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Industrie du cinéma à Montréal et tournages mettant Montréal en vedette


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Tournages étrangers: le Québec sur une bonne lancée

 

jeudi 30 juin 2011

 

Selon le commissaire national du Bureau du cinéma et de la télévision du Québec, Hans Fraikin, Montréal se classe parmi les meilleurs en Amérique du Nord en ce qui a trait à la croissance annuelle nette des retombées économiques des tournages étrangers.

 

 

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PHOTO: Bernard Brault, La Presse

 

André Duchesne

La Presse

 

Le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ) célèbre son cinquième anniversaire. En cinq ans, la province a accueilli 33 productions étrangères dont les retombées économiques directes sont évaluées à 764 millions. L'année 2010 a été marquée par un record de 214 millions, en voie d'être dépassé cette année. Mais le Québec demeure tout de même loin derrière l'Ontario et la Colombie-Britannique, où les retombées des productions étrangères ont été de 318 et 777 millions uniquement en 2010. N'empêche! Le commissaire national, Hans Fraikin, s'est montré très optimiste en entrevue.

 

Q Que doit-on retenir des cinq ans du BCTQ?

 

R Il a été un élément crucial dans la restructuration de l'offre québécoise à des producteurs étrangers. Cette restructuration est née de la collaboration de beaucoup de personnes dans l'industrie qui avaient la même vision: offrir un produit alléchant en tenant compte d'une concurrence en croissance, que ce soit sur le plan des crédits d'impôt, de l'expertise, des studios, des lieux de tournage, etc. C'était la première fois que le Québec se dotait d'un guichet unique au service des productions étrangères. On partait de loin, car Vancouver a un tel bureau de cinéma depuis 30 ans.

 

Q Les statistiques du BCTQ montrent que les retombées sont en hausse. Est-ce unique à Montréal?

 

R À Vancouver, c'est stable (ndlr: en fait, la Colombie-Britannique a enregistré un net recul de 1,1 milliard en 2009 à 777 millions en 2010) alors qu'en Ontario, les chiffres sont en hausse, notamment en raison des nouveaux studios Pine Woods. Ailleurs, en Amérique, il y a des variations. Mais je crois qu'en fin de compte, Montréal se classe parmi les meilleurs en ce qui a trait à la croissance annuelle nette.

 

Q Des 200 millionsen retombées déjà annoncées en 2011, quelle est la part attribuable au film Blanche-Neige?

 

R Entre 80 et 85 millions. Lorsqu'on parle de retombées économiques, ce sont les sommes qui sont dépensées ici, au Québec: salaires des techniciens, studios, hôtels, etc. Les salaires des comédiens font partie de ces statistiques lorsqu'ils paient des impôts au Québec.

 

Q Peut-on espérer mettre le grappin sur d'autres grosses pointures telles que Blanche-Neige dans l'avenir?

 

R Absolument! D'ailleurs, le tournage du film The Mommy en 2007 avait généré des retombées équivalentes. Mais il ne faut pas uniquement chercher les gros tournages. Dix films dotés d'un budget de 10 millions de dollars font travailler plus de gens qu'un seul film de 100 millions. Dix films, ça signifie dix directeurs photo, etc.

 

Q En entrevue au magazine spécialisé Qui fait quoi, vous avez dit souhaiter dépasser le cap des 400 millions en retombées annuelles dans cinq ans. Comment y arriver?

 

R Les Américains demeurent notre première clientèle cible, mais il y a du potentiel du côté de la Grande-Bretagne et des pays émergents comme l'Inde. Évidemment, il faut que la capacité de notre offre suive nos objectifs. Pour cela, nous misons sur certains projets structurants.

 

Q Donnez-nous un exemple de projets structurants.

