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COVID-19: L'effet sur l'économie et sur l'immobilier à Montréal


Rocco

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Il y a 8 heures, vivreenrégion a dit :

D'après moi tous les festivals d'été seront annulés au Québec bientôt.

Le principe de précaution voudrait qu'au rythme où se poursuit la contagion, même si nous aurons probablement aplati la courbe en avril ou mai, que nous soyons encore à risque de contamination, si nous relâchons trop vite nos mesures de prévention.

Il serait donc plus sage d'éviter les grands rassemblements tant qu'on n'a pas un médicament sûr pour atténuer la maladie (au mieux la guérir), limiter sa virulence et surtout une possible deuxième vague.

Donc avant de lancer la population dans la foule, donnons plutôt priorité à la reprise de l'économie, en faisant rouler nos entreprises en premier, en procédant par secteur. Il sera bien temps plus tard dans l'année d'enfin s'amuser et fêter le retour des jours meilleurs.

C'est la mort dans l'âme que je souhaite dans les circonstances, l'annulation de tous les festivals, tant qu'on n'a pas l'assurance qu'il seront sécuritaires pour la santé publique.

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Il y a 1 heure, acpnc a dit :

Pour des biens essentiels à la vie, il faut et faudra réduire sa dépendance au reste du monde

Chose certaine, l'agriculture en serre va faire des bonds de géants au Québec suite à cette crise sanitaire. Le mouvement était déjà commencé, il ne fera que s'accentuer encore plus. 

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il y a 4 minutes, Megafolie a dit :

Chose certaine, l'agriculture en serre va faire des bonds de géants au Québec suite à cette crise sanitaire. Le mouvement était déjà commencé, il ne fera que s'accentuer encore plus. 

C'est une avenue prometteuse. A ce chapitre on pourrait utiliser certains toits en ville qui pourraient recevoir ce genre d'entreprises. Contrairement à la culture en serres au niveau du sol qui utilise principalement de la matière organique comme terreau, donc plus lourde.

La culture hydroponique est beaucoup plus légère, en ajoutant un poids limité (l'équivalent peut-être d'un étage supplémentaire ?) à la structure portante. Elle est aussi beaucoup moins laborieuse pour les travailleurs, moins soumise aux aléas de la météo et aux insectes, tout en pouvant allonger la saison des récoltes.

Finalement sa proximité aux marchés de consommation en plein coeur de la ville assurerait un approvisionnement plus régulier, limiterait les transports et pourrait avoir à moyen terme une effet positif sur les prix. 

Donc la question n'est plus de débattre de la pertinence du phénomène, mais plutôt de s'organiser pour en faire une nouvelle réalité dans notre économie post COVID19.

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Les ateliers de réparation de vélos viennent d'être ajoutés à la liste des services essentiels. Ça va permettre aux gens de se déplacer à vélo au lieu de prendre les transports en commun.
https://cdn-contenu.quebec.ca/cdn-contenu/adm/min/sante-services-sociaux/publications-adm/lois-reglements/AM_numero_2020-013.pdf

 

image.png

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Des entreprises québécoises passent des chandails de la LNH au matériel médical

PHOTO FOURNIE À LA PRESSE CANADIENNE

Tout en respectant les règles de distanciation sociale, les employés des Vêtements S.P. et de 3B Hockey, à Saint-Hyacinthe et Granby, ont entrepris la production de blouses et de masques médicaux, mardi.

Habituellement en mars, les machines à coudre des Vêtements S.P. et 3B Hockey fonctionnent à pleine capacité. Les manufactures de Granby et Saint-Hyacinthe sont affairées à produire les uniformes des équipes de la Ligue nationale de hockey et de toutes les équipes nationales participant aux compétitions de la Fédération internationale de hockey sur glace.

Publié le 31 mars 2020 à 18h16

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/202003/31/01-5267359-des-entreprises-quebecoises-passent-des-chandails-de-la-lnh-au-materiel-medical.php

Frédéric Daigle
La Presse canadienne

Cette année, ce sont plutôt des blouses et des masques pour le personnel des hôpitaux du Québec qu’elles produiront.

« Dimanche de la semaine dernière, j’étais assis avec ma partenaire d’affaires, Manon Bourget, et nous avions décidé de fermer l’usine de Granby, a expliqué à La Presse canadienne Steve Bérard, le président des deux entreprises. Le lendemain, le gouvernement ordonnait à toutes les entreprises non essentielles de fermer à partir du mardi. Nous avons donc rencontré tout notre monde pour leur annoncer la nouvelle. Ça a été une journée très difficile émotivement, autant pour les employés que pour Manon et moi. »

Quand les deux usines fonctionnent à pleine capacité, ce sont jusqu’à 280 personnes que M. Bérard et Mme Bourget emploient.

