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Les BS qui chialent contre l'arrivée d'un Starbucks. On est pas loin du communisme au Québec.

 

Je suis en Chine en ce moment, et c'est moins communiste que le Québec. xD

 

J'ajoute, si les gens choisissent Starbucks au lieu d'un petit café indépendant; et bien c'est leurs problème. Tant que la compétition peut y avoir ça place, pas de problème a ce que Starbucks s'installe au marche.

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J'ajoute, si les gens choisissent Starbucks au lieu d'un petit café indépendant; et bien c'est leurs problème. Tant que la compétition peut y avoir ça place, pas de problème a ce que Starbucks s'installe au marche.

 

Exactement! Les gens qui s'opposent au Starbucks refusent que les autres personnes fassent des choix différents des leurs. En interdisant les méchants capitalistes que sont Starbucks, on veut forcer tout le monde à faire les "bons" choix, c'est-à-dire ceux que les opposants au Starbucks veulent imposer à tout le monde. C'est fondamentalement anti-démocratique.

 

Vous n'aimez pas Starbucks, ou vous n'approuvez simplement pas ce type de commerce, eh bien, n'y allez pas! Si personne n'y va, ça va simplement fermer.

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  • 3 mois plus tard...

http://novae.ca/actualites/leadership/juin-2015/le-marche-jean-talon-une-nouvelle-vitrine-pour-le-developpement

 

11.06.15

LE MARCHÉ JEAN-TALON A UNE NOUVELLE VITRINE POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE

 

Crédit photo : Julien Perron-Gagné/Photographe.

 

Un nouveau bâtiment écologique a ouvert ses portes aujourd’hui au Marché Jean-Talon. Cette construction s’inscrit dans le cadre d’un projet de revitalisation du secteur nord-ouest du marché, près de la rue Casgrain.

 

Le bâtiment abrite la succursale écoresponsable de la SAQ, ainsi qu’une salle de gestion des matières résiduelles du marché -- une installation qui permettra au Marché de doubler la quantité de matière recyclée.

 

Le projet représente l’aboutissement de plusieurs années de réflexion pour le marché public, qui désirait réduire son empreinte écologique et dynamiser la section ouest du site. Déjà en 2004, lors de l’inauguration du bâtiment principal, situé sur Henri-Julien, la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal (CGMPM) avait exprimé le désir de construire à l’ouest un autre bâtiment afin d’équilibrer les deux pôles du marchés et stimuler l’achalandage autant à l’est qu’à l’ouest. "Notre ancienne salle de gestion des matières résiduelles ne répondait plus aux besoins en matière de recyclage et cela faisait déjà quelques années que nous voulions mettre sur pied un projet pour redynamiser le secteur Casgrain, mentionne Laurence Therrien, chargée aux communications et marketing aux Marchés publics de Montréal. Le nouveau bâtiment devait donc répondre à ces deux impératifs : améliorer les installations de gestion des déchets du marché et revitaliser le secteur est. Plusieurs opportunités qui se sont récemment présentées à nous ont rendu possible le projet, notamment le désir de la SAQ de s’installer dans de plus grands locaux sur le site du marché. Le nouveau bâtiment constituait donc une occasion pour la SAQ d’obtenir un espace plus grand." L’engagement de la SAQ assurait au Marché Jean-Talon la présence à long terme d’un locataire de confiance, sécurisant le projet d’un point de vue financier. Deux marchands situés sur le site du projet profiteront aussi du nouveau bâtiment.

 

La SAQ a joué un rôle actif dans la réalisation du projet. L'élaboration du concept d'aménagement, ainsi que le mobilier du magasin ont été développés par le département d'aménagement de la SAQ. "La SAQ avait plusieurs demandes pour la réalisation du bâtiment. La construction devait entre autres viser la certification Leed. C’était l’occasion de concevoir une succursale qui rassemblerait en un seul lieu l’ensemble des initiatives de développement durable mises en oeuvre dans les SAQ du Québec, par exemple toits blancs, mur solaire et l’aménagement d’aires de repos en dalles écologiques, etc." explique Laurence Therrien.

 

La partie nord-ouest du marché était jusqu’à présent occupée par un grand stationnement et des conteneurs de déchets. Les 45 stationnements seront relocalisés en sous-sol et feront place à la nouvelle construction de 10 000 pieds carrés, ainsi qu’à des aires de repos, des espaces verts et des stationnements pour vélo. Une amélioration considérable, à la fois pour la clientèle et pour les résidents des alentours.