 

R Un des désavantages du Québec pour attirer les productions étrangères est la météo. Par contre, nous avons de grands studios où l'on travaille sur des écrans chromatiques (écrans verts). Toute l'industrie a collaboré pour tester 10 types de caméras utilisées sur de tels écrans et mettre sur pied une grille de travail qui va rendre l'expertise des techniciens encore plus concurrentielle. En parallèle, en 2009, nous avons convaincu le gouvernement du Québec d'accorder aux productions un crédit d'impôt de 20% sur la main-d'oeuvre travaillant sur écran vert et sur les effets visuels. Notre expertise est devenue tellement poussée en matière d'effets spéciaux que Montréal pourrait devenir, dès l'automne, la sixième ville dans le monde à être reconnue par la Visual Effects Society. C'est l'équivalent de la certification ISO pour les effets visuels. Si nous obtenons cette certification, ce sera très avantageux pour nous.

 

http://moncinema.cyberpresse.ca/nouvelles-et-critiques/nouvelles/nouvelle-cinema/15071-tournages-etrangers-le-quebec-sur-une-bonne-lancee.html

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BY KIMBERLY HOUSTON

PUBLISHED: JULY 1, 2011 - 8:38AM

 

Lachman will portray Izumi, a reclusive, centuries-old vampire royal whose unexpected return to Boston’s vampire society throws main character Aidan (Sam Witwer) and the city into disarray. Being Human begins production on its second season this month in Montreal and will air in 2012.

 

Dichen Lachman previously co-starred as Sierra on Joss Whedon’s FOX series Dollhouse and has guest starred on Hawaii Five-0, NCIS LA and the upcoming season of Torchwood. She is represented by Jennifer Craig of The Gersh Agency and Mel McKeon and Laura Myones of McKeon-Myones Management.

 

 

Being Human became an instant hit for Syfy when it premiered in January 2011 averaging 1.8 million viewers making it the channel’s most successful winter season scripted series launch in 6 years.

 

In the series, leading everyday lives is a lot harder than it looks for three supernatural roommates – vampire Aidan (Sam Witwer), ghost Sally (Meaghan Rath) and werewolf Josh (Sam Huntington) – who share their secrets and a Boston brownstone. Together they learn that there are fates worse than death and more to life – and the afterlife – than most "normal" humans could ever imagine.

 

Executive Producers are Michael Prupas (The Kennedys, Pillars of the Earth), Jeremy Carver (Supernatural) and Anna Fricke (Men in Trees, Everwood) who are both writers/showrunners, Adam Kane (The Mentalist, Heroes) and Rob Pursey and Toby Whithouse. Irene Litinsky is series Producer.

 

Being Human is a Muse Entertainment production in association with Zodiak USA. It is based on the acclaimed series, Being Human, created by Toby Whithouse and produced by Touchpaper Television, part of Zodiak Media Group.

 

Source: SyFy

http://www.dailyblam.com/news/2011/07/01/syfys-being-human-signs-dichen-lachman-for-season-two

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Guy A. Lepage, Claude Legault et Valérie Blais sur un même plateau

27-06-2011 | 15h12

 

MONTRÉAL - Guy A. Lepage, Claude Legault et Valérie Blais se retrouveront dès mardi sur le plateau de tournage de la comédie satirique Bo$$é inc., qui est réalisée par Claude Desrosiers, celui à qui l’on doit les univers d’Aveux, Les rescapés et Les hauts et les bas de Sophie Paquin.

 

Le long métrage, qui est attendu dans les cinémas en mars prochain, mettra aussi en vedette Élise Guilbault, James Hyndman, Magalie Lépine Blondeau, Cynthia Wu-Maheux, Benoît McGinnis, Gabriel Arcand et Yves Pelletier.

 

Guy A. Lepage ne se contente pas d’être devant la caméra, il est aussi producteur au contenu du film.

 

«C'est une histoire fictive, mais basée sur la récente histoire du Québec, a-t-il dit. On suit la carrière d'un homme qui part de zéro et devient l'un des hommes les plus riches au monde, en ayant participé à tous les secteurs d'activité qui ont rapporté de l'argent au Québec depuis la Révolution tranquille.»

