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Autoroute 10 (Bonaventure - portion au nord du canal (boul. urbain))


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J'ai toujours espéré que les autorités allaient faire de cette entrée vers le centre-ville une grande entrée majestueuse, non obstruée par de petits gratte-ciels sans trop d'importance, mais plutôt avec une vue jusqu'au Mont-Royal.

 

Avec la magnifique sculpture de Calder en plein centre.

 

Un peu comme ce grand boulevard de Barcelone...

 

grand-boulevard-524809-sw.jpg

 

Ce boulevard pourrait aussi être une inspiration pour le Boulevard Taschereau !

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  • Administrateur

Publié le 15 janvier 2010 à 09h45 | Mis à jour à 09h52

À la défense du projet Bonaventure

Bruno Bisson - La Presse

 

 

La présidente de la Société du Havre de Montréal, Isabelle Hudon, s'est portée à la défense du projet de démantèlement partiel de l'autoroute Bonaventure (A-10), qui a encaissé une pluie de critiques, en début de semaine, lors des audiences de l'Office de consultation publique de Montréal.

 

Devant la Chambre de commerce et d'industrie du sud-ouest de Montréal, hier midi, Mme Hudon a dit vouloir apporter des «éclaircissements sur certaines parties du projet», et en particulier sur la création d'un couloir de circulation distinct réservé aux autobus - le couloir Dalhousie - dans le secteur de Griffintown.

 

 

 

Mme Hudon a rappelé que la présence de «cette cicatrice urbaine» qu'est l'autoroute Bonaventure, «demeure un obstacle au redéveloppement» des secteurs de Griffintown et du Faubourg des Récollets, qui sont situés de part et d'autre de l'autoroute.

 

 

La Société du Havre de Montréal ambitionne de créer là, «à deux pas du centre-ville», un nouveau Quartier Bonaventure, qui réunirait les deux anciens secteurs industriels déstructurés, et «qui redonnerait à Montréal une entrée de ville belle et prestigieuse».

 

Ce grand projet urbain nécessite toutefois le rabaissement de l'autoroute actuelle, et sa transformation en boulevard urbain. La première phase du projet, qui s'étend de la rue Brennan, près du canal de Lachine, jusqu'à la rue Saint-Jacques, au coeur du centre-ville, est estimée à 140 millions de dollars.

 

Toutefois, en raison de l'intense trafic des autobus qui circulent dans cet axe, et qui transportent chaque jour plus de 22 000 passagers entre la Rive-Sud et le centre-ville, la SHM a prévu de dévier les autobus dans un couloir séparé aménagé dans l'axe de la rue Dalhousie actuelle, situé à environ 100 mètres à l'ouest du futur boulevard. Le coût d'aménagement du couloir est estimé à près de 120 millions.

 

Lors des audiences de l'Office, cette semaine, cette partie du projet a été qualifiée de «gaspillage de fonds publics» par Projet Montréal, le deuxième parti de l'opposition au conseil municipal de Montréal. La création du couloir Dalhousie est aussi vivement dénoncée par des résidants locaux, qui craignent les impacts du passage quotidien de plus de 1600 autobus sur leur qualité de vie.

 

De plus, les élus de l'arrondissement du Sud-Ouest, qui présenteront leur mémoire à la reprise des audiences publiques, lundi prochain, ont déjà fait savoir qu'ils s'opposaient à la création de ce couloir à travers le secteur de Griffintown. L'arrondissement recommande que la circulation des autobus soit relocalisée sur le futur boulevard.

 

En réponse à ces critiques, Mme Hudon a affirmé que les consultants de la SHM ont examiné sept variantes de tracé pour permettre la circulation rapide des autobus entre le pont Champlain et le centre-ville. Le couloir Dalhousie, a-t-elle déclaré, «est le seul qui a passé le test».

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J'ai toujours espéré que les autorités allaient faire de cette entrée vers le centre-ville une grande entrée majestueuse, non obstruée par de petits gratte-ciels sans trop d'importance, mais plutôt avec une vue jusqu'au Mont-Royal.

 

Avec la magnifique sculpture de Calder en plein centre.

 

Un peu comme ce grand boulevard de Barcelone...

 

grand-boulevard-524809-sw.jpg

 

:highfive: Je partage entièrement ton opinion, nous avons une très belle perspective qui va jusqu'au Mont-Royal et il faudrait la préserver comme une magnifique fenêtre ouverte sur cette colline verdoyante en plein coeur de la ville.

 

Faire de ce boulevard une avenue de prestige avec des immeubles à l'architecture variée tout au long du parcours et bien sûr une importante rangée d'arbres de part et d'autre le long de très larges trottoirs bordés de terrasses.

