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  1. https://www.tvanouvelles.ca/2019/01/04/en-route-vers-une-prochaine-station Quelques erreurs dans le texte mais ça résume bien les projets STM en 2019.
  2. Discussion générale sur le Vieux-Montréal et ses infrastructures
  3. rtm.quebec Rôle Le Réseau de transport métropolitain (RTM) est responsable d’exploiter, sur l’ensemble de son territoire, les services de transport collectif réguliers par autobus et trains de banlieue, incluant le transport adapté pour les personnes handicapées et à mobilité réduite. Principaux mandats Exploiter le réseau de trains de banlieue Exploiter le réseau de transport métropolitain par autobus (couronnes nord et sud) Exploiter les services de transport adapté Établir un plan de desserte des services de transport collectifs pour l’ensemble de son territoire Construire et entretenir les infrastructures et les équipements sous sa responsabilité Conseiller l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) pour l’édiction de normes de comportement des personnes dans les véhicules et les gares ainsi que sur les quais et les stationnements qu’il exploite Collaborer, sur demande de l’ARTM, à la planification, au développement, au soutien et à la promotion du transport collectif Territoire Le territoire du RTM est constitué de ceux de la Communauté métropolitaine de Montréal (82 municipalités), de la réserve indienne de Kahnawake et de la Ville de Saint-Jérôme. Ce territoire est partagé avec l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM).
  4. Des transports collectifs en mouvement… La grande réforme dans l’organisation des transports collectifs de la région métropolitaine de Montréal s’est concrétisée le 1er juin 2017, alors que deux nouvelles entités ont pris la relève de l’Agence métropolitaine de transport (AMT) et des autorités organisatrices de transport (AOT) des couronnes nord et sud : L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) est responsable de la planification, de l’organisation et du financement des services de transports collectifs pour la grande région métropolitaine de Montréal. Elle favorise l’intégration des services entre les différents modes de transport. Le Réseau de transport métropolitain (connu sous exo) est responsable sous mandat de l’ARTM, d’exploiter sur son territoire les services de transport collectif réguliers par autobus (couronnes nord et sud) et par trains de banlieue, incluant le transport adapté pour les personnes handicapées). Le Réseau de transport de Longueuil (RTL), la Société de transport de Laval (STL) et la Société de transport de Montréal (STM), continuent de fournir leurs services respectifs, sous le mandat de l’ARTM.
  5. /R E P R I S E -- Invitation aux médias - Denis coderre à la Chambre de commerce du Montréal métropolitain/
  6. VIA Rail CEO Argues Against High-Speed Rail, Wants Dedicated Montreal-Toronto Passenger Track http://www.huffingtonpost.ca/2015/11/04/high-speed-rail-canada-via-rail-yves-desjardins-siciliano_n_8473342.html?ncid=fcbklnkcahpmg00000001 sent via Tapatalk
