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Né entre les rapides

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Tout ce qui a été posté par Né entre les rapides

  1. Ancienne gare d'autobus trop dangereuse: je pense que le problème était prévisible, mais qu'il valait mieux attendre(!) que ça devienne évident avant d'agir, pour éviter les hauts cris qui auraient surgi de la part d'opposants à tous crins si la décision avait été prise dès le début.
  2. Ça me donne l'idée de poser la devinette suivante à mes amis: c'est quoi la différence entre un canyon et une clôture à piquets? Un indice pour la réponse: allez voir du côté de MTLurb, on y trouve à l'occasion des comparaisons hallucinantes, assorties d'aspirations contradictoires; et malgré tout, il y règne la plus parfaite harmonie, à l'image de la ville que nous aimons tous à notre façon.
  3. Je ne pensais pas que «ce petit bâtiment ancien» était exempté de l'ensemble que tu décrivais dans ton message 257 du 24 février dernier. J'ai besoin qu'on m'explique la subtile différence.
  4. Pardon pour le doublon (message no240)
  5. Oui mais plusieurs d'entre eux pourraient se réclamer de leur ascendance d'Autochtones des Amériques. C'est beaucoup moins le cas cependant des Brésiliens, Argentins et Uruguayens, lesquels d'ailleurs tu n'inclus pas dans ton énumération. Pour revenir à la «carte»: ça montre les limitations inhérentes (en cartographie) à la réalité de quartiers fortement multi-ethniques, quand on cherche à attribuer à une ethnie/nationalité particulière une prédominance relative (seuil de 5%) dans un quartier donné. Le problème peut être en partie réglé en utilisant une carte à plus petite échelle (i.e. plus grande), qui permettrait (en laissant suffisamment d'espace visible) d'insérer, au centre de chaque territoire de quartier, un cercle découpé en pointes de tartre, où chaque pointe (de couleur distincte) représenterait la part relative (pourcentage) de chacune des ethnies/nations ayant une représentation significative; les «autres» seraient regroupées dans la pointe nommée «autres», dont la composition, évidemment, varierait d'un quartier à l'autre. Mes excuses, pour tant de mots qui auraient pu être remplacés avantageusement par un simple dessin multicolore... Artistes-dessinateurs, à l'oeuvre!
  6. Oui mais plusieurs d'entre eux pourraient se réclamer de leur ascendance d'Autochtones des Amériques. C'est beaucoup moins le cas cependant des Brésiliens, Argentins et Uruguayens, lesquels d'ailleurs tu n'inclus pas dans ton énumération. Pour revenir à la «carte»: ça montre les limitations inhérentes (en cartographie) à la réalité de quartiers fortement multi-ethniques, quand on cherche à attribuer à une ethnie/nationalité particulière une prédominance relative (seuil de 5%) dans un quartier donné. Le problème peut être en partie réglé en utilisant une carte à plus petite échelle (i.e. plus grande), qui permettrait (en laissant suffisamment d'espace visible) d'insérer, au centre de chaque territoire de quartier, un cercle découpé en pointes de tartre, où chaque pointe (de couleur distincte) représenterait la part relative (pourcentage) de chacune des ethnies/nations ayant une représentation significative; les «autres» seraient regroupées dans la pointe nommée «autres», dont la composition, évidemment, varierait d'un quartier à l'autre. Mes excuses, pour tant de mots qui auraient pu être remplacés avantageusement par un simple dessin multicolore... Artistes-dessinateurs, à l'oeuvre!
  7. Peut-être une contrainte du côté de la hauteur insuffisante des plafonds pour notre époque --ce qui me rappelle le Vieux Chemin du village de Cap-Santé (Portneuf), que le Globe and Mail (si je me souviens bien) avait décrit comme étant l'une des plus belles rues au Canada. Dans ce cas, la seule possibilité si on veut conserver ces «murs en belle pierre» serait de n'avoir qu'un seul niveau de plancher à l'intérieur, donnant alors des plafonds «très hauts», et permettant des aménagements intérieurs uniques.
