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Autoroute 30 - Discussion générale


mtlurb

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Non , seulement la 89 dans le Vermont... avec de magnifiques paysages !:eek:

 

J'imagine que la 87 dans l'état de New-York doit etre magnifique dans les adirondacks aussi !

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Je ne vois pas de problème avec l'autoroute 40 large comme elle à l'est de Repentigny. Si tu regardes sur Google, l'autoroute coupe à travers une forêt. Que les voies soient ensemble ou séparées, ça ne change pas la superficie occupée par la route. Le seul inconvénient est peut-être pour les animaux qui auront de la difficulté à traverser.

 

Je joue l'avocat du diable car je préfère toutefois les routes plus collées ensemble.

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oui, mais t'as vu l'espace entre les voies??

 

Rien à voir avec l'espace avec la future 30.

 

 

Oui oui , mais je soulignais l'espace entre les voies à tous les degrés possibles.Cenpendant, j'en fait pas une maladie , c'est seulement une préférence.:rolleyes:

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Je ne vois pas de problème avec l'autoroute 40 large comme elle à l'est de Repentigny. Si tu regardes sur Google, l'autoroute coupe à travers une forêt. Que les voies soient ensemble ou séparées, ça ne change pas la superficie occupée par la route. Le seul inconvénient est peut-être pour les animaux qui auront de la difficulté à traverser.

 

Je joue l'avocat du diable car je préfère toutefois les routes plus collées ensemble.

 

 

Le problème c'est que si un jour on a besoin d'utiliser cette forêt là , on pourras pas dire , tiens on va retasser les voies sur 10km!.Forêt ou non , je trouve que ça dérenge dans tous les sens.Et que de toutes façons , pourquoi écarter les voies si on sait que de toutes facons on devras les réunir pour la passage de viaducs.Je trouve que c'est du fla fla 60-70 inutile :silly:

 

Je suis certain que les négociations pour l'aquisitions de terrains sont difficiles. Cette forêt là devait appartenir à quelqu'un , et je crois qu'il aurait été raisonnable de lui prendre beaucoup moins d'espace boisé.

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  • 4 semaines plus tard...

Prolongement de l’A-30

Québec ne paierait pas pour d’éventuels dépassements de coûts

Mise à jour : 22/04/2009 20h49

 

(Presse Canadienne) - Une étape de plus vient d'être franchie dans le parachèvement de l'autoroute 30 qui doit contourner Montréal.

 

Le sous-traitant qui fournira et installera l'acier d'armature affirme qu'il s'agit du plus gros contrat de fourniture et d'installation d'acier d'armature jamais octroyé au Québec.

 

Ce contrat vaut pour deux échangeurs, six ponts, un tunnel, 14 viaducs, une piste cyclable, sur 42 kilomètres du prolongement de l'autoroute 30, entre Châteauguay-Mercier et Vaudreuil-Dorion, avec une portion vers Salaberry-de-Valleyfield.

 

Les travaux débuteront en juin et dureront une quarantaine de mois, jusqu'en 2012.

 

Le contrat accordé au Groupe AGF par le consortium Nouvelle autoroute 30 CJV est évalué à 100 millions $.

 

Au cours d'une rencontre avec la presse, mercredi, dans une de ses usines de Longueuil, le président du Groupe AGF, Serge Gendron, a avoué que le montant est une approximation et affirmé que s'il y avait dépassement de coûts, la facture ne serait pas refilée au ministère des Transports, donc aux contribuables québécois.

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Chronique de Claude Garcia

L’autoroute 30 : le contribuable, le grand gagnant du péage

 

24 avril 2009 - 14h09

Chronique de Claude Garcia

 

Sur la foi d’une intervention d’un député de l’opposition officielle, la télévision de Radio-Canada dénonçait, hier soir, le fait que la valeur actuelle des revenus du péage sur l’Autoroute 30 est de seulement une vingtaine de millions de dollars, pour la durée de l’entente de partenariat public-privé. On y voyait une forme de tripotage de chiffres. Qu’en est-il exactement?

 

Le ministère des Transports du Québec disposait, avant l’appel de proposition, de prévisions sur le trafic potentiel de véhicules susceptibles d’emprunter cette autoroute. Ces prévisions ont été partagées avec les trois consortia retenus pour présenter une proposition.

 

Si on connaît l’achalandage projeté de l’autoroute, il est possible d’établir des prévisions de revenus, selon différents scénarios de tarif en se rappelant toutefois que plus le péage proposé est élevé, moins il y aura d’utilisateurs.

 

Comme le gouvernement du Québec souhaitait réglementer le niveau de péage, on est en mesure de prévoir les revenus probables pour la durée de l’entente de partenariat. Le gouvernement a choisi de garantir un minimum annuel de revenus à l’exploitant de l’Autoroute 30.

 

Dans la mesure, toutefois, où les revenus du péage seront plus élevés que le minimum garanti, l’entente prévoit un partage des revenus, à part égale, entre le gouvernement du Québec et l’exploitant, dans la mesure où les revenus excèdent le seuil de partage des dits revenus. Ce seuil est un peu plus élevé que le niveau de revenus garantis par le gouvernement.

 

Toutes les modalités que nous venons de décrire étaient précisées dans l’appel de propositions remis aux trois consortia retenus à la suite de l’appel de qualification. Ces trois consortia étaient en concurrence pour obtenir le contrat de construction et d’exploitation de l’Autoroute 30.

 

Rien n’empêchait un soumissionnaire de mener sa propre étude de trafic et d’utiliser, dans sa proposition, des hypothèses de trafic plus généreuses. En agissant ainsi, il augmentait les revenus attendus de l’exploitation de l’Autoroute et pouvait ainsi soumettre un prix plus bas au gouvernement pour la construction et l’exploitation de l’Autoroute 30.

 

Lorsqu’on écoute attentivement le reportage, il semble que c’est exactement ce qu’a fait le soumissionnaire retenu. On a dévoilé qu’il a estimé à 200 M $ la valeur actuelle des revenus du péage, pendant la durée de l’entente de partenariat.

 

Il a effectivement, en établissant le prix de sa soumission, tenu compte de 200 M$ plutôt que des 20 M$ qui lui ont été garantis.

 

Si ses prévisions se réalisent, il devra partager une proportion importante de ses revenus additionnels avec le gouvernement puisque les revenus annuels dépasseront le seuil de partage de revenus.

 

Si par ailleurs, les revenus du péage sont de seulement 20 M$, le gouvernement aura réalisé une économie substantielle sur le coût de construction et d’exploitation de l’Autoroute 30, sans avoir à faire de déboursés additionnels En garantissant des revenus de péage qui semblent peu élevés à première vue, le ministère des Tranports réduit considérablement la probabilité qu’il soit appelé à faire des versements additionnels en vertu de la garantie minimale qu’il a donnée.

 

Par ailleurs, le jeu de la concurrence entre les trois consortia lui offre une garantie raisonnable que la construction et l’exploitation de cette autoroute se fera avec un minimun de fonds publics.

 

Parler de tripotage de chiffres dans ce cas-ci démontre une méconnaissance de la mécanique financière des partenariats public-privé.

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