crosbyshow Posté(e) 14 octobre 2023 Partager Posté(e) 14 octobre 2023 Il y a 4 heures, Rocco a dit : Kessé que Legault attend? C'est juste fou comment ce gouvernement est déconnecté mais pas à peu près. Ça retire le 3e lien, ça remet le 3e lien, mais pas une cenne pour un atout majeur à Montréal. Borderline de l'incompétence. Oui et Rocco....où est Plante? On l'entend pas mettre de la pression jamais. Quand c'est pour le transport en commun..on l'entend auprès du gouvernement. A palais des congrès...bruit de criquet de la part de la.mairesse et c'est pourtant un enjeu majeur pour sa ville. 1 3 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rocco Posté(e) 14 octobre 2023 Partager Posté(e) 14 octobre 2023 ⬆️ C'est clair que Legault mettra pas une cenne dans le Palais des Congrès tant que Plante est au pouvoir. Ces deux là peuvent pas se sentir. Its personal. 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. groanister Posté(e) 15 octobre 2023 C’est un message populaire. Partager Posté(e) 15 octobre 2023 Il y a 11 heures, Rocco a dit : Kessé que Legault attend? C'est juste fou comment ce gouvernement est déconnecté mais pas à peu près. Ça retire le 3e lien, ça remet le 3e lien, mais pas une cenne pour un atout majeur à Montréal. Borderline de l'incompétence. Et son ministre Girard disait récemment qu'on doit augmenter la compétitivité de Montréal par rapport à Toronto, mais ce gouvernement est réticent à investir le moindre dollar dans la métropole par crainte de perdre des votes dans le reste de la province qui se plaît à détester Montréal. On en a marre de l'électoralisme de la CAQ 6 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. LindbergMTL Posté(e) 15 octobre 2023 C’est un message populaire. Partager Posté(e) 15 octobre 2023 Le centre-ville de Montréal est en situation précaire et le tourisme d’affaires représente une avenue indispensable pour sa survie. Cet attentisme est une aberration totale. Quel manque de leadership! 6 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Rocco Posté(e) 15 octobre 2023 C’est un message populaire. Partager Posté(e) 15 octobre 2023 5 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. eastender85 Posté(e) 18 janvier C’est un message populaire. Partager Posté(e) 18 janvier Relance du centre-ville La cicatrice de l’autoroute Ville-Marie sera-t-elle refermée ? Une partie du tronçon de l’autoroute Ville-Marie visé par un projet de recouvrement Maxime Bergeron Publié à 1h14 Mis à jour à 5h00Partager L’administration de Valérie Plante a présenté cette semaine sa stratégie pour relancer le centre-ville de Montréal d’ici 2030, qui tire un peu dans tous les sens et recycle quelques vieilles annonces, mais certains éléments sont prometteurs. L’un, peut-être plus encore que tous les autres : l’agrandissement du Palais des congrès. Et surtout : le réaménagement de tout le quartier environnant, sans contredit l’un des plus décrépits de la métropole. L’idée est loin d’être neuve, mais j’ai talonné mes sources depuis deux jours pour avoir de nouvelles informations, avec succès. Voici le topo : L’agrandissement, tel qu’il est envisagé en ce moment, s’accompagnerait du recouvrement de l’autoroute Ville-Marie, véritable cicatrice à ciel ouvert qui sépare le centre-ville du Vieux-Montréal. On parle de construire un hôtel par-dessus cette extension, ainsi qu’un parc, des locaux commerciaux et jusqu’à 3000 logements. C’est majeur. Selon la version la plus ambitieuse du projet, l’autoroute Ville-Marie serait recouverte sur deux quadrilatères entiers, jusqu’à la place des Montréalaises, en face de l’hôtel de ville. La dalle de béton servirait de socle aux futurs aménagements et viendrait retisser la trame urbaine, dans ce secteur très peu hospitalier. Le projet a l’air pharaonique, et il l’est. Mais un élément nouveau pourrait contribuer à le faire débloquer. Selon mes informations, un énorme investisseur, Ivanhoé Cambridge, le bras immobilier de la Caisse de dépôt et placement du Québec, serait ouvert à prendre les commandes si les bonnes