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  1. Chaque semaine, Influence Communication surveille et analyse pour Métro la couverture internationale du Québec dans 160 pays du monde et en 22 langues.
  2. Le Silo no 5, citadelle numérique? Le Silo no 5 de la Pointe-au-Moulin, à l’ouest du Vieux-Port de Montréal, aurait tout ce qu’il faut pour devenir un centre très recherché de stockage de serveurs informatiques. L'effet vient avec la cause. La numérisation de nos vies quotidiennes fait, partout sur la planète, s'empiler des serveurs informatiques dans d'immenses entrepôts baptisés data centers. Ce marché du stockage explose. Il sourit également au Québec, à son climat nordique et même à des éléments de son patrimoine. Un silo à grain construit avant les Années folles peut-il devenir un symbole fort de la modernité? C'est le pari que veut relever la compagnie Vert.Com qui, depuis quelques mois, propose une drôle de transformation dans le Vieux port de Montréal: celle du Silo à grain no 5 en... centre de données — data center, comme disent les Anglos —, ces entrepôts de serveurs informatiques qui se multiplient pour répondre au flux grandissant à un rythme exponentiel d'informations numériques produit chaque jour par l'humanité. Baptisé Siloctet, le projet, sur les tables à dessin, consiste en l'installation de 112 000 serveurs informatiques savamment placés à la verticale dans les 44 espaces cylindriques totalement désaffectés depuis 1994 de l'annexe B1. Il attend toujours, pour prendre forme, le feu vert de la Société immobilière du Canada (SIC), propriétaire des lieux depuis 2010. Unir le monde du grain à celui de la communication numérique qui s'écrit sur iPhone et iPad: l'idée semble folle, mais elle est surtout cohérente, assure Éric Mateu, responsable du projet, puisque «les grains et les données informatiques ont besoin finalement du même environnement pour leur conservation», dit-il. «Cela va donner aussi une nouvelle vie à ce vestige industriel», tout en inscrivant Montréal dans un présent numérique qui aurait tout pour sourire au Québec. «En matière d'installation de centres de données, il y a un intérêt marqué pour le Québec qui se retrouve dans la liste des cinq endroits les plus prometteurs au monde, avec l'Islande, la Norvège, la Finlande et la Suède», résume M. Mateu. Et le coût de l'énergie qui prévaut ici — les centres de données sont énergivores —, les hivers et les lois moins intrusives en matière de surveillance électronique ne sont pas étrangers à la chose... Environnement et Patriot Act C'est qu'en se multipliant, les serveurs informatiques commencent en effet à mettre une pression énorme sur l'environnement partout sur la planète. Pour cause. Les centres de données sont en effet de gros consommateurs d'énergie, pour faire fonctionner ces concentrations de serveurs, mais aussi pour assurer leur refroidissement par climatisation. Les pays nordiques, avec leurs climats typiques se présentent désormais comme des lieux de prédilection pour l'implantation de ces centres, et encore plus quand les ressources énergétiques y sont à bon prix. Mais il y a plus. Plusieurs entreprises européennes qui jusqu'à maintenant allaient déposer des données numériques dans des centres de données aux États-Unis commencent à réviser cette décision, au bénéfice du Québec, et ce, pour plus de sécurité et... de confidentialité, prétend M. Mateu. La raison? Le Patriot Act, cette législation américaine adoptée dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001 et qui renforce le pouvoir des autorités dans les mondes numériques, entre autres. «Dans ce cadre légal, dit-il, le FBI peut entrer dans les serveurs des centres de données sans trop de difficulté, ce qui fait réfléchir des entreprises européennes qui s'en servent pour y conserver des copies de sauvegarde de leurs brevets, de leurs plans, de leurs rapports, de leurs communications internes.» Une prolifération logique Les effets de cette nouvelle délocalisation des données commencent d'ailleurs à se faire sentir, comme en témoigne l'inauguration au début de l'année d'un nouveau centre de données à Beauharnois, dans la région de Montréal. La compagnie française OVH est derrière ce projet qui, à terme, pourrait rassembler sur le site de l'ancienne usine de Rio Tinto Alcan, dans cette petite ville de 12 000 âmes, pas moins de 360 000 serveurs informatiques. Au même moment, Technoparc Montréal et Canix Colo, une boîte canadienne spécialisée en traitement de données, planchent également sur un projet de vaste entrepôt de serveurs dans le sud de la métropole. «Ce n'est pas un phénomène de mode, résume M. Mateu. C'est une réponse normale à un besoin logique» alimenté chaque jour par les usagers de technologies de communication, internautes et entreprises qui revendiquent une existence en ligne. Pause technique: en faisant se multiplier dans l'environnement social toujours plus d'appareils de communication portable (tablettes, téléphones intelligents), en succombant à l'appel de l'informatique en nuage qui permet le fonctionnement de blogues, de la plupart des services de Google, de Facebook, de Twitter, de YouTube... les humains encouragent de manière