  7. Discussion sur la Gare du Canal de l'AMT.
  8. OPINIONS CHRONIQUE Sylvain Ménard 19/05/2015 Mise à jour : 19 mai 2015 | 1:14 Ajuster la taille du texte Échapper le Plateau Par Sylvain Ménard Métro http://journalmetro.com/opinions/sylvain-menard/779308/echapper-le-plateau/ J’ai vu deux Plateau en fin de semaine. Celui de dimanche, baigné de soleil, où les promeneurs sortaient littéralement par toutes les craques du trottoir. L’autre, celui de samedi, tout sombre et triste au centimètre cube. Sur Laurier, le temps était long, et le vide déprimant. Vous connaissez l’histoire : la mise en place du système de vignettes pour le stationnement des résidants est un coup dur à encaisser pour les marchands du coin. Un autre… Déjà qu’on avait l’impression de jouer aux serpents et échelles pour se rendre dans le quartier en bagnole, désormais, il est virtuellement impossible de se garer le temps de faire ses emplettes. Pour plusieurs commerçants, la taloche sera fatale. J’en ai visité plusieurs. Des «de longue date» qui sont inquiets. Des nouveaux qui ont misé leur chemise pour se lancer en affaires et qui sont sur le point de se retrouver tout nus dans le chemin. Ils avaient choisi l’avenue Laurier parce qu’il y avait là, depuis toujours, une sympathique cohabitation entre le commerçant et le résidant. Ça, c’était avant. Aujourd’hui, il y a ce fameux – pour ne pas dire furieux – maire d’arrondissement qui est en train de tout foutre en l’air avec son désir obsessif et maladif de chasser tout ce qui roule hors des limites du territoire dont il se croit l’unique dépositaire. Un idéaliste qui, au nom des résidants du coin, est en train de tuer toute activité commerciale là où, depuis toujours, des travailleurs gagnent leur vie. En voulant artificiellement monter les uns contre les autres (on dit diviser pour mieux régner), cet homme est en train de causer un tort irréparable au Plateau. Quand j’entends son estafette de service Marie Plourde – eille, Marie Plourde, on rit pu… – déclarer que l’opération vignette répond à un besoin parce que 600 stickers ont été vendus en un mois, tout en omettant de dire que les résidants du coin n’ont pas le choix de s’en procurer une s’ils ne veulent pas se faire coller des contraventions au quotidien, il y a de quoi se poser des questions sur l’honnêteté intellectuelle et sur l’honnêteté tout court de ces ayatollahs de l’urbanisme. On attend après quoi pour les empêcher de continuer le massacre? Dans 30 secondes, il sera minuit.
  9. Bonjour, Voyant que plusieurs d'entre vous souhaitent que la limite de hauteur dans l'arrondissement Ville-Marie soit modifié à la hausse (ou peut-être même supprimée), pourquoi ne pas mettre sur pied une pétition pour organiser une consultation publique sur le sujet? Je ne suis pas citoyen de Montréal, donc je ne peux pas entreprendre les démarches, mais j'ose croire que certains membres viennent de Montréal? Je crois que si vous mettez au point des arguments solide, par exemple en évoquant la saturation à venir des terrains vaquants, et donc une limitation de la croissance économique dans un avenir plus ou moins rapproché, vous aurez des chances d'attirer des personnes indécises dans votre camp. Forumlaire de pétition, juste en référence... http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/droit_initiative_fr/media/documents/etape_1_projet_petition_ville.pdf
  10. Discussion portant sur le projet du SLR dans le West Island de Montréal.
  11. http://www.metrodemontreal.com/forum/viewtopic.php?t=11970&start=0&postdays=0&postorder=asc&highlight=&sid=10dea0201b46489d072563afd5c50efb metrodemontreal.com Un lieu de discussion du transport en commun de Montréal et d'ailleurs Belle collection de veilles photographes Quelques exemples:
  12. L'émission de Radio-Canada Première "L'autre midi à la table d'à côté" place face-à-face deux personnalités qui aurait un sujet commun, pas toujours d'accord mais qui souvent, offre une discussion plus qu'intéressante. Dans l'épisode d'aujourd'hui, nous avions l'honneur d'écouter une belle discussion sur la façon de gérer une ville tel que Montréal entre l'homme d'affaire Alexandre Taillefer (nouvelle technologie et mécène culturel) et l'ex-Maire de Québec Jean-Paul l'Allier (et ministre sous Bourassa). Les points approchés sont la gestion de la ville, la place de l'architecture et de l'urbanisme, les transports en communauté et l'importance de la beauté d'une ville. Une vraie preuve qu'une ville comme Montréal est totalement gérable si la personne qui a le mandat de le faire, à le goût de le faire. L'écoute de l'émission d'une cinquantaine de minutes en vaut la peine si vous aimé Montréal. Je commence à avoir hâte aux élections de 2017 pour voter pour Alexandre Taillefer. Lien: http://rc.ca/15eKFBr La citation dont je vais me rappeler Pour voir le ciel bleu en arrière, des fois, il faut pelleter des nuages.