conditions sont réunies. Le gouvernement fédéral pourrait aussi être mis à contribution en payant une partie ou la totalité de la dalle de béton, me dit-on, par l’entremise de ses programmes de financement des infrastructures. Une dépense évaluée grosso modo à 120 millions. Le projet d’agrandissement du Palais des congrès n’est pas neuf, il faut le dire. L’ancien gouvernement péquiste de Pauline Marois avait décrété en 2012 une réserve foncière sur une série de terrains, juste à l’est de l’actuel bâtiment, en vue d’un agrandissement futur. L’affaire a coûté des millions en frais d’expropriation et s’est même rendue jusque devant les tribunaux. Les immeubles acquis par Québec, à l’est de l’actuel Palais des congrès, sont dans un état critique. Le dossier a cheminé, lentement, péniblement, au fil des gouvernements. Puis la pandémie a frappé. Et le toit du Stade olympique a menacé de s’écrouler. Résultat : une énorme partie des fonds du Plan québécois des infrastructures destinés à la métropole ont été redirigés vers la réfection du Stade, ce qui ne laisse à peu près rien pour le Palais des congrès. Pourquoi est-ce problématique ? Dans la dernière décennie, des investissements majeurs ont été faits à Toronto, Vancouver et Calgary pour attirer des congrès toujours plus gros, qui échappent à la métropole québécoise. Montréal risque de se retrouver dans une catégorie de « seconde zone », de l’aveu même de la PDG du Palais2. Selon un document confidentiel que j’ai obtenu, Montréal laisserait échapper une trentaine de congrès par année en raison de l’étroitesse de ses locaux. Des pertes annuelles de près de 170 millions pour l’économie locale. La tenue de congrès n’a rien d’enivrant ni de glamour, on s’entend, mais c’est un moteur économique majeur pour les grandes villes. Les évènements tenus au Palais des congrès de Montréal ont généré plus de 426 millions en retombées l’an dernier, un record. Avec un agrandissement, la venue de milliers de congressistes additionnels pourrait donner un nouvel élan aux hôteliers, restaurateurs et commerçants du centre-ville, dont plusieurs tirent le diable par la queue. Le gouvernement Legault hésite à investir dans le projet3. Mais ce qui change la donne, cette fois, c’est l’intérêt d’Ivanhoé Cambridge pour le dossier. Ce rebondissement n’est pas anodin. Ce bras de la Caisse de dépôt a des actifs mondiaux de 77 milliards, et l’intention affirmée d’investir davantage au Québec. Le groupe travaille en ce moment même sur la conversion de l’ancien hôpital Royal Victoria en résidences étudiantes, en partenariat avec la Société québécoise des infrastructures4. Ce modèle d’affaires nouveau genre pourrait être reproduit avec le Palais des congrès et ses environs. Ivanhoé Cambridge pourrait injecter des sommes importantes pour construire le projet, et ensuite toucher des revenus locatifs au fil des ans, ce qui correspondrait tout à fait à son profil d’investisseur institutionnel. Il manque toutefois un ingrédient clé pour aller de l’avant : un mandat clair donné par Québec. En gros, Ivanhoé Cambridge ne dépensera pas des millions en études de faisabilité à moins d’être convaincu du sérieux de l’affaire. Des discussions se tiennent en coulisses entre le cabinet de la mairesse Valérie Plante, celui du ministre responsable de la métropole, Pierre Fitzgibbon, et les gens d’Ivahnoé Cambridge, mais tout est encore à un stade très embryonnaire. On verra bien les suites, mais sur papier, ce projet aurait trois bénéfices concrets : donner un électrochoc à l’économie montréalaise, revitaliser un secteur malfamé et ajouter un paquet de logements bien nécessaires dans le contexte de crise actuel. Qu’y a-t-il d’autre dans la stratégie montréalaise de relance du centre-ville ? Ce qui a été présenté mardi reprend plusieurs annonces déjà faites, comme le développement de nouveaux quartiers dans le secteur Bridge-Bonaventure et autour de l’ancienne brasserie Molson. Il est question d’« accélérer » ces chantiers. On veut aussi ajouter du nouveau mobilier urbain au centre-ville, faire