C’est un message populaire. Ousb Posté(e) 19 septembre 2020 C’est un message populaire. Partager Posté(e) 19 septembre 2020 Le 2020-09-17 à 20:36, danny12345 a dit : the upper-middle-class Sincèrement c’est un peu nul quand on commence à parler du statut socio-économique des plaisanciers pour appuyer des décisions en leur défaveur. La classe moyenne est loin d’être riche au Québec. Et pourtant l’essentiel du fardeau fiscal repose sur elle. Quand on prend l’exemple de règlements comme le 20-20-20, la classe moyenne est perdante. Elle finance en plus grande partie les logements pour les très pauvres. On a l’impression d’arriver à une situation où bientot seuls les riches ou les très pauvres pourront habiter le centre de la ville. La classe moyenne quant à elle dans bien des cas, doit s’éloigner. C’est trop souvent comme ça et c’est dommage. Alors parler de ça ici comme si c’était de gros richards... Je veux pas être désagréable mais ça me met mal à l’aise de le lire. 6 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. danny12345 Posté(e) 21 septembre 2020 C’est un message populaire. Partager Posté(e) 21 septembre 2020 On 2020-09-19 at 3:35 AM, Ousb said: Sincèrement c’est un peu nul quand on commence à parler du statut socio-économique des plaisanciers pour appuyer des décisions en leur défaveur. La classe moyenne est loin d’être riche au Québec. Et pourtant l’essentiel du fardeau fiscal repose sur elle. Quand on prend l’exemple de règlements comme le 20-20-20, la classe moyenne est perdante. Elle finance en plus grande partie les logements pour les très pauvres. On a l’impression d’arriver à une situation où bientot seuls les riches ou les très pauvres pourront habiter le centre de la ville. La classe moyenne quant à elle dans bien des cas, doit s’éloigner. C’est trop souvent comme ça et c’est dommage. Alors parler de ça ici comme si c’était de gros richards... Je veux pas être désagréable mais ça me met mal à l’aise de le lire. J'aurai beau tenter de faire l’exercice, je n'arrive pas à comprendre pourquoi la ville, qui gère le bien commun, devrait subventionner le loisirs coûteux, polluant et exclusif de 450 familles, dont la moité ne payent pas de taxes à Montréal. C'est à l'opposé d'un service essentiel. Si un promoteur 100% privé peut faire un business case avec cette marina, alors tant mieux, I'm all for it. Qu'il achète à la ville la valeur des terrains et actifs décrépits (ou loue sur 100 ans), qu'il rénove/reconstruise, et qu'il loue les emplacements. Si c'est pas possible alors c'est que c'est une flawed business model. La collectivité a pas à mettre une cenne de plus là-dedans. 6 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Dominic723 Posté(e) 21 septembre 2020 C’est un message populaire. Partager Posté(e) 21 septembre 2020 Il y a 15 heures, danny12345 a dit : J'aurai beau tenter de faire l’exercice, je n'arrive pas à comprendre pourquoi la ville, qui gère le bien commun, devrait subventionner le loisirs coûteux, polluant et exclusif de 450 familles, dont la moité ne payent pas de taxes à Montréal. C'est à l'opposé d'un service essentiel. Si un promoteur 100% privé peut faire un business case avec cette marina, alors tant mieux, I'm all for it. Qu'il achète à la ville la valeur des terrains et actifs décrépits (ou loue sur 100 ans), qu'il rénove/reconstruise, et qu'il loue les emplacements. Si c'est pas possible alors c'est que c'est une flawed business model. La collectivité a pas à mettre une cenne de plus là-dedans. Cet argument pourrait être appliquer à plusieurs lieux subventionnés par les gouvernements alors, comme les terrains de tennis, les arénas, car le hockey c'est un sport dispendieux. Les multiples terrains artificiels de soccer, c'est pas gratuit jouer là. Le bassin d'aviron, les piscines avec tremplins, etc. Oui la marina est une dépense, mais je toujours dans l'idée qu'un compromis pourrait être trouver pour faire un parc comme la ville le veux et conserver une partie de la marina (un peu comme le plan proposé par les opposants). Les installations maritimes sont là depuis l'avènement du canal, on ne parle pas d'une petite marina random à Boucherville. De plus, si la ville ne veut pas investir, il y a toujours le moyen de céder l'entretien à une OSBL qui gèrerait la marina et qui ferait ses profits avec les occupants. De plus, la ville pourrait ainsi avoir une entente et garder son accès gratuit pour les résidents. 