« Depuis ce fameux dimanche, j’avais entamé une série d’appels et de courriels avec les différents paliers de gouvernements, mon réseau de contacts dans le domaine du textile et mes partenaires financiers. J’ai eu énormément de retours. Plusieurs m’ont redirigé vers leurs contacts à eux.

Vers le milieu de la semaine, une compagnie m’a contacté pour me dire qu’elle ne pourrait pas accepter une commande de blouses et de masques pour le personnel médical, en raison de sa trop faible capacité de production. Quand je lui ai offert mon usine, elle a pu accepter ce contrat. »

Restait à trouver comment faire et trouver la matière première.

« Jeudi, j’ai fait revenir quatre personnes pour faire le développement des produits. De rallumer les lumières, ça nous a donné un peu d’espoir. Nous avons produit quelques prototypes et nous les avons envoyés pour approbation. Ça nous a permis d’évaluer notre capacité de production : nous avons la machinerie nécessaire, mais ce ne sont pas toutes nos machines qui peuvent travailler avec ces matériaux. Quand j’ai eu le feu vert pour la commande, de 50 000 à 100 000 unités, j’ai fait rentrer mes mécaniciens pour ajuster les machines que nous avons sous la main.

Quant au matériel, la chaîne d’approvisionnement n’est pas évidente du tout. Je ne peux pas produire des masques et des blouses avec le même matériel que je produis des chandails de hockey. Ça n’a aucune propriété de protection pour faire des masques, idem pour les blouses. Si on prenait le même matériel, ça mettrait la santé de ces gens en danger, en fait. Maintenant, à travers mon client, nous avons eu accès à la matière première certifiée. »

Depuis mardi matin, 45 personnes ont été rappelées au travail dans les deux usines.

« On ne fera pas de chiffre d’affaires, mais ce n’est pas l’objectif, qui est de faire travailler des gens très fiers de servir la cause commune en ce moment. […] Nous sommes hyper fiers de pouvoir aider dans cette crise. »

Comment expliquer la rareté ?

Plusieurs se demandent comment il se fait que l’approvisionnement en matériel médical, comme les masques et les blouses, soit aussi difficile. Pour M. Bérard, c’est en raison du transfert des compagnies de textile vers l’étranger, comme les pays d’Asie.

Par contre, les compagnies d’équipements sportifs sont demeurées en Amérique, c’est pourquoi plusieurs d’entre elles — Bauer, CCM, Fanatics et maintenant, S.P. — se sont portées volontaires pour transformer leur production.

« Nous avons été jugées non essentielles et on le comprend, a-t-il noté. Mais ça a fait en sorte que nous avons pu nous virer de bord rapidement et offrir des produits en demande ou offrir notre aide. La production locale est encore très importante et il faut pouvoir faire en sorte que ces entreprises et ces emplois restent. »

Pour ce faire, M. Bérard propose quelques pistes de solution.

« Ce qu’on vit en ce moment, c’est unique pour tout le monde. On le voit en Europe : ça discute de rapatrier certaines productions localement afin d’assurer une ligne d’approvisionnement. Je vais donc militer pour qu’on s’assure d’une chaîne de production locale et qu’on puisse répondre aux besoins des Québécois et Canadiens », a expliqué M. Bérard, qui compte poursuivre la production de matériel médical après la crise, bien qu’à plus petit volume.

La question demeure : comment demeurer compétitif contre les géants asiatiques ?

« Il y a deux éléments de réponse. D’abord, si on pouvait garder un certain volume, ce sont des procédés de fabrication qui s’automatisent assez facilement, ce qui n’est pas le cas pour un chandail de hockey, par exemple. Celui-ci demande énormément de précision : on parle de haute couture sportive. Il y a beaucoup d’empiècements, beaucoup de travail. Une blouse ou un masque, on peut automatiser sa production à hauteur de 90, 95 %. Pour être capable d’automatiser une chaîne de montage comme ça, ça prend un certain volume annuel pour justifier les investissements. C’est de cette façon qu’on pourrait baisser énormément les coûts.

La deuxième option serait, pour les gouvernements, d’exiger un quota d’achats locaux pour ce genre de produits. C’est vrai qu’on ne peut pas rivaliser à 100 % avec l’Asie. Mais pour une question de sécurité, on pourrait décréter qu’au Québec, au Canada, 50 % de l’approvisionnement doit se faire localement. Ça permettrait aux entreprises de garder les lignes d’approvisionnement des matières premières ouvertes, qui est le plus gros enjeu. Il n’y a personne au Québec qui, il y a trois semaines, avait le matériel nécessaire pour produire à grande échelle du matériel médical. »

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https://www.journaldequebec.com/2020/04/01/annulation-des-vacances-de-la-construction--les-travailleurs-sy-opposent

Annulation des vacances de la construction : les travailleurs s'y opposent

GENEVIÈVE LAJOIE

 Mercredi, 1 avril 2020 13:16MISE À JOUR Mercredi, 1 avril 2020 13:17

Les travailleurs de l'industrie de la construction refusent que leurs vacances soient annulées cet été. 