  13. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7377,94551572&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=78&sc=5 Coordonnées Bistro culturel Espace La Fontaine 3933, avenue du Parc-La Fontaine, Montréal 514 280-2525 Stationnement: Sur les rues avoisinantes. Horaire: Les grands parcs sont ouverts au public de 6 h le matin à minuit et de 7 h jusqu'au coucher du soleil dans les parcs-nature. À l'exception des parcs René-Lévesque et des Rapides qui ferment à 23 h. En dehors de ces heures, il est interdit de se trouver dans un grand parc, y compris dans un stationnement. Toutefois, des permissions spéciales peuvent être accordées lors de la tenue d'événements. Pour s'y rendre En voiture Arriver par la rue Sherbrooke Est, l'avenue Papineau, la rue Rachel ou l'avenue du Parc La Fontaine. En transport en commun Station Mont-Royal - ligne orange Station Sherbrooke - ligne orange Autobus 24 À vélo : Piste cyclable Piste verte au coeur du parc La Fontaine, pistes cyclables sur la rue Rachel et sur la rue Cherrier Superficie 34 hectares Carte de la Parc Lafontaine: http://montreal2.qc.ca/rep_parcs/media/documents/application/pdf_doc_carte_ete_lafontaine_id21.pdf http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=2497,3090586&_dad=portal&_schema=PORTAL Le parc Lafontaine Étang et fontaine du Parc Lafontaine, date inconnue. Centre d'histoire de Montréal. Depuis sa création, le parc Lafontaine est l'un des parcs montréalais les plus populaires. Inauguré en 1874, en pleine époque victorienne, il s'inscrit dans la phase d'aménagement des grands parcs naturels de la ville, comme le parc du Mont-Royal et l'Ile Sainte-Hélène. Ilot de verdure et de loisirs, ce parc est fortement ancré dans l'âme des habitants du plateau Mont-Royal et est devenu un lieu de rassemblement familial et populaire. Le parc Lafontaine est situé sur les terrains de l'ancienne ferme Logan. Cette terre, cédée en 1845 au Gouvernement du Canada, sert alors de site militaire. Les soldats de la garnison britannique y logent et s'y entraînent en pleine nature. À partir de 1874, la ville loue une partie de la ferme Logan pour créer un parc. Les premiers grands travaux d'embellissement et d'aménagement sont entrepris au nouveau parc en 1888. Deux ans plus tard on y déménage les serres du Carré Viger. C'est là que sont produites, jusqu'en 1952, toutes les fleurs qui orneront la ville. En 1900, deux bassins sont creusés au centre du parc. On y rajoute aussi une fontaine illuminée (1929) qui fera l'admiration de tous. Bien que dans les faits, le parc Lafontaine ne soit plus utilisé à des fins militaires depuis 1874, le gouvernement fédéral a conservé jusqu'en 1991 un droit d'utilisation militaire dans la partie est du parc. Étang et chalet du parc Lafontaine, 1925. Collection privée. Occupant une place de plus en plus importante dans le coeur de la population canadienne-française, le parc Logan est rebaptisé La Fontaine en hommage au premier ministre francophone du Canada-Uni. Le « baptême » se fera lors de la parade de la Saint-Jean-Baptiste de 1901. Cette appropriation du parc par les résidents de l'est montréalais va se refléter dans son utilisation comme lieu de rassemblement lors des fêtes populaires et par l'érection de différents monuments: Dollard-des-Ormeaux, Sir-Louis-Hippolyte-Lafontaine, et plus récemment Félix-Leclerc et Charles-de-Gaulle. L'écrivain Michel Tremblay évoque fréquemment cette appartenance du parc à la culture canadienne-française de Montréal dans ses chroniques du Plateau Mont-Royal : « Le parc était immense...mais pour « jouer », selon les critères de Marcel, il fallait entrer dans l'aire de verdure qui longeait la rue Calixa-Lavallée... là où se trouvaient tous les jeux, cette partie du parc Lafontaine qu'on appelait aussi « le parc ». Extrait de La grosse femme d'à côté est enceinte, Éditions Leméac, 1986.