 

Quant à la sculpture de Calder qu'il est hyper important de sortir de son ile déserte, je doute que ce soit le meilleur endroit. Elle mérite une place publique entièrement dédiée au thème de l'Homme et je la verrais bien, comme premier choix, au pied de l'Hôtel de ville au-dessus de l'autoroute Ville-Marie.

 

Toutefois elle pourrait aussi trôner fièrement sur une nouvelle place au centre de l'avenue dans un nouveau rond point à la française, à l'intersection de Notre-Dame. Cependant je doute qu'il y ait suffisamment d'espace pour réaliser ce type d'intersection et en même temps accommoder cette importante structure à cet endroit particulier.

 

Alors allons de l'avant, mais dans des dossiers séparés tout en ajoutant deux éléments importants à l'esthétisme de ce centre-ville rempli de potentiel extraordinaire.

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Montréal

Harel veut un train au lieu du corridor Dalhousie

Agence QMI Jean-Louis Fortin

19/01/2010 09h42

 

MONTRÉAL - Farouchement opposée à la construction du corridor d’autobus Dalhousie, sur lequel passeraient 1908 autobus par jour à proximité de résidences, Louise Harel a proposé lundi de le remplacer par un train de banlieue qui emprunterait le pont Victoria pour se rendre à La Prairie. L’Agence métropolitaine de Transport (AMT) trouve l’idée «intéressante» mais émet des doutes sur son efficacité.

 

«Il est tout à fait inacceptable de dépenser inutilement 118,7 M$ de fonds publics pour une solution considérée comme temporaire», a affirmé la chef de l’opposition à l’hôtel de ville, à propos de Dalhousie.

 

Selon son collègue à Vision Montréal et maire de l’arrondissement Sud-Ouest, Benoît Dorais, «la mise en service immédiate d’un train de banlieue Gare centrale – Saint-Hubert – Terminus Chevrier – La Prairie pour réduire l’embouteillage monstre des autobus» serait préférable.

 

Trop faible débit

 

Or, un train de banlieue sur le pont Victoria ne pourrait soutenir un débit de voyageurs très élevé, d’après l’AMT, qui aurait à l’exploiter.

 

«Selon les contraintes imposées par le CN, qui est propriétaire de la voie, il ne pourrait y avoir plus de 3 départs par heure de pointe », explique à 24H Michel Veilleux, vice-président Planification et Innovations à l’AMT.

 

«Trois trains représenteraient 3000 déplacements le matin et le soir, alors qu’un système léger sur rail (SLR) peut transporter 13 000 personnes par heure, ajoute-t-il, en précisant que l’étude de cet axe ferroviaire «qui présente un certain intérêt» fait partie des scénarios étudiés par l’Agence.

 

Les deux dernières séances d’audition des mémoires sur le projet de réaménagement de l’autoroute Bonaventure, un projet piloté par la Société du Havre de Montréal, auront lieu mardi à 15h et 19h.

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Ce qui fait justement la popularité certaine du transport en commun vers cette partie de la rive sud c’est le fait que les gens n’ont pas de correspondances à prendre, ils embarquent au coin de la rue ou ils restent et débarquent directement au centre-ville. Un train de banlieue, surtout avec seulement 3 départs, ne serait pas très pratique pour la majorité des gens vu le manque de flexibilité de l’horraire, et impliquerait des détours pour se rendre vers une des gares d’embarquement.

 

Un SLR avec une bonne fréquence et un trajet aussi rapide, sinon plus vite dans le segment chevrier/panama/centre-ville est une meilleure alternative qu’un train de banlieue, surtout si c’est pour éviter le corridor Dalhousie. Mais puisque le SLR ne risque pas de voir le jour de si tôt, aussi bien y aller de l’avant avec un vrai corridor dédié.

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Metropolitan Montreal strongly supports a plan to tear down part of the Bonaventure Expressway and replace it with high rises and a controversial new corridor for South Shore buses.

 

"What the Société du Havre is proposing will provide an exceptional approach to the city, bring downtown and the river closer together and reforge the urban grid of an entire neighbourhood using strict criteria of sustainable development,” Board of Trade chief executive Michel Leblanc said Tuesday in a brief to the Office de consultation publique de Montréal (OCPM).

 

“This project is even more promising because it will eliminate an outdated piece of infrastructure that needs to be upgraded and create property value that will generate revenue for the city of Montreal."

 

But the Board of Trade said it has serious concerns and “prerequisites” for the project.

 

"We have to remember that while Quartier Bonaventure is an inspiring project, economic conditions are very difficult," Leblanc said. "We have to give priority to initiatives that will make the greatest contribution to Montreal's development. This major investment is justified only if it generates additional revenue for the City. In other words, this project will be a success only if private investors get involved and, at this stage, the Board of Trade is concerned about the absence of a major partner."

 

The Board of Trade also said “with all the development planned around the Quartier Bonaventure, thought needs to go into how the projects are connected. The entire area must undergo integrated planning, and the city of Montreal must play an active role in that planning."

