Aller au contenu
publicité

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'forcillo'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

8 résultats trouvés

  1. le 6 novembre 2007 Frank Zampino, président du comité exécutif et responsable des finances à la Ville de Montréal, et Sammy Forcillo, conseiller du district Sainte-Marie–Saint-Jacques et membre du comité exécutif, annoncent la vente du marché Saint-Jacques pour la somme de 2 300 000 $. L’administration municipale avait lancé un appel de propositions à la suite de la décision de relocaliser les services municipaux qui occupaient cet immeuble hébergeant un marché public depuis plus de 75 ans. «Cette transaction amène le nouveau propriétaire à conserver la vocation de marché public en louant la partie extérieure de l’immeuble à la Ville jusqu’en 2022. Cette condition est assortie de cinq options de renouvellement d’une durée de cinq ans chacune, de manière à respecter l’entente intervenue avec la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal qui exploite déjà cet espace», a commenté Franck Zampino. «De plus, le propriétaire est tenu de réserver le rez-de-chaussée du bâtiment à des commerces d’alimentation, ce qui permettra de relancer le développement commercial et économique du secteur», a-t-il argumenté. Retombées positives? Pour sa part, Sammy Forcillo a souligné que «la conservation et le renforcement de la vocation de marché alimentaire et public bénéficiera aux résidents du quartier qui profiteront de services d’approvisionnement additionnels. Le marché Saint-Jacques a marqué l’histoire de notre quartier et il fera encore la fierté de ses usagers, j’en suis certain ». Il s’est réjoui que la transaction vise également le maintien du caractère architectural du bâtiment construit en 1931. «Cet édifice de style art déco représente une valeur patrimoniale importante tant pour les résidents du quartier que pour l’ensemble de la population montréalaise», a conclu Sammy Forcillo.
  2. Transport Quebec blames Montreal for L'Acadie Circle flood Rain caused service road to fill up Sunday night By Max Harrold The Gazette July 27, 2009 Flooding at L'Acadie Circle in Montreal lifted sewer covers, causing serious damage to vehicles. Photograph by: Minas Panagiotakis, Special to The Gazette MONTREAL - Dumping all responsibility for flooding Sunday night in l’Acadie Circle squarely into the city of Montreal’s lap, Transport Quebec said Monday it has taken precautions while the city has not. “That’s why we didn’t have any flooding on the section of Highway 40 that dips (in l’Acadie Circle),” Transport Quebec spokesperson Réal Grégoire said. But a section of the 40’s eastbound service road – on city of Montreal territory – in the circle did fill up like a canal late Sunday, forcing the closing of the road from 11 p.m. until 3 a.m. At least three cars were stranded in what has become a regular occurrence when there are heavy rains. Grégoire said Transport Quebec learned its lesson after flooding closed a section of the 40 in 2005, a year after the completion of $110 million in repairs to the traffic circle. Since then, Transport Quebec has sealed the holes in manhole covers and installed trap doors on sewers on that section of highway to prevent flooding, he said. While the highway is raised slightly higher than the service road, water did not spill down and contribute to the flooding, he said. In no way did the 2004 repairs contribute to the floods, he added. “We take care of our network. What the city does with their network is up to them.” Grégoire said the flooding was most likely because of a lack of capacity in the Meilleur-Atlantique collector – an oversize drain pipe built by the city in the l’Acadie Blvd./Metropolitan Blvd. area in 1950. But Saeed Mirza, a McGill University professor of structural engineering, said the province and the city must share the blame since the highway’s drainage feeds into the city’s underground water system. “Anyone designing this exchange should have planned for this,” Mirza said. “When this happens, it’s proof that they did not do it properly.” Sammy Forcillo, vice-chairman of the city of Montreal’s executive committee and responsible for the city’s water and road infrastructure, blamed Sunday’s flooding only on “an exceptional amount of rainfall.” One-third of the normal amount of rain for the month of July fell in that part of the city that night, he said. “I can’t control the heavens.” The city is spending a lot this year – $350 million – on the water network. However, Forcillo could not say what improvements, if any, have been made at l’Acadie Circle. The city is waiting for a response to a request for federal funding to do more, he said. mharrold@thegazette.canwest.com © Copyright © The Montreal Gazette http://www.montrealgazette.com/news/Montreal+blame+Acadie+Circle+flood+Transport+Quebec/1834498/story.html
