour de la dinde et de la farce. Mais pour éviter de sombrer dans la déprime générale, profitez-en pour aborder la situation avec un sourire. Des gens inventifs, inspirés par la crise, ont mis sur le marché divers produits susceptibles de détendre l'atmosphère durant le repas, la soirée ou l'échange de cadeaux. Pour en lire plus...
  6. Redessiner Montréal Le Devoir Emmanuelle Vieira Édition du samedi 04 et du dimanche 05 octobre 2008 Mots clés : design, Architecture, Construction, Montréal Des maires d'arrondissement se mettent à l'écoute des créateurs pour repenser le design de la métropole Le futur Théâtre de Quat'Sous, à Montréal. Lors d'une soirée Pecha Kucha qui s'est tenue à la Société des arts technologiques mardi dernier, 14 maires d'arrondissement et de villes liées à l'agglomération de Montréal ont partagé leur vision du territoire et manifesté une volonté d'améliorer la qualité du paysage urbain en passant par les créateurs. Ils ont ouvert le dialogue avec les concepteurs, lançant des défis et s'obligeant à leur parler dans un langage qui leur est familier. Cette soirée décontractée et positive témoigne d'une sérieuse prise de conscience de la part des décideurs. Pour redessiner Montréal, ils sont prêts à entendre et à accueillir les idées de ceux dont le métier est de penser et de modeler la ville. Les soirées Pecha Kucha sont de véritables plateformes d'échanges et de rencontres interdisciplinaires qui ont lieu généralement entre le public et les créateurs de tous les horizons. Le concept vient du Japon mais il existe partout dans le monde. À Montréal, l'événement en est à sa huitième présentation et la soirée de mardi dernier était «spéciale» puisque, à la place des créateurs, ce sont 14 élus qui ont parlé, ce qui constituait une première initiative de ce genre à l'échelle internationale. L'événement était produit par Design Montréal, la Chaire UNESCO en paysage et environnement de l'Université de Montréal et l'équipe de Pecha Kucha Montréal. «Les élus sont des bâtisseurs de villes qui prennent quotidiennement des décisions sur le devenir de notre territoire; il était grand temps de leur permettre d'exposer leur vision à ceux qui ont l'expertise de dessiner la ville», dit Philippe Poullaouec-Gonidec, titulaire de la Chaire UNESCO en paysage et environnement. «Le but de l'exercice était de mobiliser les élus et les créateurs autour des enjeux de design urbain et de qualité architecturale, puis de susciter un enthousiasme pour les questions d'aménagement du territoire dans la métropole», explique Marie-Josée Lacroix, directrice de Design Montréal. Le concept Pecha Kucha est simple: chaque participant présente 20 diapositives qu'il commente pendant 20 secondes. Cette concision fut un obstacle pour des politiciens habitués aux longs discours. Ils se sont pourtant tous prêtés au jeu et certains s'en sont bien tirés! Des shuko au Plateau C'est le maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui a ouvert la danse en exposant sa vision de Montréal, ville UNESCO de design, avec un enthousiasme décoiffant. À travers des réalisations concrètes qui touchent notre quotidien, «je souhaite plus que jamais voir Montréal devenir une ville rayonnante et attrayante avec un milieu de vie stimulant et de qualité», a-t-il dit. Il a notamment parlé des nouveaux bacs-sacs de recyclage conçus par la firme montréalaise Claude Mauffette design industriel et des futurs Bixi (vélos en libre-service) conçus par Michel Dallaire design industriel. Il a aussi lancé cinq shuko: des appels à la création pour des projets de design qui seront réalisés par concours d'idées ou concours de projets et chapeautés par Design Montréal (mise en valeur des abords de la station de métro Champ-de-Mars, requalification du mur du palais de justice, design des abribus et des taxis montréalais). Les autres élus se sont pliés aux règles du Pecha Kucha avec la même effervescence. Ils ont parlé, pour certains d'entre eux, d'attraits de nature en ville (ex.: Pierrefonds-Roxborro, Verdun, Sainte-Anne-de-Bellevue), de patrimoine résidentiel ou industriel (ex.: Outremont, Lachine, Sud-Ouest, Ahuntsic), de singularités socioculturelles (Plateau Mont-Royal, Saint-Laurent), etc. Par-delà la requalification des cicatrices de Montréal ou la réhabilitation ou les transformations architecturales, il a aussi été question de mise en valeur de la qualité des espaces urbains et des paysages, de la construction d'équipements sportifs et culturels, ainsi que des transports en commun ou d'une solution de rechange. «L'exercice visait à montrer en quoi des actions en design urbain et en paysage peuvent être structurantes sur le plan des retombées économiques, sociales et culturelles au regard de l'ensemble de ces préoccupations (enjeux de protection, de mise en valeur et de développement)», explique Sylvain Paquette, chercheur