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Ah oui! Il reste toujours notre ami Michele Ouimet qui accusa Tremblay d'essayer d'intimider La Presse...

 

Cette femme est vraiment en pleine vendetta personnelle contre Tremblay. Même quand elle soulève des questionnements valables, je ne peux m'astreindre à la lire sans voir son jupon qui dépasse (ouache!). Bref, elle n'a plus de crédibilité à mes yeux.

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  • 1 mois plus tard...

(Documents finals de l'OCPM 13 janvier 2008)

 

 

La société en commandite DMC Viger Internationale souhaite créer une destination urbaine qui se veut un appui au développement touristique tout en étant un apport important pour le développement résidentiel à l'est de l'arrondissement historique du Vieux-Montréal. Ce projet permet de compléter le développement de Faubourg Québec et de créer un lieu de transition entre ce quartier neuf et le Vieux-Montréal. Le projet se réalisant en partie à l'intérieur de l'arrondissement historique du Vieux-Montréal, il est susceptible d'approbation référendaire.

 

Le projet prévoit la réalisation d’un ensemble mixte comprenant la mise en valeur de la gare-hôtel Viger ainsi que la conservation du mur de façade de la gare Berri. L’ensemble des immeubles rénovés et construits représentera une surface de plancher de 82 523 m2 combinant un hôtel de 227 chambres, 126 logements avec services hôteliers, 163 unités résidentielles, des espaces commerciaux

sur plusieurs niveaux et un stationnement souterrain de 1600 places. La création de deux espaces libres, accessibles au public est également prévue.

 

http://www.ocpm.qc.ca/consultations-publiques/ancienne-gare-hotel-viger

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Avec l'announce du CHUM, j'espère qu'on entend quelque chose de positif bientôt pour la transformation de la gare Viger par Hombourg.

 

 

Publié le 24 janvier 2011

Cinq ans plus tard, la construction n'a pas commencé. Michel Nadeau, directeur des transactions immobilières à la Ville, a indiqué qu'il attendait la lettre de certificat bancaire pour bientôt, pour un total de 1 million. Selon lui, le promoteur a fait d'importantes dépenses, notamment pour démolir un petit immeuble et désamianter la gare. Jan Schöningh, un des représentants du consortium, a suggéré que le projet pourrait vraiment prendre son envol au moment de la construction du nouveau CHUM, situé à quelques coins de rue.

 

http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201101/23/01-4362975-vente-de-la-gare-viger-des-pressions-du-maire-tremblay.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4372553_article_POS2

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  • 3 semaines plus tard...

Photographie de Normand Rajotte réalisée pour l'ouvrage L'histoire du Vieux-Montréal à travers son patrimoine, 2004.

©Normand Rajotte

 

La gare-hôtel Viger vers 1900 avec sa terrasse.

©Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Albums de rues Édouard-Zotique Massicotte. 1-190-d.

photographie Denis Tremblay, 1998

 

Les termes précédés d'un sont définis au glossaire.

Nom du bâtiment : Gare-hôtel Viger

 

Autre appellation : Gare-hôtel Place Viger

Édifice Jacques-Viger

 

Adresses civiques :

700, rue Saint-Antoine Est

815, rue Berri (façade latérale)

 

Construction et modifications majeures : 1896-1898/ 1912-1913/ 1954-1955

 

Ce bâtiment fait partie de l'ensemble suivant : Édifice Jacques-Viger

 

Histoire de l'ensemble

Ensemble comprenant une gare-hôtel construite en 1896-1898 et une aile attenante dans laquelle sera transférée la gare en 1912.

 

Plans de localisation : Afficher sur Google maps Retour au plan de localisation Imagery ©2011 DigitalGlobe, GeoEye - Terms of UseMapSatelliteHybrid200 ft100 m

 

Caractères physiques :

Nombre d'étages : 6

Matériau dominant : pierre

Type de toit principal : à croupe

Pour plus d'information sur les caractères physiques du bâtiment, veuillez consulter le relevé des caractères physiques.

 

Pierre : Premier niveau et éléments décoratifs : pierre grise de Montréal [calcaire], confirmé.

En l'absence d'une mention de confirmation, l’identification « pierre grise de Montréal [calcaire] » est présumée d’après l’apparence et l’époque d’utilisation.