  14. Parc du Mont-Royal: Informations, discussion générale et actualités http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7377,94551572&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=81 http://www.lemontroyal.qc.ca/carte/fr/index.sn
  15. UN très bon article trouvé sur cyberpresse.ca Une bonne nouvelle et une mauvaise sur la dette http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/francis-vailles/201303/12/01-4630039-une-bonne-nouvelle-et-une-mauvaise-sur-la-dette.php Francis Vailles La Presse J'ai une bonne nouvelle et une mauvaise à vous annoncer à propos de la dette du Québec. Laquelle voulez-vous lire en premier? Commençons par la bonne. Plusieurs observateurs s'inquiètent de l'impact d'une hausse éventuelle des taux d'intérêt sur le budget du Québec. En effet, avec la dette monstrueuse du gouvernement, toute hausse de taux aura un impact sur les intérêts annuels à rembourser. Certains craignent que cette hausse ne compromette le déficit zéro et n'oblige le gouvernement à faire de nouvelles coupes. Mercredi dernier, l'Institut économique de Montréal (IEDM) faisait justement une analyse dramatique de la situation (http://www.iedm.org/fr/node/43045). Si les taux d'intérêt bondissent de deux points de pourcentage, ce qui est probable, les intérêts sur la dette augmenteront de 1,3 milliard par année, estime l'IEDM. C'est l'équivalent du budget combiné du ministère de l'Environnement, de la Culture et des Relations internationales. Ouch! L'organisme omet toutefois un détail très important: le ministère des Finances du Québec a prévu cette hausse de taux d'intérêt dans son calcul du déficit zéro. Dans son budget de novembre dernier, le Ministère estime que le taux d'intérêt des obligations fédérales à 10 ans passera de 1,9% en 2012 à 3,2% en 2014, un bond de 1,3 point de pourcentage. Ce taux passera à 4,4% en 2017, selon le ministère des Finances. Autrement dit, le Ministère a prévu atteindre le déficit zéro durant ces années malgré une hausse progressive de 2,5 points des taux d'ici cinq ans. Au cours de l'année 2012-2013, qui se termine le 31 mars, le gouvernement aura payé 10,1 milliards d'intérêts sur sa dette. Ce service de la dette, comme on l'appelle, passera à 12,9 milliards dans cinq ans, soit une hausse de 2,8 milliards (plan budgétaire, p. A.22). De cette somme, la part attribuable à la hausse prévue des taux d'intérêt sur la dette actuelle est de 1,2 milliard. Bref, la facture d'intérêts augmente, ce qui n'est pas plaisant, mais le gouvernement l'a intégré dans ses équilibres financiers. Si les taux montent moins que prévu, il se dégagera une marge de manoeuvre. Voilà pour la bonne nouvelle. La mauvaise maintenant. Le samedi 2 mars, Jacques Parizeau reprochait au gouvernement Marois de s'enfermer dans la logique paralysante du déficit zéro. Il affirmait que le gouvernement du Québec est le seul au Canada à utiliser la dette brute pour présenter son endettement, c'est-à-dire sans tenir compte de ses actifs. Il laissait entendre qu'en soustrayant ses actifs (routes, ponts, valeurs des sociétés d'État), le Québec ne se porte pas si mal. L'affirmation de M. Parizeau est inexacte. Depuis 2010, en vertu de la Loi sur la dette publique, le gouvernement du Québec est tenu de présenter non seulement la dette brute, comme le dit M. Parizeau, mais aussi la dette qui représente les déficits cumulés, souvent appelée la «mauvaise dette». Cette dette équivaut essentiellement à la dette brute moins les actifs financiers et non financiers. Au 31 mars 2012, la dette brute s'élevait à 183,4 milliards, l'équivalent de 54,6% de notre produit intérieur brut annuel (PIB). Il s'agit du niveau d'endettement le plus important des provinces canadiennes, et de loin (plan budgétaire, p. D.19). Le