  3. Montreal to triple some parking fines Last Updated: Monday, August 17, 2009 | 2:39 PM ET CBC News The price of parking illegally in Montreal could triple by the fall. The city says it's seeing more and more problems with people parking illegally, and plans to boost ticket prices starting in October. Executive committee member Sammy Forcillo says current fines simply aren't big enough to stop people from parking where they shouldn't. He says with some parking lots charging $18 to park, some drivers are choosing to take a chance on getting a $30 parking ticket. The city says it's most concerned with people parking in places that are completely illegal, such as near an intersection where a parked car might block visibility. In those cases, the city plans to hand out $100 tickets come Oct. 1. "If there's a car in front or if a person wants to stop there it's a matter of public safety, and for the handicapped I think it's common sense also. Handicapped people need to be respected in our society so that's the main idea," said Claude Dauphin, the executive committee member responsible for public security. The fine for cars parked at expired meters or in a designated handicap parking spot will also rise, to $60. Forcillo says this simply brings Montreal in line with many neighbouring cities. It's estimated the increase in fines will net the city an additional $13 or $14 million, but Forcillo denies this is a cash grab. He says it's simply about getting people to respect the rules. City council is expected to vote on the issue next week.
  4. Publié le 23 avril 2009 à 12h13 | Mis à jour à 14h15 Nombre record de travaux d'infrastructures à Montréal Lia Lévesque La Presse Canadienne Montréal Les Montréalais devront être plus patients que jamais: un nombre record de chantiers de réfection des infrastructures seront lancés au cours des prochaines semaines, totalisant 608 millions $, tant pour les routes que pour l'eau. Le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal, Sammy Forcillo, en a fait l'annonce, jeudi, entouré d'excavatrices, de niveleuses et autre machinerie lourde. Plus précisément, la Ville dépensera 350 millions $ pour divers projets de gestion de l'eau, touchant les aqueducs et les conduites d'eau, et 250 millions $ pour la voirie. L'an passé, à titre de comparaison, la Ville avait dépensé 220 millions $ pour l'eau et 200 millions $ pour la voirie. Ce seront 359 segments de route qui seront ainsi réparés, réaménagés, refaits. Et ces chantiers n'incluent même pas les chantiers locaux qui seront lancés par les arrondissements de Montréal, ni même ceux, à venir, qui seront payés par le programme fédéral-provincial des infrastructures. «Actuellement, c'est un mal nécessaire. Il faut comprendre que plus de 60 pour cent du réseau routier artériel est un réseau qui a plus de 50 ans d'âge, donc, vraiment, on a dépassé la vie utile», a commenté Robert J. Marcil, directeur de la Division de la réalisation des travaux. «Quand on regarde également au niveau des fuites dans le réseau d'aqueduc, l'âge des conduites, on parle de vieilles conduites. On remplace des conduites actuellement qui datent de 1838 sur la rue Notre-Dame. C'est extrêmement vieux; je crois qu'on n'a pas le choix.» De ce montant de 608 millions $, entre 100 et 150 millions $ proviendront des gouvernements fédéral et provincial, par le biais de la Société de financement des infrastructures locales. Cette somme servira surtout à la remise à niveau des infrastructures de gestion de l'eau. M. Forcillo n'a pu dire combien de ces projets ont été attribués à des entreprises appartenant à l'homme d'affaires Tony Accurso - l'ancien président du comité exécutif, Frank Zampino, a admis avoir voyagé sur son yacht. «Je ne suis pas en mesure de vous dire combien les filiales de M. Tony Accurso peuvent avoir. Mais je peux vous dire que tous les contrats qui ont été accordés au niveau de la Ville de Montréal ont été en conformité des lois que le Québec nous a édictés. Et c'est tout conforme au niveau de l'adjudication des contrats», a soutenu M. Forcillo. Il a fait valoir que les documents relatifs à l'octroi de ces contrats sont publics «C'est très transparent et c'est très crédible comme mécanisme», a-t-il affirmé. Il a aussi juré que ces investissements records dans les infrastructures n'avaient rien à voir avec l'année électorale à Montréal. Les infrastructures sont la priorité numéro un des citoyens montréalais, a-t-il relevé, ajoutant que la propreté est la seconde.
