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Montreal working group formed to improve city's business outlook


hockey19

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La seule chose de bien qu'on peut retenir de l'article, c'est que ce serait bien de ne pas étouffer nos commerçants. 100% d'accord.

 

Pour le reste, cela tient effectivement d'une mentalité dépassée et contradictoire. Ce qui me fait grincer des dents, c'est de voir certains dinosaures toujours considérer la mobilité comme une affaire de voiture. On va retirer 25 000 cyclistes du centre-ville pour remettre 1200 places de stationnement? Voyons donc. Ce que souhaite l'auteur, c'est stationner plus facilement et à moindre coût, même si cela entraîne une diminution évidente de l'achalandage. Le développement du centre-ville s'effectue en fonction du développement durable parce que l'accès automobile est saturé, et c'est une réalité inhérente à ce mode de transport. Le développement durable ne l'est pas que pour l'environnement (même si c'est déjà en soi une excellente raison). La majorité de l'achalandage du centre-ville provient de modes alternatifs. Le but est de développer des moyens de transport s'accordant avec la réalité du centre-ville. Comment on peut réaliser cette vision en réduisant les alternatives, comme le transport actif? D'ailleurs, ces mesures vont de pairs avec le renforcement du centre-ville en tant que milieu de vie, ce qui est probablement le virage le plus important qu'a pris ce secteur pour assurer sa pérennité, en augmentant considérablement sa population. L'auteur oublie complètement ce phénomène.

 

C'est la vision passéiste de la ville nord-américaine: une centre des affaires entouré de bungalows, une idée de la dynamique de la région figée dans le passé.

Modifié par vincethewipet
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Heureusement qu'on a fait beaucoup de chemin depuis cette mentalité passéiste année 60. http://www.thesuburban.com/opinion/e...6c3bd62a5.html :thumbsdown:

 

Remarquez que la majorité des gens qui chiâlent conservent un regard nostalgique sur le passé. Montréal n'est plus et ne sera plus la ville qu'elle était, elle est au contraire bien plus vibrante qu'avant et le deviendra encore davantage quand la plupart des projets déjà en marche seront complétés. Et il y en aura d'autres, car ce n'est pas fini, puisqu'on est entré dans une dynamique où les changements et améliorations sont encore plus rapides.

 

Je ne m'étendrai pas sur le sujet, puisqu'ici sur mtlurb on est au fait de ce qui se trame vraiment, et pas seulement sur le plan économique, mais aussi politique, social et culturel. Rappelons-nous aussi qu'une ville est un everlasting working project, donc c'est un organisme qui se développe de manière continue par la force de sa communauté et son pouvoir d'attraction ouvert sur une foule de domaines. Nous sommes aussi très conscients de nos forces et nos faiblesses, qui font partie de nos principales préoccupations et qui déterminent conséquemment nos objectifs futurs.

 

Ce qui me plait dans tout ça, c'est qu'on n'a pas besoin de transformer la personnalité de Montréal, ni d'imiter aucune autre ville pour devenir meilleur. Nous avons déjà tout ce qu'il faut pour progresser et faire face aux défis d'aujourd'hui, tout en nous préparant sérieusement à ceux de demain. Personne ne parle non plus de nous assoir sur nos lauriers. Nous avons des décideurs compétents dans toutes les sphères d'activités, des organismes et des institutions diligentes et une communauté d'affaires audacieuse et entreprenante. Ce qui fait que tout ce beau monde est à l'affut de ce qui se fait de mieux dans le monde, tout en travaillant énergiquement pour faire de notre métropole une des villes parmi les plus florissantes de la planète.

 

Derrière ce tableau prometteur, se cache un sentiment de fierté et d'appartenance à un milieu distinct qui fait toute la différence. Sachons alors entretenir cette perception positive de nous-mêmes, qui sans être chauvine, est l'essence même de notre identité.

Modifié par acpnc
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Je crois que l'article en question part d'une bonne prémisse, celle de faire quelque chose pour améliorer la santé des petits commerçants et des rues du centre-ville. Et là dessus nous sommes tous d'accord qu'il faut faire quelque chose car le statu quo n'est pas souhaitable.

 

Certaines des suggestions sont un peu rétrogrades mais pas nécessairement mauvaises. Par exemple, l'histoire du manque de stationnement est en effet un problème. Il veut éliminer des places de Bixi pour remettre les stationnements. Je ne crois pas que ce soit la solution mais le problème reste le même, soit le manque de place de stationnement. Donc soit on trouve d'autres emplacements pour compenser ou on rend notre service de transport publique beaucoup plus efficient pour que les gens puissent passer de la voiture à l'autobus/métro.

