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  1. Le projet comprend la démolition du vieux bâtiment de 3 étages au sud de l'hotel Dauphin, et son remplacement par une annexe de 10 étages qui ajoutera 24 chambres à l'Hotel Dauphin Avant la démolition: Il s'agit d'un projet complètement distinct de celui du site de la Maison Hantée, du côté nord de l'hôtel: http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/15135-1037-rue-Bleury-(Maison-Hant%C3%A9e)-20-%C3%A9tages/?goto=newpost
  2. Avis de la Ville de Montreal http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav10283.pdf The location and picture of the pukey building that will fall to the demo ball!!Yeah go to google maps and put in 1221 Hôtel de Ville, Montreal and see the building that is there now beurk!! The architectural firm is the following: I cannot find any renderings ..the site just seems to run a spool of the same images over and over... http://www.ateliervap.com/1/index.html :goodvibes:
  3. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201103/12/01-4378670-lhopital-st-mary-sera-agrandi.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&ut m_contenuinterne=cyberpresse_BO2_montreal_173_accu eil_POS2
  4. Nortel bousculée par une rumeur de faillite 11 décembre 2008 - 06h00 La Presse Martin Vallières Nortel (NT) envisagerait de se mettre sous la protection de la faillite afin de poursuivre se restructuration, selon la presse financière new-yorkaise. Fausse rumeur, a répliqué Nortel. L'entreprise affirme plutôt qu'elle ne fait que solliciter des avis professionnels pour améliorer sa restructuration, «sans projet imminent de protection de faillite». «Rumeur encore prématurée», ont tempéré pour leur part des analystes qui connaissent bien l'équipementier des télécommunications. Et ce, malgré leur constat de complications évidentes pour Nortel des suites de la crise financière et de la récession. En Bourse, les investisseurs déjà inquiets de la viabilité de Nortel ont fait la sourde oreille à ces messages de l'entreprise et des analystes. En fait, ils ont encore largué en masse les actions de Nortel, qui ont basculé de 23%, à seulement 49 cents chacune, en clôture à la Bourse de Toronto. Elles ont même descendu jusqu'à 46 cents en cours de séance, ce qui constituait un nouveau prix plancher en Bourse pour Nortel. D'ailleurs, la valeur boursière totale de Nortel cote maintenant sous les 250 millions, une pitance par rapport à sa dette à long terme de 4,8 milliards US au 30 septembre dernier. Pas étonnant que certains analystes aient récemment accordé un prix cible de «zéro» aux actions de Nortel, un symbole de l'incertitude encore considérable à propos de son plan de relance. Le mois dernier, Nortel a annoncé une perte trimestrielle de 3,4 milliards US, gonflée par d'autres frais de restructuration. Elle a aussi abaissé ses résultats cibles pour 2009 et annoncé la suppression additionnelle d'au moins 1300 postes, ou 5% de son effectif récent. Par ailleurs, si les actions de Nortel devaient se maintenir longtemps sous 1$ chacune, l'entreprise risque l'expulsion de la Bourse de New York pour contravention à ses normes de valeur minimale. Pour remédier à ce problème, Nortel pourrait devoir effectuer une autre fusion d'actions comme elle l'a fait il y a deux ans, selon l'analyste Kris Thompson, de la Financière Banque Nationale (FBN) à Toronto. En décembre 2006, Nortel avait fusionné ses actions à raison de 10 pour une afin d'en rehausser la valeur. Mais deux ans plus tard, cette tactique boursière s'avère encore nécessaire face aux doutes des investisseurs envers les chances de survie de Nortel. D'où leur sensibilité extrême à toute rumeur d'insolvabilité imminente, d'autant qu'il s'agirait d'un processus où les actionnaires de Nortel seraient les plus grands perdants. En contrepartie, les détenteurs d'obligations de Nortel, eux, pourraient y trouver un moyen de limiter leurs pertes, de même que les créanciers d'affaires de l'entreprise. «Les détenteurs d'obligations pourraient même avoir intérêt à une déclaration d'insolvabilité et de protection de faillite par Nortel parce qu'ils se retrouveraient en tête de liste pour l'accès aux actifs», a commenté Robert McWhirter, gestionnaire de placements chez Selective Asset Management, à Toronto. N'empêche, selon l'analyste Kris Thompson, de la FBN, un processus de protection de faillite de Nortel demeure "prématuré" avant que l'entreprise ait pu délester certains actifs. Dans un avis envoyé hier à ses clients-investisseurs, M. Thompson souligne que Nortel, à son rythme d'affaires actuel, dispose encore d'une bonne réserve de liquidités. Cette réserve serait encore à hauteur d'environ 1,4 milliard US dans un an, considérant une utilisation de fonds (burn-rate) prévue autour de 900 millions d'ici là. Quant aux actifs à revendre par Nortel, sa division des équipements de télécoms de type CDMA est présumée première candidate par des analystes comme Mark Sue, chez Marchés des capitaux RBC. Toutefois, dans un avis récent, l'analyste souligne que la valeur potentielle d'une telle cession demeure très incertaine pour Nortel parce que la technologie CDMA vieillit dans le secteur des télécommunications.
