Aller au contenu
publicité

Marché immobilier résidentiel de Montréal : actualités


Habsfan

Messages recommendés

publicité
  • Administrateur
il y a 4 minutes, Rocco a dit :

⬆️ Pour laisser sa marque dans le ciel de Montréal pour toujours? Ça vaut bien le 1% supplémentaire 😂

Ou laisser sa marque dans une autre ville moins chiante lolol

  • D'accord 1
  • Haha 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 2 heures, Rocco a dit :

⬆️ Pour laisser sa marque dans le ciel de Montréal pour toujours? Ça vaut bien le 1% supplémentaire 😂

Pense-tu que le promoteur du Haleco est fier de laisser sa marque ???

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Montréal revoit ses options pour accélérer la construction de logements sociaux | Radio-Canada.ca

Zone Politique - ICI.Radio-Canada.ca

L’administration Plante revoit l’ingénierie financière de son règlement en matière de logements sociaux et abordables dans l’espoir d’améliorer son prochain bilan, dans deux ans.

Depuis deux ans, la Ville de Montréal utilise un nouveau levier réglementaire auprès des promoteurs immobiliers pour stimuler la construction de logements sociaux, abordables et familiaux.

Lors de l’octroi d’un permis de construction résidentielle, le promoteur doit s’engager notamment à intégrer sur le site 20 % de la superficie du projet en logements sociaux, sinon à vendre à la Ville un terrain prêt à construire ou encore à verser une contribution financière à un fonds destiné au logement social.

Or, Radio-Canada a appris que la Ville s’apprête à revoir les paramètres financiers de son Règlement pour une métropole mixte.

La Ville procédera à une mise à jour des sommes qui sont versées aux promoteurs pour les terrains destinés à des logements sociaux, explique Benoit Dorais, vice-président du comité exécutif et responsable de l'habitation à la Ville de Montréal.

Les prix des terrains ayant grandement augmenté au cours des cinq dernières années, les montants offerts par la Ville refléteront mieux cette nouvelle réalité, précise-t-il.

https://images.radio-canada.ca/q_auto,w_700/v1/ici-info/16x9/montreal-dorais-logements-abordables.jpg

Benoit Dorais, vice-président du comité exécutif et responsable de l'habitation à la Ville de Montréal.

Photo : Radio-Canada

De l’autre côté de l’équation, les promoteurs qui préfèrent verser une contribution au fonds verront celle-ci augmenter dès janvier prochain.

Ça ne coûtait pas assez cher de se défiler [...] et on ne réussissait pas à leur dire : "Voici ce que ça vaut [votre terrain], ce qu’on va vous donner pour que votre compensation soit juste."

Le responsable de l'habitation à la Ville de Montréal souhaite créer un nouveau momentum.

Ce qu'on veut, c'est qu'il se crée du logement social, que ça se construise, insiste M. Dorais. Actuellement, on avait besoin des modifications pour qu’on en obtienne davantage.

Selon les données de la Ville, un projet immobilier de 2000 mètres carrés, par exemple, pouvait coûter 65 000 $ au promoteur. Ce montant sera rehaussé graduellement jusqu’en 2026.

D’autres ajustements techniques des programmes de financement seront annoncés cette semaine.

https://images.radio-canada.ca/q_auto,w_700/v1/ici-info/16x9/centre-sud-developpement-immobilier-prevel-embourgeoisement.jpg

Le promoteur de l'Esplanade Cartier s'est engagé à intégrer 161 logements sociaux.

Photo : Primer Studio Inc.

Un premier bilan

Pressé ces dernières semaines par divers groupes de livrer un premier bilan du Règlement pour une métropole mixte, Benoît Dorais reconnaît d’emblée que le contexte économique est extrêmement difficile.

Cela dit, on a des engagements pour 660 logements sociaux, dont un projet de 86 [logements] déjà en construction. Un total de 158 logements locatifs abordables seront également livrés dans les meilleurs délais.

La Ville a également encaissé des contributions financières de 17,4 millions de dollars pour le logement social et de 8,2 millions pour le logement abordable.

Sur un ton plus politique, le vice-président du comité exécutif souligne qu'en un peu plus de deux ans, on a amassé presque autant d’argent pour faire du logement social et signé plus d'ententes qu'en 15 ans de la stratégie d'avant.

À ce jour, le Règlement a mené à la signature de 164 ententes avec des promoteurs, ce qui représentera, à terme, près de 8900 logements.

La SCHL estimait au mois de septembre qu’il faudrait construire 3,5 millions de logements supplémentaires au Canada d’ici 2030 pour retrouver un niveau d’abordabilité raisonnable.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

⬆️

Si je comprends bien, les promoteurs évitent Montréal parce que les conditions exigées par la ville sont trop serrées.  La ville va compenser ce facteur en resserrant encore plus les conditions.  La ville pense que ça va améliorer les choses... 

Ce qui va arriver: il y aura encore moins de logements construits à Montréal (sociaux ou non) et la ville va brailler que la CAQ n'es fait pas assez pour le logement. 