à la Chaire UNESCO en paysage et environnement de l'Université de Montréal. Il faut souligner l'ouverture exprimée par certains élus à travailler en dialogue sur des projets impliquant plusieurs arrondissements. La mairesse d'Outremont, en parlant du projet Bellechasse, a clairement manifesté son intérêt à travailler en concertation avec l'arrondissement du Plateau et de Rosemont-Petite-Patrie. C'est un nouveau réflexe, qu'il faut encourager pour l'avenir. Enfin, c'est la mairesse du Plateau-Mont-Royal qui a fermé la soirée en faisant sourire l'assemblée par sa déclaration très imagée: «Montréal - le Plateau = Toronto. Avec cette phrase, elle a bien résumé le rôle important que joue chaque arrondissement en apportant sa touche unique à l'ensemble de l'agglomération montréalaise. Les présentations des élus auront permis de faire connaître les attributs singuliers, les attraits et les qualités des divers arrondissements représentés. Il est intéressant de constater que Montréal offre une très grande diversité de qualités au chapitre du paysage, du design et, plus généralement, d'une certaine culture d'habitation propre à chacun des quartiers. La force et la distinction de Montréal, c'est vraiment cette culture du quartier et il est important de la préserver et de la mettre en valeur, mais il est nécessaire aussi de développer une vision commune à l'ensemble du territoire. Pas de vision forte, pas d'identité Les élus ont exprimé leur souhait d'améliorer leur arrondissement sans savoir parfois par quel bout commencer... La grande absente de la soirée, c'était une vision d'ensemble, forte et structurée. Est-ce dû à un manque de culture ou de références en aménagement? On peut espérer que tous ceux et celles qui s'intéressent à l'amélioration de la qualité de l'environnement urbain (élus, promoteurs, gestionnaires municipaux, professionnels de l'aménagement, etc.) liront Les Cahiers des bonnes pratiques en design - Imaginer, réaliser la ville du 21e siècle conçus par Design Montréal. Ces trois cahiers offrent une multitude d'exemples pour inspirer leurs démarches et des outils pour guider leurs interventions. Malgré leurs lacunes, il y a cependant des arrondissements qui ont présenté des éléments de vision intéressants. Par exemple, la volonté à LaSalle d'appliquer les principes de développement durable sur des projets résidentiels plus denses, la volonté de mettre en valeur ailleurs le patrimoine architectural (Outremont) ou la volonté du Sud-Ouest d'attirer 20 000 nouveaux résidants dans les années à venir, tout en mettant l'accent sur des valeurs d'inclusion et de solidarité sociale, ou la volonté de se positionner comme des leaders en matière de créativité (Saint-Laurent). Tout ça est plutôt un bon début! «Une ville, ça se construit par étapes, suivant une ligne directrice clairement définie dans le temps et dans l'espace, nous explique Benoit Dupuis, architecte présent à la soirée. J'écoute les élus parler de projets isolés, d'arrondissements indépendants les uns des autres. À aucun moment je n'ai senti de plan d'ensemble, de vision d'avenir. Il faudrait une direction commune pour l'aménagement d'un territoire commun, un organisme plus centralisé pour que l'île de Montréal puisse retrouver une identité forte comme elle en a déjà eue.» La mobilisation comme point de départ Comparé à d'autres grandes villes de même importance, Montréal a pris du retard dans le développement de ses infrastructures et dans la mise en place de projets à grande échelle. De plus en plus, la qualité du design des bâtiments et des espaces publics devient un objectif primordial à atteindre pour améliorer la qualité de vie des populations, édifier un avenir durable et donner au territoire une identité singulière, facteur essentiel de réussite dans un monde globalisé de plus en plus concurrentiel. Partout dans le monde, une nouvelle volonté politique s'affirme en faveur de l'excellence en design et de la mise en oeuvre de politiques, de stratégies et de plans d'action dans le domaine du design urbain. Il serait temps de penser à la création de plateformes d'innovation en design pour accélérer ces changements; de donner une plus grande importance à la communication afin de favoriser le développement de visions partagées; d'utiliser des processus de design (tables rondes, ateliers, concours) pour pousser la qualité des projets tout en favorisant une plus large participation de la population à la transformation de son milieu de vie. «Si la ville veut laisser la place aux créateurs, c'est positif. Après, il faut voir la forme que cela va prendre. L'idéal serait de mettre en place des appels d'offres ou des concours qui renouvellent constamment la variété de créateurs sans pour autant niveler les projets par le bas», précise Colin Côté, designer industriel chez Claude Mauffette. Cette soirée Pecha Kucha «spéciale des élus» aura permis de constater l'étendue du territoire qu'il reste encore à exploiter à Montréal! La prise de conscience de ces projets à bâtir par les élus et les créateurs est un bon point de départ. Souhaitons que l'échange se poursuive, s'approfondisse et surtout se concrétise rapidement. Trop de lenteur et d'inertie tue la créativité. Le monde bouge tout autour de nous, les grandes villes canadiennes aussi... Nous avons des richesses qui ne demandent qu'à être exploitées. «Le design, c'est un peu comme la politique: il faut savoir tracer la ligne où le compromis est le moins compromettant... Quand on travaille en société, on n'a pas d'autre option que d'écouter les autres», dit Claude Cormier, architecte paysagiste présent à la soirée. Les décideurs ont un «pouvoir» créatif, ils doivent apprendre à s'en servir correctement. Il ne nous reste plus qu'à souhaiter longue vie à ces dialogues. C'est par eux que la culture grandit, et par eux que Montréal sera une vraie ville UNESCO de design. *** Collaboratrice du Devoir *** Envoyez vos sujets et commentaires à emmanuelle.vieira@gmail.com À consulter: http://www.ville.montreal.qc.ca/designmontreal, http://www.unesco-paysage.umontreal.ca, http://montreal.pecha-kucha.ca.a http://www.ledevoir.com/2008/10/04/209061.html (4/10/2008 8H30)
  7. lundi 05 novembre 2007 Plus de 400 personnes étaient rassemblées le jeudi 1er novembre, dans l'espace du Loco Shop Angus, pour assister à la soirée de remise des prix de la deuxième édition du concours Créativité Montréal - Design de commerce. Le lieu, bien différent de celui choisi l'année dernière (le hall du siège social montréalais de la Caisse de dépôt et placement du Québec), avait été transformé pour l'occasion par Moment Factory. Jeux de lumières et effets visuels ont rythmé la soirée, dont l'organisation avait été confiée à Lulu et Castagnette. L'agence de marketing sensoriel Mood Media, également partenaire de l'événement, avait pour sa part installé un bar olfactif. Les invités pouvaient expérimenter des associations de sons et d'odeurs, tout en étant guidés et conseillés par des représentants de l'agence. Plusieurs intervenants ont rejoint Sylvie Berkowicz, rédactrice en chef de Créativité Montréal et maîtresse de cérémonie, pour remettre aux lauréats leur trophée, cette année encore signé Claude Mauffette. Se sont ainsi succédés sur scène Marie-Josée Lacroix, commissaire au design de la Ville de Montréal et directrice de Design Montréal; Annie Mailloux, vice-présidente des ventes de Mood Media; Jessica Rivière, directrice des ventes d'Index-Design; Jean-Claude Calabro, président de Lumigroup; et Nelda Rodger, éditrice d'Azure Magazine. Cette dernière était l'une des cinq membres du jury du concours. Bruno Braën, designer et grand prix 2006, Georges Labrecque, chargé de projets d'exposition au Centre de design de l'Uqam, Gilles Saucier, architecte de Saucier + Perrotte, et James Hyndman, comédien, avait également accepté l'invitation. Au cours de la soirée, deux lampes Tolomeo d'Artemide ont été tirées et offertes par Lumigroup à deux spectateurs. Tous les invités sont repartis avec le magazine Créativité Montréal rassemblant l'ensemble des projets primés et les finalistes, ainsi qu'un exemplaire du numéro de novembre d'Azure Magazine. En tout, 11 grands prix et 1 prix spécial du jury ont été décernés au cours de cette soirée à l'ambiance festive et détendue. Voici les photos des résultats.Les mystères du Vauvert Comment remplacer le défunt restaurant Cube sans s’y référer et en excluant tout type de comparaison? En créant le Vauvert, un restaurant à l’atmosphère particulière et unique. Tout en étant plutôt masculin, cet espace dégage une ambiance sexy, avec des oppositions parfois déroutantes entre nature et urbanité. Ce qui surprend en découvrant le lieu, c’est sa noirceur, d’autant plus frappante qu’elle contraste avec le calme en demi-teintes de l’entrée de l’Hôtel Saint-Paul. Un tronc d’arbre dénudé en garde l’entrée et annonce l’histoire à venir. Elle parle de chasse, de forêt et d’hommes qui ont signé un pacte avec le diable. Et chacun y verra ce qu’il veut bien y comprendre : les flammes de l’enfer sous la forme d’une longue cheminée installée en écho à celle qui orne le hall de l’hôtel, la luxure dans les colonnes habillées de latex, les étoiles sous la forme d’une constellation d’ampoules qui pendent du plafond, lequel est devenu une surface accidentée faite d’un assemblage de panneaux noirs. Le fond du restaurant est un large miroir dans lequel le regard et les repères se noient, et un immense bar fait d’une impressionnante coupe de tronc d’arbre longe le côté fenestré de l’espace, mettant ainsi les convives à la bonne hauteur pour une vue sur la rue. Du mobilier simple complète l’aménagement. À noter : des banquettes joliment tapissées pas trop profondes et bien adaptées aux tables. Enfin, une entrée séparée du reste de l’hôtel donnant directement sur la rue permet de s’immerger encore plus rapidement dans l’atmosphère diabolico-féerique du restaurant. http://www.infopresse.com/creativitemontreal/resultats/2007/