 

L’équipe de Bo$$é inc. dispose d’un budget de 5,5 millions $ et le tournage se déroule dans la région de Montréal jusqu’au 9 août.

 

http://fr.canoe.ca/divertissement/cinema/nouvelles/2011/06/27/18341551-qmi.html

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ELLE JOUE DANS LE FILM BLANCHE-NEIGE

 

Michelle Coudé-Lord

11-06-2011 | 04h10

 

 

L’actrice-vedette Julia Roberts habite Montréal depuis jeudi soir. Elle a commencé à travailler hier au studio Mel’s pour le tournage du film Blanche-Neige, dans lequel elle joue le rôle de la méchante reine. C’est une première visite pour la star au Québec.

 

Nous l’avons croquée sur le vif à son entrée au studio, bien entourée de ses gardes du corps.

 

L’actrice pourrait être vue au Grand Prix demain puisque des membres de son entourage ont demandé quatre billets. Son mari, le cameraman Daniel Moder, qui l’accompagne, est intéressé à assister à l’événement.

 

Michel Trudel, grand patron des Studios Mel’s, qui s’est battu férocement pour obtenir cette production de plus de 125 millions $ à Montréal, décrivait hier la star comme «une personne très aimable, gentille et charmante».

 

«Elle est très heureuse de pouvoir découvrir notre ville et fut très impressionnée par ce que nous avons pu faire à nos studios en créant le village de Blanche-Neige, un film qui sera tourné en 3D», a -t-il indiqué hier au Journal de Montréal.

 

Julia Roberts, 43 ans, a plusieurs semaines de tournage au calendrier. Ses trois enfants, les jumeaux Phiannaeus Walter et Hazel Patricia, âgés de 7 ans, et Henry Daniel, 4 ans, viendront sûrement la visiter.

 

AVEC LA FILLE DE PHIL COLLINS

Rappelons que ce tournage est très important pour Montréal et les studios Mel’s.

 

La production de la compagnie Relativity Media et du réalisateur Tarsem Singh est majeure. Blanche-Neige fait travailler 400 personnes, dont 200 techniciens.

 

Le tournage durera jusqu’à la fin septembre. Julia Roberts pourrait devoir passer une partie de l’été à Montréal. Elle est installée dans un hôtel huppé de la métropole et bien surveillée par ses gardes du corps.

 

C’est la fille de Phil Collins, Lily Collins, qui incarne Blanche-Neige et Armie Hammer, le prince charmant Andrew Alcott. La sortie du film est prévue en juin 2012.

 

UN RÉALISATEUR QUI AIME MONTRÉAL

Le réalisateur Tarsem Singh pourra sûrement parler en bien de Montréal à sa star Julia Roberts puisqu’il a déjà adopté la ville, ayant déjà tourné au Québec les productions Dawn of God avec Jake Gyllenhaal et Immortals mettant en vedette Mickey Rourke.

 

Rappelons que Hollywood a décidé de faire revivre Blanche-Neige plus que jamais puisque Disney, Universal et Relativity Media ont décidé de revisiter l’histoire, mais en 3D.

 

Pour la jeune actrice Lily Collins, vedette du film The Blind Side aux côtés de Sandra Bullock, c’est sûrement un beau cadeau de carrière de tourner avec Julia Roberts.

 

PRETTY WOMAN

En ce week-end du Grand Prix, où Montréal vibre au rythme des stars, disons que la première visite en sol québécois de Julia Roberts ne pouvait pas arriver à un meilleur moment.

 

La star pourra se payer un déjeuner avec le designer des vedettes Jean Paul Gaultier, qui prend aussi Montréal d’assaut avec sa grande exposition au musée. Enfin, si vous croyez apercevoir la Pretty Woman en faisant votre shopping aujourd’hui, vous ne rêvez pas.