des circuits d’art public, miser sur le caractère hivernal de la métropole, alouette. Le milliard d’investissements annoncé par la Ville représente en bonne partie l’addition de sommes déjà allouées. Montréal veut investir davantage pour améliorer la propreté. Ce ne sera pas un luxe, puisque les rues et trottoirs sont souvent d’une saleté repoussante, surtout dans la portion est du centre-ville. Ce quartier, autour de la station Berri-UQAM et dans le Village, recevra d’ailleurs de nombreux investissements dans les prochaines années, avec la construction d’un complexe de 700 logements à l’ancien îlot Voyageur et la réfection de la rue Sainte-Catherine Est. Ça risque d’aller plus mal avant d’aller mieux, mais au moins, on sent une certaine prise en charge. Autre point, non négligeable : Montréal veut redonner de l’amour au Quartier latin, qui sera bizarrement désigné « quartier de la francophonie ». La Ville envisage de le transformer en zone « 24/7 », avec des commerces ouverts toute la nuit. Tout un pari, considérant que ce quartier est devenu glauque même en plein jour. La question de l’accès au centre-ville, encerclé de chantiers, semble avoir été évacuée de la stratégie, ce qui a fait bondir le milieu des affaires. Cela se comprend : ce ne sont pas tous les banlieusards qui viendront voir un spectacle au TNM à vélo ou en métro. Mais enfin, tout le monde semble vouloir travailler dans la même direction, pour redonner un élan au centre-ville. C’est déjà ça de pris, puisque personne n’a avantage à voir le poumon économique du Québec péricliter. On s’en reparle en 2030 ? https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2024-01-18/relance-du-centre-ville/la-cicatrice-de-l-autoroute-ville-marie-sera-t-elle-refermee.php 5 4 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Weka 29 Posté(e) 18 janvier C’est un message populaire. Partager Posté(e) 18 janvier Il y a 6 heures, eastender85 a dit : Relance du centre-ville La cicatrice de l’autoroute Ville-Marie sera-t-elle refermée ? Une partie du tronçon de l’autoroute Ville-Marie visé par un projet de recouvrement Maxime Bergeron Publié à 1h14 Mis à jour à 5h00Partager L’administration de Valérie Plante a présenté cette semaine sa stratégie pour relancer le centre-ville de Montréal d’ici 2030, qui tire un peu dans tous les sens et recycle quelques vieilles annonces, mais certains éléments sont prometteurs. L’un, peut-être plus encore que tous les autres : l’agrandissement du Palais des congrès. Et surtout : le réaménagement de tout le quartier environnant, sans contredit l’un des plus décrépits de la métropole. L’idée est loin d’être neuve, mais j’ai talonné mes sources depuis deux jours pour avoir de nouvelles informations, avec succès. Voici le topo : L’agrandissement, tel qu’il est envisagé en ce moment, s’accompagnerait du recouvrement de l’autoroute Ville-Marie, véritable cicatrice à ciel ouvert qui sépare le centre-ville du Vieux-Montréal. On parle de construire un hôtel par-dessus cette extension, ainsi qu’un parc, des locaux commerciaux et jusqu’à 3000 logements. C’est majeur. Selon la version la plus ambitieuse du projet, l’autoroute Ville-Marie serait recouverte sur deux quadrilatères entiers, jusqu’à la place des Montréalaises, en face de l’hôtel de ville. La dalle de béton servirait de socle aux futurs aménagements et viendrait retisser la trame urbaine, dans ce secteur très peu hospitalier. Le projet a l’air pharaonique, et il l’est. Mais un élément nouveau pourrait contribuer à le faire débloquer. Selon mes informations, un énorme investisseur, Ivanhoé Cambridge, le bras immobilier de la Caisse de dépôt et placement du Québec, serait ouvert à prendre les commandes si les bonnes conditions sont réunies. Le gouvernement fédéral pourrait aussi être mis à contribution en payant une partie ou la totalité de la dalle de béton, me dit-on, par l’entremise de ses programmes de financement des infrastructures. Une dépense évaluée grosso modo à 120 millions. Le projet d’agrandissement du Palais des congrès n’est pas