 

Residents and heritage activists complain the proposal’s bus corridor on Dalhousie St., to be used by at least 1,400 buses per day, will cause noise and pollution problems and jeopardize any chance 19th-century heritage buildings in the area will be revived.

 

The Board of Trade said it recognizes the Dalhousie bus corridor “is generating natural opposition (but) we defend the importance of favouring the fastest route to reduce operating costs for buses from the South Shore and travel time for workers who choose this sustainable means of transportation to come downtown."

 

Tuesday was the last day of public consultations into the project.

 

Mayor Gérald Tremblay supports the plan. The opposition Vision Montreal and Projet Montréal parties presented counter-proposals that do not include the bus corridor.

 

After the OPCM, an independent city advisory body, makes its report public, the city’s executive committee will have the final say on the project.

 

(Courtesy of The Montreal Gazette)

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Quartier Bonaventure : un projet qui doit aller de l'avant

 

 

 

Montréal, le 19 janvier 2010 - La Chambre de commerce du Montréal métropolitain a présenté aujourd'hui son mémoire sur le projet Quartier Bonaventure à l'Office de consultation publique de Montréal. Le président et chef de la direction de la Chambre, Michel Leblanc, a tenu à rappeler l'importance d'aller de l'avant avec ce projet structurant pour Montréal, tout en soulignant trois préoccupations du milieu des affaires.

 

 

 

« Quartier Bonaventure est un projet ambitieux qui repose sur une vision d'envergure extrêmement prometteuse pour le développement d'un secteur stratégique de notre métropole. La Société du Havre propose de doter Montréal d'une entrée de ville exceptionnelle, de rapprocher le centre-ville et le fleuve et de retisser la trame urbaine de tout un quartier selon les meilleurs critères de développement durable. Ce projet est d'autant plus intéressant que l'on parle d'éliminer une infrastructure désuète qui doit être remise à niveau, tout en créant une valeur foncière génératrice de revenus pour la Ville de Montréal », a déclaré Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.

 

 

 

Si elle apporte un appui fort au projet Quartier Bonaventure, la Chambre soulève certaines préoccupations importantes et préalables à sa réalisation. « Il faut rappeler que si Quartier Bonaventure est un projet emballant, il s'inscrit dans un contexte économique exigeant. Nous devons accorder la priorité aux initiatives qui seront les plus rentables pour le développement de Montréal. Cet investissement important ne se justifie donc que s'il génère des revenus additionnels pour la Ville. Autrement dit, ce projet sera une réussite seulement si les investissements privés sont au rendez-vous et, à ce stade-ci, la Chambre se préoccupe de l'absence d'un partenaire majeur », a ajouté Michel Leblanc.

 

 

 

La Chambre interpelle aussi la Ville de Montréal : « Considérant le contexte précaire des finances publiques municipales, la robustesse des hypothèses de coûts et de retombées constitue une des conditions incontournables avant de donner le feu vert au projet. La Chambre invite la Ville à faire les validations nécessaires pour s'en assurer. De plus, avec les nombreux développements prévus autour du Quartier Bonaventure, une réflexion sur le maillage entre les projets s'impose. C'est tout le secteur qui doit faire l'objet d'une planification intégrée et la Ville doit jouer un rôle plus actif en ce sens », a renchéri Michel Leblanc.

 

 

 

Le président et chef de la direction de la Chambre reconnaît que le projet de corridor réservé sur la rue Dalhousie suscite une opposition naturelle. « Nous soutenons l'importance de privilégier le trajet le plus rapide afin de réduire les coûts d'exploitation pour les autobus en provenance de la Rive-Sud et le temps de transit des travailleurs qui choisissent un mode de transport durable pour venir au centre-ville. »

 

 

 

« Quartier Bonaventure est un projet qui fera avancer Montréal. De toute évidence, certaines préoccupations demeurent, ce qui est normal à cette étape, mais la Société du Havre dispose de la confiance de la Chambre pour réaliser un projet dont les Montréalais seront fiers », a conclu Michel Leblanc.

 

 

 

La Chambre de commerce du Montréal métropolitain compte quelque 7 000 membres. Sa mission est de représenter les intérêts de la communauté des affaires de l'agglomération urbaine de Montréal et d'offrir une gamme intégrée de services spécialisés aux individus, aux commerçants et aux entreprises de toutes tailles de façon à les appuyer dans la réalisation de leur plein potentiel en matière d'innovation, de productivité et de compétitivité. La Chambre est le plus important organisme privé au Québec voué au développement économique.