  8. N'oubliez pas que cela concerne le pays de naissance des immigrés, et non pas leur origine (plus ou moins lointaine). Par exemple, des «Italo-Canadiens» nés au Canada de parents ou de grand-parents nés en Italie ne sont pas inclus dans leurs calculs et la carte qui en découle. Et l'exemple le plus probant, si besoin est: les Québécois francophones «pure laine» qui sont majoritairement des descendants (en totalité ou en partie) des Français venus dans cette partie de l'Amérique au XVII ième siècle et encore plus dans la première moitié du XVIII ième.
  9. Bande bleue: ça s'harmonise bien aussi avec le logo couleur rouge de la BNC. (Pas de place pour le vert de Desjardins?)
  10. Peut-être. Mais un jour viendra où on réalisera ce qui est déjà inscrit noir sur blanc, soit que la population de la partie de la RMR de Montréal constituée de Laval et du sud des régions admin des Laurentides et de Lanaudière dépasse déjà le million d'habitants, et que, selon les récentes enquêtes d'origines-destinations, la majeure partie des déplacements concerne déjà des mouvements INTRA (par opposition à destination de Montréal). Cette masse de 1,000,000+ d'habitants est supérieure à celle de la RMR de Québec (806,000) mais encore inférieure à Ottawa-Gatineau (1,332,000) --données pour l'année 2015, StatCan. Certes, on est loin d'y trouver un point central aussi imposant que le centre-ville de Montréal; néanmoins, la très grande quantité de déplacements INTRA se manifeste déjà éloquemment par de nombreux points de congestion routière qui n'ont pas ou peu de relations avec des destinations montréalaises. Pour ces dernières, les trois stations de métro à Laval et les trains de banlieue (lignes Saint-Jérôme et Deux-Montagnes) jouent déjà un rôle crucial. Ce qui manque pratiquement totalement, ce sont des modes de TEC à grande capacité reliant les destinations principales à l'intérieur de la «région». En lisant cela, vous devinerez que ce que j'ai en tête n'est pas le territoire de la Ville de Laval pris isolément, mais bien l'ensemble du territoire urbanisé de la région (LLL).
  11. Le «contenu» devrait être retourné aux citoyens lésés. Après ça, les décisons d'engager d'autres fonds publics dans des projets collectifs doivent être prises avec le consentement des citoyens. Les projets d'envergure tels que cette vision de monorail (ou toute autre version) peuvent avoir des effets redistributifs substantiels, entre ceux qui en bénéficient et ceux qui y contribuent. Au nombre des bénéficiaires, on trouvera certes les usagers de ce mode de transport; mais on trouvera aussi les propriétaires fonciers des terrains environnants les stations. Jusqu'à ce jour au Québec, on n'a guère lorgné de ce côté; le projet de REM de la CDPQ est peut-etre la première tentative sérieuse de «capter» une partie des avantages induits. Mais il faudra aussi considérer le cas des citoyens contribuables qui utiliseront peu ou pas le «monorail» --bien qu'on puisse faire valoir que ceux-ci en bénéficieront indirectement, grâce à des routes moins encombrées. En résumé, mon intervention visait à rappeller qu'il n'y a pas que les «enveloppes brunes» à surveiller.
  12. Très beau commentaire. Vous nous rappellez que la très majorité des utilisateurs potentiels ne sont pas des personnes lourdement handicapées (lesquelles bénéficient en principe d'un «transport adapté»), mais les catégories de personnes et/ou de leurs circonstances, par exemple voyageant avec de très jeunes enfants, que vous mentionnez. Aussi longtemps que toutes les stations de métro ne seront pas dotées des équipements requis, le réseau de métro reste incomplet pour ces personnes: on restreint les points de départ et d'arrivée. Monsieur Rocco a raison de déplorer d'autres lacunes du métro. Mais je ne vois pas pourquoi on devrait en faire porter le fardeau aux personnes «à mobilité réduite». On offre un service ou on ne l'offre pas. Si les ressources (financières) manquent, on peut procéder à une autre () collecte (Ottawa, Québec, municipalités, usagers) et/ou on peut implorer les administrateurs pour qu'ils fassent mieux avec les ressources qui leur sont confiées. Mais pas taper sur les plus faibles.