 

Histoire du bâtiment

La gare-hôtel Viger est construite entre 1896 et 1898 par le Canadien Pacifique d’après les plans de Bruce Price, l’architecte du château Frontenac à Québec (1892-1893). Pour construire cet imposant édifice, la Ville de Montréal et le Canadien Pacifique signent une entente. Le Canadien Pacifique cède ainsi trois importantes propriétés à la Ville de Montréal, tandis que celle-ci exproprie 35 lots entre 1893 et 1895 pour la construction de la gare-hôtel. Des dizaines de bâtiments sont détruits pour le projet, dont de nombreuses maisons. Le square Dalhousie est également rasé. Le nom de l’édifice fait d’abord référence à Denis-Benjamin Viger, un célèbre politicien du XIXe siècle. Il est renommé édifice Jacques-Viger en 1957 en l’honneur de l’ancien maire de Montréal.

 

L’édifice accueille ses premiers voyageurs en août 1898. La gare et de nombreux services pour les passagers occupent le rez-de-chaussée. Au premier étage est aménagé un restaurant spacieux qui offre à ses clients l’accès à une large terrasse donnant sur la rue Craig. Les 88 chambres de l’hôtel sont réparties sur les étages supérieurs.

 

Une dizaine d’années après son ouverture, la gare-hôtel Viger ne suffit déjà plus aux besoins. En 1911-1912, le Canadien Pacifique déménage la gare dans une aile attenante de deux étages qu’il a fait construire le long de la rue Berri. À partir de ce moment, l’édifice sert uniquement d’hôtel.

 

En 1935, l’édifice – alors l’hôtel Place Viger – ferme ses portes malgré la vive opposition de politiciens et de gens d’affaires de l’est de Montréal. De 1939 à 1950, l’ancienne gare-hôtel Viger est occupé par le gouvernement canadien qui l’utilise pour différents services militaires, puis pour y loger d’anciens combattants. La gare cesse ses activités en 1951, une année après que la Ville de Montréal eût acheté le complexe ferroviaire Viger. À la suite d’importants travaux de rénovation effectués en 1954-1955, la Ville de Montréal y installe certaines divisions administratives qui occupent l’immeuble jusqu'en 2006.

 

Voir aussi les informations sur le ou les ensembles dont ce bâtiment fait partie.

 

Construction initiale

Date de construction : 1896-1898

 

Concepteur de la construction : Bruce Price

(architecte)

Informations concernant la carrière du concepteur

 

Propriétaire constructeur : Canadien Pacifique (compagnie ferroviaire)

(propriétaire du 1896-05-28 au 1950-10-17)

Informations disponibles pour l'année 1915

Propriétaire-occupant.

 

Fonction(s) d'origine

Fonction(s) spécifique(s) : gare, hôtel

 

Fonction(s) générale(s) : transport et communication, commerce, habitation

 

Autres travaux – Modifications

 

Travaux 1 : Date des travaux : 1912-1913

La portion de l'édifice qui servait de gare est rénovée et intégrée à la partie servant d'hôtel. Aussi, la terrasse du premier étage est fermée afin d'agrandir le restaurant. Ces travaux surviennent au moment où le Canadien Pacifique transfère sa gare dans une aile attenante sur la rue Berri (Gare Berri).

 

Travaux 2 : Date des travaux : 1954-1955

Restauration ou recyclage du bâtiment.

Transformation de l'édifice en immeuble de bureaux. La structure même de l'édifice est remplacée, des poutres d'acier étant substituées aux murs porteurs, et toutes les arcades du rez-de-chaussée sont murées. Concepteur : Donat Beaupré (architecte)

 

Autres propriétaires ou locataires (sélectif)

 

Propriétaires : Ville de Montréal

(propriétaire de 1950 à 2006)

Propriétaire-occupant. La Ville de Montréal occupe l'édifice jusqu'en 2006.

 

Locataires : Gouvernement du Canada

(locataire de 1939 à 1950)

De 1939 à 1941, le ministère de la Défense nationale installe un centre d'inspection médicale pour les militaires. De 1941 à 1946, on transforme l'édifice en entrepôt pour la marine marchande britannique. Enfin, de 1946 à 1950, l'édifice abrite 47 familles d'anciens combattants.