 

 

 

 

Source :

Sylvie Paquette

Coordonnatrice, Relations médias

Chambre de commerce du Montréal métropolitain

Tél. : 514 871-4000, poste 4015

sylvie.paquette@ccmm.qc.ca

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Devant une salle comble, au Days Hotel de la rue Guy, au centre-ville de Montréal, Isabelle Hudon, présidente du conseil d’administration de la Société du Havre, a défendu avec conviction le «Projet Bonaventure» dont la première étape vient d'être soumise aux audiences de l'Office de consultation publique de Montréal.

Parmi les sept options étudiées par la Société du Havre, c'est le couloir Dalhousie qui a été retenu comme voie de circulation permettant de tirer pleinement avantage du transport collectif. Le nouveau «Quartier Bonaventure» est décrit, par Mme Hudon, comme «une forme de chirurgie de reconstruction (…) qui donnera à Montréal une entrée de ville belle et prestigieuse».

 

Mme Hudon a appuyé son argumentation sur une présentation vidéo qui décrit les caractéristiques du projet en permettant d'améliorer l'accès au canal de Lachine, aux pôles récréotouristiques et au Montréal souterrain. Elle considère que c'est une pièce maîtresse de la transformation du havre de Montréal. Elle considère que les grands projets montréalais des deux dernières décennies trouveront leur aboutissement dans la réalisation du Quartier Bonaventure.

La clé: le transport collectif

Ce quartier restera au coeur des déplacements métropolitains, mais ceux-ci se feront désormais en transport collectif. Pour préserver les accès au centre-ville et à l'autoroute Ville-Marie, on mise sur une réduction de 20% des débits automobiles. La création d'un corridor réservé permettra d'utiliser des autobus articulés à plus grande capacité; les voyageurs en provenance de la Rive Sud éviteront ainsi les retards et les autobus bondés. Le corridor Dalhousie est décrit, par Mme Hudon, comme «l'unique solution structurale et gagnante pour assurer le transfert modal vers l'autobus».

 

Dans les pages du rapport d'avant-projet du Quartier Bonaventure, on retrouve les chiffres qui permettent d'étayer les arguments présentés par Mme Hudon. Pour franchir la distance entre l'ancien poste de péage du pont Champlain, près de l'Île-des-Soeurs et le centre-ville, il faudra 6 minutes aux automobilistes, à la suite de ces changements. Par contre, les passagers des autobus qui arrivent de la Rive Sud mettront 5 minutes et 25 secondes pour franchir la même distance. Les analyses prévoient que le débit des autobus (Rive Sud + L'Île-des-Soeurs) passera de 23 700 (actuel) à 30 200, avec le réseau futur. Le nombre des automobiles en provenance des mêmes secteurs passera de 10 165 (actuel) à 8441. Il est bien clair, quand on analyse ce scénario, que la réalisation du projet Bonaventure s'appuie largement sur une utilisation accrue du transport collectif et une réduction des déplacements automobiles.

 

Il n'est pas étonnant, dans ce contexte, de constater que les plans du projet conservent les corridors déjà prévus pour le train léger sur rail (LSR) et le tramway du Vieux-Montréal. «Même si le financement pour ces deux projet n'est pas attaché, les tracés sont protégés. D'ici là, nous continuerons à circuler», a précisé Mme Hudon.

 

La conférencière a aussi soutenu que sur les sept options de tracés retenus, pour les autobus et leurs 50 000 passagers quotidiens, seul le corridor Dalhousie a réussi tous les tests.

 

Pour Mme Hudon, il n'y a donc que deux choix: le statu quo qui obligerait la Ville de Montréal à dépenser 160 millions$ dans le béton de l'Expo 67 (au cours des 40 prochaines années) ou l'investissement de 140 millions$ pour redévelopper un vaste secteur. Elle estime que le potentiel du projet est immense et qu'il permettra une offre de transport collectif sans pareil. Elle affirme que les arrondissements du Sud-Ouest et de Ville-Marie profiteront d'importants investissements privés, tandis que la transformation de l'autoroute Bonaventure permettra la mise en valeur de terrains vacants et sous-exploités dans tout ce périmètre.

 

Elle a invité les gens d'affaires du Sud-Ouest à appuyer le projet du Quartier Bonaventure. «Nous ne pouvons passer à côté d'une aussi belle opportunité pour notre avenir», a-t-elle ajouté.

 

Article mis en ligne le 20 janvier 2010 à 10:02

 

http://www.messagerverdun.com/article-422561-Isabelle-Hudon-a-defendu-le-Projet-Bonaventure.html

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:goodvibes: Je suis parfaitement d'accord, il faut créer les conditions qui feront que les investisseurs suivront et ce secteur de la ville a un potentiel unique de croissance qui réglera de surcroit plusieurs problèmes simultanément.

 

La table est mise et il faut aller de l'avant en "colonisant" la partie la plus prometteuse du centre-ville qu'on pourra appeler fièrement dans quelques années: le "Nouveau Montréal".

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