 

http://fr.canoe.ca/divertissement/celebrites/nouvelles/2011/06/11/18269776-jdm.html

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06/06/2011 10:39 Jean-François Cloutier

 

Le thriller The Words, dont le tournage a commencé à Montréal, se deplacera demain, vous pourrez les trouver près de La place D’Youville dans le Vieux-Montréal, de 7 heures à 16 heures

 

Le film met en vedette Olivia Wilde, Bradley Cooper, Jeremy Irons, Dennis Quaid, Zoe Saldana, Ben Barnes, John Hannah, J.K. Simmons et Nora Arnezeder.The Words est centré sur un écrivain à succès (Cooper) qui, au sommet de la gloire, va découvrir le prix qu’il doit payer pour avoir volé le travail d’un autre auteur (Irons).

 

Le film est produit par Michael Benaroya, en association avec Jim Young et Tatiana Kelly. The Words souligne les débuts à la réalisation du duo Brian Klugman et Lee Sternthal, qui sont connus pour leur travail de scénariste pour le film Tron Legacy. Ils seront aussi scénariste pour le film.

 

The Words sera distribué en Amérique du Nord par Waterfall Media/Untitled Entertainement.

 

http://www.tvqc.com/2011/06/the-words-tournage-dans-le-vieux-montreal-le-7-juin/

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Métro a récemment visité le plateau de tournage de Rose by Name Le film doit sortir à l’automne 2012

 

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Julie LeBreton joue en anglais dans le film Rose by Name, dont le tournage a récemment eu lieu à Montréal, à Longueuil, au Mont-Saint-Bruno et à Winnipeg.

 

 

MARTIN GIGNAC

MÉTRO

Publié: 09 juin 2011 21:22

Le quartier Notre-Dame-de-Grâce accueille un nouveau suspense. Après Jacob Tierney qui y a tourné Good Neighbours en compagnie de Jay Baruchel, c’était récemment au tour du Canadien Shawn Linden (Nobody) de débarquer en ville pour Rose by Name.

 

Le film s’annonce particulièrement grave. Cullen apprend que son père n’est pas vraiment son père, mais qu’il est plutôt un enfant issu d’un viol. Cette terrible nouvelle le poussera à chercher ses origines. «C’est à la fois un thriller et une histoire sur l’identité, sur ce qu’on croyait être vrai et sur ce qui arrive lorsque nos certitudes volent en éclat», explique le réalisateur et scénariste.

 

Le long métrage met en vedette Thomas Dekker, la nouvelle sensation de l’heure que l’on a pu voir dans Kaboom de Gregg Araki. «Je ressemble beaucoup à Cullen, admet l’interprète qui incarne le héros hanté par le passé de sa famille. Surtout lorsque j’étais plus jeune et que je multipliais les comportements imprudents. Comme lui, j’ai une part d’ombre et de lumière ; je peux être à la fois un ange et un démon.»

 

La mère du personnage principal est défendue par Julie LeBreton. C’est elle qui avoue la vérité à son fils par l’entremise d’un témoignage vidéo. «Quand j’apprenais mon texte, j’avais de la misè*re à contenir mon émotion, se rappelle l’actrice qu’on verra bientôt dans Starbuck. J’aime relever des défis, mais certains, comme celui-là, sont plus difficiles que d’autres. Souvent, pendant une scène émotive, je me nourris de l’autre... Tandis que là, je parlais directement à la caméra.»

 

Matt Craven complète ce trio en prêtant ses traits au père adoptif de Cullen. L’omniprésent comédien collectionne les films et il a eu un coup de cœur pour cette expérience. «J’aime beaucoup le plateau parce qu’il est petit, lance sans détour celui qu’on a pu voir dans Disturbia et A Few Good Men. Quand j’ai participé au tournage de X-Men : First Class, des millions de dollars étaient dépensés et des milliers de personnes s’activaient. Ici, les gens sont présents pour les bonnes raisons. L’important n’est pas de faire de l’argent, mais de raconter une histoire. C’est nettement plus intéressant comme ça.»