  8. Point de vue français venant des Inrocks : M Pour Montréal : premier jour On redécouvre, à chaque visite, Montréal la grande ; diverse, moderne, attirante. En automne, la lumière sublime de Stockholm. Excitante comme un petit New York. Douce et élégante comme Paris, un grand et franc sourire en plus . La ville des magasins de disques – ils pullulent, ils épatent. De Chinatown à Saint-Denis, des rues calmes du ravissant et cool Plateau aux imposants gratte-ciels du centre d’affaires, dans chacun de ses bars, de tous les pores de ses érables rougissants, sur tous ses visages radieux et aimables, on a senti la vibration particulière, unique, puissante, qui l’anime. Car Montréal bouge. Elle bouge vite, elle bouge sans arrêt, semble toujours bouger dans la bonne direction. Depuis Constellation, depuis surtout la mise en orbite d’Arcade Fire, le monde regarde Montréal avec envie et curiosité : Montréal est un passionnant laboratoire. Le cul entre deux chaises, la langue entre deux mondes. Ses groupes ont la puissance, un certain sens de la franchise et de l’innocence de l’Amérique du Nord, ils ont aussi la classe, l’intelligence plus tordue et consciente d’elle même des têtes d’affiche européennes. La qualité et l’image. Montréal est une scène : tout le monde, ici, connaît tout le monde, tout le monde joue avec tout le monde, les idées circulent, la musique s’aère. Montréal aime ses groupes. Et le fait savoir. Pensé par Martin Elbourne, responsable de Glastonbury et The Great Escape à Brighton, réalisé sur place avec maestria par Avalanche Production et placé sous le patronage surprise de la locale Melissa Auf Der Maur, M Pour Montréal est le porte-voix du laboratoire. Un sacré tremplin : seize groupes se croisent sur deux jours et dans deux salles, certains resteront peut-être dans l’ombre, d’autres, nous sommes prêts à le parier, baigneront bientôt dans une intense lumière. Des délégués venus du monde entier –journalistes, tourneurs, responsables de labels- sont là pour assister à l’éclosion, l’aider s’ils le peuvent. Rien d’un pesant raout industriel : à l’image de la ville qui l’accueille, tout dans le festival est intime, amical, agréable. Un tremplin, et un concours. Un prix récompensera le groupe élu par les professionnels. La première soirée s’achève. Six heures de décalage sous les yeux, une poutine qui stagne quelque part dans le bide, et une vague petite inquiétude qui squatte l’esprit : il est temps de choisir. Elire, trier, juger, sous-peser : c’est une affaire pour la tête. C’est pourtant, d’abord, le cœur qui parle. Bruyant, affolé, il hurle, se soulève, s’alourdit, s’envole pour Torngat - probablement l’une des plus belles choses entendues depuis quelques longues lustres. Trois garçons, l’un d’entre eux gravitant autour de Belle Orchestre ou d’Arcade Fire, trois multi instrumentalistes, des morceaux sans voix, entre Robert Wyatt et la library music des années 70 - une musique de film fantasmatique, la bande-son de paysages formidables, la traduction sonore d’émotions trop belles et complexes pour être formalisés par le langage. Le cœur parle, mais les muscles aussi. Ils se tendent et explosent pour We Are Wolves, autre grosse révélation de la première soirée. Le Canada a ses Klaxons : entre brûlures rocks et rondeurs électroniques, dans un long et épuisant rush, We Are Wolves est une diabolique machine à danser, la tête en vrac, les jambes mélangées, les yeux révulsés. Trois jeunes types impressionnants, un grand concert enflammé et un puissant spectacle visuel -ils portent tous, au-dessus de la tête, une immense tête de squelette en bois. We Are Wolves sera bientôt immense. Les muscles se sont aussi pas mal exprimés, et beaucoup crampés, pour Les Breastfeeders ; ahurissante troupe rock et grand groupe de scène, à la fois terriblement rêche et furieusement pop, entre les Ramones et B-52’s. Le concert va vite, semble ne jamais vouloir s’arrêter, ne jamais prendre de direction trop facilement établie ; les morceaux épuisants et exaltants allument un petit incendie à refrain, un danseur fou fait le spectacle –immense. Un dernier organe s’est joliment mis en branle lors de cette première soirée : les zygomatiques. L’épuisement, total, n’en aura pas eu raison : Numéro#, le TTC du cru, s’est chargé de les réactiver. Ironique, méchamment efficace, le duo auto-déclaré punk aurait mérité un public un peu plus massif ; ses coups de boutoirs électroniques, son pseudo crunk hilarant et sa belle tenue sur scène pourraient, aucun doute là-dessus, faire se soulever quelques dizaines de tonnes de chairs en fusion.
