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COVID-19: L'effet sur l'économie et sur l'immobilier à Montréal


Rocco

Messages recommendés

il y a 39 minutes, vivreenrégion a dit :

On en a jusqu'en juillet minimum avec la distanciation sociale. Ils parlent déjà d'une possible 2e vague en automne. Je ne crois pas que tout va être réglé en juillet. Ils ne vont pas pouvoir réouvrir les restaurants, les bars, les cinémas et les salles de spectacles avant très longtemps. Si on se fit aux pandémies passées, on ne doit pas laisser tomber notre vigilance car la 2e vague est souvent la plus meurtrière. La distanciation sociale pourrait très bien recommencer cet automne-hiver, et ce jusqu'à temps qu'on puisse avoir accès à un vaccin.

Il y a une course au vaccin. Les plus optimistes parlent de l'automne prochain. Mais les chercheurs devront fonctionner en fast track et obtenir le feu vert des autorités sanitaires pour qu'on puisse procéder à la vaccination de toute la population. Vu l'urgence de la situation, c'est concevable, mais ça va être serré. Il nous faut ce vaccin au plus vite !!! Parce que s'il fallait que nous vivions une deuxième vague...

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il y a 2 minutes, vivreenrégion a dit :

Dr.Fauci parle de 18 mois minimum. Ca pourrait être dangereux de vacciner les gens si le vaccin n'est pas à point.
https://www.cnn.com/2020/03/31/us/coronavirus-vaccine-timetable-concerns-experts-invs/index.html
 
 

On ne va pas attendre 18 mois avec une crise pareille !!! Sûrement pas !!! Il ne s'agit pas d'une crise ordinaire ! Le vaccin avant la fin 2020. 

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il y a 2 minutes, santana99 a dit :

On ne va pas attendre 18 mois avec une crise pareille !!! Sûrement pas !!! Il ne s'agit pas d'une crise ordinaire ! Le vaccin avant la fin 2020. 

Que ce soit extraordinaire ou non, il est presque impossible de préparer des milliards de vaccins en moins de 18 mois et de les distribuer à tout le monde dans les mêmes délais.

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il y a 53 minutes, vivreenrégion a dit :

Que ce soit extraordinaire ou non, il est presque impossible de préparer des milliards de vaccins en moins de 18 mois et de les distribuer à tout le monde dans les mêmes délais.

Est-ce que j'ai parlé de milliards de doses de vaccin prêtes à la fois ? C'est impossible. J ai dit qu on ne va pas attendre 18 mois avant de commencer à administrer le vaccin. On ne peut pas vacciner la planète entière en même temps, ça tombe sous le sens, évidemment, ni préparer de telles quantités de vaccins en criant ciseau. Ça se fera graduellement.

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Un nouveau respirateur conçu à Montréal

ILLUSTRATION FOURNIE PAR CAE

L’entreprise disposait de toute l’expertise nécessaire pour développer le respirateur, que ce soit en mécanique, en électronique, en logiciels, en fabrication plastique ou même en médecine, son chef du département médical étant un spécialiste de la respiration.

La firme montréalaise CAE a terminé mardi soir un premier prototype de respirateur, qu’elle travaille à faire qualifier rapidement par Santé Canada et à mettre en production, à même ses installations.

Publié le 1 avril 2020 à 17h55

https://www.lapresse.ca/covid-19/202004/01/01-5267518-un-nouveau-respirateur-concu-a-montreal.php

Jean-François Codère
La Presse

Surtout reconnue dans le domaine aéronautique, pour ses simulateurs de vols, CAE est aussi un joueur significatif dans le domaine médical, où elle conçoit et fabrique des appareils pour la formation. C’est ce qui en faisait une candidate de choix pour créer et produire des respirateurs, lesquels sont très en demande dans la lutte à la COVID-19.

« Tout notre réseau s’est tourné vers nous pour nous demander d’y aller », note Marc Saint-Hilaire, vice-président à la technologie et à l’innovation de la multinationale montréalaise.

Ce fut notamment le cas de l’Université McGill, qui avait lancé le 19 mars un défi à différentes entreprises pour concevoir un design de ventilateur facile à fabriquer.