plus proche du Québec est l'Ontario (42,6%), suivi de la Nouvelle-Écosse (38%). La loi exige de réduire la dette brute du Québec à 45% du PIB ou moins en 2026. Concernant la «mauvaise dette», celle des déficits cumulés, elle s'élevait à 114,1 milliards au 31 mars 2012 au Québec, soit 34% du PIB. Le Québec est encore premier à ce chapitre. L'Ontario nous rattrape, avec ses gros déficits, mais demeure à 24,8% de son PIB, et celle de la Nouvelle-Écosse, à 21,2%. De son côté, l'Alberta n'a pratiquement pas de dette: son pétrole lui a permis d'accumuler des réserves, qui équivalent à 20,4% de son PIB. La loi exige que le Québec réduise sa dette à 17% du PIB ou moins en 2026. Voilà pour la mauvaise nouvelle. Jacques Parizeau a aussi qualifié d'«énorme supercherie» la comparaison de notre dette avec celle de la Grèce et de l'Espagne. La méthode qu'utilise l'OCDE n'est pas la tromperie dont parle M. Parizeau, bien que la comparaison soit effectivement imparfaite. En incluant la part du fédéral et des municipalités, le Québec est plus endetté que l'Espagne, sauf que le Québec dispose d'un gros atout: Hydro-Québec. Cette société d'État a une valeur marchande excédant probablement 50 milliards, ce qui efface une grande partie de notre mauvaise dette. C'est ce qui explique, entre autres, que le Québec a une cote de A" sur les marchés financiers et qu'il peut donc emprunter à des taux d'intérêt raisonnables, contrairement à la Grèce et à l'Espagne. Malgré ce constat, il ne faut pas prendre la dette à la légère. Non seulement les intérêts à payer sont énormes et augmentent vite, mais aussi le portrait financier peut changer très vite. Avant la crise de 2008, l'Espagne avait une cote de crédit de AA, supérieure à celle du Québec. Aujourd'hui, l'Espagne est à la limite des défauts de paiement, avec une cote de BBB-. Le Québec doit continuer à s'inquiéter de sa dette.
  16. Le quartier Sainte-Marie, situé aux abords et à l'est du pont Jacques-Cartier, est en ébullition. Ville de Montréal - Arrondissement de Ville-Marie - Quartier de Sainte-Marie Portrait du quartier de Sainte-Marie C’est à partir de 1840 que l’on peut véritablement parler du « quartier » de Sainte-Marie, appellation qui s’inspire du nom du courant du fleuve passant à cet endroit. Durant le 19e siècle, Sainte-Marie, connu sous le nom « Faubourg à mélasse », était le bastion industriel des ouvriers canadiens français de la Ville de Montréal. Depuis le milieu du 20e siècle, le quartier est en période de transition et sa structure industrielle se transforme au profit d’entreprises de services. Bien que différent du centre des affaires montréalais, le quartier de Sainte-Marie s’inscrit dans une perspective naturelle de développement du centre-ville vers l’est entamée il y a quelques décennies avec la construction de la tour de Radio-Canada. Bien desservi par le transport en commun et par les axes routiers, ce quartier accueille 21 745 résidants et offre aujourd’hui un formidable potentiel de développement au centre-ville de Montréal. En 2011, un Programme particulier d’urbanisme (PPU) a été élaboré pour revitaliser le quartier de Sainte-Marie situé à l’est de l’arrondissement. La version finale du projet d'aménagement urbain du quartier a été adoptée à l’unanimité par le conseil municipal. Elle fait suite aux recommandations émises par l’Office de consultation publique. Redynamiser le pôle Frontenac et les abords des stations de métro, réaménager la rue Ontario, créer de nouveaux espaces verts, combler les terrains vacants et développer l’environnement piétonnier : voici quelques-uns des grands objectifs proposés qui guideront le développement du secteur pour les prochaines années Avec ses 2 stations de métro, 19 stations de BIXI, 4 écoles, 15 espaces verts, une nouvelle piscine au centre Jean-Claude-Malépart, plus de 250 organismes, entreprises et lieux de diffusion qui viennent compléter l’offre culturelle du Quartier des spectacles, le secteur est incontestablement en marche vers un avenir prometteur et favorable à l’établissement de nouveaux résidants. Par ailleurs, plusieurs artistes et artisans habitent ce quartier et de nombreuses troupes de théâtre y ont élu domicile. En métro : Frontenac, Papineau