neuf, il faut le dire. L’ancien gouvernement péquiste de Pauline Marois avait décrété en 2012 une réserve foncière sur une série de terrains, juste à l’est de l’actuel bâtiment, en vue d’un agrandissement futur. L’affaire a coûté des millions en frais d’expropriation et s’est même rendue jusque devant les tribunaux. Les immeubles acquis par Québec, à l’est de l’actuel Palais des congrès, sont dans un état critique. Le dossier a cheminé, lentement, péniblement, au fil des gouvernements. Puis la pandémie a frappé. Et le toit du Stade olympique a menacé de s’écrouler. Résultat : une énorme partie des fonds du Plan québécois des infrastructures destinés à la métropole ont été redirigés vers la réfection du Stade, ce qui ne laisse à peu près rien pour le Palais des congrès. Pourquoi est-ce problématique ? Dans la dernière décennie, des investissements majeurs ont été faits à Toronto, Vancouver et Calgary pour attirer des congrès toujours plus gros, qui échappent à la métropole québécoise. Montréal risque de se retrouver dans une catégorie de « seconde zone », de l’aveu même de la PDG du Palais2. Selon un document confidentiel que j’ai obtenu, Montréal laisserait échapper une trentaine de congrès par année en raison de l’étroitesse de ses locaux. Des pertes annuelles de près de 170 millions pour l’économie locale. La tenue de congrès n’a rien d’enivrant ni de glamour, on s’entend, mais c’est un moteur économique majeur pour les grandes villes. Les évènements tenus au Palais des congrès de Montréal ont généré plus de 426 millions en retombées l’an dernier, un record. Avec un agrandissement, la venue de milliers de congressistes additionnels pourrait donner un nouvel élan aux hôteliers, restaurateurs et commerçants du centre-ville, dont plusieurs tirent le diable par la queue. Le gouvernement Legault hésite à investir dans le projet3. Mais ce qui change la donne, cette fois, c’est l’intérêt d’Ivanhoé Cambridge pour le dossier. Ce rebondissement n’est pas anodin. Ce bras de la Caisse de dépôt a des actifs mondiaux de 77 milliards, et l’intention affirmée d’investir davantage au Québec. Le groupe travaille en ce moment même sur la conversion de l’ancien hôpital Royal Victoria en résidences étudiantes, en partenariat avec la Société québécoise des infrastructures4. Ce modèle d’affaires nouveau genre pourrait être reproduit avec le Palais des congrès et ses environs. Ivanhoé Cambridge pourrait injecter des sommes importantes pour construire le projet, et ensuite toucher des revenus locatifs au fil des ans, ce qui correspondrait tout à fait à son profil d’investisseur institutionnel. Il manque toutefois un ingrédient clé pour aller de l’avant : un mandat clair donné par Québec. En gros, Ivanhoé Cambridge ne dépensera pas des millions en études de faisabilité à moins d’être convaincu du sérieux de l’affaire. Des discussions se tiennent en coulisses entre le cabinet de la mairesse Valérie Plante, celui du ministre responsable de la métropole, Pierre Fitzgibbon, et les gens d’Ivahnoé Cambridge, mais tout est encore à un stade très embryonnaire. On verra bien les suites, mais sur papier, ce projet aurait trois bénéfices concrets : donner un électrochoc à l’économie montréalaise, revitaliser un secteur malfamé et ajouter un paquet de logements bien nécessaires dans le contexte de crise actuel. Qu’y a-t-il d’autre dans la stratégie montréalaise de relance du centre-ville ? Ce qui a été présenté mardi reprend plusieurs annonces déjà faites, comme le développement de nouveaux quartiers dans le secteur Bridge-Bonaventure et autour de l’ancienne brasserie Molson. Il est question d’« accélérer » ces chantiers. On veut aussi ajouter du nouveau mobilier urbain au centre-ville, faire des circuits d’art public, miser sur le caractère hivernal de la métropole, alouette. Le milliard d’investissements annoncé par la Ville représente en bonne partie l’addition de sommes déjà allouées. Montréal veut investir davantage pour améliorer la propreté. Ce ne sera pas un luxe, puisque les rues et trottoirs sont souvent