  5. L'action de BCE s'écroule, la privatisation menacée 26 novembre 2008 - 09h51 LaPresseAffaires.com Michel Munger La privatisation du géant des télécoms BCE (BCE) risque de ne pas se produire pour des questions de solvabilité et son action s'écroule en Bourse. Le titre fondait de 36,7% à 24,28 $ au TSX. Ce matin, la firme comptable KPMG jette une douche d'eau froide en questionnant la solvabilité ultérieure de Bell. La firme invoque, dans un avis préliminaire, les conditions actuelles du marché et le niveau d'endettement entraîné par la transaction pour ne pas remettre un avis favorable avant le 11 décembre, date prévue pour la conclure. KPMG doute qu'une fois privatisée, BCE puisse satisfaire aux tests de solvabilité définis dans l'entente de rachat. C'est une condition incontournable pour que la transaction soit effectuée selon les modalités acceptées par Teachers'. Rappelons que Bell devait être rachetée par le régime de retraite des enseignants ontariens Teachers' pour 52 G$. Sur ce montant, une trentaine de milliards doit provenir d'emprunts sur le marché du crédit. George Cope, grand patron de Bell, a manifesté son mécontentement en faisant l'annonce. «BCE bénéficie aujourd'hui de cotes de crédit de qualité, compte 2,8 G$ d'encaisse disponible, a peu d'échéances de titres d'emprunt à moyen terme et continue d'enregistrer de solides résultats d'exploitation.» «Nous sommes déçus de l'avis préliminaire de KPMG sur la solvabilité post-transaction, qui se fonde sur plusieurs hypothèses et méthodologies que nous examinons actuellement», ajoute Siim Vanaselja, chef des affaires financières de BCE. «L'entreprise ne partage pas l'avis selon lequel l'ajout de l'endettement de l'acquisition avec effet de levier ferait en sorte que BCE ne satisferait pas à la définition technique de solvabilité», dit M. Vanaselja.
  6. À quelques heures d'une réunion des pays producteurs de pétrole de l'OPEP, les avis divergent sur la réduction ou non de la production de brut dans le contexte de crise. Pour en lire plus...
  7. Avis aux modérateurs : j'avais mal lu l'un des règlements et la photo que je voulais proposer ne s'appliquait pas. Veuillez annuler cette intervention. Désolé.
  8. Tant qu'à moi c'est un plus pour un moins. Dommage pour Quebecor, mais tant mieux pour l'environnement. ---------------------------- Disparition du catalogue annuel Canadian Tire * Alexandre Paillé, Lesaffaires.com * 28 mars 2008 Canadian Tire ne précise pas combien elle économisera en coûts d'impression, mais précise que l'argent économisé servira à la publicité. Photo: Bloomberg Autre tuile pour l’imprimeur Quebecor World puisque le détaillant Canadian Tire a décidé de ne plus faire imprimer ses catalogues qui sont envoyés à des millions de foyers canadiens chaque année. Le gant du commerce de détail affirme avoir fait plusieurs analyses d’habitudes de magasinage de ses clients pour conclure que les consommateurs passent maintenant beaucoup plus de temps en ligne pour obtenir des informations. D’autres études confirmant que le lectorat et la conservation des catalogues annuels diminuent ont convaincu Canadian Tire de mettre un terme à l’impression annuelle d’un catalogue qui sera maintenant disponible en ligne. Canadian Tire ne précise pas combien elle économisera en coûts d'impression, mais précise que l'argent économisé servira à améliorer la présentation en ligne, de même qu’en publicité. La décision de Canadian Tire est un autre coup dur pour Quebecor qui avait fait savoir la semaine dernière qu'il ne s'opposerait pas aux efforts du magazine The Economist pour préserver son droit de mettre fin à son contrat plus tard cette année. The Economist a demandé à un juge américain la permission de fournir un avis formel à Quebecor World, avis qu'il dit être nécessaire parce que l'imprimeur poursuit ses activités en bénéficiant de la protection de la loi sur les faillites pendant qu'il tente de se dépêtrer de ses difficultés. Avec Canadian Press http://www.lesaffaires.com/article/0/commerce-et-produits-de-consommation/2008-03-28/474790/disparition-du-catalogue-annuel-canadian-tire.fr.html