Ce qui pourrait arriver (si les choses empirent considérablement): la gauche plus radicale va exiger la nationalisation des logements pour ne plus que les propriétaires capitalistes puissent exploiter les pauvres locataires...  On semble vouloir créer une crise dont on a déjà une solution toute trouvée depuis longtemps...

  • D'accord 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je ne comprendrai décidément jamais la façon de « penser » de l'Administration Plante. 

Pour résumer l'article

« Le règlement pour une métropole mixte ne fonctionne pas car les promoteurs préfèrent payer la pénalité, alors on va augmenter encore plus le prix de la pénalité comme ça les promoteurs vont préférer construire 20% de logements sociaux. »

Youhou bande de débiles légers, si vous augmentez la pénalité, les promoteurs ne vous construiront pas plus de logements sociaux à leurs frais. Ils vont tout simplement aller faire leurs projets ailleurs qu'à Montréal et/ou attendre l'arrivée d'une administration plus lucide que celle des génies de Projet Montréal.  🦄👸🏰🚲

  • D'accord 2
  • Thanks 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 29 minutes, KOOL a dit :

Je ne comprendrai décidément jamais la façon de « penser » de l'Administration Plante. 

Pour résumer l'article

« Le règlement pour une métropole mixte ne fonctionne pas car les promoteurs préfèrent payer la pénalité, alors on va augmenter encore plus le prix de la pénalité comme ça les promoteurs vont préférer construire 20% de logements sociaux. »

Youhou bande de débiles légers, si vous augmentez la pénalité, les promoteurs ne vous construiront pas plus de logements sociaux à leurs frais. Ils vont tout simplement aller faire leurs projets ailleurs qu'à Montréal et/ou attendre l'arrivée du administration plus lucide que celle des génies de Projet Montréal.  🦄👸🏰🚲

Quand j'ai lu le titre de l'article, comme quoi Montréal revoit ses options, je me disais que peut-être ils allaient alléger certaines restrictions en se disant que moins de logements sociaux qui se font pour de vrai seraient mieux que beaucoup de logements sociaux qui ne se font jamais.  Je me suis dit que peut-être ils allègeraient la bureaucratie ou même qu'ils arrêteraient de se "pogner" systématiquement avec tout ce qui est capitaliste.  Mais non, ils font exactement le contraire.  Je ne veux certainement pas comparer Projet Montréal avec ce qui arrivé avec Lewiston, mais il y a un parallèle à faire entre le dogmatisme de PM et les républicains qui disent que le problème des fusillades est causés par un manque d'armes sur le marché.  Républicains: + d'armes = - de fusillades.  Projet Montréal: + de restrictions = + de logements sociaux.  Dans les deux cas, on voit un intégrisme complètement déconnecté de la réalité.

  • Like 2
  • D'accord 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Administrateur
Il y a 4 heures, KOOL a dit :

Je ne comprendrai décidément jamais la façon de « penser » de l'Administration Plante. 

Tu ne comprends pas parce que ton cerveau est pas arrangé come le leur. 
 

Pour eux, quand il y a un « problème », c’est que parce que les méchants qui ont « créé » le problème ne savent pas ce qu’ils font et qu’il faut invariablement leur dire quoi faire et/ou leur taper sur les mains. Y a pas de gros bon sens, c’est des couches de contrôles sur taxes, sur règlements sur quotas et sur plans directeurs. 
 

Pour eux, c’est contre-intuitif d’en enlever, de laisser les « méchants » faire ce qu’ils sont bons à faire, dans ce cas-ci construire du logement. 
 

Le résultat final? Le problème qu’on reproche aux méchants. 
 

Et le cycle continue. 

  • Like 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Administrateur

Coup de barre au développement résidentiel

Publié le 24 octobre 2023 à 08:00

PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE

Stéphan Déry, PDG de la Société immobilière du Canada

Grande entrevue Stéphan Déry, PDG de la Société immobilière du Canada

 

La Société immobilière du Canada a décidé d’être plus proactive pour répondre à la crise du logement et a entrepris d’accélérer la mise en œuvre de certains projets immobiliers sur ses propriétés dans la grande région de Montréal. Son PDG, Stéphan Déry, souhaite notamment entreprendre rapidement le démarrage d’une première phase d’un développement immobilier sur l’ancien site de l’ONF, dans Saint-Laurent, et à la Pointe-de-Longueuil.

JEAN-PHILIPPE DÉCARIE
La Presse

La Société immobilière du Canada (SIC) est propriétaire de plus de 430 hectares de terrains à développer sur l’ensemble du territoire canadien et dispose de quatre sites stratégiques dans le Grand Montréal.

Téléchargez gratuitement

La SIC était une société en dormance jusqu’en 1995, quand le gouvernement fédéral a entrepris de racheter les terrains qui appartenaient au CN lorsque le transporteur ferroviaire a été privatisé.

« On valorise les actifs immobiliers du gouvernement canadien qui ne sont plus utilisés, que ce soit une ancienne base militaire, des terrains contaminés ou des immeubles qui ne servent plus. Notre mandat est d’apporter une plus-value en revitalisant ces actifs », résume Stéphan Déry.