  5. Tremblay choisit Dauphin et Forcillo Sammy Forcillo, Gérald Tremblay et Claude Dauphin, lors de la conférence de presse annonçant leurs nouveaux postes à l'exécutif de la Ville. (Photo Alain Roberge, La Presse) Éric Clément La Presse Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a choisi le maire de l'arrondissement de Lachine, l’avocat Claude Dauphin, pour remplacer le 3 juillet Frank Zampino à la présidence du comité exécutif. Le conseiller municipal de Sainte-Marie-Saint-Jacques, Sammy Forcillo, aura la responsabilité des finances de la Ville. C’est donc l’option d’un aigle à deux têtes que le maire Tremblay a privilégiée pour conduire son équipe exécutive jusqu’aux prochaines élections municipales. Avocat de formation, M. Dauphin était déjà vice-président du comité exécutif, responsable de la sécurité publique et civile et des relations intergouvernementales. Il conserve ses responsabilités auxquelles s’ajoutent celles des services administratifs, des affaires corporatives, du capital humain et des sociétés paramunicipales. Par contre, M. Dauphin abandonnera son poste de président de la Conférence régionale des élus. «Sa vaste expérience lui permettra d’avoir une vision d’ensemble des enjeux auxquels la métropole fait face en plus de consolider encore davantage nos relations avec les gouvernements du Canada et du Québec», a dit le maire Tremblay en conférence de presse ce mercredi matin. Quant à Sammy Forcillo, le maire a loué «sa connaissance encyclopédique de la Ville» en le désignant vice-président du comité exécutif et Grand argentier de la métropole, avec la responsabilité des finances, de la fiscalité et de l’évaluation foncière. Il conserve sa charge des infrastructures, de la voirie et de la gestion de l’eau. M. Forcillo devra poursuivre les efforts accomplis par Frank Zampino pour réduire les dépenses de la municipalité. Il aura notamment à couper 100 millions en 2009 sans hausser le fardeau fiscal général des Montréalais, tel que prévu dans l’engagement de Gérald Tremblay de couper 300 millions en trois ans. Frank Zampino, qui quittera ses fonctions après avoir présidé une dernière fois le comité exécutif mercredi prochain, a dit que les choix du maire Tremblay sont «judicieux» car Claude Dauphin a «de grandes qualités et de grandes connaissances» tandis que Sammy Forcillo «est celui autour de la table de l’exécutif qui connaît le mieux le budget». Le maire n’a pas voulu dire pourquoi il avait choisi d’augmenter les tâches de MM. Dauphin et Forcillo plutôt que d’en confier certaines à d’autres membres de son caucus. Il a seulement fait comprendre que les deux récipiendaires de la journée étaient «capables d’en prendre» autant que lui, qui s’est attribué l’an dernier les charges supplémentaires du patrimoine, de la culture et du design. M. Zampino a dit que si le maire n’a pas comblé son poste au comité exécutif ni celui de Benoit Labonté, démissionnaire en septembre, c’est que l’équipe actuelle est «solide et connaît bien ses dossiers». À noter que le maire a demandé à son frère, le conseiller Marcel Tremblay, d’être responsable de la Société du parc Jean-Drapeau, à la place d’Helen Fotopulos. «J’ai commencé ma carrière là en 1967 durant l’Expo, a dit Marcel Tremblay à La Presse. J’ai déjà eu la responsabilité du 40ème de Terre des Hommes. Là, je serai en charge d’organiser le 50ème anniversaire pour 2017 et de m’assurer que les investissements seront là.» Interrogée sur la perte de cette responsabilité, Mme Fotopulos a répondu : «Le plan directeur du parc est adopté, il ne reste plus que les activités». Toutes ces nominations ont été entérinées lors d’une assemblée spéciale du conseil municipal, hier après-midi. Le chef de l’opposition officielle et maire de Ville-Marie, Benoit Labonté, a réagi et dit que le maire de Montréal «a raté une belle occasion d’enrichir son comité exécutif et, par conséquent, de réinsuffler à son administration un dynamisme plus que nécessaire», soulignant par ailleurs «qu’aucune femme n’est promue». http://www.cyberpresse.ca/article/20080625/CPACTUALITES/80625092/6730/CPACTUALITES
