COVID-19: L'effet sur l'économie et sur l'immobilier à Montréal

[santana99]

Je me souviens de la crise économique des années 80. J'étais à Montréal. Il y avait de la pauvreté, certes, ce n'était pas toujours rose.

Mais la ville était vivante. La vie était là.

On pouvait aller dans un bar ou un café sur St-Denis, voir des amis, socialiser

Il y avait une vie ! 

Ce qui arrive me déchire le coeur ! Et je ne suis pas le seul à être déchiré. Je crois que vous éprouvez tous à un degré ou un autre ce sentiment.

ON a tué la vie en société. En quelques semaines !

Oui, la vie va reprendre, mais dans quelles conditions ?

Tout ça me fend le coeur. Oui, il y a les morts à déplorer.

Mais c'est un art de vivre qu'on a foutu en l'air !

Dans combien de temps allons-nous revivre ?

[ScarletCoral]

L'initiative annoncée par la Ville de Montréal hier en partenariat avec les SDC et Desjardins :

Campagne de financement participatif pour les commerces

La Ville appuiera également une campagne de financement participatif initiée par La Ruche, les Sociétés de développement commercial (SDC), les associations commerciales et le Mouvement Desjardins, pour soutenir les commerces de proximité sur le territoire de l'agglomération montréalaise. La campagne Du cœur à l'achat permettra à la communauté de soutenir les commerces par l'achat de cartes-cadeaux échangeables dans les commerces. La Ville bonifiera le montant des achats faits par la population jusqu'à concurrence de 500 000 $, somme qui sera remise aux commerces. Lorsque les Montréalaises et les Montréalais procéderont à l'achat de cartes-cadeaux, le Mouvement Desjardins remettra, pour sa part, un montant à des organismes communautaires de Montréal. Cette campagne pourrait générer des investissements directs de 2 M$ dans les commerces locaux et les organismes de Montréal.

 
En résumé : 
Achète un bon de 20$ pour acheter dans les commerces locaux, obtiens 30$ et Desjardins remet 20$ aux organismes communautaires du quartier (pour 2000 bons)
Il y a 500 bons sans bonification pour l'acheteur

Voici les liens pour le Sud-Ouest, Verdun et MHM
https://laruchequebec.com/projet/demain-tout-est-possible-7171/
https://laruchequebec.com/projet/luv-dans-ton-panier-verdunluv-7113/
https://laruchequebec.com/projet/achete-local-dans-mhm-7165/

Pour le programme de Desjardins à travers le Québec : https://laruchequebec.com/explorer/projets/?search=&region=&orderBy=timeRemaining&ruchePartner=43#explore

[acpnc]

« D’excellents résultats » sur les chantiers résidentiels rouverts

Près des trois quarts des chantiers inspectés étaient conformes aux nouvelles normes sanitaires.

Après une pause forcée de quatre semaines, l'industrie de la construction résidentielle a repris ses activités au Québec le 20 avril.

Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

Mathieu Dion

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1701352/chantiers-residentiels-reouverture-normes-sanitaires-coronavirus-covid-19-bilan

Publié à 4 h 05

La réouverture des chantiers de construction résidentiels, il y a trois semaines, est concluante, malgré la pandémie. Très peu de problèmes ont été recensés, selon le ministre du Travail, Jean Boulet.

La reprise hâtive, dans ce secteur comptant quelque 6500 chantiers, visait d’abord à éviter une crise du logement le 1er juillet, mais l’expérience est maintenant concluante, puisque l’ensemble des chantiers rouvriront lundi.

C’est de très bon augure, se réjouit M. Boulet. C’est un secteur qui a un niveau de maturité sanitaire extrêmement élevé.

D’après les données recueillies par son ministère, près des trois quarts des 1200 chantiers qu'ont visités des inspecteurs étaient conformes aux nouvelles normes sanitaires. Treize ont dû être fermés, mais depuis le 1er mai, tous ont été relancés.

Là où des avis de correction ont été donnés, soit 406, des mesures ont été apportées pour rectifier la situation. Il pouvait s’agir d’une simple absence de liquide désinfectant ou de savon, par exemple.

Aucun cas de COVID-19 n’a été porté à la connaissance du ministre Boulet, de même qu’aucun cas où un travailleur a exercé son droit de refus en raison de symptômes de la maladie ou par crainte pour sa santé et sa sécurité. Ce qui est quand même significatif, selon lui.