 

Mettre les bouchées doubles

Julie LeBreton l’avoue d’emblée : tourner dans une autre langue que sa langue maternelle est toujours un peu particulier, encore plus lorsqu’il y a de l’émotion en jeu.

 

«J’ai habité aux États-Unis quand j’étais plus jeune et j’ai toujours parlé anglais, explique celle qui était à l’affiche de Une vie qui commence plus tôt cette année. Mais jouer, c’est vraiment une autre affaire. Interpréter les intentions d’un personnage et les ancrer dans quelque chose de vrai, je ne trouve pas ça évident. Cela me demande doublement de travail et d’abandon parce que ce n’est pas ma langue.»

 

http://www.journalmetro.com/culture/article/885247--rose-by-name-le-passe-revient

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Le mardi 28 juin 2011

La Presse

 

 

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Ang Lee

PHOTO: AFP

 

Le quotidien Qui fait quoi rapporte que le cinéaste Ang Lee et l'acteur Tobey Maguire étaient à Montréal la semaine dernière pour tourner quelques scènes de Life of Pi, l'adaption 3D du roman de Yann Martel (Booker Prize 2002).

 

Durant ce tournage qui a duré trois jours, la direction artistique était assurée par la Montréalaise Patricia Christie. « Ang Lee, a-t-elle confié, est un homme à la fois très calme et hyper créatif. »

 

En tant que directrice artistique, oeuvrant au côté du concepteur visuel américain David Gropman (The Shipping News, Chocolat, The Cider House Rules), elle a notamment dû reconstituer un étang rempli de nénuphars. Une tâche qui n'a pas été des plus simples, mais qui a pu être réussie grâce à des astuces, a-t-elle relaté.

 

La production réunit notamment Tobey Maguire et Gérard Depardieu. Le tournage a envahi différents endroits du Vieux-Port ainsi que Westmount.

 

http://moncinema.cyberpresse.ca/nouvelles-et-critiques/nouvelles/nouvelle-cinema/15063-ilife-of-pii-a-montreal.html

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Geneviève Raymond

22-06-2011 | 13h39

 

 

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MONTRÉAL – L’humoriste Philippe Bond animera The Price is Right — À vous de jouer!, cet automne, sur les ondes de V. «Je suis très content d’animer ce show. Je me pince encore et je suis un fan de l’émission», a-t-il dit.

 

Tous les membres de sa famille sont des adeptes de ce grand classique télévisuel diffusé depuis 55 ans aux États-Unis et qui a été adapté dans 33 pays. «Je fais l’épicerie à chaque semaine avec ma grand-mère. Si j’arrive entre 12 h et 13 h, je dois attendre que le jeu soit terminé avant d’aller faire les courses», a-t-il confié.

 

Le défi est grand pour Philippe Bond, qui sera pour la première fois à la barre d’une émission. Celle-ci sera diffusée chaque mercredi, à 19 h. « Nous avons choisi une personne qui représente l’audace et la modernité que V propose à ses téléspectateurs », a expliqué Marlène Beaulieu, productrice chez La Presse Télé.

 

L’animateur québécois va préparer quelques gags et s’inspirera de l’humoriste américain Conan O’Brian, qui possède son émission sur la chaîne TBS. «J’aime ses numéros d’ouverture, il est dynamique et, comme moi, il bouge beaucoup sur scène, a expliqué Philippe Bond. Ça va être un gros party chaque semaine.»

 

 

Dévoilement de l'animateur

«On veut en faire une émission-événement à une heure de grande écoute», a dit Nancy Charest, la productrice déléguée de l’émission. Le tournage débutera à la fin août dans les studios MELS, à Montréal. De 250 à 300 personnes du public pourront y prendre part.

