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COVID-19: L'effet sur l'économie et sur l'immobilier à Montréal


Rocco

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à voir si Montréal et le gouvernement du Québec iront chercher cet argent

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1703050/coronavirus-covid-19-infrastructures-pandemie-canada-ottawa

Ottawa adapte ses plans d'infrastructures en raison de la COVID-19

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Des projets pour aider les gens à profiter de l'extérieur de façon plus sécuritaire, comme de nouvelles pistes cyclables seront également priorisés.
PHOTO : RADIO-CANADA / SEBASTIEN VACHON

La Presse canadienne
Publié à 15 h 02

Le gouvernement fédéral se prépare à dépenser plus de 3 milliards de dollars en infrastructures afin de rendre certaines installations plus résistantes aux pandémies et encourager les activités extérieures tandis que la COVID-19 fait rage, a indiqué la ministre des Infrastructures, Catherine McKenna.

Mme McKenna a indiqué dans une entrevue accordée à La Presse canadienne, mardi, que pendant que ses collègues des autres ministères s'affairaient à répondre dans l'immédiat à la crise, son ministère a redoublé d'efforts afin de revoir et approuver des projets d'infrastructures soumis par les provinces et les territoires nécessitant des fonds fédéraux.

Des centaines de candidatures ont reçu le feu vert au cours des dernières semaines, bien que les annonces officielles n'aient pas encore eu lieu. La ministre a dit que des conversations avec les leaders provinciaux et territoriaux depuis mars ont permis de déterminer que des besoins créés par la pandémie actuelle n'étaient pas couverts par les programmes existants.

Nous avons adapté notre programme d'infrastructures à la nouvelle réalité créée par la COVID, a assuré Mme McKenna.

Il comprendra maintenant des mesures de modernisation des établissements de santé et des écoles afin de favoriser la distanciation sociale et les bonnes pratiques d'hygiène, comme le lavage des mains. Des projets pour aider les gens à profiter de l'extérieur de façon plus sécuritaire, comme de nouvelles pistes cyclables ou sentiers pédestres, seront également priorisés.

Le gouvernement met de côté jusqu'à 10 % des 33,5 milliards de dollars du programme Investir dans le Canada, distribué par des ententes avec les provinces et les territoires, pour bâtir un fonds spécial en raison de la COVID-19 afin de répondre à la pandémie. Ottawa assume la majorité des frais.

Il s'agit de reconnaître de réelles occasions d'appuyer les efforts en santé, mais également les opportunités économiques afin que des projets soient mis en chantier au cours des deux prochaines années, a expliqué la ministre McKenna.

Elle a indiqué qu'environ la moitié des fonds du programme Investir dans le Canada n'avait pas été allouée.

Prioriser les projets profitables

Normalement, Ottawa couvre le tiers des coûts des projets municipaux et la moitié des coûts des projets provinciaux. Le fonds spécial de la COVID-19 fera passer cette participation du fédéral à 80 %. La façon pour les villes et les gouvernements provinciaux de se partager les 20 % restants sera déterminée par chaque province.

Dans les territoires, la participation du fédéral passera de 75 % à 100 %. Le Yukon, les Territoires du Nord-Ouest et le Nunavut obtiendront aussi une année de plus pour mener à terme leurs projets, puisque l'acheminement des matériaux dans les territoires sera plus difficile cet été, a expliqué Mme McKenna.

La ministre a toutefois précisé que l'approbation des projets ne sera pas aussi facile que ces mesures le suggèrent. Si les mesures d'approbations seront accélérées, elles ne seront pas éliminées.

Nous devons obtenir le plus de valeur pour notre argent, ce qui ne veut pas dire que nous irons vers des projets prêts à aller de l'avant dès maintenant, mais des projets qui seront plus profitables, a-t-elle souligné.

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La pandémie nous invite à innover

 

15 mai 2020 4h00

https://www.lesoleil.com/affaires/techni-shield-defender-une-barriere-de-protection-pour-les-ambulanciers-94ef6afd4209d7862b8d3ef0c7892296?utm_source=omerlo&utm_medium=mailer&utm_campaign=Aujourd’hui%3A+des+colocs+de+confinement

Techni-Shield Defender: une barrière de protection pour les ambulanciers

 

Jean-François Tardif

Le Soleil

 

Les ambulanciers et les paramédicaux auront dorénavant une pièce d’équipement de plus pour se protéger de la COVID-19 lors du transport de patients à risque. Ils pourront compter sur la Techni-Shield Defender, un écran protecteur, qui peut être installé sur une civière, développé et mis sur le marché par la firme québécoise Technimount System.