  13. Re: sous-utilisation de la hauteur permise par le zonage --par exemple: construction d'un édifice de 70m sur un terrain où la hauteur permise est 200m. Je présume que la valeur foncière imposable de ce terrain est fortement influencée (déterminée) par son zonage, et non pas tellement par la valeur du bâtiment qui y sera érigé. (Ce bâtiment sera évalué séparément, et imposé en conséquence; la taxe foncière totale sera la somme de la taxe rattachée au terrain, et de celle rattachée au bâtiment). Dans ce cas, la taxe foncière totale par unité de surface de «plancher» sera sensiblement plus élevée si la hauteur du bâtiment se situe en-deça de maximum autorisé, par rapport à celle s'appliquant à un cas comparable en tous points à l'exception de la hauteur. Si c'est le cas (i.e. tel que je conçois les choses), il existe un incitatif relativement puissant à construire jusqu'à la hauteur permise. Je dis «relativement», parce que ce n'est généralement pas suffisant pour justifier l'achat et la démolition d'un édifice existant de grande valeur; mais quand il s'agit d'un terrain vacant, d'un stationnement en surface ou d'un bâtiment sans grande valeur (autre que son terrain), la décision (de la hauteur du futur bâtiment) devrait être déterminée par d'autres considérations --comme l'évaluation des conditions du marché. Ce qui explique aussi pourquoi on choisit parfois de maintenir le statu quo (terrain vacant ou bâtiment médiocre et/ou non rentable) --en attendant des conditions meileures (ce qui s'appelle aussi de la spéculation foncière). Au minimum, je serais satisfait si les taxes foncières s'appliquaient à la pleine valeur actuelle du terrain.
  14. En poursuivant sur ce thème général de la beauté et de la laideur, j'ajouterais ces quelques notes: 1) Ce n'est pas tout ce qui est (objectivement ou subjectivement) laid aujourd'hui qui le fut à l'origine: - par exemple, une rue aujourd'hui trouée de stationnements épars et de murs aveugles peut avoir été fort jolie quand elle était constituée de deux rangées de maisons, qu'elles fussent richement ornées ou modestes, et bordée d'arbres; - des bâtiments dont les façades d'origine en pierre ou en brique ont été couvertes de matériaux criards comme la tôle; - des rues autrefois paisibles furent élargies pour favoriser la circulation automobile; par la suite, les maisons étant devenues moins désirables, furent négligées/laissées à l'abandon par leurs propriétaires; - des fermetures d'usines ont provoqué une détérioration des conditions socio-économiques des quartiers directement touchés, entraînant l'exode des uns et la pauvreté des autres, se répercutant alors sur la qualité de la trame commerciale; 2) Ce ne sont pas que les bâtiments qui peuvent être «laids»; leur environnement aussi. 3) La démolition pure et simple d'une quantité innombrable de bâtiments jugés «laids» ne saurait être envisagée sans prendre en considération leur valeur utilitaire, dont on ne pourrait se passer sans procéder d'abord au remplacement, le cas le plus évident étant celui des logements: il vaut mieux habiter un logement laid que d'être sans abri au milieu d'une prairie verte; même chose pour un logement laid à loyer abordable de préférence à logement tellement cher qu'on n'a plus les moyens de se nourrir. 4) En attendant l'arrivée du règne universel de la «beauté», on peut procéder, de façon plus réaliste et sur une échelle beaucoup plus étendue, à l'embellissement: - pour les propriétés privées: mesures incitatives, sous forme de crédits de taxe ou de contributions; peut concerner les bâtiments et les terrains (vagues); -pour le domaine public: fort accent sur la plantation d'arbres, sans l'accompagner systématiquement de dépenses d'infrastructures coûteuses. -accepter que plusieurs des mesures d'embellissement soient à portée temporaire plutôt que permanente.