5 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. danny12345 Posté(e) 22 septembre 2020 C’est un message populaire. Partager Posté(e) 22 septembre 2020 9 hours ago, Dominic723 said: Cet argument pourrait être appliquer à plusieurs lieux subventionnés par les gouvernements alors, comme les terrains de tennis, les arénas, car le hockey c'est un sport dispendieux. Les multiples terrains artificiels de soccer, c'est pas gratuit jouer là. Le bassin d'aviron, les piscines avec tremplins, etc. Oui la marina est une dépense, mais je toujours dans l'idée qu'un compromis pourrait être trouver pour faire un parc comme la ville le veux et conserver une partie de la marina (un peu comme le plan proposé par les opposants). Les installations maritimes sont là depuis l'avènement du canal, on ne parle pas d'une petite marina random à Boucherville. De plus, si la ville ne veut pas investir, il y a toujours le moyen de céder l'entretien à une OSBL qui gèrerait la marina et qui ferait ses profits avec les occupants. De plus, la ville pourrait ainsi avoir une entente et garder son accès gratuit pour les résidents. je ne connais pas de piscine, aréna, terrain de tennis qui rencontrent ces conditions: ne sert qu'à 450 personnes dont la moitié hors de Montréal donc n'y payant pas de taxes nécessite des millions pour combler le déficit d'entretien sert à remiser des véhicules et non la pratique d'activité (une marina, c'est un parking à bateau doublé d'une station service Tu peux nous donner des exemples? Si tu suis l'historique de cette marina, plusieurs types de gouvernance s'y sont cassés les dents. Où est ton OBL avec son plan d'affaire qui n'aurait pas besoin des fonds publics? 8 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dominic723 Posté(e) 22 septembre 2020 Partager Posté(e) 22 septembre 2020 il y a 2 minutes, danny12345 a dit : je ne connais pas de piscine, aréna, terrain de tennis qui rencontrent ces conditions: ne sert qu'à 450 personnes dont la moitié hors de Montréal donc n'y payant pas de taxes nécessite des millions pour combler le déficit d'entretien sert à remiser des véhicules et non la pratique d'activité (une marina, c'est un parking à bateau doublé d'une station service Tu peux nous donner des exemples? Si tu suis l'historique de cette marina, plusieurs types de gouvernance s'y sont cassés les dents. Où est ton OBL avec son plan d'affaire qui n'aurait pas besoin des fonds publics? Je dit pas qu'aucun fonds public serait nécessaire, mais une option ou l'autre, des travaux doivent être entrepris no matter what. Le type de gestion de la marina ne fonctionne plus, donc oui il faut le changer, mais pas nécessairement la faire disparaître, d'où mon idée d'en faire un hybride. De plus, ce qui est particulier dans le cas présent, c'est pas manière que la ville impose un projet, sans consulter, les utilisateurs du lieu. Juste une marina ne semble pas la solution, donc réglons le problème. Mais est-ce que pour ça, il faudrait juste faire disparaître la marina entièrement? Si le stade IGA devenait ingérable et ne serait plus rentable, est-ce qu'on le démolirait ? Si on prend l'exemple du bassin d'aviron, le maintenir est clairement une dépense pour son retour, car on s'entend que la ville ne doit pas faire des millions avec, et on s'entend que c'est une extrême minorité qui l'utilise. Le fait de payer ou non des taxes, je peux comprendre la frustration, mais quelqu'un de locataire ne paye pas directement de taxe à la ville (oui il en paye indirectement dans son loyer), donc est-ce que les infrastructures devraient que servir au propriétaire terriens ? Non. De plus, si on prend cette logique des gens qui ne payent pas de taxes pour utiliser une infrastructure, est-ce qu'on devrait faire payer un extra au gens du 450 qui vont sur le Mont-Royal ou dans n'importe quels autres grands parcs de la ville ? On est dans un agglomération, c'est normal que des gens qui ne sont pas dans la ville centre, profitent des avantages de cette dernière. Et non aucune OBL existe et non il y a pas de plan, car on s'entend que ce projet est sorti un peu de nul part. Même le gouvernement fédéral l'a appris en même temps que le public... Si on avait eu une consultation sur qu'est-ce qu'on pourrait faire de la marina existante, sûrement que des groupes s'auraient proposés à trouver un plan. Le parc n'est pas une mauvais idée, mais l'option d'un hybride entre les 2 pourraient faire des gagnants chez les 2 partis. Car oui la ville va devoir mettre de l'argent sur le site, mais est-ce qu'on pourrait en faire un volet en faisant payer les utilisateurs de la marina pour rentabiliser le parc et les futures infrastructures. Car c'est pas avec la location de pédalo et de canoe qu'on va rembourser 16M de dollars rapidement. On pourrait aussi y aménager un genre de boardwalk pour ''démocratiser'' les bateaux, pas juste avoir des pontons privés. Si on garderait des quais, la ville pourrait leur charger des loyers, de plus elle pourrait les réguler, dépendants de l'usage des navires et de l'origine du propriétaire (faire payer plus, si le propriétaire n'habite pas l'île de Montréal), garder une marina, où l'on pourrait avec un café ou un restaurant. Avoir un revenu de stationnement, comme au parc René-Lévesque. Oui les marinas sont une forme de parking, so what, Montréal est une île et ça implique un vie nautique. C'est pas tout le monde qui va se mettre au kayak ou à la pêche, ou à l'observation d'oiseaux en milieu humide. Des stationnements à bateau, il va toujours en avoir, que ce soit des portes-conteneurs, des traversiers, des paquebots ou des voiliers. 