 

Les parcomètres le dimanche c'est une erreur. Souvent je passe le dimanche sur René-Lévesque, surtout en hiver, et il n'y a aucune voiture en après-midi de stationner, alors un peu de gratuité ferait du bien.

 

Pour les fumeurs, je crois qu'il aimerait avoir moins de ''régulations'' et plus de liberté pour les commerçants et pour cela je suis d'accord car il y a trop d'inspecteur de toute sorte. Que ce soit pour les terrasses, la langue d'affichage, donner les reçus aux clients, la salubrité, permis d'alcool, pour les mineurs, le bâtiment, les heures d'ouverture (je crois que celle-ci est heureusement réglé) etc...

 

Réduire les taxes, négocier un statut spécial et alléger le ''red tape'' sont tous des évidences. Pour le bilinguisme ? Je serais d'accord pour qu'une partie de la ville puisse avoir un statut bilingue.

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Si je ne me trompe pas 58% des revenus a montreal provient des industries et commerces c'est beaucoup trop.

La vache a lait est vide il n'y a plus rien a traire.

 

La sureglementation et les delais sont atroces pour obtenir un permis c'est un parcours du combattant.

Ya trop de fonctionnaire. Couper moi toute ca. Trop de salaires a payer a des empecheurs d'avancer.

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La bureaucratie a son meilleur, bienvenue au quebec. Apres on se demande pourquoi il n'y a pas plus d'entreprenariat a Montreal. :shiftyeyes:

 

Le rêve d’une jeune entrepreneure d’ouvrir sa boutique est sur la glace depuis que des inspecteurs de la CCQ lui ont interdit de repeindre son nouveau local.

Moins d’un an après le début de la vente en ligne de ses produits Bigarade, de la literie faite avec des tissus d'époque, Geneviève Lorange a loué un local sur la rue Sainte-Catherine Est, pour y accueillir ses clients dès le 1er avril.

Mais la visite, le 10 février dernier, d’inspecteurs de la Commission de la construction du Québec (CCQ), a mis son projet sur la glace.

«Ils m’ont dit que je ne pouvais pas faire de travaux moi-même et que je devais embaucher un entrepreneur avec une licence», explique la femme de 32 ans.

Il faut dire que son nouveau local, pas repeint depuis près de 20 ans, manquait un peu d’amour.«J’ai fait de la peinture, du plâtre et sabler les planchers, comme ce n’était pas des travaux majeurs, je me suis dit que j’allais mettre ça propre moi-même.»

 

Ces «améliorations» faisaient d’ailleurs partie du bail signé entre la locataire et son propriétaire.

Interdit par la loi

Faisant valoir la loi R-20, des inspecteurs de la CCQ la préviennent de l’illégalité de sa démarche.

La loi R-20 stipule que tous les travaux de fondation, d'entretien, de rénovation ou de réparation effectués dans un local commercial doivent être réalisés par des entrepreneurs qualifiés.

L’article 19.2 indique également que cette loi ne s’applique pas «aux employeurs, salariés ou entrepreneur autonome», ce qui est le cas de Mme Lorange.

Pas notre cible, dit la CCQ

Sans expliquer cet article, la CCQ a indiqué que «la cible prioritaire des équipes d’inspection, [ce] sont les contrevenants lourds et chroniques, et non pas ce type de situation».

Interrogé par Mme Lorange sur la raison de cette loi, un inspecteur a rappelé : «il y a des gens qui ont des entreprises légitimes qui payent leurs cotisations patronales annuellement et payent leur licence à la Régie du bâtiment du Québec, ces contrats-là leur reviennent de droit», a-t-il dit sans savoir que la personne qui l’accompagnait était du journal «24 Heures».

La présidente de la CCQ, Diane Lemieux, a refusé notre demande d’entrevue.

Entrepreure coincée

Depuis la visite des inspecteurs, Geneviève Lorange dit avoir cessé les travaux et chercher une alternative.

«Le problème c’est que je n’ai pas les moyens de faire appel à un entrepreneur, explique celle qui ne comprend pas le but de la loi. Pour des travaux d’électricité ou de plomberie, je comprends qu’il y a des enjeux de sécurité, mais dans mon cas, c’est de la finition.»