 

«Je suis sortie de l’École nationale de l’humour en 2002 et j’anime des cabarets depuis huit ans. Je n’ai pas de problème à répondre à la foule», a souligné l’humoriste. Il promet beaucoup d’interaction avec l’audience et avec l’annonceur des prix. «Ce sera un genre de fou du roi avec qui je vais avoir beaucoup de plaisir ».

 

DE GROS PRIX

Par ailleurs, Philippe Bond semble emballé par l’ampleur que prendra l’émission avec des prix à la hauteur des attentes des participants. «J’ai accepté le contrat parce que les prix sont au rendez-vous et le décor est spectaculaire; on sera capable d’avoir des bateaux et des voitures en studio», a-t-il dit. «Le concept est acheté, ce ne sera pas une pâle copie de The Price is Right », a-t-il dit.

 

La version québécoise offrira plusieurs références à ce grand classique de l’histoire télévisuelle, dont le micro, les mannequins et les collants pour les noms des participants. «Nous avons grandi avec The Price is Right en Amérique du Nord, il faut garder des clins d’œil de l’émission comme le “come on down”», a résumé Nancy Charest.

 

La productrice déléguée a passé une semaine sur le plateau de tournage américain avec le réalisateur québécois, Sébastien Hurtubise. « Nous allons piger dans la banque des 70 jeux existants et les adapter à notre concept visuel », a-t-elle ajouté.

 

http://fr.canoe.ca/divertissement/tele-medias/nouvelles/2011/06/22/18320131-qmi.html

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PROJET OMERTÀ

 

Agnès Gaudet

23-06-2011

 

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L'idole mondiale des amateurs de vampires joue le rôle de Sophie, une agente secrète qui infiltre les milieux mafieux, aux côtés de Stéphane Rousseau, Patrick Huard et Michel Côté dans Le Projet Omertà.

 

L'actrice québécoise, adoptée par Hollywood et devenue célèbre avec son personnage de Victoria dans la saga Twilight, tournait hier, en français, sur le plateau du Projet Omertà. L'action se déroulait dans un grand lieu désaffecté de Montréal, où Sophie (Rachelle) échangeait des informations secrètes avec Pierre Gauthier (Michel Côté) -désormais patron d'une agence de sécurité -concernant une grande fraude de lingots d'or.

 

Avec son léger accent anglais, Rachelle Lefevre correspond parfaitement au personnage que le réalisateur du film, Luc Dionne, avait imaginé : une ex-agente du Service de renseignement qui a parcouru le monde.

 

En tournage, Rachelle Lefevre reçoit le même traitement que les autres de la part du cinéaste. Elle est d'ailleurs la première à plaisanter sur le sujet. Qu'elle soit une star d'Hollywood n'y change rien.

 

«Je ne suis pas très star, admet Luc Dionne, et Rachelle est pour moi une comédienne comme les autres. J'écoute ses suggestions, elle écoute les miennes. Elle dit que c'est un plateau viril, avec une gang de boys, mais elle ne se fait pas piler sur les pieds.»

 

Comme prévu, l'actrice répond aux attentes du cinéaste : «Elle crève l'écran», dit-il.

 

PROFS DE FRANÇAIS

C'est une actrice très sympathique, accessible et souriante que les médias ont rencontrée hier, vêtue de short jeans et chaussée de babouche de plage.

 

Elle s'est notamment confiée sur ses petites difficultés avec le français. Elle est née à Montréal, mais habite les États-Unis depuis plusieurs années. «Je travaille fort, a-t-elle dit, mais Stéphane, Patrick et Michel sont devenus mes profs de français. Les plus beaux profs de français du monde !»

 

Si on en juge par les propos de l'actrice, nos acteurs n'ont rien à envier aux stars d'Hollywood avec qui elle a joué aux États-Unis. Rachelle Lefevre louangeait hier ses camarades québécois de plateau, soulignant leur professionnalisme et leur gentillesse, mais surtout leur sens de l'humour.