naturelle la multiplication de données numériques et, du coup, des serveurs permettant de stocker ces données. «Les appareils que nous utilisons, pour être toujours plus petits, doivent réduire leur capacité de stockage. Or, quand on dématérialise cette capacité dans nos outils de communication, il faut la rematérialiser ailleurs, dans le nuage [informatique] qui, lui, a une existence physique: le centre de données». Les chiffres sont étourdissants. Selon CISCO, en 2015, nos vies numériques devraient entraîner la conservation dans les seuls centres de données de la compagnie de 4,8 zettabytes de données informatiques — une valeur astronomique —, soit trois fois plus que la quantité évaluée l'an dernier à 1,5 zettabytes. Sur l'ensemble de la planète, ces flux d'informations en format numérique se mesurent désormais en millions d'exabytes, dont quelques milliers pourraient bien un jour passer par un des 44 cylindres du Silo no 5 de Montréal. Le lieu, qui trône depuis le début du siècle dernier sur la Pointe-au-Moulin à Montréal, n'a jamais réussi à trouver son deuxième souffle après une fermeture complète il y a près de 20 ans. Des transformations en musée, en hôtel et même en climatiseur géant ont été envisagées. En vain. «Le centre de données est sans doute le seul capable de donner une valeur économique à ce bâtiment tout en respectant sa nature», prétend M. Mateu qui évalue entre 150 et 200 millions de dollars le coût d'implantation de ce centre de données à la verticale. Mieux, l'endroit viendrait du coup soustraire de l'environnement un énième centre de données qui, construit de manière traditionnelle, occupe de grandes surfaces au sol. «On voit donc l'intérêt d'investir des bâtiments désaffectés pour les centres de données, comme cela a été fait dans une partie du vieux port de New York, dit-il. Construit au sol, Siloctet occuperait l'équivalent de cinq terrains de football américain», conclut-il. Des surfaces bien concrètes, surtout dans les zones urbaines étriquées, qui donnent corps et matière à des vies sociales et professionnelles qui tendent à en avoir de moins en moins. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/345941/le-silo-no-5-citadelle-numerique
  3. La firme montréalaise Ultra Electronics SCT a révélé mardi avoir obtenu des commandes de 23 millions $ de l'armée américaine. Ultra-SCT se spécialise dans les systèmes de communication radio à grande capacité et systèmes de guerre électronique. Ultra-SCT fournira des ensembles de mise à niveau de stations radio et des radios de type AN/GRC-245 supplémentaires pour le programme Warfighter Information Network Tactical Inc-1 de l'armée américaine. Ce programme fournit les réseaux de communication sur le terrain aux bataillons lorsqu'ils sont stationnaires. Ultra-SCT fournit de l'équipement de communication pour les applications militaires tactiques et les systèmes de défense. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/transport-et-produits-industriels/ultra-electronics-rafle-des-commandes-de-23-m-de-l-armee-americaine/539552
  4. Pub : Faire du Québec un laboratoire 24 janvier 2009 - 06h00 La Presse Hugo Fontaine Dans une opération de conquête comme celle qu'entendent mener les agences de publicité québécoises, il est de bonne guerre de diversifier son arsenal. Si le site montreal.ad permettra aux agences de se faire voir ailleurs, l'Association des agences de publicité québécoises (AAPQ) planche également sur un projet qui vise à attirer les grandes marques ici. Le «laboratoire de communication intégrée», un projet toujours en construction, veut faire du Québec une grande zone de test pour la communication marketing. Le Québec un microcosme où règne la suroffre médiatique, pour reprendre les propos de Sébastien Fauré, associé principal et président de l'agence Bleu Blanc Rouge serait le lieu idéal pour lancer un tel projet et convaincre les grandes entreprises de tenter l'expérience, croit l'AAPQ. «Ce serait bien plus qu'un focus group, dit Jacques Duval. Ce serait comme un gros Chicoutimi», ajoute-t-il en faisant référence au fait que la ville saguenéenne a souvent été le lieu de tests de nouveaux produits. Click here to find out more! L'intérêt de ce laboratoire serait de tester des stratégies de communication et de mise en marché au Québec, un marché spécifique caractérisé tant par une touche américaine qu'européenne. Dans la tête de ses créateurs, une entreprise pourrait essayer dans le laboratoire québécois une campagne publicitaire, une mise en marché puis une vente de ses produits. Dans un marché de 7 millions de personnes, ça devient moins casse-cou que dans un marché plus populeux. Le projet est d'envergure et plusieurs acteurs sont dans le coup: les agences de pub, mais aussi des médias de toutes sortes, des firmes de recherche, des détaillants et des universités. Le laboratoire pourrait être présenté à d'éventuels clients dès 2009, sinon en 2010. «Nous avons comme objectif d'aller en mission commerciale à New York en septembre», précise M. Fauré. Au bout du compte, «c'est une façon originale de proposer aux grandes marques d'aller plus loin», croit Sylvain Morissette. Et de faire connaître le savoir-faire des créateurs d'ici.