Si la situation la désole, c’est aussi parce qu’elle y voit un frein à l’entrepreneuriat. «Quand on débute en affaires, on a des budgets serrés et on fait attention à nos dépenses», plaide Geneviève Lorange.

Un point de vue partagé par la SDC Promenades Hochelaga-Maisonneuve.

«Cette loi met des bâtons dans les roues des jeunes entrepreneurs qui se lancent avec toute la bonne volonté du monde et mettent souvent leur énergie dans leur produit, constate le directeur général Jimmy Vigneux. Si on veut que Montréal grandisse, on veut que le Québec ait de nouveaux entrepreneurs, mettons les conditions favorables.»

À la suite des démarches du «24 Heures» et des appels à la CCQ de Mme Lorange, l'adjointe de Mme Lemieux aurait confirmé à l'entrepreneure qu'un agent allait rentrer en contact avec elle pour résoudre la situation. http://bigarade.io/

 

http://www.journaldemontreal.com/2016/02/18/son-reve-de-jeune-entrepreneure-compromis-par-la-ccq

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Voici un bel exemple de notre société d'aujourd'hui ou il y a tellement de lois, de règlements, de permis, d'inspecteurs, de ''red tape'' et de bureaucratie que cela étouffent en bonne partie les initiatives et la créativité.

 

Au Québec autrefois nous étions beaucoup plus libre, capable de s'organiser avec les moyens du bord, innovateur malgré le peu de ressource, débrouillard, différent et rempli d'idée pour développer quoi que ce soit. Avec le temps et la lourdeur du/des gouvernements et de la bureaucratie, toujours enclin à ''inventer'' des règlements pour justifier leurs jobs, alors nous avons perdu ce gout et ce désir d'entreprendre, ne serait-ce que des petits projets.

 

Bien sur, il en reste encore capable de partir une petite entreprise et d'essayer de faire de quoi de nouveau, d'original, et cela provient principalement des jeunes et des immigrants qui n'ont pas le choix et/ou qui n'ont pas encore gouté à la médecine de notre bureaucratie et de notre règlementation étouffante......littéralement étouffante. On ne peut plus rien faire aujourd'hui, le gouvernement est partout partout, Et il nous étouffe !

 

Et on se demande aujourd'hui pourquoi la plupart des gens ''rêvent'' d'une job au gouvernement ! C'est probablement le seul endroit ou ta job est assurer et ou tu ne te fais pas écœurer par les inspecteurs de toute sorte.

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N'oubliez jamais : s'il y a des règlements, c'est parce que, quelque part dans le passé, des gens ont abusé de la liberté qu'il y avait. C'est toujours comme ça. On se dirige probablement vers une période de dé-réglementation. Ça va libérer certaines forces créatrices. Tant mieux. Mais, inévitablement, des tarlas vont abuser, et créer des problèmes qui vont finir, un jour, par nous ramener dans une période de retour à la réglementation plus sévère.

 

Et le cycle va recommencer....

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N'oubliez jamais : s'il y a des règlements, c'est parce que, quelque part dans le passé, des gens ont abusé de la liberté qu'il y avait. C'est toujours comme ça. On se dirige probablement vers une période de dé-réglementation. Ça va libérer certaines forces créatrices. Tant mieux. Mais, inévitablement, des tarlas vont abuser, et créer des problèmes qui vont finir, un jour, par nous ramener dans une période de retour à la réglementation plus sévère.

 

Et le cycle va recommencer....

 

Ya des sacré limites. L'abus c'est les fonctionnaire qui le font. Si on sureglemente et surtaxe on va tuer nos industries et commerces. C'est ca qu'on veut des rues commerciales a moitié vide.

 

L'abus C'est la fonction publique municipales gonflable avec des conditions de travails et salaires hors norme qui depasses tout les autres.

L'abus c'est les salaires de fou que donne Coderre a ses copains et des contrats sans appel d'offre.

 

L'abus c'est d'avoir plus de conseillers municipaux a Montreal que new-york et toronto.

 

L'abus c'est d'avoir le conseil scolaire de l'ile de montreal pour gerer les taxes scolaires alors que Montreal et les autres villes pourrait le faire. Ca sauverai des salaires de bureaucrates. Toronto recolte elle meme les taxes scolaires.

 

Partout dans l'ile je vois des locaux commerciaux et industriels vacants.

Continuons a pressé le citron.

 

Qu'on arrete de demander a l'état de tout gérer a notre place. On est dans un pays totalitaire socialiste ou quoi?

