ville-marie Le George - 45 étages

[MontréalMartin]

il y a 37 minutes, Né entre les rapides a dit :

L'éternelle question, c'est: à quel stade du cycle sommes-nous présentement?

On va avoir une bonne idée demain soir.

[Né entre les rapides]

il y a 7 minutes, MontréalMartin a dit :

On va avoir une bonne idée demain soir.

En lançant la balle, j'étais presque certain qu'un coup de circuit suivrait.  C'est exactement ce que je voulais, pour le thrill.  

[acpnc]

Il y a 12 heures, Né entre les rapides a dit :

Dans un univers de «concurrence pure et parfaite», i.e. la théorie), le promoteur «individuel» ne se soucie pas de l'effet de l'introduction de son offre sur le prix du marché; il espère plus simplement «tirer son épingle du jeu», quitte à «nuire aux autres».  Il arrive cependant un point où les conditions du marché sont devenues telles que notre promoteur juge qu'il ne lui serait pas profitable  d'investir.  Un autre promoteur peut toutefois porter un jugement différent.  Vient toutefois un temps où virtuellement tous les promoteurs (et/ou leurs bailleurs de fonds) portent le même jugement défavorable, et choisissent de s'abstenir: c'est la stagnation.  Plus tard,  les conditions (économiques/démographiques) ayant évolué positivement,  quelques promoteurs reviennent d'abord timidement avec de nouvelles offres,  puis ça peut se transformer en boom, pour un temps.  Et le cycle recommence!

L'éternelle question, c'est: à quel stade du cycle sommes-nous présentement?

Une petite précision qui fait toute la différence, en effet. Cependant on peut dire que plus un projet est important, plus un promoteur sérieux prendra le temps qu'il faut pour bien analyser le marché et convaincre les prêteurs de le suivre dans sa démarche. Il y a bien sûr des cas exceptionnels comme les tours du Canadien notamment ou des projets en deuxième phases qui surfent sur la vague de la première, dont le YUL est un bon exemple.

Quant à savoir à quel stade du cycle on se trouve présentement? Vraiment difficile de répondre puisque la confiance semble être bien installée actuellement et rien dans la boule de cristal ne laisse présager un revirement de situation.

Un changement à la mairie de Montréal jetterait sûrement une douche froide sur le marché. Mais je demeure convaincu cependant qu'après quelques hésitations, tout reviendrait à la normale si on ne change pas les règles du jeu.

[Né entre les rapides]

Il y a 1 heure, acpnc a dit :

Une petite précision qui fait toute la différence, en effet. Cependant on peut dire que plus un projet est important, plus un promoteur sérieux prendra le temps qu'il faut pour bien analyser le marché et convaincre les prêteurs de le suivre dans sa démarche. Il y a bien sûr des cas exceptionnels comme les tours du Canadien notamment ou des projets en deuxième phases qui surfent sur la vague de la première, dont le YUL est un bon exemple.

Quant à savoir à quel stade du cycle on se trouve présentement? Vraiment difficile de répondre puisque la confiance semble être bien installée actuellement et rien dans la boule de cristal ne laisse présager un revirement de situation.

Un changement à la mairie de Montréal jetterait sûrement une douche froide sur le marché. Mais je demeure convaincu cependant qu'après quelques hésitations, tout reviendrait à la normale si on ne change pas les règles du jeu.

Ce sont tous d'excellents points  qu'il fallait souligner.  En rappel:  la grande saga, se déroulant sur une période de plus de 20 ans (d'avant 1970 jusqu'après 1990) qui s'est déroulée au travers des fluctuations économiques et politiques de l'époque, soit celle de la firme Olympia and York des frères Reichmann, de Toronto (First Canadian Place) à Londres (Canary Wharf) en passant par New York (nombreuses acquisitions et développement de Battery Park City).

Si notre attention se porte beaucoup ces jours-ci sur les élections à la mairie de Montréal, on pourra vouloir établir un certain parallèle avec l'élection de David Crombie à la Mairie de Toronto en 1972,  et notamment (bien cela n'était qu'un aspect parmi bien d'autres) l'impact sur le développement de la First Canadian Place.  Cependant, si on revient sur la saga des Reichmann, on voit bien qu'en fin de compte, ce sont les fluctuations dans le climat économique qui ont eu l'impact le plus marqué.

[UrbMtl]

On ne panique pas personne. 

Le rendu a été trouvé sur le site de Desjardins Expert Conseil. Leur site est assez à jour cependant.

[Mâtréal]

On dirait 160m et une 40e d’étages 

[UrbMtl]

il y a 1 minute, Mâtréal a dit :

On dirait 160m et une 40e d’étages 

160m et 40 étages, c'est pas mal impossible.

40 étages et 120m cependant... (comme il est prévu sur ce site).

[Mâtréal]

http://www.ctbuh.org/HighRiseInfo/TallestDatabase/Criteria/HeightCalculator/tabid/1007/language/en-GB/Default.aspx

 

office tower. C là que j’ai estimé mon calcul...

Modifié 22 janvier 2018 par Mâtréal

[UrbMtl]

à l’instant, Mâtréal a dit :

http://www.ctbuh.org/HighRiseInfo/TallestDatabase/Criteria/HeightCalculator/tabid/1007/language/en-GB/Default.aspx

 

office tower

On parle ici du projet 975 Lucien Lallier, une tour résidentielle de 128m et 40 étages.  

Que veux tu me faire comprendre? 

[Mâtréal]

C encore marqué 50 étages dans le titre, qui peu finir par suivre cette histoire abracadabrante? C’était 42, 40, 50, on le fait, on ne le fait plus. Hotel, bureaux condos. Je commence à avoir de la misère à suivre ce projet. Y a eu trop de changement.

C’est mon erreur, j’en perds le fil

Modifié 22 janvier 2018 par Mâtréal