  6. Le jeudi 19 juin 2008 Un règlement sévère sur le bruit dans Ville-Marie La Presse L'arrondissement de Ville-Marie a été le premier à Montréal à imposer de sévères amendes contre ceux qui salissent les voies publiques. Il est maintenant le premier à infliger des amendes extrêmement sévères contre les citoyens et les entreprises qui font du bruit. Le règlement sur le bruit de l'arrondissement a en effet été modifié, ce jeudi après-midi, lors d'une séance spéciale de l'arrondissement, afin de responsabiliser la population à la nécessité de limiter les agressions sonores commises de jour ou de nuit. «Cette modification était nécessaire, a dit le maire de Ville-Marie, Benoit Labonté, chef du parti Vision Montréal. Nous avions constaté qu'un grand nombre d'établissements généraient une pression du niveau acoustique qui perturbe l'environnement, particulièrement dans des zones mixtes commerciales et résidentielles.» Les modifications visent la musique diffusée à l'extérieur, les cris, les clameurs «ou autre forme de tapage». Pour les particuliers, les amendes varient de 300 $ à 1000 $ pour une première infraction, de 1000 $ à 3000 $ pour une récidive, et de 3000 $ à 10 000 $ pour une récidive additionnelle. Les commerçants et les entreprises coupables d'avoir généré du bruit pourront recevoir quant à eux des amendes variant de 1500 $ à 12 000 $. Le directeur général de l'arrondissement, Alain Dufort, a précisé que Ville-Marie reçoit en moyenne de 50 à 80 plaintes par année pour du bruit. Le conseiller municipal Sammy Forcillo a critiqué les modifications apportées en se demandant si les citoyens qui fêteront la Saint-Jean seront, par exemple, exposés aux foudres de ce règlement. «Veut-on tuer une mouche avec un canon?», a demandé M. Forcillo, membre du parti Union Montréal. «Les sociétés de développement commercial ont-elles été invitées à se prononcer sur ce règlement?», a ajouté la conseillère municipale (Union Montréal) Catherine Sévigny. Le maire Labonté n'a pas répondu mais a dit que ces modifications s'adressent «aux gens qui menacent la qualité de vie des citoyens» pas «à ceux qui comprennent la première fois». M. Forcillo et Mme Sévigny ont voté contre les modifications au règlement sur le bruit. Par ailleurs, l'arrondissement a annoncé qu'il fournira une somme de 150 000 $ à la radio communautaire CIBL si elle déménage sa station, actuellement située sur le boulevard Pie-IX, dans Ville-Marie. La radio pourrait occuper de nouveaux locaux dans le Quartier des spectacles. Hey, on se croirait à Toronto! Est ce que ça veux dire que les Bars du Boul St-Laurent ou de Ste-Catherine devront couper la musique à partir de 23:00 pour faire plaisir aux osties de NIMBY's???
  7. La Presse Le samedi 28 juillet 2007 L'administration Tremblay-Zampino accordera en 2008 un peu d'argent frais aux 19 arrondissements de la Ville de Montréal, dont les budgets passeront de 870 millions de dollars à un peu plus de 900 millions en 2008, a appris La Presse. En contrepartie, ils devront réduire le nombre de leurs employés dès l'an prochain. Les directeurs d'arrondissement ont tous reçu une cible à atteindre pour éliminer des postes au fur et à mesure des départs à la retraite, a-t-on appris. Dans une lettre envoyée aux maires d'arrondissement, le président du comité exécutif, Frank Zampino, rappelle que son administration s'est engagée à réduire ses dépenses de 300 millions d'ici 2009. «Une partie de cet objectif doit être atteint par la réduction de 1000 postes, dont 250 cadres, d'ici le 31 décembre 2009», peut-on lire. Les services centraux doivent fournir un effort de 70 millions et les arrondissements, de 30 millions. Dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, par exemple, le budget passera de 61 à 63 millions. Mais la mairesse de l'arrondissement, Lyn Thériault, estime que l'administration Tremblay-Zampino «donne de la main droite et enlève de la main gauche». Elle fait valoir que les budgets accordés ne permettent pas d'augmenter les services, alors que la population de l'arrondissement s'accroît. «On nous oblige à abolir 45 postes d'ici 2009 alors qu'on devrait en ajouter, plaide-t-elle. À moins d'une aide providentielle, nous n'aurons pas le choix de mettre encore des projets de côté.» À Anjou, le maire Luis Miranda