  9. La Presse Le jeudi 28 juin 2007 La Grande Bibliothèque n'aura pas à payer un seul sou pour les clôtures qui l'encerclent. Par bon voisinage, l'arrondissement de Ville-Marie fait une croix sur la somme d'un million et demi de dollars que lui doit l'institution du boulevard De Maisonneuve. Les fameuses clôtures, qui monopolisent le trottoir depuis un an et demi, servent à éviter qu'une lame de verre de la bibliothèque n'assomme un passant. En janvier dernier, la Grande Bibliothèque (GBQ), avait proposé d'installer des marquises et des bacs à fleurs pour régler le problème. Un projet de 500 000$. Mais l'arrondissement, qui avait demandé une expertise externe, avait jugé l'idée non sécuritaire, et refusé de délivrer un permis. Une décision qui a mis le feu aux poudres. La direction de la GBQ, qui a douté de la bonne foi de Ville-Marie, a demandé un avis à la Régie du bâtiment. Un avis qui se fait toujours attendre. Le chargé de communication de Ville-Marie, Jacques-Alain Lavallée, a expliqué, hier, que les élus ont jugé qu'il valait mieux ne pas facturer la Bibliothèque en attendant l'avis. Mais il n'a pas manqué de rappeler que le service d'incendie de Montréal avait appuyé Ville-Marie dans sa décision. «Nous agissons pour la sécurité du public, a dit M. Lavallée. Et il faut se souvenir que nous étions d'accord avec l'installation de filets de protection pour remplacer les clôtures de sécurité.» Au mois de mai dernier, la directrice de la Grande Bibliothèque, Lise Bissonnette, s'était indignée publiquement contre la facture de 38 000$ par mois imposée pour les clôtures. Une somme qui menaçait d'amputer son budget de fonctionnement et de programmation, disait-elle. Jointe hier, la directrice des communications de la GBQ, Hélène Panaïoti, a indiqué que l'institution avait un permis d'occupation du domaine public jusqu'au 31 juillet. Elle n'était pas au courant de la décision de l'arrondissement. «Vous comprendrez que je ne peux pas commenter une décision dont nous n'avons pas été informés. Mais il est exact de dire que nous n'avons pas reçu de facture pour les clôtures», a-t-elle dit. Essais techniques De son côté, la Régie du bâtiment affirme que des essais techniques ont été menés, il y a un mois, pour évaluer le projet de marquises et de bacs à fleurs. «Nous posons plusieurs questions aux experts de la Bibliothèque, notamment sur les matériaux utilisés, explique Christine Grant, porte-parole de la Régie. Il y a une bonne collaboration. Mais il m'est impossible, à ce moment-ci, de dire quand l'avis sera déposé.» La décision de Ville-Marie de ne pas facturer la GBQ pour les clôtures va réjouir les commerçants du centre-ville, croit pour sa part André Poulin, directeur de Destination Centre-Ville, qui représente 8000 entreprises. «Il est normal de sévir contre les mauvais clients corporatifs, explique-t-il. Mais pas contre les propriétaires qui font preuve de bonne volonté. Je pense que les frais sont de toute façon exagérés pour une institution gouvernementale. Et que d'une façon ou d'une autre, ils sortent des poches des contribuables.» Moins de risquesDix lamelles de verre de la Grande Bibliothèque se sont détachées depuis son ouverture, en avril 2005. Une expertise a démontré que plus le temps avance et plus les risques de chute diminuent. «Mais avant de clamer la fin du phénomène, il ne serait pas surprenant de voir, durant les prochaines années, quatre ou six lamelles additionnelles se briser», indique par ailleurs une expertise de CPA verre structurel, commandée par l'arrondissement de Ville-Marie. Les clôtures qui entourent la Grande Bibliothèque servent à éviter qu'une lame de vere qui se détache ne blesse en passant.
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