d’une saleté repoussante, surtout dans la portion est du centre-ville. Ce quartier, autour de la station Berri-UQAM et dans le Village, recevra d’ailleurs de nombreux investissements dans les prochaines années, avec la construction d’un complexe de 700 logements à l’ancien îlot Voyageur et la réfection de la rue Sainte-Catherine Est. Ça risque d’aller plus mal avant d’aller mieux, mais au moins, on sent une certaine prise en charge. Autre point, non négligeable : Montréal veut redonner de l’amour au Quartier latin, qui sera bizarrement désigné « quartier de la francophonie ». La Ville envisage de le transformer en zone « 24/7 », avec des commerces ouverts toute la nuit. Tout un pari, considérant que ce quartier est devenu glauque même en plein jour. La question de l’accès au centre-ville, encerclé de chantiers, semble avoir été évacuée de la stratégie, ce qui a fait bondir le milieu des affaires. Cela se comprend : ce ne sont pas tous les banlieusards qui viendront voir un spectacle au TNM à vélo ou en métro. Mais enfin, tout le monde semble vouloir travailler dans la même direction, pour redonner un élan au centre-ville. C’est déjà ça de pris, puisque personne n’a avantage à voir le poumon économique du Québec péricliter. On s’en reparle en 2030 ? https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2024-01-18/relance-du-centre-ville/la-cicatrice-de-l-autoroute-ville-marie-sera-t-elle-refermee.php Je pense que ce devrait être la priorité numéro 1 des gouvernements, bien avant le REM ou le tramway (ou appelez ça comme vous voulez) de l'Est, le Stade olympique, etc. On le voit, dans les villes canadiennes d'importance, on a fait ou on fait d'importants investissements pour accroître la capacité d'accueil des congrès et événements majeurs. Pendant ce temps, on niaise depuis au moins 10 ans à Montréal, le dossier d'agrandissement du Palais des congrès n'étant pas nouveau. Les pertes, passées et à venir, en retombées économiques d'avoir un Palais trop petit pour accueillir de grands congrès ou événements sont inestimables. Même si on commençait l'agrandissement demain, ça prendrait des années avant de se concrétiser. Il ne faut pas oublier que le recouvrement de l'autoroute Ville-Marie, qui va avec l'agrandissement, ajoute à la complexité et à la durée du projet. Et je rappelle (je connais très bien la question des retombées économique des événements touristiques puisque j'ai réalisé beaucoup d'études en ce sens depuis 25 ans) que le tourisme d'affaires est extrêmement rentable et a des retombées économiques sur Montréal - surtout sur son centre-ville qui en a bien besoin depuis la pandémie - bien plus élevées que le tourisme d'agrément (visiter des parents et amis, assister à un festival ou un événement culturel, etc.). Une part très majoritaire des touristes d'affaires viennent de l'extérieur du Québec et dépensent en moyenne beaucoup plus que les touristes d'agrément. Le gouvernement Legault et la mairie de Montréal sont désespérants à cet égard. Que le premier ministre, le ministre de l'économie (Fitzgibbon), la ministre du tourisme (Caroline Proulx) et la mairesse se réveillent! 6 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brick Posté(e) 18 janvier Partager Posté(e) 18 janvier 🔼 En théorie, des dirigeants visionnaires devraient s'y être engagés depuis longtemps. Petitesse quand tu nous tiens. 😡 1 3 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
johan Posté(e) 19 janvier Partager Posté(e) 19 janvier Il y a 3 heures, Brick a dit : 🔼 En théorie, des dirigeants visionnaires devraient s'y être engagés depuis longtemps. Petitesse quand tu nous tiens. 😡 Pauline Marois.. Première Femme Première Ministre... C'était notre Hilary Clinton... Oups, Mauvaise Comparaison!! 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. steve Posté(e) 23 janvier C’est un message populaire. Partager Posté(e) 23 janvier https://www.calgarymlc.ca/projects/bmo-centre-expansion 5 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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