C’est un environnement humain, il faut demeurer discipliné. Il y a eu beaucoup de travail d’information, de sensibilisation et de formation en collaboration avec les associations patronales et syndicales.

Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale

Pas de compromis

Au total, 172 plaintes ont été transmises à la Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) depuis la réouverture des chantiers. L’organisme gouvernemental déploie 300 inspecteurs sur le territoire québécois, auxquels s’ajoutent 100 experts de la Commission de la construction du Québec et 80 autres de la Régie du bâtiment du Québec.

La réouverture de près de 6000 chantiers commerciaux et institutionnels, industriels et du secteur génie civil et voirie ne nécessiterait pas davantage d’inspecteurs, a priori. Si jamais je réalise qu’il y a une demande au-delà de notre capacité de surveiller, je vais m’assurer d’en ajouter, promet toutefois le ministre du Travail. Il y aura toujours des écueils et des obstacles. Les chantiers récalcitrants, je les informe encore une fois qu’il n’y aura pas de compromis.

L’un des plus importants chantiers du Québec, celui du Réseau express métropolitain (REM), reprendra d’ailleurs progressivement entre les 11 et 21 mai, secteur par secteur, en commençant par l’axe Brossard à Champlain.

24 plaintes pour 20 000 commerces

Les commerces ayant rouvert leurs portes à l’extérieur du Grand Montréal en début de semaine, parmi les quelque 20 000 autorisés à le faire, semblent aussi suivre les consignes de la santé publique.

Seulement 24 plaintes ont été rapportées entre les 4 et 7 mai. Pour Jean Boulet, il s’agit là d’une démonstration de la capacité des commerces de s’assurer du respect des normes sanitaires.

Alors, pourquoi avoir encore reporté d’une semaine la réouverture des commerces du Grand Montréal ayant pignon sur rue? Ils ne pourront accueillir des clients qu’à compter du 25 mai, si et seulement si la situation s’améliore, a indiqué le premier ministre François Legault, jeudi.

Le ministre Boulet admet devoir se plier aux directives de la santé publique. Il faut absolument s’adapter; ce sont deux environnements épidémiologiques différents, précise-t-il.

Mathieu Dion est correspondant parlementaire à Québec

[Rocco]

Et ils vont retomber en congé à la fin juillet. Pendant ce temps là en Ontario les chantiers sont restés ouverts et ils travaillent tout l'été eux autres. Bon yeu qu'on fait dur.

[acpnc]

Il y a 1 heure, Rocco a dit :

Et ils vont retomber en congé à la fin juillet. Pendant ce temps là en Ontario les chantiers sont restés ouverts et ils travaillent tout l'été eux autres. Bon yeu qu'on fait dur.

Rien ne dit qu'il n'y aura pas un décret ou une entente quelconque pour compenser les retards et les pertes causées par l'arrêt de travail.

[santana99]

Il y a 2 heures, acpnc a dit :

« D’excellents résultats » sur les chantiers résidentiels rouverts

Près des trois quarts des chantiers inspectés étaient conformes aux nouvelles normes sanitaires.

Après une pause forcée de quatre semaines, l'industrie de la construction résidentielle a repris ses activités au Québec le 20 avril.

Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

Mathieu Dion

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1701352/chantiers-residentiels-reouverture-normes-sanitaires-coronavirus-covid-19-bilan

Publié à 4 h 05

La réouverture des chantiers de construction résidentiels, il y a trois semaines, est concluante, malgré la pandémie. Très peu de problèmes ont été recensés, selon le ministre du Travail, Jean Boulet.

La reprise hâtive, dans ce secteur comptant quelque 6500 chantiers, visait d’abord à éviter une crise du logement le 1er juillet, mais l’expérience est maintenant concluante, puisque l’ensemble des chantiers rouvriront lundi.

C’est de très bon augure, se réjouit M. Boulet. C’est un secteur qui a un niveau de maturité sanitaire extrêmement élevé.

D’après les données recueillies par son ministère, près des trois quarts des 1200 chantiers qu'ont visités des inspecteurs étaient conformes aux nouvelles normes sanitaires. Treize ont dû être fermés, mais depuis le 1er mai, tous ont été relancés.