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mtloulou Posté(e) 22 septembre 2020 Partager Posté(e) 22 septembre 2020 Mais d'après ce que j'avais entendu dans l'entrevue que Maja avait donnée au TJ18h de Patrice Roy (dans la rubrique Vie de quartier), elle avait dit qu'elle attendait une proposition des plaisanciers pour garder des places de marina dans le projet. Par contre, ces places-là ne seraient pas aussi nombreuses (et ça semblait être entre 50 et 100). Je n'ai peut-être pas bien compris son entrevue. La voici. Vous me direz si j'ai bien compris ce qu'elle disait vers 5min10. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ToxiK Posté(e) 2 octobre 2020 Partager Posté(e) 2 octobre 2020 Dans la section Débats de La Presse: Port de plaisance de Lachine Nous demandons la transparence et une main tendue Cette lettre s’adresse à la mairesse de Montréal, Valérie Plante, et aux membres du comité exécutif de la Ville de Montréal Publié le 1 octobre 2020 à 14h00 JOSÉE CÔTÉ LACHINOISE, PRÉSIDENTE ET PORTE-PAROLE DE L'ASSOCIATION DES PLAISANCIERS DU PORT DE PLAISANCE DE LACHINE En juillet dernier, la Ville de Montréal a, sans préavis ni consultation, annoncé aux 450 familles de plaisanciers la fin des activités du port de plaisance de Lachine, dès l’automne 2020, pour le transformer en parc riverain en 2025. Depuis ce temps, les esprits s’échauffent et les citoyens de Lachine sont plus que jamais divisés. Comment les Lachinois, reconnus pour leur quiétude et leur appartenance à leur territoire, en sont-ils arrivés à ce point désolidarisés ? Reconnaissant le besoin d’intégrer la vision environnementale de la Ville de Montréal à la marina et guidée par les valeurs de démocratie, de respect et d’acceptabilité sociale, l’Association des plaisanciers du port de plaisance de Lachine (APPPL) a soumis un projet innovant de cohabitation parc-marina. Ce projet inclusif constitue un point de départ de dialogue avec la Ville, élaboré par LEMAYMICHAUD Architecture Design. Toutefois, cette main tendue a, illico, reçu une fin de non-recevoir. De plus, à notre grande déception, plusieurs informations inexactes sont diffusées et sèment la dissidence auprès des citoyens. – Non, la marina n’a jamais fait faillite, recherches dans les archives juridiques à l’appui ; – Non, la Ville n’éponge pas de déficit de la marina, mais affiche un surplus d’environ 100 000 $ par année, selon les chiffres divulgués par la Ville ; – Non, l’érosion des berges du lac Saint-Louis n’est pas essentiellement causée par les bateaux de plaisance, mais plutôt par des processus naturels ; – Non, la mise à niveau de la marina ne requiert pas 16,5 millions en travaux, mais plutôt 5,3 millions, selon notre étude, dont 3,1 millions devront de toute manière être consacrés à la restauration des berges pour le projet de parc riverain s’il se réalise. Malgré la demande d’accès à l’information, l’APPPL attend toujours l’étude de la Ville concluant aux travaux de 16,5 millions ; – Non, les bateaux moteurs ne jouissent pas d’un accès exclusif au lac ; depuis des décennies, il existe une cohabitation harmonieuse notamment avec le club de voile, le club de canoë-kayak de Lachine, le club d’aviron, les planches, etc. ; – Non, la baignade dans l’aire de la marina proposée dans le projet de parc riverain n’est pas recommandable (profondeur, sédiments et canaux navigables) ; – Non, il n’y a pas de place pour relocaliser les bateaux dans le Grand Montréal. Bien que la Ville affirme vouloir démocratiser les berges du lac Saint-Louis à Lachine en créant ce parc riverain, il faut préciser que depuis 40 ans déjà, 90 % du bord de l’eau, soit 7 km, est accessible aux citoyens de Lachine, du Grand Montréal et plus encore. Ce sont plus de 200 000 personnes qui sillonnent les berges à pied, à vélo ou à patins à roues alignées. L’APPPL estime les retombées économiques du port de plaisance à 10 millions annuellement. Sans étude, la Ville prétend que les retombées du parc riverain, au coût de 25 millions, seront supérieures. De plus, ce projet n’a ni obtenu