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Redéveloppement du site du Bassin Peel


IluvMTL

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🤦🏻‍♂️
 

Textbook examples of the poor civic planning to which we are subjected by all levels of government here. REM will be no different, because as we know, CDPQi is washing their hands of any and all work around their installations. So of course, unlike Vancouver — who have planted climbers around the SkyTrain’s columns to prevent that stuff — of course we will drop the ball and complain about it after the fact.

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Il y a 5 heures, Rocco a dit :

Passage entre Cité Multimédia et Bassin Peel. Sweet! 🙄

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Au moins il y a de l'enduit anti-graffiti sur le béton (ça fait enlever la peinture plus facilement) est-ce que ça la été reporté au 311 ou juste ici ? Car si personne le signale à la ville, ça va rester là..

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37 minutes ago, Doctor D said:

Am I mistaken or do these two projects both claim the same space?

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Apart from that map being five years old, yes. Claridge (and The Baseball Group) were in talks with Devimco to partner in negotiations with Canada Lands. Devimco hasn’t spoken about the stadium nor Bronfman about Devimco since perhaps 2018.

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Pourquoi c'est toujours Devimco? Veut-on vraiment d'un Griffintown Sud?

Broccolini ne serait pas intéressé à développer un quartier de qualité?

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Le 2021-06-08 à 09:19, sunny a dit :

La ville a récemment organisé des ateliers de planification au cours duquel la SIC a indiqué qu'elle ne vendrait pas le site à un seul promoteur, mais qu'elle développerait le secteur et le vendrait parcelle par parcelle, à la façon de ce qui s'est passé pour l'ancienne station postale de Griffintown.

C'est la meilleure façon d'éviter un développement purement générique. La diversité a bien meilleur goût et est bien plus soluble dans le paysage urbain :yes:

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  • 2 mois plus tard...

Je trouve le titre de cet article un peu tendancieux parce qu’il laisse croire à l’exclusion de certains groupes d’intérêt dans l’exercise de consultation.

___________

Bassin Peel

Pas de place pour Bronfman et Devimco à la table de concertation

PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL, ARCHIVES COLLABORATION SPÉCIALE

Le secteur du bassin Peel est stratégique en raison de son envergure, environ 8,5 hectares, et de sa localisation, porte d’entrée sud-ouest du centre-ville.

La Ville de Montréal poursuit sa réflexion sur l’avenir du bassin Peel, dans le sud-ouest du centre-ville. Elle vient de constituer une table de concertation pour l’aider à formuler sa vision de développement, mais sans y inviter les principaux promoteurs privés ayant un intérêt dans le secteur.

Publié le 30 août 2021 à 7h00

https://www.lapresse.ca/affaires/2021-08-30/bassin-peel/pas-de-place-pour-bronfman-et-devimco-a-la-table-de-concertation.php

André Dubuc La Presse

Aux abonnés absents figurent le Groupe baseball Montréal de Stephen Bronfman, qui veut y construire un stade de baseball des ligues majeures, et Devimco, qui détient des options d’achat sur de grands pans du territoire jouxtant le bassin Peel. Ce dernier souhaite y aménager un ambitieux quartier résidentiel doublé d’un pôle d’emplois dans les technologies propres ainsi que des équipements civiques.

Ce n’est pas la première fois que la Ville de Montréal ignore M. Bronfman. Au printemps dernier, dans le cadre d’une concertation citoyenne confiée à l’Institut du Nouveau Monde, la Ville avait oublié d’inviter Groupe baseball Montréal à participer aux trois premiers ateliers. Le groupe avait par la suite demandé et obtenu la permission de participer aux deux derniers ateliers.

Lisez l’article « Consultation au Bassin Peel : la Ville de Montréal avait oublié d’inviter Stephen Bronfman »

Le secteur du bassin Peel est stratégique en raison de son envergure, environ 8,5 hectares, et de sa localisation, porte d’entrée sud-ouest du centre-ville.

PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Stephen Bronfman

Selon les informations reproduites dans un mémoire de l’Institut de développement urbain du Québec (IDU), publié ce lundi matin, la table de concertation est composée de 16 personnes, dont une majorité est formée de fonctionnaires de la Ville (4) et de membres de groupes communautaires (5).

Les propriétaires de terrains du secteur public, comme la Société immobilière du Canada, sont aussi autour de la table avec quatre représentants, de même que trois représentants des acteurs économiques : la Chambre de commerce et d’industrie du Sud-Ouest, la minoterie ADM Agri-industries et les Forges de Montréal.

Pour le moment, la présence de l’IDU autour de la table n’est pas non plus assurée. L’organisme, qui défend les intérêts des promoteurs immobiliers, a publié de sa propre initiative un mémoire pour faire entendre sa vision quant à l’avenir de ce secteur négligé autrefois à vocation industrielle.