  9. 24 juin 2007 La Presse Adjugés! Trois propriétés auraient été vendues au cours d'un encan silencieux qui a eu lieu le 6 juin dans une galerie d'art du Vieux-Montréal. L'instigatrice de cette soirée immobilière, Mariline Bervaldi, s'avoue elle-même surprise que des gens aient osé miser sur des propriétés qu'ils n'avaient encore jamais visitées. «Sincèrement, je ne croyais pas faire une vente puisqu'il s'agit d'un concept totalement nouveau. Mais, à ma grande surprise, après quelques explications, les gens n'ont pas hésité à faire monter les enchères», raconte-t-elle. Soirée jet-set Cet encan silencieux s'est déroulé à la galerie d'art contemporain Espace B51, rue Saint-Paul Ouest. Une soixantaine de personnes, principalement d'anciens clients et des contacts de Mme Bervaldi, avaient été conviées à cet événement, dont le représentant de La Presse. On avait aussi annoncé des vedettes, mais aucune ne s'est pointée. «C'est à cause du Grand Prix», justifie cette femme dynamique. L'objectif de Mme Bervaldi était de créer une soirée jet-set, avec tapis rouge à l'entrée et serveuses-mannequins, où les gens allaient miser sur les condos tout en avalant quelques canapés et en dégustant un bon verre de vin. «Je veux transformer le processus d'achat d'une propriété en quelque chose d'agréable. Je veux lui enlever son côté stressant», explique cette agente immobilière qui se spécialise dans le haut de gamme. Jusqu'à 1 million Neuf propriétés situées dans le Vieux-Montréal étaient soumises à l'encan, dont les prix de départ variaient de 239 000 $ pour un studio meublé à 1 010 000 $ pour un penthouse qui n'a pas encore levé de terre. Des prix très compétitifs, selon l'agente. «Ce sont également des propriétés exclusives, qui apparaissaient pour la première fois sur le marché», dit-elle. Chaque propriété avait son propre classeur contenant des photos, des informations supplémentaires ainsi qu'une fiche pour y inscrire, discrètement, le montant de sa mise. Toutes les propriétés appartenaient à des promoteurs immobiliers, et non à de simples particuliers. Robert Nadeau, président de l'Association des courtiers et agents immobiliers du Québec (ACAIQ), n'avait jamais entendu parler d'un tel événement. «C'est assez innovateur comme façon de faire. Ça ressemble à ce qui se fait en Ontario, où un agent peut demander à tous les acheteurs de soumettre leur offre d'achat à une date précise», explique-t-il en entrevue téléphonique. M. Nadeau ne voit pas de problème à cette pratique pourvu que toutes les règles pour la vente d'une propriété soient appliquées. Mme Bervaldi soutient que c'est le cas. Les appartements adjugés devront entre autres subir une inspection pré-achat. En soit, vendre une propriété aux enchères n'est pas totalement nouveau. Cette pratique est même très courante pour les propriétés commerciales et les reprises de finance. André Brunelle, président du courtier Immologique, en a déjà organisé plusieurs dans le passé pour des particuliers. «Mais avec le boom immobilier, la demande est tombée. À mon avis, c'est une façon de faire qui gagnerait à être connue», soutient-il. Avec le ralentissement qui se pointe, les encans deviendront-ils la nouvelle méthode pour écouler des propriétés?
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