«Le Techni-Shield Defender ne remplace pas les équipements de protection personnelle, mais il ajoute une barrière supplémentaire au niveau de la protection», explique Marc Bouchard, fondateur et président-directeur général de Technimount System. «C’est un produit novateur qui a la particularité de pouvoir être déployé dans n’importe quelle situation d’infection pulmonaire. Il est réutilisable, donc en accord la notion de développement durable. Il est conçu de manière à s’ajuster aux différentes morphologies des patients. Et contrairement aux systèmes actuels, qui sont des vases clos qui demandent une surconsommation d’oxygène, notre système permet une bonne circulation d’air. De plus, et c’est peut-être ce qu’il y a de plus important, il permet en tout temps un accès au patient. Si ce dernier est en détresse ou qu’il a quoi que ce soit, l’ambulancier peut réagir rapidement. Il peut aussi lui parler, lui installer ses équipements respiratoires, etc.

Pouvant être installé sans outils sur toutes les grandes marques de civières utilisées en Amérique du Nord, le Techni-Shield Defender est un écran lisse, monté sur une structure en aluminium anodisé. L’écran est fait de plastique transparent PETG approuvé par la FDA (Food and Drugs Association). Il est imperméable aux produits de nettoyage écologiques incluant ceux contenant du javellisant et des peroxydes d’hydrogène. Finalement, sa dimension fait qu’il peut être gardé sous le matelas de la civière. 

En 12 jours

La firme Technimount System n’en est pas à ses premières innovations dans le domaine des solutions de montage polyvalentes pour les dispositifs médicaux portatifs. Et elle jouit déjà d’une solide réputation. On lui dit notamment le Safety Arm System, un bras jaune qui s’installe sur la civière et qui sert à tenir le défibrillateur, mis sur le marché il y a trois ou quatre ans. Elle fabrique aujourd’hui des composantes pour les 28 manufacturiers d’ambulances en Amérique du Nord. 

La création du Techni-Shield Defender a été faite en collaboration avec la firme HTYMC Medical, une entreprise partenaire. C’est alors que la crise de la COVID-19 s’amorçait chez nous que M. Bouchard a anticipé les problèmes qui risquaient de se multiplier dans le domaine des soins ambulanciers. Les équipements de protection comme les masques et les gants étaient nettement insuffisants et ils risquaient de manquer cruellement, une situation qui ne s’était jamais produite auparavant. Après avoir analysé les produits offerts sur le marché, il a imaginé son écran protecteur pour civière. Par la suite, il a réuni autour d’une même table ses différents intervenants.

«On a mis 12 jours pour concevoir le prototype de notre écran protecteur. On a fait un peu l’inverse de ce que l’on doit faire lors de la création d’un produit. Habituellement, on commence par donner le dossier au marketing qui fait une analyse de marché. On prend ensuite l’ingénierie et on fait des concepts, on les approuve puis on les soumet à d’éventuels utilisateurs avant de faire des preuves de concept pour finalement produire des prototypes. Là, on s’est assis tous ensemble. On a pris les gens du manufacturing, ceux des approvisionnements et de l’ingénierie et on leur a dit voici le défi, trouvez une solution. Comme certaines entreprises étaient fermées, on devait utiliser certains matériaux et faire affaire avec certains fournisseurs. Les gens ont travaillé d’arrache-pied parce qu’il y avait un élément de timing à respecter, les idées se sont enchaînées très rapidement, il y avait une excellente synergie entre les gens. Simultanément, les gens des ventes ont fait connaître notre produit. Ils ont mis en ligne une page Web pour les précommandes. On voulait commencer à remplir notre carnet de production afin de prendre de l’avance dans les délais de livraison. Les premières unités devraient être disponibles au début de la semaine prochaine.»

Dès qu’ils ont été lancés, les écrans protecteurs de Technimount System ont attiré l’attention d’un groupe de Washington qui s’est montré intéressé à acquérir plusieurs dizaines de Techni-Shield Defender. 

«On a plus de 55 distributeurs en Amérique du Nord. Et les gens sont curieux. On anticipe une excellente réponse. Le Canada est un bon marché, mais les États-Unis sont aussi un marché important.»

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La pandémie nous invite à innover, un autre exemple

 

15 mai 2020 4h05

https://www.lesoleil.com/affaires/la-pandemie-donne-des-ailes-au-groupe-llenar-2b34a109f8fed2b7031c311515a4ca0a

La pandémie donne des ailes au Groupe Llenar

 

Marie-France Létourneau

La Voix de l'Est

 

Alors que la pandémie a plombé la croissance de plusieurs entreprises, elle a plutôt donné des ailes au Groupe Llenar. L’entreprise de Rougemont a développé en quelques semaines une machine distributrice automatisée de liquide désinfectant en vrac pour les grandes surfaces.

