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COVID-19: L'effet sur l'économie et sur l'immobilier à Montréal


Rocco

Messages recommendés

Il y a 5 heures, p_xavier a dit :

La valeur des maisons résiste pour le moment dans la région de Montréal: https://lp.ca/sPIQI7

Ca ne fait vraiment pas assez longtemps que la crise est commencée pour voir un effet sur l'immobilier. L'aide de 2,000$ jusqu'en juillet et le report d'hypothèque pour ceux qui ont pu l'avoir se termine en septembre. Si le marché immobilier tombe, ce sera à partir de l'automne. Le pire de la crise économique n'est pas encore commencée.

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16 hours ago, Matt said:

Je suis paradoxalement assez inquiet sur l economie dans les prochains deux a trois ans avec un taux de  chomage en forte hausse (superieur a 10%), des faillites de compagnies multiples et variees mais pas mal optimiste sur le secteur de l'immobilier qui devrait bien resister selon moi.

Taux de chomage et immobilier sont des vases communiquant. Si le chomage est élevé l'immobilier va s'en ressentir.

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https://journalmetro.com/actualites/national/2444225/coronavirus-lhecatombe-se-poursuit-pour-les-restaurants-malgre-l-aide-gouvernementale/

Coronavirus: l’hécatombe se poursuit pour les restaurants, malgré l’aide gouvernementale

10:59 7 mai 2020 | mise à jour le: 7 mai 2020 à 10:59 
Par:  Zacharie Goudreault
Métro

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Photo: Josie Desmarais/Métro
Un restaurant rue Saint-Laurent fermé à cause du coronavirus.

Environ 70% des restaurants au Québec craignent de ne pas avoir suffisamment de fonds pour passer au travers des trois prochains mois, malgré les mesures d’aide mises en place par Québec et Ottawa, selon un nouveau coup de sonde.

Le mois dernier, Restaurants Canada avait publié un sondage sur les répercussions de la crise du coronavirus sur les restaurateurs de la province. Celui-ci indiquait qu’un restaurateur indépendant sur deux au Québec craignait de devoir fermer ses portes d’ici trois mois en raison de la crise sanitaire. Le sondage montrait alors le loyer comme la principale source d’endettement de ces entreprises. 

Des faillites massives appréhendées par les restaurants

Dans un nouveau coup de sonde, mené du 1er au 5 mai auprès de 890 exploitants représentant près de 12 000 restaurants, l’organisme constate que 70% des répondants sont «extrêmement ou très inquiets» de la possibilité de ne pas avoir les liquidités suffisantes pour effectuer toutes les dépenses associées à leur commerce. Celles-ci incluent, en plus du loyer, le paiement des factures d’électricité et les taxes municipales, entre autres. 

«Les pertes vont être immenses», anticipe le vice-président aux affaires fédérales et au Québec pour Restaurants Canada, David Lefebvre. Selon l’organisme, le chiffre d’affaires des restaurateurs au Québec pourrait chuter de 3,3 G$ au deuxième trimestre de l’année en cours.

Les restaurants peinent à payer leur loyer

Le sondage permet aussi de constater que 20% des restaurateurs qui sont locataires n’ont pu payer leur loyer au complet dans les temps pour le mois de mai, contre 14% pour le mois d’avril. Une situation qui survient alors qu’Ottawa a pourtant mis en place à la fin du mois dernier un programme d’aide au loyer de 75%.

Ce programme n’est toutefois pas accessible à de nombreux restaurateurs en raison de ses critères restrictifs, souligne M. Lefebvre. Une entreprise doit effectivement avoir subi des baisses de revenus de 70% pour y avoir accès. Le programme prévoit aussi d’offrir une aide financière aux propriétaires de locaux commerciaux.

«Le programme, de la façon dont il est mis en place par le fédéral, est entre les mains des propriétaires. Donc, un locataire dont le propriétaire ne veut pas utiliser le programme ne pourra pas en bénéficier», soulève David Lefebvre. 

Les relations ne sont d’ailleurs pas toujours cordiales entre les locataires et les propriétaires de locaux commerciaux. Le locataire du restaurant Comptoir 21 du Mile End, par exemple, a récemment subi une hausse de loyer de 40% en pleine crise du coronavirus. Il a depuis fermé cette succursale.

M. Lefebvre craint ainsi que plusieurs propriétaires de locaux commerciaux, dont les restaurants, décident de ne pas faire appel au programme d’aide d’Ottawa. Ils risquent alors de demander à leurs locataires de payer l’entièreté de leur loyer, ce qui représente une charge financière importante dans le contexte actuel.

«Il semble que le programme [d’aide au loyer du gouvernement fédéral] donne un peu trop de pouvoirs aux propriétaires par rapport aux entreprises.» -David Lefebvre, vice-président aux affaires fédérales et au Québec pour Restaurants Canada

Dans ce contexte, Restaurants Canada presse le gouvernement Trudeau de revoir les critères de ce programme pour permettre aux locataires d’en bénéficier sans avoir à passer par leur propriétaire.