  5. Dans une communication, la Bourse de Toronto justifie sa décision en affirmant que le fabricant n’a pas «satisfait aux exigences de maintien de l’inscription du TSX». Pour en lire plus...
  6. Le PDG de Rogers Communication avait été hospitalisé vendredi après un malaise cardiaque. Pour en lire plus...
  7. Les technologies de l'information et des communications (TIC) telles que le courriel, les intranets, les collecticiels, les systèmes de réunion électronique et les systèmes de communication mobile bouleversent en profondeur les modes d'organisation du travail dans les entreprises. Pour en lire plus...
  8. Groupe Cossette Communication a affiché tard mardi un bénéfice du troisième trimestre en baisse de 53 % par rapport à l'an dernier. Pour en lire plus...
  9. Analyse: Cogeco se renforce sur le marché torontois * Daniel Renaud, Journal Les Affaires * 25 juin 2008 L'acquisition de Toronto Hydro Telecom renforce Cogeco Câble dans le marché torontois des télécommunications à l'intention des entreprises. Toutefois, les analystes estiment qu'à 200 millions de dollars, la société québécoise paie cher son acquisition annoncée le 13 juin. Cogeco Câble débourse un multiple de 9,6 fois le bénéfice avant impôts, intérêts et amortissement prévu pour 2008. Or, le titre de Cogeco Câble s'échange à seulement 6,5 fois son bénéfice. Cela signifie une dilution de 65 millions de dollars pour ses actionnaires, ou 1,33 $ par action, précise Dvai Ghose, de Genuity Capital. " Toronto Hydro Telecom affiche une croissance annuelle composée de 20 % de ses revenus et de 35 % de son bénéfice avant impôts, intérêts et amortissement depuis 2004 ", dit toutefois Vince Valentini, de TD Newcrest. Le chiffre d'affaires de la torontoise n'a pas été divulgué. " Toronto Hydro Telecom exploite un réseau de communication de données et de services de télécommunications qui dessert 500 immeubles situés dans la région métropolitaine, alors qu'elle ne compte que 300 clients. Ce faible taux de pénétration offre un bon potentiel de croissance ", dit M. Ghose. À titre d'exemple, Toronto Hydro Telecom ne compte que quatre clients parmi les locataires de First Canadian Place, l'un des plus importants immeubles de la Ville Reine. Par ailleurs, la société torontoise a récemment décroché des contrats, dont un auprès de la Commission scolaire de Toronto, qui devraient accroître son bénéfice l'an prochain. Elle offre des services de communication de données, de ligne privée, de voix sur IP, etc. L'acquisition de la société torontoise pourrait signifier la fin de l'expansion européenne de Cogeco Câble. " Nous préférons une utilisation de l'encaisse pour l'achat d'une entreprise située à proximité du marché québécois que l'acquisition d'une autre société européenne qui pourrait accroître le risque ", soutient M. Ghose. Les analystes financiers n'ont modifié leur recommandation ni leurs prévisions à la suite de cette acquisition. http://www.lesaffaires.com/article/1/analyse-de-titre/2008-06-25/479456/analyse-cogeco-se-renforce-sur-le-marcheteacute-torontois.fr.html
  10. Cossette Communication a annoncé à ses employés vendredi dernier qu'elle avait mis la main sur le compte publicitaire du gouvernement du Québec. Pour en lire plus...
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