MontréalMartin

Oui c'est intéressant en effet. C'est une structure d'acier, j'imagine qu'ils ont calculé que ça irait. Mais quand même, c'est qu'il va presque tripler de hauteur. Je me demande si un jour ils vont remplacer les murs de briques brunes par du verre sur l'ancien hôtel Ford. Au moins la façade arrière.

À l'exemple des plages de Zandvoort.

Suivez l'étoile !

Alors celle-ci est presque direct au nord, puisqu'elle pointe vers l'est montréalais. et il n'y a aucun obstacle devant pour lui couper le vent (église St-George, puis square Dominion, puis basilique.)

Avec le magnifique hall juste avant la salle à dîner.

Oui j'avais remarqué la même chose quand j'ai fait le montage, c'est pour cette raison que je précisais 'Si le dessin original a pas trop changé. On verra bien vite au croquis. Y'a de l'intrigue dans l'air.

J'ai aussi mis cet article sur le fil de la Promenade Fleuve-Montagne, puisque ce tronçon en fait partie. D'autant plus qu'on sait bien que ça n'ira pas plus loin que ces croquis amateurs.

On pourrait aussi lui redonner son nom original de Théâtre Français !

Si je me rappelle les détails, le Cléopâtre devait selon les règlements pouvoir conserver une sortie donnant sur la rue Clark. Alors le Carré St-Laurent lui a construit la passerelle qui servira à cette fin.

Rapidement fait, et si le dessin original n'a pas trop changé, ça pourrait ressembler à ça.

Le fil du Babylone est toujours dans la catégorie des projets en suspend.

Entendre ''je n'aime pas ceci'' ou ''je n'aime pas cela'' de façon répétitive c'est très lassant. Même si ces commentaires là n'existaient pas, se serait intéressant ici. Mon point de vue je le partage régulièrement ici, mais mes goûts j'ai tendance à les garder pour moi. À moins qu'on me les demande spécifiquement. Mon avis sur ce forum (MtlUrb), c'est que c'est maintenant une des plus riches références en matière de développement urbain à Montréal. Je déplore seulement le manque cruel d'une classification organisée de tous les ''fils'' qui ont été créés. C'est tellement difficile de se retrouver dans les archives de MtlUrb.

C'est quand même rare qu'on conserve autant la structure d'un édifice ancien. En valait-il la peine, je ne sais pas. Disons que je n'ai pas de WOW en regardant la façade du bâtiment historique. Pour ce qui est du revêtement qui des étages du bas, je ne crois pas de toute façon qu'il s'agissait de la façade originale, ça ressemble à de la rénovation de la fin des années 1950. Pour le traitement actuel du bâtiment on verra quand tout sera terminé. Je trouve le tout plutôt éclectique, à l'image de la ville. Mais les goûts sont propres à chacun. Je m'ennuie parfois ici à lire les commentaires de ceux qui tiennent absolument à partager avec nous de façon répétitive tout ce qu'ils n'aiment pas dans les projets ou réalisations, que ce soit la couleur, l'agencement, tout y passe. C'est long...

C'est cette façade qui te manque à ce point ?

Vraiment pas de doute, un nouveau membre. Bienvenue Newyorkontario !

C'est qu'il n'y a pas seulement la hauteur qui augmente, les prix aussi.

Malgré toutes ces années et les multiples prolongements par étape des lignes du métro, (à part les stations de Laval) on est encore en deça de ce qui fut proposé en 1970 par le Bureau des Transports, il y a presque 50 ans.

Le complexe Desjardins c'est du trrrrrrrrrrès beau granite aggloméré d'Hochelaga. Ça se voit tout de suite !

Un immense merci slanctot pour cette soixantaine de photos de ce lieu. Très bonnes photos vivantes. Là, ben pour que j'en voit plus il ne me reste plus qu'à me rendre sur place. J'ai très hâte !

Je pense que oui. Comme Cohen, intense mais apaisant à la fois.

Je me le suis déjà demandé. au début du pieutage; une fois le creusage terminé; au moment où la construction atteint le niveau du sol ?

2012 Du lot 1 851 398, il y en a environ la moitié qui a été utilisée pour le basilaire des tours Roccabella.

Tiens ! La ville devrait éliminer les limites de hauteur, pour les constructions à l'est du pont Jacques-Cartier.

Roccabella phase 3 Accurso vend devant le Centre Bell Hugo Joncas . les affaires.com . 13-04-2012 (modifié le 13-04-2012 à 17:37) Les plans se précisent pour le développement de l’îlot situé devant le Centre Bell, entre la rue des Canadiens-de-Montréal et le boulevard René-Lévesque Ouest, au centre-ville de Montréal. L’homme d’affaires Tony Accurso vient de vendre la parcelle qu’il y détenait au propriétaire de la partie nord du lot, Giorgio Tartaglino. Le citoyen de Monaco termine ainsi l’assemblage de son terrain pour construire une éventuelle phase 3 à son projet de copropriétés Roccabella, annoncé le 3 avril. À 10,2 millions de dollars, la transaction revient à 567 $ le pied carré. Un prix plus élevé que celui de toutes les transactions conclues dernièrement dans le quartier, reconnaît Serge Labelle, vice-président aux finances de la société de Giorgio Tartaglino, MC Finance. « Mais on pense que ça représente les taux qui vont être payés dans les prochaines années au centre-ville de Montréal, dit-il. Les terrains vont se faire de plus en plus rares ces prochaines années si tous les projets annoncés se font. » Chez Altus, l’évaluateur Mathieu Colette que le prix reflète la nature de la transaction : un assemblage. « Si l’acheteur a payé son terrain au nord beaucoup moins cher parce qu’il l’a acheté depuis plusieurs années, qu’il y exploite un stationnement depuis longtemps, l’ensemble du terrain reconstituté lui revient moins cher », explique-t-il. Ce lot était au centre de toutes les convoitises. En janvier, le fonds torontois Cattera et le constructeur montréalais Broccolini ont acquis les lots du côté sud de l’îlot, directement en face du Centre Bell. Selon nos informations, il est ensuite entré en discussions avec Tony Accurso pour acheter son lot de 18 000 pieds carrés, rue de la Montagne, que Giorgio Tartaglino vient d’acheter. L’homme d’affaires Luc Poirier a aussi tenté de mettre la main sur le terrain. « Nous, on offrait huit millions », dit le promoteur, joint par LesAffaires.com. Fin décembre, ses partenaires et lui ont même fait une avance à Tony Accurso, pour lui démontrer le sérieux de leur proposition. « Il doutait de notre capacité de payer », explique Luc Poirier.