 

«Michel Côté est vraiment drôle, a-t-elle notamment confié. Il devrait faire du stand up. Et puis, il est très affectueux. Il me fait un hug chaque matin et la bise. On est comme une famille. »

 

Quant à Patrick Huard, sa réputation de sex-symbol l'avait précédé.

 

«C'est vrai qu'il est sexy et beau, a-t-elle lancé, mais ce que je trouve le plus sexy chez un homme c'est son sens de l'humour et son intelligence. Alors, je peux choisir entre les trois !» (Huard, Rousseau et Côté).

 

PLATEAU DE BOYS

Sur ce plateau de boys, la belle actrice avoue que ça demande un peu d'ajustement.

 

«Ce sont de vrais gars, des hommes, dit-elle, alors ce n'est pas toujours facile. Je ne peux pas parler de... souliers. Alors je suis devenue moins féminine, comme un mec. Mais je suis contente de jouer avec eux. Ils respectent mes idées. I'm not left out. »

 

Rachelle Lefevre ne choisit jamais un rôle en fonction du cachet, mais selon l'équipe et le scénario du film. En deux shots, elle a tout de suite accroché au style de Luc Dionne. Ce qui lui plaît aussi, c'est d'être à Montréal, son hometown.

 

«J'ai passé ma jeunesse ici, souligne-t-elle. Je me sens à l'aise. Je me sens chez moi.«

 

C'est la productrice du film, Denise Robert (Cinémaginaire) qui a fait les premières démarches auprès de Rachelle Lefevre au Festival de Toronto, l'an dernier, alors qu'elles étaient au même cocktail du film Barney's Version dans lequel elle joue. L'actrice avait déjà campé le rôle d'une DJ dans Stardom de Denys Arcand.

 

La productrice lui a proposé le rôle de Sophie par l'entremise de son agent de Los Angeles, «des gens très civilisés«, estime-t-elle.

 

SCÈNES COLLÉES AVEC ROUSSEAU

Dans Le Projet Omertà, Sophie (Rachelle Lefevre) enquête sur une arnaque qui vise à détourner de l'or de banques centrales nord-américaines. Alors qu'elle tente de gagner la confiance de Steve Bélanger (Patrick Huard), un proprio de restaurant magouilleur, et Sam Cohen (Stéphane Rousseau), un dur sorti de prison, tous deux associés à la mafia italienne, elle se rapproche de Sam.

 

«C'est moi le chanceux, lançait hier Rousseau. On joue des scènes collées et je ne m'en plaindrai pas. Elle non plus, d'ailleurs !», ajoutait- il à la blague.

 

Tous s'entendent pour dire que Rachelle Lefevre est une excellente partenaire de jeu.

 

«C'est une pro», dira simplement Huard.

 

10 ANS

Rappelons que Le Projet Omertà est un drame policier avec un budget de 7 millions $ qui met aussi en vedette René Angélil, Michel Dumont et Paolo Noël.

 

Le scénario du film, complètement différent de la série, est une fiction basée sur des faits réels que Luc Dionne raconte à travers les personnages d'Omertà. Le cinéaste a fait de la recherche durant 10 ans sur ce sujet... en or.

 

Le tournage se poursuit à Montréal jusqu'au 18 juillet et le film sortira à l'été 2012.

 

http://fr.canoe.ca/divertissement/cinema/nouvelles/2011/06/23/18323896-jdm.html

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Filming in Montreal:

 

• The Words, with Bradley Cooper, is filming at Sainte-Catherine St W & Rue Mansfield, Montreal. (Thanks Shisha)

Update: They are setting up at this location this afternoon, this morning they were filming at Windsor Station.

 

http://www.onlocationvacations.com/2011/06/15/thursday-june-16-filming-locations-in-pittsburgh-montreal-los-angeles-new-york-more-including-the-words-perks-rizzoli-isles-and-the-dictator/comment-page-1/

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