Moratoire sur les évictions

Restaurants Canada demande aussi à Québec de mettre en place un moratoire sur les évictions de locataires de locaux commerciaux afin de protéger ceux-ci pendant la crise sanitaire. L’organisme réclame également une aide financière provinciale pour aider les restaurants à garnir leurs «stocks» en prévision de la réouverture de leur salle à manger, dont la date demeure inconnue.

«Un restaurant qui est fermé depuis deux mois, à part les épices et l’huile, il ne reste plus rien. Et ça, c’est une perte sèche pour les restaurateurs», souligne M. Lefebvre. Bien que plusieurs restaurants aient continué à offrir des commandes à emporter et à effectuer des livraisons, les pertes alimentaires sont importantes pour nombre d’entre eux, ajoute-t-il. 

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Mauvaise nouvelle pour Aldo :( 

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/202005/07/01-5272589-aldo-tente-deviter-la-faillite.php

Aldo tente d’éviter la faillite

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PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE
Le détaillant qui se décrit comme « l’un des leaders mondiaux dans l’industrie de la chaussure et des accessoires mode » poursuivra ses activités pendant la restructuration.

Le détaillant de chaussures Aldo s’est placé à l’abri de ses créanciers en vertu de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC).

Publié le 7 mai 2020 à 12h46 Mis à jour à 13h02
MARIE-EVE FOURNIER
LA PRESSE

Une demande similaire a été déposée aux États-Unis et l’entreprise s’apprête à faire de même en Suisse. « ALDO a l’intention d’utiliser ces procédures afin de stabiliser l’entreprise et de perpétuer son héritage dans l’industrie de la mode », a-t-on mentionné dans un communiqué.

Le montant total des dettes de l’entreprise montréalaise n’a pas été divulgué pour le moment.

Le détaillant qui se décrit comme « l’un des leaders mondiaux dans l’industrie de la chaussure et des accessoires mode » poursuivra ses activités pendant la restructuration.

« Nous faisions d’énormes progrès dans la transformation de notre entreprise afin de faire face aux nouveaux défis [dans le secteur de la vente au détail]. Toutefois, la pandémie COVID-19 a mis trop de pression sur nos affaires ainsi que sur notre flux de trésorerie », a déclaré le PDG David Bensadoun.

Aldo précise que ses sites web (ALDO, Boutique Spring et GLOBO) « demeureront opérationnels durant le recours à la LACC ».

L'entreprise privée compte 8000 employés. Elle exploite 700 boutiques auxquelles s'ajoutent 3000 points de vente (notamment des franchises) dans 100 pays et vend en gros à de grandes chaînes de magasins, précise le site web de la firme Ernst & Young, nommée contrôleur.

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Il y a 7 heures, Rocco a dit :

À chaque fois que j'ai acheté une paire de soulier là, elle s'est désintégrée après 6 mois.

Pour les souliers ou bottes de ville en cuire véritable, si tu veux quelque chose de bon qui peut durer 10 ans, ça coûte dans les 400$ minimum. J'ai encore mes Gorilla's Made in USA depuis 2010.

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Le taux de chômage bondit à 17% au Québec

PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE

La plus forte hausse du taux de chômage en avril parmi les provinces du Canada a été observée au Québec : il s’est établi à 17 % comparativement à 8,1 % en mars.

(Ottawa) L’économie canadienne a perdu près de deux millions d’emplois en avril, un record, la fermeture des services non essentiels pour ralentir la propagation de la COVID-19 ayant dévasté l’économie et contraint les entreprises à fermer temporairement.

Publié le 8 mai 2020 à 8h38 Mis à jour à 8h58

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/202005/08/01-5272718-le-taux-de-chomage-bondit-a-17-au-quebec.php

La Presse canadienne

La perte de 1 993 800 emplois s’ajoute à celle de plus d’un million d’emplois perdus en mars.

La plus forte hausse du taux de chômage en avril parmi les provinces du Canada a été observée au Québec : il s’est établi à 17 % comparativement à 8,1 % en mars ; le taux du mois dernier a été le plus élevé depuis 1976 dans la province.

Le nombre de chômeurs a augmenté de 367 000 au Québec, plus rapidement que dans les autres provinces. De plus, la hausse du nombre de personnes mises à pied temporairement a été proportionnellement plus élevée au Québec tandis que l’augmentation du nombre de personnes inactives a été proportionnellement plus faible.

Statistique Canada, le taux de chômage a grimpé à 13,0 % au pays, alors que la pandémie frappait de plein fouet, contre 7,8 % en mars. Il s’agit du deuxième taux de chômage le plus élevé jamais enregistré.

Les économistes s’attendaient en moyenne à une perte de quatre millions d’emplois et à un taux de chômage de 18 %, selon la société de données sur les marchés financiers Refinitiv.

Dans les Maritimes, la plus forte hausse du taux de chômage entre mars et avril a été constatée par Statistique Canada au Nouveau-Brunswick, où il est passé de 8,8 % à 13,2 %.

Il a aussi augmenté en Nouvelle-Écosse, de 9 % à 12 %. La hausse a été moins forte à l’Île-du-Prince-Édouard, de 8,6 % en mars à 10,8 % le mois dernier.

Statistique Canada a aussi observé une hausse du taux de chômage en Ontario, mais dans une bien moindre proportion qu’au Québec : il est passé en un mois de 7,6 % à 11,3 %.

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