  15. Vraiment? La Suisse (8 millions d'habitants) compte beaucoup plus d'institutions internationales d'envergure que l'Inde (1,3 milliard). Et Londres (Royaume-Uni) est un centre financier largement plus important que Francfort (Allemagne), malgré la population et l'économie plus considérables de ce pays. Si, par je ne sais quel coup de baguette magique, Montréal entassait 4 millions d'habitants de plus (pour un total de 8), rien n'assurerait qu'elle serait plus prospère. Elle serait plus «grosse», avec un produit intérieur brut (PIB) vraisemblablement accru, mais probablement avec un pib par habitant inférieur, à moins de réaliser l'exploit de doubler instantanément son rayonnement, ce qui n'est pas évident. Il faut du temps pour digérer la croissance démographique, sinon c'est l'indigestion. Ceci n'est pas un playdoyer contre l'immigration. C'est savoir faire la différence entre optimum et maximum.
  16. Que ce soit avant ou après cette annonce, c'est la même chose, avec cette «programmation sur deux ans» qui est révisée annuellement, je ne trouve jamais le moyen de connaître les sommes qui sont effectivement consacrées pour une année donnée. Voyons, avec cette «approche»: Première annonce : x$ pour l'ensemble des années 1 et 2; Deuxième annonce: y$ pour l'ensemble des années 2 et 3; Troisième annonce: z$ pour l'ensemble des années 3 et 4. Au départ, si on connait le montant x$, on ne sait pas combien va à l'année 1; quand on arrive à l'année 2, on pourrait cependant raisonablement présumer que le montant pour ladite année serait la différence entre le montant x$ original et la partie qui fut dépensée pour l'année 1. Mais si c'était le cas, on n'aurait pas besoin de la deuxième annonce (présumément pour les années 2 et 3); mais ce n'est pas le cas. Les nombres sont en mouvance constante. Par ailleurs, l'affirmation selon laquelle une annonce «budgétaire» plus hâtive en saison «rallonge la période au cours de laquelle des travaux peuvent être réalisée» reste silencieuse sur un aspect crucial, soit le moment où les contrats sont attribués, car il y a parfois loin de la coupe aux lèvres, entre une annonce «budgétaire» et l'attribution des contrats, soit les étapes suivantes: crédits budgétaires, appels d'offres, soumissions, révisions et approbations/attributions. Quand on regarde les années précédentes, on ne manque pas d'observer que bien des contrats sont attribués tard en saison, bien après l'énoncé budgétaire. Le fait qu'il y ait des écarts temporels considérables entre l'attribution de certains contrats et de d'autres ne peut s'expliquer en aucune façon par une quelconque date de budget, puisque celle-ci est d'application universelle (elle concerne l'ensemble du Québec).
  17. Techniquement, non. Aux élections de 2015, le PLC a obtenu près de 50% des votes dans la région de Toronto, et 40% dans la région de Montréal. Il serait donc plus exact de dire que les libéraux ont plus de gains à préserver à Toronto qu'à Montréal. Ceci dit, je ne pense pas que le choix du site du siège social de la BIC constitue un grand enjeu électoral.
  18. Suggestion de projet: établir un régistre de tous ceux qui crient au loup. Usage du régistre: à consulter avant de s'inquiéter ou de s'emballer inutilement.
  19. Parfois il est question de «trou», d'autres fois de «percée», de «canyon», d'«îlot de verdure», d'«icône». Puis on pense au «skyline», ou à l'«expérience sur rue», etc. Le plus merveilleux, c'est qu'une même personne puisse avoir des perceptions différentes selon l'endroit (la position) où elle se trouve. C'est comme ça qu'on découvre et qu'on redécouvre la même ville à chaque fois qu'on l'aborde d'un autre angle. De loin, de près, du nord, du sud, de l'est, de l'ouest, de jour, de soir, en hiver, en été, au printemps, à l'automne. On se prive de beaucoup si on se limite à une seule vue à un seul moment.