l’approbation de Transports Canada pour l’abandon du port de plaisance en vertu de l’article 5 (1) de la Loi sur les eaux navigables canadiennes ni du ministère de l’Environnement du Québec pour dénaturer les lieux, dont le bail et le certificat d’opération sont consentis uniquement pour fins de marina. De surcroît, une conseillère de l’arrondissement (de Projet Montréal) a voté contre la résiliation du contrat de gestion de la marina en raison de non-transparence et d’un manque d’information de la Ville pour prendre une décision éclairée. L’histoire de Lachine s’est construite autour des infrastructures navales qui façonnent le paysage depuis 1825. Le port de plaisance de Lachine, bientôt centenaire, est le plus important au Québec ; il fait partie du patrimoine à préserver. Le port de plaisance demeure une porte d’entrée unique et accessible vers le lac Saint-Louis et le réseau d’écluses et de canaux reliant Montréal aux Grands Lacs, à l’est du Québec, et aux États-Unis. Malgré de nombreuses démarches et une pétition de 14 000 signataires pour sauver le port de plaisance de Lachine, l’ouverture de la Ville de Montréal se fait toujours attendre. L’APPPL réitère sa ferme volonté de travailler avec la Ville dans l’objectif de trouver une voie de passage aboutissant à une solution inclusive de parc-marina au bénéfice de l’ensemble des citoyens et au nom d’une transition écologique qui se réalisera de façon démocratique. Elle n’exclut cependant aucune solution pour faire entendre sa voix. https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2020-10-01/port-de-plaisance-de-lachine/nous-demandons-la-transparence-et-une-main-tendue.php Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
acpnc Posté(e) 18 février 2021 Partager Posté(e) 18 février 2021 PPU Lachine 17 février 2021 | mise à jour le: 17 février 2021 à 17:58 Par: Alexandre Sauro Lachine-Est: la mobilité active est une priorité https://journalmetro.com/local/lachine-dorval/2616875/lachine-est-la-mobilite-active-est-une-priorite/ Photo: GracieusetéCarte hypothétique de Lachine-Est selon le plan d’ensemble présenté le 16 février. Les espaces réservés à la mobilité active seront nombreux dans le nouvel écoquartier de Lachine-Est. C’est ce qui a été dévoilé lors de la présentation d’un plan préliminaire, le 16 février. Ce plan prévoit un réseau de transport afin de faciliter la mobilité du quartier. La majorité des plus grands déplacements se feraient sur la rue Victoria avec l’arrivée d’un tramway. «L’automobile fera toujours partie du décor de nos villes. Mais sa présence sera de moins en moins importante», explique le chef d’équipe de l’aménagement et du design urbain pour la Ville de Montréal, Karim Charef. À lire aussi: L’Éco-quartier de Lachine célèbre ses 10 ans Lachine: course contre la montre Année de collaboration et controverse Il est prévu que la majorité des rues seront partagées, avec une priorité pour les piétons et les cyclistes, ainsi qu’un ajout de 2,2 km de nouvelles voies cyclables. Une emphase particulière est mise sur la création de plusieurs espaces naturels. «La planification de cet écoquartier prévoit trois fois plus d’espaces verts, plus d’espaces communs autour des bâtiments et plus d’ensoleillement qu’auparavant», soutient la mairesse de l’arrondissement, Maja Vodanovic. Seulement des compagnies et industries légères pourront s’installer dans le secteur. «Il faudra trouver des entreprises compatibles avec la fonction résidentielle. Ça peut être des bureaux, des entreprises de service, de l’artisanat ou des petites manufactures», explique M. Charef. Le futur écoquartier de l’arrondissement aura majoritairement une vocation résidentielle. Le plan de la ville de Montréal en collaboration avec Lachine prévoit un centre sportif et communautaire, une école, ainsi que la création de 5000 à 8000 logements. Processus transparent Ce plan pour le futur écoquartier a été élaboré lors d’ateliers menés d’avril à décembre 2020. Il sera appelé à changer au cours des prochains mois, en raison de validations techniques et financières, ainsi que des consultations publiques. «En rassemblant les acteurs avec de grands experts et professionnels, cette démarche va permettre de faire émerger un quartier qui répondra aux besoins locaux, mais également panmontréalais», soutient le directeur de Concert’Action Lachine, Pierre Barrette. Le plan d’ensemble consiste en une étape à mi-parcours vers la création d’un PPU. L’Office de consultation publique de Montréal devrait être mandaté pour la tenue d’une consultation publique sur le futur PPU, à l’automne prochain. 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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