 

 

Protections patrimoniales du bâtiment

Le bâtiment est spécifiquement protégé par le statut suivant :

Immeuble de valeur patrimoniale exceptionnelle (juridiction municipale)

Le bâtiment est situé dans les secteurs protégés suivants :

Arrondissement historique de Montréal (Vieux-Montréal) (1995-04-26) (juridiction provinciale)

Secteur de valeur patrimoniale exceptionnelle Vieux-Montréal (juridiction municipale)

Secteur de valeur patrimoniale exceptionnelle Square Viger (juridiction municipale)

 

Numéros de référence

Bâtiment : 0041-61-1570-01

 

Propriété : 0041-61-1570

Fiche 1 de 3 sur cette propriété

 

Pour plus d'information sur l'histoire ou l'architecture du bâtiment,

veuillez consulter les sources suivantes :

AVM, Dossiers de presse

Canadian Architect and Builder, 9, 7 (1896): 93; 10, 2 (1897): 36

CUM, Édifices publics, 128-131

Duchesne, Gare-hôtel Viger

Hallé, Gare Dalhousie

Inventaire (1980-...) - Dossiers, 14330-0318 740-780, rue Saint-Antoine Est

Lambert, Inventaire 1880-1915, 26

Lauzon, Forget, Histoire du Vieux-Montréal, 231

Michaud, Oeuvres du temps, 72-73

Pinard, Montréal, histoire architecture, II, 73-78

 

http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_bat.php?num=4&sec=c

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  • 2 semaines plus tard...

Tel que lu dans la Presse ce matin.

Article de Maxime Bergeron.

 

(Montréal) La transformation de l'ancienne gare Viger en complexe de grand luxe est bel et bien un projet avorté. Après de nombreux reports, le promoteur Homburg vise maintenant un projet de milieu de gamme et espère être en mesure de livrer ses premières unités en 2016.

 

Il y a cinq ans, Homburg a annoncé son intention d'investir environ 400 millions de dollars sur le terrain de l'ancienne gare, à quelques centaines de mètres de la tour de Radio-Canada. Le complexe devait inclure des condos haut de gamme, un hôtel-boutique ainsi que des bureaux et commerces, répartis dans huit immeubles. Puis, la crise financière de 2008 a frappé, repoussant le projet aux calendes grecques.

 

Le projet est encore vivant, mais sa nouvelle mouture sera plus modeste, a indiqué à La Presse Affaires Jan Schöningh, nouveau président et chef de la direction d'Homburg Invest. «Disons que ce ne sera pas une Jaguar ou une Land Rover, mais plutôt une très bonne Toyota, General Motors ou Chrysler.»

 

En clair, les appartements en copropriété ne seront plus destinés aux ultrariches. «On allait créer un endroit très ambitieux, on avait employé un architecte de renommée mondiale - Robert A.M. Stern -, et là je pense qu'on doit dire: créer des résidences super haut de gamme, en ce moment, ce ne serait pas réaliste», a dit M. Schöningh.

 

L'hôtel-boutique, quant à lui, n'est plus dans les plans. Homburg et ses partenaires miseront plutôt sur un établissement de trois étoiles et demie ou quatre étoiles, si hôtel il y a.

 

Et qu'en est-il des investissements? Ils pourraient osciller entre 200 et 250 millions de dollars, plutôt que les 350 à 400 millions prévus à l'origine, a laissé entendre M. Schöningh. «À Montréal, construire, c'est entre 200$ et 250$ le pied carré. Si on construit un million de pieds carrés sur les deux sites, les calculs ne sont pas difficiles à faire.»

 

Le futur CHUM, situé à un jet de pierre de l'ancienne gare Viger, est lui aussi retardé depuis plusieurs années. Mais le début des travaux du centre de recherche, l'arrivée récente d'un nouveau directeur général au centre hospitalier et les préparatifs sur le terrain même de l'hôpital auraient ranimé l'intérêt envers le projet d'Homburg.

 

«On voit que les circonstances s'améliorent et, grâce à ça, on reçoit beaucoup de demandes de gens qui sont liés au monde médical, qui sont intéressés à explorer les occasions sur notre site», a fait valoir M. Schöningh.

 

La date de livraison souhaitée par le président d'Homburg Invest - 2016 - coïncide d'ailleurs avec l'ouverture prévue de la première phase du nouveau CHUM. «Si vous me demandez un objectif, ce serait un objectif honnête à avoir», a-t-il déclaré hier.

 

La composition finale du projet d'Homburg n'est toutefois pas arrêtée. Les plans initiaux prévoyaient 8 immeubles, dont une tour de 18 étages, ainsi qu'un stationnement souterrain de 1600 places. Les «masses» prévues au départ pourraient être gardées, mais utilisées différemment, a indiqué Jan Schöningh. «Là où on avait des résidences haut de gamme, peut-être qu'il y aura des bureaux dans les mêmes tours.»