 

Pour réaliser le nouveau bâtiment, la CGMPM a fait appel à une firme d’architecture québécoise, Archipel, ainsi qu’à un ébéniste local, Ébénisterie Architecturale René Daigle, pour concevoir l’intérieur de la succursale de la SAQ. Des matériaux locaux, naturels et réutilisés sont à l’honneur pour le design du magasin. Les meubles et étalages de la SAQ ont été fabriqués avec des palettes et des boîtes en bois, et le plafond est aussi entièrement en bois. La structure du bâtiment est composée d’épinette noire du Canada, certifiée FSC. La façade est entièrement vitrée afin de favoriser la lumière naturelle. "Le résultat à l’intérieur de la SAQ est différent des autres succursales. Il y a un côté très brut au concept. Des bouchons de liège sont disposés à certains endroits pour créer des motifs de design." La succursale écoresponsable proposera aussi une plus grande section consacrée aux produits locaux, ce qui cadre avec l’esprit et les valeurs du marché public.

 

L’aménagement extérieur aura également sa part d’innovation; le pavé uni, ainsi qu’une dalle à l’arrière du bâtiment contiennent de la poudre de verre recyclé -- un projet résultant des travaux de la SAQ et de l’Université Sherbrooke pour trouver des débouchés au verre.

 

"Si la revitalisation du site rend les lieux plus agréables pour la clientèle et les résidents, il s’agit d’une grande amélioration à l’interne qui nous permet d’être plus à jour au niveau de la gestion de nos matières résiduelles. Nous pourrons passer de 170 tonnes par an à 350 tonnes de déchets recyclés. C’est notre manière de contribuer à l’un des objectifs 2015-2020 du Plan de gestion des matières résiduelles du Grand Montréal, d’augmenter la valorisation des déchets dans les commerces et industries." La salle de gestion des matières résiduelles devrait être complètement opérationnelle d’ici la fin juin.

 

Le Marché Jean-Talon génère annuellement 1280 tonnes de déchet par année, dont la majeure partie est organiques ou recyclable. La prochaine étape pour le Marché Jean-Talon est donc de s’attaquer aux résidus organiques. L’ancienne salle de gestion des matières résiduelles pourra alors être employée pour composter, dès lors que les installations municipales nécessaires au compostage commercial (collecte des déchets et usine de traitement) seront disponibles.

 

Cet article est présenté par

 

sent via Tapatalk

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  • 2 années plus tard...
il y a 1 minute, vincethewipet a dit :

Le Starbuck controversé a fermé:

https://montreal.eater.com/2017/11/2/16598490/marche-jean-talon-market-starbucks-closure

Pas assez rentable en dehors de l'été selon la chaîne.

Ça fera de la place pour un indépendant.

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  • 7 mois plus tard...

Des commerçants menacent de quitter le marché Jean-Talon

Des marchands de longue date préviennent la Ville qu'ils quitteront le marché Jean-Talon si d'autres stationnements disparaissent. Ils dénoncent des décisions de la Ville de Montréal qui limitent de plus en plus l'accès aux clients automobilistes au profit des piétons.

Un texte de Thomas Gerbet

« Il y a 50 personnes ici qui vont perdre leur emploi, plus tous les producteurs qui travaillent pour nous », prévient Lino Birri, maraîcher et pépiniériste bien connu au marché Jean-Talon.

Il envisage de fermer son commerce l'année prochaine, car il est de moins en moins rentable. « Depuis plusieurs années, la Ville met des bâtons dans les roues des automobilistes, donc les clients se découragent. »

Le mois dernier, il a fait parvenir une lettre à la mairesse de Montréal Valérie Plante et au maire de l'arrondissement de Rosemont-La-Petite-Patrie, François Croteau.

  • le mois prochain s'amorcera le chantier d’une nouvelle place publique, la place Casgrain, sur un stationnement extérieur situé entre la SAQ et la boulangerie Première moisson. Le quart des stationnements vont disparaître, soit une dizaine;
  • les commerçants ont aussi appris en avril que la piétonnisation de l’avenue Shamrock entre Saint-Laurent et Casgrain deviendra permanente. Là aussi, des places de stationnement ont déjà disparu;
  • la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal ne ferme pas la porte à ce qu'un nouveau bâtiment soit construit sur ce qu'il reste du stationnement extérieur. Aucun projet n'est toutefois sur la table;
  • depuis l’an dernier, le marché est piétonnisé quatre jours par semaine et la période a été étirée de juin à octobre.

« On n'est déjà pas gâtés en stationnement et on veut l'amputer », dénonce Mario Boulanger, propriétaire du commerce Première Moisson.