« Outre notre présence à la table, on demande qu’il y ait cinq promoteurs pour qu’il y ait une compréhension des intérêts économiques, dit Jean-Marc Fournier, PDG de l’IDU, de la même façon qu’on y trouve des groupes de la société civile au nombre de cinq. C’est très bien que le comité ait une compréhension des intérêts sociaux, mais à la table, jusqu’ici, il n’y avait pas la même compréhension des intérêts économiques. On veut s’assurer d’avoir une répartition qui permet de voir tous les enjeux. » L’IDU propose aussi l’ajout de deux élus municipaux.

Par ailleurs, l’Institut invite la mairesse Valérie Plante et les autres candidats à la mairie à préciser, avant les élections municipales, leur vision concernant l’avenir du bassin Peel et de tout le secteur qu’on appelle Bridge-Bonaventure, lequel englobe notamment la Pointe-du-Moulin (le silo no 5) et la Cité du Havre.

« Les élections ne sont pas un prétexte pour retarder l’action, dit Jean-Marc Fournier, mais une bonne occasion pour partager sa vision et pour s’engager. Les élections sont toujours un bon moment pour dire quelque chose. Une des fins recherchées avec le dépôt de notre mémoire est de suggérer aux différents candidats d’exprimer publiquement ce qu’ils ont l’intention de faire et à quel rythme ils ont l’intention de le faire. »

Un port d’Hambourg cité en exemple

Pour sa part, l’IDU souhaite y voir un aménagement urbain intégré avec des activités économiques, culturelles, civiques – lire école – et résidentielles avec sa part de logements sociaux. Il cite l’exemple de la requalification urbaine réussie du port d’HafenCity à Hambourg, en Allemagne.

L’objectif est d’y réaliser un aménagement selon le principe de la « Ville du quart d’heure » élaboré par le professeur Carlos Moreno. M. Moreno sera d’ailleurs l’invité de l’IDU lors d’un prochain webinaire en septembre.

« La qualité des aménagements et l’intégration architecturale des bâtiments en font une référence européenne », lit-on dans le mémoire de l’Institut.

Selon les estimations de l’IDU, il est possible de construire 11 000 logements en plus d’aménager près de 4 millions de pieds carrés de terrain pour des usages civiques, sportifs, communautaires et des lieux d’emplois dans le secteur Bridge-Bonaventure (bassin Peel et Pointe-du-Moulin, entre autres).

L’Institut arrive à ces chiffres en fonction d’une densité de construction semblable à ce qui est proposé dans le programme particulier d’urbanisme (PPU) du quartier des Faubourgs, à l’entrée sud-est de la ville. L’organisme plaide aussi pour la construction d’une gare du Réseau express métropolitain au sud de la rue Wellington.

L’IDU propose qu’une ébauche de PPU pour le secteur Bridge-Bonaventure soit présentée dès le début de 2022. L’Office de consultation publique de Montréal entamerait ensuite ses travaux. L’objectif est d’adopter le règlement de zonage en 2023.

« Il faut aller de l’avant maintenant, soutient M. Fournier. Je l’ai écrit il y a un an. Je l’écris encore. J’espère qu’on va y arriver un moment donné. »

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Secteur Bridge-Bonaventure

L’occasion de revenir en ville

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

« S’il peut être plus complexe de transformer des quartiers déjà totalement occupés pour implanter la “ville du quart d’heure”, Bridge-Bonaventure se présente comme un site unique pour réussir dès maintenant des quartiers diversifiés où on peut résider et travailler puis se divertir à 15 minutes en transport actif », écrit l’auteur.

Au sortir de la crise sanitaire qui a si lourdement touché le centre-ville et qui nous a ralliés à l’idée de tout mettre en œuvre pour accueillir encore plus de résidants au centre-ville, le développement du secteur Bridge-Bonaventure est en soi une formidable occasion pour réussir une nouvelle entrée de ville permettant d’ajouter à la vie communautaire du centre-ville de Montréal.

Publié le 30 août 2021 à 7h00

https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2021-08-30/secteur-bridge-bonaventure/l-occasion-de-revenir-en-ville.php

Jean-Marc Fournier Président-directeur général de l’Institut de développement urbain du Québec

Avec la proximité du centre-ville et du Vieux-Montréal, les infrastructures intermodales ainsi qu’un environnement spectaculaire tant naturel qu’urbain, enrichi par les vues extraordinaires sur le fleuve, le corridor vert et bleu du canal de Lachine, les îles et le mont Royal, ce secteur a tout ce qu’il faut pour attirer de nombreux nouveaux résidants désirant y donner vie.