• À lire aussi: Près de 500 nouveaux cas au Québec 

• À lire aussi: Les derniers développements de la pandémie 

Après avoir consulté leurs membres, la FTQ-Construction et le Conseil provincial (International) s’opposent à cette proposition du gouvernement Legault, qui souhaite une relance rapide de l’économie après l’épidémie. 

Pas moins de 80% des ouvriers affiliés aux deux syndicats refusent que leurs vacances soient annulées. Les travailleurs de la construction sont aussi contre l’idée de voir leurs chèques de vacances devancés. 

« Les vacances de la construction ne doivent pas être remises en cause. En ce moment, les gens ne sont pas en vacances. Ils sont confinés dans des situations d’anxiété ou de maladie et s’occupent de leurs proches qui sont loin d’être favorables au repos. Les vacances de la construction c’est essentiel non seulement pour la conciliation travail-famille, mais aussi pour la santé des travailleurs», fait valoir Éric Boisjoly, directeur général de la FTQ-Construction, par communiqué. 

«Cette période névralgique dans l’industrie touristique doit être protégée pour faire partie de la relance de toutes les régions du Québec. De plus, il est important de rappeler que ces vacances sont planifiées longtemps d’avance, et ce dans plusieurs autres industries. Il est aussi prématuré que risqué de remettre cela en question», insiste Michel Trépanier, président du Conseil provincial (International).

 

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Les économistes dans la brume

PHOTO DARRYL DYCK, LA PRESSE CANADIENNE

Le Québec devrait s’en tirer mieux que le pays en général, étant moins affecté par l’écrasement du prix du baril du pétrole. La CIBC prévoit une stabilisation de l’économie québécoise en 2020, tandis que TD (-3,7 %) et Aviseo (-3,9 %) sont plus pessimistes.

Les économistes des institutions financières ont commencé à publier leurs prévisions pour l’année 2020. Constat : les boules de cristal sont passablement embrouillées, et pour cause. Ça va d’un recul de 1 % du produit intérieur brut au Canada en 2020, pour BMO, a un dégonflement de 4,2 % pour la TD.

Publié le 1 avril 2020 à 12h00

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/202004/01/01-5267451-les-economistes-dans-la-brume.php

André Dubuc
La Presse

Entre les deux, la Scotia prévoit un recul de l’économie jusqu’à la fin septembre. Avant un début de reprise, plutôt timide, au quatrième trimestre. Pour l’ensemble de 2020, la Scotia s’attend à une décroissance de 2,2 % du PIB canadien.

Le Québec devrait s’en tirer mieux que le pays en général, étant moins affecté par l’écrasement du prix du baril du pétrole. La CIBC prévoit une stabilisation de l’économie québécoise en 2020, tandis que TD (-3,7 %) et Aviseo (-3,9 %) sont plus pessimistes.

Ces prévisions ont été publiées entre le 20 et 27 mars. Les plus pessimistes sont ceux qui ont publié dans les derniers jours.

Jusqu’à 3,5 % des emplois vont disparaître à Montréal en 2020

Les chiffres proviennent d’un document publié mercredi par la Communauté métropolitaine de Montréal portant sur l’impact de la pandémie sur l’emploi du Grand Montréal.

« La COVID-19 devrait susciter une contraction prononcée, mais temporaire de l’économie du Grand Montréal au deuxième trimestre. La distanciation sociale requise pour éviter l’infection et réduire la mortalité freinera l’activité économique en immobilisant surtout les secteurs où le contact personnel est le plus prononcé : commerce de détail, services personnels, transport de passagers (aérien et en commun surtout), écrit la CMM dans un communiqué.

« Une part des activités perdues seront reportées aux trimestres suivants, précise-t-elle. Cependant, les perturbations des chaînes d’approvisionnement et des récessions parmi nos principaux partenaires commerciaux affaibliront les exportations, l’investissement et le tourisme à moyen terme. »

La CMM anticipe une baisse de 4,8 % de l’emploi dans le Grand Montréal au deuxième trimestre 2020, selon son scénario de base. Un rebond de l’emploi au second semestre viendrait compenser en partie les pertes. La baisse annuelle atteindrait seulement 0,8 %.

Un scénario plus pessimiste dépeint une chute de l’emploi de 3,5 % en 2020. La croissance attendrait en 2021.