De l'autre côté de la rue, un autre boulanger se plaint lui aussi. « Il y a des clients qui viennent moins souvent, parce que la fin de semaine, ils n'arrivent pas à se stationner, raconte Daniel Jobin, propriétaire de Joe La Croûte. Les voitures sont à la queue leu leu, ça se klaxonne, ça se gueule après. »

Le vendeur de fruits et légumes Eric L'Écuyer renchérit. « C'est sûr que c'est le fun pour les piétons, mais à un moment donné, il y a trop de place pour les piétons. Il faut penser aux autos aussi. »

Éric L'Écuyer craint que ses ventes baissent. Il rappelle aussi qu'il est de plus en plus difficile, pour lui comme pour ses confrères, de stationner leur camion de livraison.

Luigi Bono, du kiosque Chez Michel, a le sentiment d'être incompris par la Ville et par la Corporation de gestion des marchés publics. « L'expérience est extraordinaire pour un touriste, mais en tant que commerçant, les revenus sont plus difficiles. »

Luigi Bono craint que son commerce ne finisse par fermer. « On a peur, c'est de l'anxiété. »

« Ça a toujours été difficile de se stationner au marché Jean-Talon », rappelle la directrice des opérations de la Corporation, Josée Tétrault. Elle affirme toutefois que les 340 places du stationnement souterrain ne sont jamais prises à 100 % et que celui sous la SAQ est méconnu.

Josée Tétrault explique avoir freiné les ardeurs de l'arrondissement de Rosemont-La-Petite-Patrie, qui lui aurait demandé l'an dernier que le marché soit piéton sept jours sur sept. « On a réussi à s'entendre pour quatre jours », dit-elle.

« On est très fiers de la piétonnisation, dit François Limoges, le conseiller municipal du district, élu du parti Projet Montréal. Le marché où les gens arrivent en pick-up pour aller chercher des tomates dans des caisses, ce n'est plus ça. »

Il encourage les commerçants réfractaires à entrer dans « le 21e siècle ».

Le leader de la majorité du parti Projet Montréal assure qu'il y a toujours de la place pour les professionnels, le matin et en début de semaine, mais qu'« il y a maintenant des enjeux de sécurité qui nous tiennent à coeur ».

Le groupe les Ami(e)s du marché Jean-Talon soutient les changements apportés par la Ville. « Les habitudes de consommation ont changé. C'est devenu une expérience pas seulement commerciale », croit le porte-parole du groupe, Jérémie Levesque.

Jérémie Levesque reconnaît que les clients ont plus tendance à acheter en petites quantités que dans le passé. « C'est moins un marché de volume », constate-t-il. Mais compte tenu de l'important achalandage la fin de semaine, il « peine à croire que ces commerces ne sont pas rentables ».

Le conseiller municipal François Limoges ne croit pas non plus les commerçants qui affirment perdre des clients. « Ce n'est pas ce que démontrent les chiffres de fréquentation. L'affluence est toujours plus nombreuse, la clientèle a doublé, voire triplé dans les 10 dernières années. »

François Limoges se rend lui-même en voiture au marché. « J'ai toujours été capable de me stationner », affirme-t-il.

Il n'existe pas de données précises sur la proportion de clients du marché Jean-Talon qui viennent en voiture. Selon un sondage réalisé par les Amis du marché, ils seraient 20 %. La SDC calcule quant à elle que près du tiers des résidents de La Petite-Italie se déplacent en auto.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1105949/montreal-petite-italie-villeray-marche-jean-talon-marchands-stationnements

place-shamrock.jpg

Modifié par Normand Hamel
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il y a 40 minutes, Normand Hamel a dit :

Des commerçants menacent de quitter le marché Jean-Talon

Des marchands de longue date préviennent la Ville qu'ils quitteront le marché Jean-Talon si d'autres stationnements disparaissent. Ils dénoncent des décisions de la Ville de Montréal qui limitent de plus en plus l'accès aux clients automobilistes au profit des piétons.

Un texte de Thomas Gerbet

« Il y a 50 personnes ici qui vont perdre leur emploi, plus tous les producteurs qui travaillent pour nous », prévient Lino Birri, maraîcher et pépiniériste bien connu au marché Jean-Talon.

Il envisage de fermer son commerce l'année prochaine, car il est de moins en moins rentable. « Depuis plusieurs années, la Ville met des bâtons dans les roues des automobilistes, donc les clients se découragent. »

Le mois dernier, il a fait parvenir une lettre à la mairesse de Montréal Valérie Plante et au maire de l'arrondissement de Rosemont-La-Petite-Patrie, François Croteau.