Le secteur Bridge-Bonaventure connaît aussi quelques contraintes. Il est caractérisé par l’absence d’écoles, d’installations sportives et communautaires, d’espaces verts et de parcs nécessaires à des milieux de vie complets. Plusieurs de ses sols sont contaminés en raison de son passé industriel, et les voies ferrées et gares de triage qu’on y trouve impliqueront des interventions publiques pour créer les conditions favorables à son réaménagement.

À l’heure de la crise climatique, nombreux sont ceux qui plaident pour la « ville des proximités », ce que Carlos Moreno appelle la « ville du quart d’heure ». Il propose une densification heureuse qui prend appui sur le transport durable et permet une diversité de services publics et privés à quelques pas de chez soi. Montréal s’est joint aux 40 autres membres du réseau des villes qui veulent adopter cette vision.

L’Institut de développement urbain du Québec (IDU) s’inscrit dans cette orientation et propose de s’inspirer des transformations du port d’HafenCity, à Hambourg, pour guider les choix à venir. La requalification du port allemand a été réalisée avec l’objectif d’y intégrer des bureaux, du résidentiel, des équipements communautaires et des espaces publics. En misant sur la densité et la mixité des usages et des fonctions, cette ville d’Allemagne a réussi à créer des quartiers attrayants, inclusifs et complets.

Aujourd’hui, nous rendons publique notre vision dans le cadre de nos collaborations avec la Ville en vue de l’adoption du plan directeur pour le secteur proposant des espaces de vie inclusifs et de qualité.

Consultez le mémoire de l’IDU sur le secteur Bridge-Bonaventure

La concrétisation de cette vision implique des investissements privés et publics importants de même que l’adoption de réglementations adaptées au site. En tant qu’entrée du centre-ville, le secteur n’aura pas les mêmes coefficients d’occupation au sol (COS) qu’au centre-ville (12) ou dans Griffintown (10,5). Avec un COS de 6, ce qui est déjà prévu au secteur des Faubourgs, et la flexibilité nécessaire en ce qui a trait aux hauteurs et aux superficies de plancher pour atteindre ce coefficient, puis avec une planification qui prévoit une échelle humaine au niveau de la rue et un dégagement des vues, le secteur devient une formidable occasion d’inverser les tendances à l’étalement urbain et de permettre à de nombreux citoyens de « revenir en ville ».

Aller de l’avant maintenant

Forts de nombreuses consultations qui ont déjà eu lieu, les sous-secteurs de la Pointe-du-Moulin, le bassin Wellington et le triangle de la Pointe-Saint-Charles permettent d’aller de l’avant dès maintenant en adoptant cette approche. Déjà, il y a près d’un an, en réfléchissant à la relance post-pandémique, nous suggérions d’y accélérer les travaux.

Avec une mixité d’usage, et tout en valorisant les immeubles patrimoniaux, ces sous-secteurs prioritaires qui ont déjà fait l’objet de consultations pourraient accueillir plus de 10 000 nouveaux logements, des commerces, des bureaux et une zone d’innovation.

S’il peut être plus complexe de transformer des quartiers déjà totalement occupés pour implanter la « ville du quart d’heure », Bridge-Bonaventure se présente comme un site unique pour réussir dès maintenant des quartiers diversifiés où l’on peut résider et travailler puis se divertir à 15 minutes en transport actif.

Au-delà de ces trois sous-secteurs, nous croyons que la Cité-du-Havre et le quai Bickerdike méritent aussi une attention particulière. Nous invitons les autorités à réfléchir à leur intégration au secteur Bridge-Bonaventure. Évidemment, ces deux sous-secteurs ne sont pas au même stade de préparation pour y passer à l’action dès maintenant. En même temps que la Ville voudra lancer le développement de l’entrée sud-ouest du centre-ville, elle devrait amorcer les consultations pour mesurer la faisabilité d’une intégration réussie de ces deux sous-secteurs.

Les autorités municipales s’inquiètent à juste titre de la pénurie et du coût du logement à Montréal. Elles ont souvent exprimé le souhait de pouvoir compter sur plus d’appartements et l’importance d’en améliorer l’abordabilité. Avec l’effet de la crise sanitaire sur les taux d’occupation des bureaux au centre-ville, elles ont manifesté l’intention d’y privilégier rapidement le développement résidentiel. Nous partageons cet objectif. La feuille de route que nous proposons vise l’adoption d’un premier programme particulier d’urbanisme (PPU) au début de 2022, puis une consultation de l’Office de consultation publique de Montréal et enfin l’adoption finale du PPU en 2022.

Bridge-Bonaventure offre la possibilité de planifier et de développer autrement ; nous souhaitons que les décideurs publics passent de la parole aux actes et saisissent l’occasion d’agir sans attendre.

La proximité d’une élection municipale ne devrait pas être un prétexte pour retarder l’action, mais une opportunité pour partager ses visions et s’engager.

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