  17. This whole Subban-Richards affair raised a lot of discussion in the media about hockey and the culture of hockey acceptance of things outside of the norm. Lol, in typical Canadian fashion, that's how the discussions were framed, since (white) Canadians are not secure enough or comfortable talking about race, even though race is an under-current of the issue. Not saying that Richards is racist, because I don't know that, but as a Black Canadian myself, the whole discussion raised a lot of questions for me about discrimination in hockey. I never played organized hockey (I don't count the 2,3 games I played in high school back in the mid-1990's), so I don't know. All I know is that when I was growing up I was really into hockey and people would tell me "you shouldn't play hockey", "why are you playing hockey", etc...and that was from my black relatives/family. I've never had a white person tell me those things, but remember that this is Canada, so they may be shy to tell you what they really think. What I do know is that most hockey players who speak a certain way similar to Kirk Muller or Jerome Iginla, get labeled as "good guys" by their teammates, coaches, GM's and media types. I put Iginla's name in there because some of these "good guys" have been black. But is there discrimination in hockey? Yes. I think discrimination does exist in hockey, but I wouldn't go as far as to go "Al Sharpton" or "Jesse Jackson" on their ass, because I don't think it's that widespread. I believe it exist, but at what level, I can't say. I view racism, discrimination and prejudices, like the clouds in the sky: Some days there's more clouds than others. Some places there's more clouds than others. But even on a bright day, with a clear blue sky, If you look close enough at the horizon, you'll see clouds. If you think about it, that's true both in reality and in metaphor. Especially here in Canada where (white) Canadians feel uncomfortable openly discussing issues dealing about race. At least in America, even with the KKK, the Republicans of today and the Democrats of yesterday and other forms of historic institutional racism, (white) Americans can still have intelligent discussions on racial issues on CNN or in other political and/or public forums without fear of being labeled a racist. In Canada, people, especially white Canadians, feel strange talking about that. They "don't want to go there." Are they afraid of speaking their mind? At least in the US you know where people stand. If they don't like you, you'll know. But here in Canada, people are so secretive about their racism that I just keep to my cloud analogy. I'm assuming that analogy is true for hockey as well.
  18. alright, i thought i'd through that one out there, half as attempt "seed" the idea and spur an honest debate, and half as uh well, blatant trolling: what do you think would need to happen / be spent for montreal to hold superbowl 51 for it's 2017 "celebrations" ? or perhaps as a side discussion, how fair do you think toronto's chances would be if they threw a bid for it ? 2017 being, you know, the 150th year of confederation and all .. in any case, i think it'd be a much better idea than hosting another world's fair ..... how much money is to be spent on that monorail, anyway ?