Et cette innovation suscite déjà beaucoup d’intérêt, affirme la présidente-fondatrice de la PME, Jacinthe Brouillard. Les premières unités, dont l’assemblage sera complété ce vendredi, seront présentées à une chaîne pharmaceutique qui aimerait doter ses 1200 succursales canadiennes de cette machine, dit-elle.

Détail: Groupe Llenar est déjà présent dans le domaine. La nouvelle réalité de la COVID-19 l’a en fait incité à adapter le distributeur automatisé de liquides sanitaires Bionature en vrac (savon à linge, liquide à vaisselle, etc.) qu’il a développé et qu’il commercialise déjà depuis un an, explique la présidente, Jacinthe Brouillard.

Baptisée La Boîte à savon, cette machine est notamment présente dans des épiceries Metro, dont à la succursale de Bromont.

«On est la première entreprise au Canada et aux États-Unis à faire ce type de machine-là, avec une intelligence 4.0. Avec la crise sanitaire, on a un souci au niveau de la bouteille de plastique. Les bouchons et les vaporisateurs, en particulier, viennent tous de l’extérieur du Canada. Présentement, les manufacturiers de liquide sanitaire ont un problème d’approvisionnement. Depuis trois semaines, on a donc développé une nouvelle unité, juste pour mettre du désinfectant à main», explique Mme Brouillard.

Selon elle, l’impact écologique est réduit, car les bouteilles sont réutilisées, une fois bien nettoyées et désinfectées. La livraison et le service d’approvisionnement sont offerts. Les principes de l’économie circulaire s’appliquent ainsi, dit celle qui, à une autre époque, était à la barre de la boutique Vert l’avenir à Granby.

Effet de levier

La fabrication en accéléré du prototype et des premières unités de cette nouvelle machine distributrice a présenté des défis pour l’approvisionnement des pièces, car plusieurs usines étaient fermées au cours des dernières semaines. «Mais on a bien relevé le défi», se réjouit-elle.

Jacinthe Brouillard, qui préside aussi le Groupe Saja, spécialisé dans la distribution de produits d’entretien et de soins corporels écoresponsables, affirme par ailleurs avoir conclu une entente avec un fabricant québécois de désinfectant à main, en mesure de répondre à la demande.

L’entrepreneure est consciente que certaines entreprises sont dans une situation moins enviable que la sienne. Dans son cas, la pandémie a en quelque sorte eu un «effet de levier». «C’est le chaos de notre côté, mais dans le bon sens», lance-t-elle.

En parallèle à son innovation, le Groupe Llenar s’est en outre joint à trois autres entreprises québécoises, MRFAB, ALPHA et Cabinet Larouche, pour distribuer un lavabo mobile et autonome, développé également dans la foulée de la pandémie.

Pour l’heure, Groupe Llenar emploie 11 personnes dans les installations qu’il loue rang Grande-Caroline à Rougemont. L’équipe est appelée à croître. Un commis d’entrepôt et un livreur sont actuellement recherchés.

La PME pourrait d’ailleurs déménager au cours des prochains mois, car elle commence à être à l’étroit dans ses locaux, dit Jacinthe Brouillard.

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Ubisoft va commencer un retour progressif le 25 mai dans son studio. C'est volontaire mais encouragé pour le personnel critique. Ils ont eu l'autorisation du gouvernement pour le faire.

Bref, pour certains le télétravail tous les jours, c'est déjà terminé pour certains, mais on verra combien vont revenir volontairement… 

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Il y a 3 heures, vivreenrégion a dit :

À RDI économie, une entrevue ce soir qui parle des conséquences du télé-travail. Je crois que ça va changer la vie des centre-ville.
 

Il n'y a aucun doute, le télétravail est là pour rester! 😜

Cartoon: MATT - The Telegraph

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11 hours ago, vivreenrégion said:

À RDI économie, une entrevue ce soir qui parle des conséquences du télé-travail. Je crois que ça va changer la vie des centre-ville.
 

C'est clair, juste à voir les grandes entreprises comme Twitter, Square et Open text qui encouragent dorénavant leurs employés à demeurer en télétravail même après la fin de la pandemie. Même au gouvernement le télétravail va prendre une place accrue maintenant.

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Comment sauver le centre-ville de Montréal ?