 

Le dirigeant souligne que les études préliminaires déjà faites pourront être réutilisées pour la nouvelle mouture du projet. Une firme d'architectes canadienne, et non plus new-yorkaise, sera retenue pour faire les plans finaux.

 

«Là, on est en train d'inventorier tout l'intérêt. Une fois qu'on sait où on en est, là on peut créer le projet qui a le plus d'allure et qui est le plus attractif pour la ville», a dit M. Schöningh.

 

Controverse

 

La vente de la gare Viger et des terrains environnants par la Ville de Montréal pour 9 millions a ressurgi dans l'actualité en janvier. Selon une enquête de La Presse, le maire Gérald Tremblay et Frank Zampino, alors président du comité exécutif, ont demandé à des fonctionnaires de masquer la valeur de l'évaluation municipale - 14,7 millions - avant de présenter le projet de vente au conseil municipal en 2005.

 

La Ville s'est défendue en disant que l'évaluation ne correspondait pas à la réalité, et que des travaux très coûteux étaient à faire. La chef de l'opposition, Louise Harel, a néanmoins proposé la tenue d'une enquête du vérificateur général.

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Le marché du haut de gamme n'est pas illimité à Montréal et c'est une bonne nouvelle d'aller de l'avant avec un projet plus modeste et plus réaliste. Cela confirme en même temps l'effet d'entrainement qu'aura le CHUM dans tout le secteur. C'est littéralement un nouveau quartier qui apparaitra avec tous les projets déjà annoncés et les autres en gestation.

 

Personnellement je souhaiterais que l'ancien hôtel conserve sa vocation même s'il sera moins prestigieux. Ce serait un bon endroit central où loger, près du palais des congrès et à proximité d'une foule d'institutions tout autour. Il pourrait même à la rigueur être relié en sous-terrain avec les nouveaux immeubles de part et d'autres de l'autoroute et étendre vers le sud et le Vieux, le périmètre du réseau sous-terrain tout en profitant d'un accès direct et protégé au métro.

 

De cette manière on pourrait même créer des liens avec les différentes phases du Solano et gagner plus de voyageurs pour le transport en commun, un élément d'attraction non négligeable pour le développement et la vente de nouveaux ensembles d'habitations.

 

Encore là ce n'est pas le potentiel qui manque et plus on additionnera les services et accès, plus ce sera vendeur. C'est une bonne façon d'attirer une clientèle à condos qui autrement se disperse, notamment en banlieue, sans pouvoir profiter des atouts très avantageux de la ville-centre.

 

Ce quartier une fois pleinement développé sera certainement un des plus intéressants, puisqu'il voisine le Vieux-Port et Le Vieux-Montréal, le quartier chinois et ses nombreux restaurants et épiceries, la Grande Bibliothèque, joyaux du secteur, la rue Ste-Catherine et le quartier des Spectacles, tous à distance de marche.

 

La ville de Montréal devrait d'ailleurs faire agressivement la promotion de ces nouveaux quartiers partout dans les médias, comme on a fait à une époque la promotion de la banlieue. La ville telle qu'elle se présente avec ses nouveaux développements et sa densification, offre une formule de vie moderne et dynamique où tout le monde peut trouver son compte grâce à l'infinité des activités et des services qu'on ne trouve nulle part ailleurs.

 

Tout ce qu'il manque à ce beau scénario, c'est un maire vendeur conscient de ce potentiel inouï et qui travaille comme ambassadeur de sa ville sur toutes les tribunes locales, provinciales, nationales et internationales. Quand on dit que Montréal fait partie de la liste prestigieuse des villes d'avenir, c'est justement à cause de ces énormes possibilités de développement et du nombre d'institutions d'importance dans le coeur même de l'action.

 

Pas de doute, en dépit d'une administration inefficace, Montréal est une ville gagnante qui s'améliore d'année en année. On peut alors imaginer qu'avec un nouveau leadership et une fierté retrouvée, elle deviendra un des endroits parmi les plus recherchés en Amérique. Elle pourra rayonner à nouveau et de façon durable comme au temps de ses plus belles années, et projeter une image d'authenticité, d'originalité et de fraicheur parfaitement taillées à sa mesure.

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