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Station Édouard-Montpetit - Discussion


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il y a 27 minutes, Kodun a dit :

Je parle bien sûr de l'espace entre les groupes d'ascenseurs (2x2) et non à gauche.

Je ne comprends pas trop ton point ou ce que tu veux dire. Une cage d'ascenseur est bétonnée de haut en bas permettant d'y fixer le système de rails. Dans certains cas, ces cages sont vitrées mais surtout dans le cas où il y a une vue sur un espace dégagée (ex: un centre d'achats ou un gratte-ciel le permettant).

De plus, un mur végétal a besoin d'un minimum de lumière pour survire. Dans ce cas-ci, la cage est en sous-sol, et même en y mettant une verrière au sommet, la lumière ne serait pas suffisante.

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il y a 5 minutes, Megafolie a dit :

Je ne comprends pas trop ton point ou ce que tu veux dire. Une cage d'ascenseur est bétonnée de haut en bas permettant d'y fixer le système de rails. Dans certains cas, ces cages sont vitrées mais surtout dans le cas où il y a une vue sur un espace dégagée (ex: un centre d'achats ou un gratte-ciel le permettant).

De plus, un mur végétal a besoin d'un minimum de lumière pour survire. Dans ce cas-ci, la cage est en sous-sol, et même en y mettant une verrière au sommet, la lumière ne serait pas suffisante.

Voilà, je parle bien entendu d'ascenseurs vitrés, tout ceci est question d'égayer un peu le trajet, en gros un détail parmi tant d'autres qui font d'une ville une grande ville, à l'instar de l'audace mise de l'avant lors des prolongements du métro. 

En ce qui a trait à l'éclairage, des solutions existent et même des compagnies en font leur spécialité, donc rien d'exceptionnel, hormis peut-être la dimension de l'endroit, rien tout de même pour donner froid aux yeux du génie québécois!

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Il y a 9 heures, Miska a dit :

Si c'est vraiment possible et utile de mettre des vitres... les ascenseurs sont pas supposé être très rapide ?

Ça serait pas mieux juste peinturer des lignes verte.

 

mur.jpg

😉

🤣 ouais bon, on vert-ra (ou verre-ra) bien ça

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À 20 mètres sous la future gare Édouard-Montpetit du REM

Jérôme Labbé - Radio-Canada

Les travaux vont bon train sur le chantier de la future gare Édouard-Montpetit du Réseau express métropolitain (REM). Le puits atteint maintenant une profondeur de 20 mètres, comme a pu le constater Radio-Canada jeudi matin.

C'est un trou immense qu'on a creusé à quelques pas du pavillon Marie-Victorin de l'Université de Montréal, près de la station de métro Édouard-Montpetit.

La gare du REM, qui portera le même nom, n'ouvrira pas avant 2022. Mais les travaux sont déjà bien amorcés.

Les préparatifs se sont mis en branle en juillet. Mais c'est depuis le mois d'octobre que les opérations de dynamitage ont commencé.

Les employés de NouvLR, le consortium retenu pour construire l'infrastructure du REM, ont pour mission de creuser un puits d'une profondeur de 70 mètres – l'équivalent de 20 étages – pour aménager une station au même niveau que le tunnel du mont Royal.

Mais ils doivent procéder par étape.

L'une d'elles vient d'ailleurs d'être franchie : le puits atteint maintenant une profondeur de 20 mètres, soit le niveau du réseau du métro de la Société de transport de Montréal (STM).

C'est ici que seront aménagés les locaux techniques du REM. Pour aller plus bas, il faudra emprunter l'un des quatre ascenseurs à grande vitesse qui seront construits.

« Il va y avoir des gros ascenseurs qui vont être capables de descendre l'équivalent de 20 étages en environ 20 secondes », explique Thomas Fortin, responsable des travaux de la station Édouard-Montpetit du REM pour NouvLR. « À partir de là, quand les usagers vont sortir des ascenseurs, ils vont se retrouver dans une station qui peut ressembler à une station de la STM. »

Le bureau de projet du REM prévoit que ces ascenseurs pourront transporter jusqu'à 5000 usagers à l'heure.

Pour creuser son puits, le consortium NouvLR procède à des opérations de dynamitage ciblé qui, prétend-il, limite les vibrations qui pourraient être dommageables pour les structures avoisinantes, comme les tunnels du métro ou les fondations de l'Université de Montréal.

Chaque fois, des matelas de pneus de 6000 livres sont installés pour sécuriser les lieux.

Et les travaux sont encore lieu d'être finis : il reste encore 50 mètres à creuser. À terme, 30 000 mètres cubes de roc auront été excavés dans le mont Royal. Du calcaire, surtout.

« C'est un roc extrêmement dur, qui est très difficile à casser », indique Thomas Fortin.

Une fois dynamitée, la roche est acheminée au niveau du sol grâce à d'immenses paniers actionnés par des grues. Elle est ensuite chargée sur des camions qui la transportent six kilomètres plus loin, à l'ouest de l'autoroute Décarie, pour y être concassée.

Sur le terrain, deux équipes composées d'une trentaine d'ouvriers se relayent du matin au soir, de 6 h à 23 h. L'équipe de support, elle, compte une vingtaine de personnes.

En théorie, l'excavation du puits et des tunnels devrait se terminer au printemps 2020.

« Ensuite, il va rester à remplir la station, venir faire tout le fini architectural, venir mettre les escaliers mécaniques et tous les autres éléments architecturaux à l'intérieur de la station », précise Thomas Fortin.

À terme, la future gare Édouard-Montpetit sera la deuxième en Amérique du Nord pour la profondeur, après la station Washington Park de Portland qui, elle, atteint une profondeur de 79 mètres.

La station Édouard-Montpetit permettra aux passagers du REM de passer de l'Université de Montréal au centre-ville en seulement trois minutes.

« En fait, les deux pôles universitaires – ceux de l'UdeM et de McGill – vont être pratiquement connectés », souligne Jean-Vincent Lacroix, porte-parole du bureau de projet.

La liaison entre les gares Édouard-Montpetit et McGill permettra aussi de relier la ligne bleue à la ligne verte du métro.

Le REM entrera d'abord en service en 2021 entre Brossard et le centre-ville. Mais il faudra attendre à 2022 avant de voir ses trains circuler sous le mont Royal.

Le bureau de projet est géré par CDPQ Infra, une filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec qui agit comme promoteur. Les coûts du REM sont évalués à 6,3 milliards de dollars. Les gouvernements du Québec et du Canada en financent une grande partie.

Le contrat pour l'ingénierie et la construction des infrastructures a été confié à NouvLR, composé des firmes SNC-Lavalin, Pomerleau, Dragados Canada, Aecon et EBC. Les trains, eux, seront fabriqués en Inde par le consortium PMM, formé d'Alstom Transport Canada et SNC-Lavalin.

Le réseau de 67 kilomètres comptera 26 stations dispersées entre Brossard, le centre-ville de Montréal, l'Ouest-de-l'Île, Laval, Deux-Montagnes et l’aéroport Pierre-Elliott Trudeau.

En campagne électorale, la Coalition avenir Québec a toutefois exprimé le souhait de prolonger ses antennes, notamment en Montérégie.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1157102/reseau-express-metropolitain-travaux-chantier-universite-montreal

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