  19. Discussion portant sur le Port-Royal.
  20. Excellente discussion trouvee sur Spacing Montreal a propos du groupe 'Montreal Ouvert' qui fait la promotion de l'idee que la ville ouvre ses base de donnees au public. Merveilleuse idee quant a moi. Les liens: http://spacingmontreal.ca/2010/10/09/open-source-city/ http://montrealouvert.net/
  21. Discussion portant sur l'ancien Hôtel Laurentien.
  22. Young anglos complain of un plafond de verre Conference. Must have higher level of fluency in second language, English-speakers say HUBERT BAUCH, The Gazette Published: 23 hours ago The burden of bilingualism chafes on young anglos in Quebec. Many feel that even speaking both languages, they are still second-class citizens. A consultation with 300 young anglophones from all parts of the province conducted by the Quebec Community Groups Network found most are eager to integrate with the francophone milieu, but encounter frustration, either because their school-taught French isn't good enough, or because franco- phones are unwelcoming. A perverse finding was that for young anglos, bilingualism is a greater asset outside Quebec than at home. Most shared the view that outside Quebec, any ability to speak French gives job applicants a competitive advantage, whereas less than total French fluency puts you at a disadvantage if you're anglo in Quebec. It suggests that rather than slowing the exodus of young anglos from Quebec, bilingualism is aggravating it. A common view was that on the provincial job market, francophones qualify as bilingual with far lower second-language skill than is demanded of anglophones. "Most youth expressed the frustration they feel at attempting to integrate into the job market," says the summary report of the consultation. "In addition to the language barrier, many feel that English speakers face discrimination in accessing jobs or upward mobility." The survey suggests young anglos find their school system is doing an inadequate job teaching them French, and while overall language tensions have significantly abated in Quebec in recent years, English-French relations remain tenuous on the ground. "While some said they feel shy about participating in French language activities, others reported feelings of social segregation, being unwelcome and a lack of belonging," the report says. On the upside, it was found that a great many young anglos feel positively about their communities and would prefer to make their lives there. For all the frustrations, "quality of life" was widely cited as good reason for staying. "In rural Quebec the quality of life cited included access to the outdoors, the proximity of family and friends and a strong sense of community. In Montreal, it was cited more in reference to the low cost of living, vibrant artistic community and range of activities." There also appears to be a willingness to confront the frustrations and reach across the linguistic divide. "A desire for frank discussion and projects to directly address English-French tensions in their regions was expressed." The consultation results were presented at a weekend conference organized by the QCGN at Concordia University and attended by about 100 young anglos from all parts of the province. In a plenary discussion, some spoke of personal experiences that reflected the report's conclusions. Jonathan Immoff, who attends university in Rimouski, praised the quality of life in his native Gaspé. "The region is gorgeous. It's home. It's where our family is and we don't want to leave." But he said job opportunities are scarce for anglos who don't speak perfect French. "You have to speak very well to be considered bilingual, while francophones aren't held to nearly the same standard in English." Marilyn Dickson, from the Magdalen Islands, said bilingualism is "the big issue" for the small local anglo community of about 500. "Those who aren't have no choice but to leave. It's the way it is." A delegate from the North Shore said anglo efforts to be bilingual tend not to be reciprocated by francophones. "They're not willing to speak any English. If you're English, it's screw you. The lack of communications cuts all ties right there." A franco-Ontarian delegate who moved to Quebec said she finds anglo Quebecers are treated like francophones are in her native Ottawa. The situation presents challenges for the greater Quebec anglophone community, but there is also an encouraging will to confront and overcome what problems and frustrations there are, said QCGN president Robert Donnelly. "You expressed a desire to move forward, to leave the issue of language in the past, to increase intercultural activities and to have frank, open discussion with your francophone counterparts," he said in his welcoming speech. "You stated you wish to remain in Quebec and to contribute to Quebec society." The consultation and the conference are the groundwork for a three-to-five-year strategic plan for English-speaking youth being developed by the QCGN, an umbrella group for anglo organizations throughout the province. "Youth are saying now that they want to stay," said Brent Platt, co-chairperson of the QCGN youth committee. "I think French people on the whole are more willing now to work with us, to make things better for both communities. We have to do things together if we're going to get anywhere." hbauch@ thegazette.canwest.com
  23. Le Fonds de revenus CI Financial a confirmé être impliqué dans des discussions avec divers partenaires concernant un éventuel regroupement stratégique. Pour en lire plus...
  24. Malek

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