Là où des avis de correction ont été donnés, soit 406, des mesures ont été apportées pour rectifier la situation. Il pouvait s’agir d’une simple absence de liquide désinfectant ou de savon, par exemple.

Aucun cas de COVID-19 n’a été porté à la connaissance du ministre Boulet, de même qu’aucun cas où un travailleur a exercé son droit de refus en raison de symptômes de la maladie ou par crainte pour sa santé et sa sécurité. Ce qui est quand même significatif, selon lui.

C’est un environnement humain, il faut demeurer discipliné. Il y a eu beaucoup de travail d’information, de sensibilisation et de formation en collaboration avec les associations patronales et syndicales.

Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale

Pas de compromis

Au total, 172 plaintes ont été transmises à la Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) depuis la réouverture des chantiers. L’organisme gouvernemental déploie 300 inspecteurs sur le territoire québécois, auxquels s’ajoutent 100 experts de la Commission de la construction du Québec et 80 autres de la Régie du bâtiment du Québec.

La réouverture de près de 6000 chantiers commerciaux et institutionnels, industriels et du secteur génie civil et voirie ne nécessiterait pas davantage d’inspecteurs, a priori. Si jamais je réalise qu’il y a une demande au-delà de notre capacité de surveiller, je vais m’assurer d’en ajouter, promet toutefois le ministre du Travail. Il y aura toujours des écueils et des obstacles. Les chantiers récalcitrants, je les informe encore une fois qu’il n’y aura pas de compromis.

L’un des plus importants chantiers du Québec, celui du Réseau express métropolitain (REM), reprendra d’ailleurs progressivement entre les 11 et 21 mai, secteur par secteur, en commençant par l’axe Brossard à Champlain.

24 plaintes pour 20 000 commerces

Les commerces ayant rouvert leurs portes à l’extérieur du Grand Montréal en début de semaine, parmi les quelque 20 000 autorisés à le faire, semblent aussi suivre les consignes de la santé publique.

Seulement 24 plaintes ont été rapportées entre les 4 et 7 mai. Pour Jean Boulet, il s’agit là d’une démonstration de la capacité des commerces de s’assurer du respect des normes sanitaires.

Alors, pourquoi avoir encore reporté d’une semaine la réouverture des commerces du Grand Montréal ayant pignon sur rue? Ils ne pourront accueillir des clients qu’à compter du 25 mai, si et seulement si la situation s’améliore, a indiqué le premier ministre François Legault, jeudi.

Le ministre Boulet admet devoir se plier aux directives de la santé publique. Il faut absolument s’adapter; ce sont deux environnements épidémiologiques différents, précise-t-il.

Mathieu Dion est correspondant parlementaire à Québec

Ce qui me console, c'est que les chantiers n'ont été arrêtés que quatre semaines ! Ce n'est pas une tragédie ! Ça ne va pas impacter vraiment le secteur au niveau des chantiers en cours. C'est rattrapable quoi ! Back to business !

[Faitlemou]

Il y a 2 heures, Rocco a dit :

Et ils vont retomber en congé à la fin juillet. Pendant ce temps là en Ontario les chantiers sont restés ouverts et ils travaillent tout l'été eux autres. Bon yeu qu'on fait dur.

Oui Rocco, tout va mal, on fait dur au Quebec, on a compris.

[Wave Arts]

Il y a 8 heures, Rocco a dit :

Et ils vont retomber en congé à la fin juillet. Pendant ce temps là en Ontario les chantiers sont restés ouverts et ils travaillent tout l'été eux autres. Bon yeu qu'on fait dur.

 

[p_xavier]

22 minutes ago, Wave Arts said:

 

Les employés en construction sont souvent matchés avec des prof/employés de la santé. Ils veulent avoir des vacances. Être pogné 2 mois à la maison avec 2.3 enfants n'est pas des vacances.

[Wave Arts]

il y a 1 minute, p_xavier a dit :

Les employés en construction sont souvent matchés avec des prof/employés de la santé. Ils veulent avoir des vacances. Être pogné 2 mois à la maison avec 2.3 enfants n'est pas des vacances.

Inquiète-toi pas j'en suis totalement conscient. Je pense que certains ont hâte de retourner travailler pour être en congé de garde des enfants. Mon commentaire se voulait purement sarcastique.