Pas de festivals, pas de touristes et peut-être pas de travailleurs dans les tours de bureaux, c’est la trilogie d’enfer qui attend les propriétaires de boutiques du centre-ville. Ceux qui ont pignon sur rue pourront rouvrir à compter de lundi. Ouvrir, mais pour qui ?

André Dubuc - La Presse

Le sous-comité sur la vitalité commerciale du centre-ville piloté par Monique Simard, du Quartier des spectacles, et Michel Leblanc, de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, doit produire un plan d’action la semaine prochaine concernant les mesures à mettre en œuvre dans le respect des règles sanitaires dans la perspective du maintien, du moins en partie, du télétravail. 

Ce sous-comité découle de l’initiative de la mairesse de Montréal, Valérie Plante, qui a mis en place cette semaine un comité de relance tout étoile auquel siègent entre autres Guy Cormier, du Mouvement Desjardins; Christiane Germain, du Groupe Germain; Yves Lalumière, de Tourisme Montréal; Michel Leblanc, président-directeur général de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain; Hicham Ratnani, cofondateur de Frank and Oak ; Monique Simard, présidente du conseil du Quartier des spectacles; Kim Thomassin, de la Caisse de dépôt et placement du Québec; et Louis Vachon, de la Banque Nationale. 

« Notre objectif est de créer une animation au centre-ville dans les prochaines semaines », résume au bout du fil M. Leblanc. 

Le sous-comité entend aussi recommander au gouvernement fédéral de créer un programme spécial destiné aux commerçants des centres-villes des villes canadiennes. Tous sont aux prises avec la désaffection des touristes et des travailleurs de bureaux. 

Cette suggestion fait toutefois sursauter la professeure de l’UQAM Danielle Pilette, versée dans les questions urbaines. Selon elle, les enjeux de la rue Sainte-Catherine ne sont assez différents de ceux des artères commerciales de quartier pour justifier un plan d’aide spécifique. 

La rue Sainte-Catherine a entamé sa transition de rue de destination à une rue de services de proximité à l’intention des résidants du centre-ville, toujours plus nombreux. - Danielle Pilette

Mme Pilette reconnaît que les prochains mois s’annoncent pénibles pour les bars et restaurants, mais selon elle, les boutiques et magasins s’en sortiront mieux. 

« À court terme, les magasins sur Sainte-Catherine profiteront de la fermeture prolongée des galeries marchandes souterraines », indique pour sa part Jean-François Grenier, expert en recherche commerciale de la firme Altus. Il ne minimise cependant pas l’ampleur du défi qui se pose aux commerçants du centre-ville dans les prochains mois. 

« D’après nos études, qui datent de quelques années déjà, jusqu’à 60 % ou 65 % des dépenses dans les magasins du centre-ville sont faites par les touristes et les travailleurs des tours de bureaux », souligne-t-il. 

Place à l’audace

Il faudra faire preuve de créativité et inviter les Montréalais à redécouvrir leur ville, dit Christian Savard, directeur général de l’organisme Vivre en ville. 

Parmi les suggestions retenues jusqu’à présent par la Ville : rendre la rue Sainte-Catherine piétonne les fins de semaine et la réduire à une voie de circulation la semaine pour donner de l’espace aux commerçants et aux visiteurs. 

De son côté, l’arrondissement de Ville-Marie a suspendu les frais d’occupation du domaine public des terrasses. Celles-ci pourront être 50 % plus vastes sur les rues piétonnes. 

De plus, la Ville et l’arrondissement de Ville-Marie appuient financièrement Destination Centre-Ville. Le comité exécutif a d’ailleurs voté cette semaine une contribution de 145 000 $ à la société de développement commercial en prévision de la reprise. 

Christian Savard aimerait voir les restaurateurs de la métropole s’équiper de camions de cuisine de rue pour aller à la rencontre des clients. « Si j’étais la Ville, j’achèterai des centaines de parasols géants pour transformer le centre-ville en une immense terrasse », fait-il savoir.

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/202005/22/01-5274705-comment-sauver-le-centre-ville-de-montreal-.php

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Montréal en mode été…

Engourdi, oui, mais toujours vivant. Montréal va connaître un été hors de l’ordinaire, mais la métropole a l’intention plus que jamais de défendre sa réputation de ville effervescente. Comment les Montréalais composeront-ils avec les limites de la pandémie ? À quoi ressemblera leur quotidien ? De quelle manière exploiteront-ils leur créativité ? Instantané d’une saison que l’on souhaite belle, malgré tout.

Pour lire la suite: https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202005/23/01-5274782-montreal-en-mode-ete-hors-du-commun.php

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