 

 

La moitié des mes revenus passe en taxes quosser tu veux qu'on paye encore plus ou quoi? Combien de fonctionnaire a montreal encore 22 000 - 23 000 la dedans un paquet d'inspecteur d'empecheur de tourner en rond qui font des probleme a celui qui essaye de faire rouler son petit commerce. Combien encore ne reussissent pas a survivre les 5 premieres années. C'est facilement la moitié. Moins de commerces sur rues. Ca fait moins de taxes a recolter c'est ca qui va arriver de toute facons.

 

Tu a raison de dire que c'est des tatas faut vraiment etre tata pour penser se partir un commerce ou une petite business a Montreal.

Modifié par andre md
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Ya des sacré limites. L'abus c'est les fonctionnaire qui le font. Si on sureglemente et surtaxe on va tuer nos industries et commerces. C'est ca qu'on veut des rues commerciales a moitié vide.

 

L'abus C'est la fonction publique municipales gonflable avec des conditions de travails et salaires hors norme qui depasses tout les autres.

L'abus c'est les salaires de fou que donne Coderre a ses copains et des contrats sans appel d'offre.

 

L'abus c'est d'avoir plus de conseillers municipaux a Montreal que new-york et toronto.

 

L'abus c'est d'avoir le conseil scolaire de l'ile de montreal pour gerer les taxes scolaires alors que Montreal et les autres villes pourrait le faire. Ca sauverai des salaires de bureaucrates. Toronto recolte elle meme les taxes scolaires.

 

Partout dans l'ile je vois des locaux commerciaux et industriels vacants.

Continuons a pressé le citron.

 

Qu'on arrete de demander a l'état de tout gérer a notre place. On est dans un pays totalitaire socialiste ou quoi?

 

 

La moitié des mes revenus passe en taxes quosser tu veux qu'on paye encore plus ou quoi? Combien de fonctionnaire a montreal encore 22 000 - 23 000 la dedans un paquet d'inspecteur d'empecheur de tourner en rond qui font des probleme a celui qui essaye de faire rouler son petit commerce. Combien encore ne reussissent pas a survivre les 5 premieres années. C'est facilement la moitié. Moins de commerces sur rues. Ca fait moins de taxes a recolter c'est ca qui va arriver de toute facons.

 

Tu a raison de dire que c'est des tatas faut vraiment etre tata pour penser se partir un commerce ou une petite business a Montreal.

 

Eille, euh, t'es agressif mon ti-pit. Tu vas respirer par le nez là. Mon intervention n'attaquait personne, et surtout pas dans un ton comme ça.

 

Arrête de TOUT mettre sur le dos des fonctionnaire. T'es juste ridicule.

 

Quand un entrepreneur abuse et cause des accidents à cause de négligences, qu'est-ce tu pense qui arrive après?? On a des règlements pour resserrer les normes, pis ça fait plus de trucs à tchèquer pis à considérer. Lourd, oui, mais pcq un touit à voulu tourner les coins ronds.

 

Calvaire, arrête de TOUT mettre sur le dos des mêmes personnes.

 

T'es fatigant, ET ridicule. Tu manques de nuances.

 

Pis sincèrement, j'en ai RIEN à foutre que tes revenus passent en taxes! Rien pantoute. C'est pas toi qui va payer l'opération de ma mère si j'ai pas un système de santé qui lui assure son droit à être en santé et traitée quand elle en a besoin. Tu veux avoir plein de cash pour t'acheter plein de bébelles, va aux États. Pis même là, t'en auras pas autant que tu penses. Beaucoup oins en fait. Oublie pas que tu devras te payer des assurances privées qui vont te coûter la peau des fesses. Pourquoi tu penses que Sanders propose des idées qui feront diminuer les assurances privées de la classe moyenne de 5000 $ par année? 5000 piasses. Pis juste diminuer de 5000! Imagine que ça doit être ben plus.

 

Je sais qu'il y a trop de règlements, mais de l'abus ça vient en esti des compagnies privées aussi quand il y a trop de laisser-faire. Tu rêves mouillé sur Martin Shkreli? Pis lâches-moi la peur du socialisme, McCarthy. Tu vois rien d'autre.

 

Arrête de démoniser toujours les mêmes personnes. Tout le temps, tout le temps, tout le temps. Place toé, pis vite, man. T'es comme un peu monomaniaque, là.

 

Pis lourd. Pas mal lourd. Change ta cassette de bord. Ça jamme.

 

Fa que là, on devrait revenir au sujet, en passant.

Modifié par MtlMan
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