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il y a 39 minutes, IluvMTL a dit :

https://www.journaldequebec.com/2020/04/01/annulation-des-vacances-de-la-construction--les-travailleurs-sy-opposent

Annulation des vacances de la construction : les travailleurs s'y opposent

GENEVIÈVE LAJOIE

 Mercredi, 1 avril 2020 13:16MISE À JOUR Mercredi, 1 avril 2020 13:17

Les travailleurs de l'industrie de la construction refusent que leurs vacances soient annulées cet été. 

• À lire aussi: Près de 500 nouveaux cas au Québec 

• À lire aussi: Les derniers développements de la pandémie 

Après avoir consulté leurs membres, la FTQ-Construction et le Conseil provincial (International) s’opposent à cette proposition du gouvernement Legault, qui souhaite une relance rapide de l’économie après l’épidémie. 

Pas moins de 80% des ouvriers affiliés aux deux syndicats refusent que leurs vacances soient annulées. Les travailleurs de la construction sont aussi contre l’idée de voir leurs chèques de vacances devancés. 

« Les vacances de la construction ne doivent pas être remises en cause. En ce moment, les gens ne sont pas en vacances. Ils sont confinés dans des situations d’anxiété ou de maladie et s’occupent de leurs proches qui sont loin d’être favorables au repos. Les vacances de la construction c’est essentiel non seulement pour la conciliation travail-famille, mais aussi pour la santé des travailleurs», fait valoir Éric Boisjoly, directeur général de la FTQ-Construction, par communiqué. 

«Cette période névralgique dans l’industrie touristique doit être protégée pour faire partie de la relance de toutes les régions du Québec. De plus, il est important de rappeler que ces vacances sont planifiées longtemps d’avance, et ce dans plusieurs autres industries. Il est aussi prématuré que risqué de remettre cela en question», insiste Michel Trépanier, président du Conseil provincial (International).

 

80% des ouvriers de la construction refusent d'annuler leurs vacances. Si ce chiffre est véritablement représentatif de la volonté des travailleurs, on doit en tenir compte avant d'imposer un chambardement total de leurs conditions. Il faut comprendre que ces dates coïncident généralement avec celle de leur famille, épouses et enfants. Donc après une période aussi éprouvante que la crise actuelle, on doit tenir compte de l'aspect humain avant d'ajouter témérairement une nouvelle couche de frustration sans consultation, ni approbation des gens concernés.

Je dirais qu'a situation extraordinaire il faut des mesures extraordinaires. Peut-être est-il trop tôt pour prendre une décision définitive actuellement. Mais une chose demeure, il faut s'assurer de la volonté des membres avant d'aller trop loin en imposant un décret. Car la paix sociale dans cette industrie est indispensable pour sa bonne marche. Il faut alors s'assurer de ne pas jeter de l'huile sur le feu en opposant employeurs et ouvriers. 

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On en a jusqu'en juillet minimum avec la distanciation sociale. Ils parlent déjà d'une possible 2e vague en automne. Je ne crois pas que tout va être réglé en juillet. Ils ne vont pas pouvoir réouvrir les restaurants, les bars, les cinémas et les salles de spectacles avant très longtemps. Si on se fit aux pandémies passées, on ne doit pas laisser tomber notre vigilance car la 2e vague est souvent la plus meurtrière. La distanciation sociale pourrait très bien recommencer cet automne-hiver, et ce jusqu'à temps qu'on puisse avoir accès à un vaccin.

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Il y a 6 heures, acpnc a dit :

Le principe de précaution voudrait qu'au rythme où se poursuit la contagion, même si nous aurons probablement aplati la courbe en avril ou mai, que nous soyons encore à risque de contamination, si nous relâchons trop vite nos mesures de prévention.

Il serait donc plus sage d'éviter les grands rassemblements tant qu'on n'a pas un médicament sûr pour atténuer la maladie (au mieux la guérir), limiter sa virulence et surtout une possible deuxième vague.

Donc avant de lancer la population dans la foule, donnons plutôt priorité à la reprise de l'économie, en faisant rouler nos entreprises en premier, en procédant par secteur. Il sera bien temps plus tard dans l'année d'enfin s'amuser et fêter le retour des jours meilleurs.

C'est la mort dans l'âme que je souhaite dans les circonstances, l'annulation de tous les festivals, tant qu'on n'a pas l'assurance qu'il seront sécuritaires pour la santé publique.

Pas avant l'automne, et même pas avant qu'un vaccin soit mis sur le marché, peut-être à l'automne dans le meilleur des cas. Personnellement, je ne tiens pas à vivre une deuxième vague du virus. Psychologiquement, la situation est déjà suffisamment dure pour tout le monde. on est confiné. On ne va pas vivre une deuxième vague du virus. Ce serait catastrophique, sur le plan psychologique et sanitaire.  Il faut le vaccin.

On  ne relâche pas les mesures de précaution avant plusieurs mois. Pas de grands rassemblements. Même pas de plus modestes. On ne joue pas avec le feu !!

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