Fonctionnaire fédéral durant 30 ans, Stéphan Déry était sous-ministre adjoint, responsable des services immobiliers au ministère des Services publics et Approvisionnement Canada, lorsqu’il a été nommé PDG de la SIC en avril dernier.

« Le gouvernement fédéral et ses différents ministères ont un immense parc immobilier de plus de 75 millions de pieds carrés et le rôle de la SIC est de racheter à leur valeur marchande des actifs qui ne sont plus utiles pour leur redonner une nouvelle vie. »

— Stéphan Déry, PDG de la Société immobilière du Canada

L’avènement du télétravail et sa généralisation dans la fonction publique fédérale amènent le gouvernement à réévaluer ses besoins réels d’espaces de bureaux et le PDG de la SIC estime que la crise du logement oblige tous les ordres de gouvernement à mettre la main à la pâte pour trouver des solutions.

« Qu’est-ce qu’on va faire avec les édifices fédéraux excédentaires ? La SIC va être là, on veut être proactif et faire partir de l’équation pour solutionner la crise du logement », propose Stéphan Déry.

Des projets à Montréal

Dans le Grand Montréal, la SIC est propriétaire de 900 000 pieds carrés (pi2) au bassin Wellington (bassin Peel pour certains), de 530 000 pi2 à l’ancien site de l’Office national du film (ONF), de 1,7 million pi2 à la Pointe-de-Longueuil (près du métro, à proximité du futur centre-ville de Longueuil) et de près de 800 000 pi2 à la Pointe-du-Moulin, dans le Vieux-Port de Montréal, là où se trouve le silo à grain no 5.

Les sites du bassin Wellington et de la Pointe-du-Moulin ne sont pas encore mûrs pour un développement immédiat, parce qu’il y aura des travaux de décontamination à réaliser et d’infrastructures avant de pouvoir aller de l’avant.

« On veut réintégrer ces sites dans la vie montréalaise, qu’ils aient un impact social. Au bassin Wellington, on veut donner accès à l’eau aux citoyens, avoir des parcs, développer un milieu de vie intéressant avec des petits commerces, une épicerie et même conserver une vocation industrielle artisanale.

« Dans tous nos projets, on souhaite un usage mixte résidentiel avec au moins 20 % de logements à prix abordables », précise le PDG de la SIC.

Même si la SIC n’a achevé qu’en décembre 2022 l’acquisition de l’ancien site de l’Office national du film, Stéphan Déry estime qu’il est faisable de lancer rapidement une première phase de développement en travaillant avec l’arrondissement de Saint-Laurent. Le site de l’ONF est situé à 500 mètres d’une station du Réseau express métropolitain (REM).

« On n’a pas fait encore toutes les consultations sur le développement à venir du site, mais on sait qu’il y a un besoin urgent de logements. On pourrait faire une première phase d’une centaine d’unités en transformant un édifice de bureaux et en construisant des unités dans la zone résidentielle.

« Pour le reste du développement de l’ancien ONF, on veut impliquer les organismes communautaires et prévoir peut-être un volet culturel en transformant les anciens studios de l’Office », soumet Stéphan Déry.

Même chose à Longueuil, où la SIC dispose d’un immense site de 16 hectares (1,7 million de pieds carrés) à développer en bordure du fleuve où on pourrait démarrer une première phase d’ensemble résidentiel.

La SIC travaille avec la municipalité de Longueuil pour accélérer le volet immobilier du projet où, là encore, on veut implanter une mixité sociale avec au moins 20 % de logements à prix abordables.

« Dans nos projets résidentiels, on veut pérenniser la mixité de nos quartiers en exigeant au moins 20 % de logements abordables. Si la Ville veut hausser ce taux à 30 %, on va être d’accord. Mais on ne veut pas d’entente sur 20 ans, on veut que cette mixité dure dans le temps et qu’on n’ait pas à tout recommencer une fois que l’échéance est atteinte. »

— Stéphan Déry, PDG de la Société immobilière du Canada

En plus de son mandat de développement immobilier, la SIC est aussi responsable de certaines attractions dont elle a hérité au fil des ans, notamment la tour du CN et le parc Downsview à Toronto, tout comme le Vieux-Port et le Centre des sciences à Montréal.

« On a deux lignes d’affaires, la valorisation des attractions et le développement immobilier, mais ce sont les attractions qui mobilisent le plus de main-d’œuvre. Sur nos 1100 employés à travers le pays, il y a plus de 800 personnes qui travaillent aux attractions.

« On a eu des années difficiles durant la pandémie avec la fermeture de la tour du CN et du Centre des sciences, on a été déficitaire, mais les choses se sont replacées depuis », souligne le PDG de la Société immobilière du Canada.

https://apple.news/AcU4iKVCJQ06Oh0I0l__zhQ

  • Thanks 1
  • Confused 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


publicité


  • Les dernières mise à jour

    1. 12 876

      REM (ligne A) - Discussion générale

    2. 46

      Berson — 5 étages

    3. 46

      Berson — 5 étages

    4. 0

      Espace LGBTQ2+ - 929 sainte-catherine est

×
×
  • Créer...