  20. Remarquable que cet à-côté torontois attire autant de commentaires. C'est de bonne guerre, mais c'est quand même une distraction. On ne peut pas bâtir un argument en s'appuyant uniquement sur des «il y a pire ailleurs». De la même façon qu'on ne doit pas s'autoflageller en citant des exemples de performance (apparemment) supérieure en omettant (sciemment ou naïvement) de mentionner des facteurs exogènes qui font (presque) toute la différence --par exemples le temps de construction d'un échangeur autoroutier en plein champ (rase campagne), comparativement à une reconstruction exigeant le maintien de la circulation en même temps, ou encore des taux de rémunération deux, cinq ou dix fois moins élevés.
  21. Je ne sais pas s'il existe une politique claire à ce sujet; cependant, je constate d'apparentes différences de traitement selon les cas, notamment: 1) nouveau viaduc par-dessus l'A-20 à l'ouest de l'A-73, ayant pour but de faciliter l'accès à l'A-20 pour un secteur résidentiel en expansion; 2) boulevard du Faubourg (Boisbriand)/boulevard Desjardins (Sainte-Thérèse) franchissant l'A-15 au nord de l'A-640 et passant sous des bretelles reliant l'A-15 et l'A-640; 3) remplacement de viaducs existants sur ou sous l'A-15 à Laval (Dagenais, Saint-Elzéar, Saint-Martin et du Souvenir); 4) nouveaux viaducs de l'A-15 par-dessus le nouveau tronçon reliant les boulevrds de la Concorde et Notre-Dame à Laval; 5) à l'occasion de la construction de l'A-13 à Laval: fermeture définitive (coupures) du chemin du Bord-de-l'eau (Sainte-Dorothée) vers le boulevard Lévesque (Chomedey), même chose pour rue Principale (Sainte-Dorothée) vers boulevard Saint-Martin (Chomedey), mais construction des nouveaux viaducs Samson, Notre-Dame, Saint-Martin, Cléroux, Dagenais et Sainte-Rose; idem pour le chemin de la Grande-Côte sur la Rive-Nord. La meilleure comparaison avec le cas du viaduc projeté par Brossard par-dessus l'A10 est probablement celle du boulevard le Carrefour franchissant l'A-15 au sud de l'A-440; une autre comparaison plus récente serait Boisbriand/Sainte-Thérèse, la différence étant que celui-ci était dans le contexte du réaménagement complet de l'échangeur A-15/A-640; dans ce dernier cas, je sais que la ville de Boisbriand a contribué aux coûts. On peut probablement distinguer quelques catégories de cas: a) un chemin existait avant la construction de l'autoroute; b) pas de chemin pré-existant; c) remplacement d'un viaduc existant; d) construction simultanée d'une autoroute et d'un chemin franchissant cette dernière (chemin devant être raccordé ou pas par des bretelles à l'autoroute). J'ajouterais qu'en pratique, le MTMDET (et ses prédécesseurs...) semble aussi tenir compte de la capacité fiscale de la municipalité concernée à assumer une part (ou la totalité) des coûts afférents à la construction d'un viaduc franchissant une autoroute existante. Je ne sais toutefois pas si cela est (serait?) fondé sur une politique explicite. A la ville de Brossard d'entreprendre des recherches! Mais il eut probablement mieux valu d'agir en ce sens AVANT de soumettre un règlement d'emprunt...
  22. Financement public (en partie): bien sûr! Mais il n'y a pas de scandale dans ça. Tous les investissements publics comportent des coûts, ce qui ne les disqualifie pas pour autant. Au contraire, c'est une composante-clef de toute société organisée, depuis toujours. Sinon c'est la jungle. Pour juger de la validité d'un projet, il faut aussi mettre de l'avant les avantages, pas seulement les coûts. En ce sens, le communiqué de la Fédération canadienne des contribuables est d'une médiocrité navrante: on s'attend à mieux.
  23. «Car il devra respecter le Plan québécois des infrastructures» Comme si un plan était inaliénable! C'est une attitude de basse soumission au tout-puissant en minuscule. Pauvres futurs gouvernements jusqu'en 2026, ils seront impuissants, les décisions pour cette période sont déjà prises (?) Même à l'époque des plans quiquennaux en URSS, on était plus flexible que ça, devant des événements imprévus.
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