  • le mois prochain s'amorcera le chantier d’une nouvelle place publique, la place Casgrain, sur un stationnement extérieur situé entre la SAQ et la boulangerie Première moisson. Le quart des stationnements vont disparaître, soit une dizaine;
  • les commerçants ont aussi appris en avril que la piétonnisation de l’avenue Shamrock entre Saint-Laurent et Casgrain deviendra permanente. Là aussi, des places de stationnement ont déjà disparu;
  • la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal ne ferme pas la porte à ce qu'un nouveau bâtiment soit construit sur ce qu'il reste du stationnement extérieur. Aucun projet n'est toutefois sur la table;
  • depuis l’an dernier, le marché est piétonnisé quatre jours par semaine et la période a été étirée de juin à octobre.

« On n'est déjà pas gâtés en stationnement et on veut l'amputer », dénonce Mario Boulanger, propriétaire du commerce Première Moisson.

De l'autre côté de la rue, un autre boulanger se plaint lui aussi. « Il y a des clients qui viennent moins souvent, parce que la fin de semaine, ils n'arrivent pas à se stationner, raconte Daniel Jobin, propriétaire de Joe La Croûte. Les voitures sont à la queue leu leu, ça se klaxonne, ça se gueule après. »

Le vendeur de fruits et légumes Eric L'Écuyer renchérit. « C'est sûr que c'est le fun pour les piétons, mais à un moment donné, il y a trop de place pour les piétons. Il faut penser aux autos aussi. »

Éric L'Écuyer craint que ses ventes baissent. Il rappelle aussi qu'il est de plus en plus difficile, pour lui comme pour ses confrères, de stationner leur camion de livraison.

Luigi Bono, du kiosque Chez Michel, a le sentiment d'être incompris par la Ville et par la Corporation de gestion des marchés publics. « L'expérience est extraordinaire pour un touriste, mais en tant que commerçant, les revenus sont plus difficiles. »

Luigi Bono craint que son commerce ne finisse par fermer. « On a peur, c'est de l'anxiété. »

« Ça a toujours été difficile de se stationner au marché Jean-Talon », rappelle la directrice des opérations de la Corporation, Josée Tétrault. Elle affirme toutefois que les 340 places du stationnement souterrain ne sont jamais prises à 100 % et que celui sous la SAQ est méconnu.

Josée Tétrault explique avoir freiné les ardeurs de l'arrondissement de Rosemont-La-Petite-Patrie, qui lui aurait demandé l'an dernier que le marché soit piéton sept jours sur sept. « On a réussi à s'entendre pour quatre jours », dit-elle.

« On est très fiers de la piétonnisation, dit François Limoges, le conseiller municipal du district, élu du parti Projet Montréal. Le marché où les gens arrivent en pick-up pour aller chercher des tomates dans des caisses, ce n'est plus ça. »

Il encourage les commerçants réfractaires à entrer dans « le 21e siècle ».

Le leader de la majorité du parti Projet Montréal assure qu'il y a toujours de la place pour les professionnels, le matin et en début de semaine, mais qu'« il y a maintenant des enjeux de sécurité qui nous tiennent à coeur ».

Le groupe les Ami(e)s du marché Jean-Talon soutient les changements apportés par la Ville. « Les habitudes de consommation ont changé. C'est devenu une expérience pas seulement commerciale », croit le porte-parole du groupe, Jérémie Levesque.

Jérémie Levesque reconnaît que les clients ont plus tendance à acheter en petites quantités que dans le passé. « C'est moins un marché de volume », constate-t-il. Mais compte tenu de l'important achalandage la fin de semaine, il « peine à croire que ces commerces ne sont pas rentables ».

Le conseiller municipal François Limoges ne croit pas non plus les commerçants qui affirment perdre des clients. « Ce n'est pas ce que démontrent les chiffres de fréquentation. L'affluence est toujours plus nombreuse, la clientèle a doublé, voire triplé dans les 10 dernières années. »

François Limoges se rend lui-même en voiture au marché. « J'ai toujours été capable de me stationner », affirme-t-il.

Il n'existe pas de données précises sur la proportion de clients du marché Jean-Talon qui viennent en voiture. Selon un sondage réalisé par les Amis du marché, ils seraient 20 %. La SDC calcule quant à elle que près du tiers des résidents de La Petite-Italie se déplacent en auto.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1105949/montreal-petite-italie-villeray-marche-jean-talon-marchands-stationnements

place-shamrock.jpg

Imaginez un marché avec moins de marchands mais plus de piétons ! Wow ! Can’t wait ?

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à l’instant, Normand Hamel a dit :

(+ piétons) - (- d'automobilistes) = même nombre de marchands. 

Mouais en théorie mais sur le terrain les commerçants qui sont les premiers concernés par ces mesures s’en plaignent. C’est comme Gaetan Barrette qui minimise les plaintes des travailleurs dans les CHSLD, meme affaire. Du forcing idéologique. C’est moi qui ai raison point à la ligne.

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