est plus alarmiste et prévoit même réduire la fréquence du déneigement: «Je n'ai pas le choix de couper. Montréal ramasse sa neige une fois sur deux, eh bien! on va faire la même chose.» M. Miranda estime que les sommes allouées (environ 25 millions) lui permettront à peine de couvrir les différentes hausses de coûts. Luis Miranda menace même de ne pas obtempérer aux demandes de la Ville, selon lesquelles il devrait abolir 19 postes. «La loi 33 a donné la responsabilité des employés aux arrondissements», précise-t-il. Sammy Forcillo, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal, fait valoir que les arrondissements auront plus de marge de manoeuvre en 2008. «Je suis certain que ce budget sera plus facile qu'en 2007 parce que nous avons tenu compte des indexations», dit-il. M. Forcillo ajoute que deux fonds spéciaux sont aussi disponibles pour les arrondissements sous-financés. Il a toutefois été impossible de savoir à combien ils s'élèvent. Selon M. Forcillo, les arrondissements peuvent se serrer la ceinture sans réduire les services aux citoyens. Par ailleurs, il a refusé de préciser si son administration pourrait boucler son budget sans augmenter l'impôt foncier. «Le passé est garant de l'avenir», a-t-il laissé tomber. Il a aussi été impossible de connaître les intentions de l'administration quant à la possibilité d'augmenter des tarifs comme ceux des parcomètres. L'an prochain, Montréal pourrait toutefois disposer de nouveaux pouvoirs de taxation. Québec a récemment déposé un projet de loi pour permettre à la ville de taxer les stationnements commerciaux et les billets de spectacles. Depuis son arrivée au pouvoir, en 2002, l'administration Tremblay-Zampino a toujours adopté des budgets comportant des hausses des dépenses de 2 à 5%. En 2007, la Ville faisait face à un déficit appréhendé de 394 millions. Elle avait équilibré son budget en gelant notamment les salaires des employés et les budgets accordés aux arrondissements. Plusieurs arrondissements s'étaient donc tournés vers des taxes locales. La Ville présente son budget chaque année à la fin novembre.
  8. Le Journal de Montréal 25/07/2007 Tout est encore à refaire rue de la Commune. Les pavés de pierre ne tiennent pas et la Ville de Montréal doit réparer la chaussée pour une énième fois depuis la pose originale de ces pierres de granite, en 1991. Mais cette fois-ci on parle de travaux majeurs qui coûteront 2 M$ et qui seront financés à parts égales par la Ville et par le ministère québécois de la Culture. Selon Sammy Forcillo, responsable des infrastructures, la Ville entend régler le problème une fois pour toutes en utilisant un revêtement de pavés de béton autobloquants, sur une distance d'environ un demi-kilomètre, entre les rues Saint- Gabriel et De Bonsecours. Des études menées depuis deux ans par SNC-Lavalin et l'Institut de recherche en construction ont permis de réaliser des tests dans la rue de la Commune pour vérifier la résistance de nouveaux produits. Et le gagnant est : le pavé de béton non collé avec du mortier, comme ce fut le cas dans le passé, mais reposant sur un lit de sable granitique garni d'un sable à jointoiement polymérique, tel que décrit dans un document interne de la Ville. Des zones d'essai de ce produit, dans la rue de la Commune, ont résisté non seulement au passage des nombreux camions de livraison et autobus remplis de touristes, mais aussi aux gels et dégels fréquents des hivers modernes! Patrimoine «Le pavé de la rue de la Commune fait partie de notre patrimoine dans le Vieux-Montréal et cette rue est aussi une fenêtre très importante sur la métropole. Il est de notre responsabilité de refaire l'artère dans cette zone à forte concentration touristique et c'est d'autant urgent qu'il en va aussi de la sécurité des visiteurs», a commenté Sammy Forcillo. Les travaux seront réalisés dès cet automne. L'administration espère fermer le chantier avant la fin de 2007, mais elle n'écarte pas la possibilité que les travaux soient complétés au printemps de 2008. Les milliers de briques de granite qui seront enlevées, rue de la Commune, seront conservées par la Ville et serviront à certains aménagements dans des parcs publics
×
×
  • Créer...