En onze jours, une équipe de 12 personnes de CAE a trouvé la solution. L’entreprise disposait de toute l’expertise nécessaire, que ce soit en mécanique, en électronique, en logiciels, en fabrication plastique ou même en médecine, son chef du département médical étant un spécialiste de la respiration.

« Il y a beaucoup de pièces là-dedans que nous sommes en mesure de fabriquer nous-mêmes, comme le filage, les circuits imprimés ou les logiciels », énumère M.  Saint-Hilaire.

L’entreprise dispose aussi d’une vaste chaîne d’approvisionnement et est partenaire, dans l’aéronautique, d’autres multinationales qui disposent elles aussi d’une vaste chaîne d’approvisionnement.

« Tout le monde veut contribuer, il y a beaucoup de gens qui nous appellent et qui veulent aider. »

Le vice-président à l’approvisionnement de l’entreprise a déjà la liste des matériaux et pièces nécessaires entre les mains et « est au téléphone », note M.  Saint-Hilaire. Le vice-président à la fabrication, lui, est en train de concevoir un nouveau plan d’usine pour lancer les opérations.

« Tout ce qu’il manque, c’est une direction claire du gouvernement fédéral, qu’ils nous disent d’y aller, mais je pense que ça va venir bientôt. »

L’objectif a été fixé par M.  Saint-Hilaire à 10 000 respirateurs au cours des trois prochains mois, sans trop savoir encore si c’est parfaitement réaliste. La production débutera dès que ce sera possible.

« La situation demande qu’il y ait des ventilateurs en quantité suffisante au cours des trois prochaines semaines, et c’est ce sur quoi on travaille. »

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il y a 3 minutes, acpnc a dit :

Un nouveau respirateur conçu à Montréal

ILLUSTRATION FOURNIE PAR CAE

L’entreprise disposait de toute l’expertise nécessaire pour développer le respirateur, que ce soit en mécanique, en électronique, en logiciels, en fabrication plastique ou même en médecine, son chef du département médical étant un spécialiste de la respiration.

La firme montréalaise CAE a terminé mardi soir un premier prototype de respirateur, qu’elle travaille à faire qualifier rapidement par Santé Canada et à mettre en production, à même ses installations.

Publié le 1 avril 2020 à 17h55

https://www.lapresse.ca/covid-19/202004/01/01-5267518-un-nouveau-respirateur-concu-a-montreal.php

Jean-François Codère
La Presse

Surtout reconnue dans le domaine aéronautique, pour ses simulateurs de vols, CAE est aussi un joueur significatif dans le domaine médical, où elle conçoit et fabrique des appareils pour la formation. C’est ce qui en faisait une candidate de choix pour créer et produire des respirateurs, lesquels sont très en demande dans la lutte à la COVID-19.

« Tout notre réseau s’est tourné vers nous pour nous demander d’y aller », note Marc Saint-Hilaire, vice-président à la technologie et à l’innovation de la multinationale montréalaise.

Ce fut notamment le cas de l’Université McGill, qui avait lancé le 19 mars un défi à différentes entreprises pour concevoir un design de ventilateur facile à fabriquer.

En onze jours, une équipe de 12 personnes de CAE a trouvé la solution. L’entreprise disposait de toute l’expertise nécessaire, que ce soit en mécanique, en électronique, en logiciels, en fabrication plastique ou même en médecine, son chef du département médical étant un spécialiste de la respiration.

« Il y a beaucoup de pièces là-dedans que nous sommes en mesure de fabriquer nous-mêmes, comme le filage, les circuits imprimés ou les logiciels », énumère M.  Saint-Hilaire.

L’entreprise dispose aussi d’une vaste chaîne d’approvisionnement et est partenaire, dans l’aéronautique, d’autres multinationales qui disposent elles aussi d’une vaste chaîne d’approvisionnement.

« Tout le monde veut contribuer, il y a beaucoup de gens qui nous appellent et qui veulent aider. »

Le vice-président à l’approvisionnement de l’entreprise a déjà la liste des matériaux et pièces nécessaires entre les mains et « est au téléphone », note M.  Saint-Hilaire. Le vice-président à la fabrication, lui, est en train de concevoir un nouveau plan d’usine pour lancer les opérations.

« Tout ce qu’il manque, c’est une direction claire du gouvernement fédéral, qu’ils nous disent d’y aller, mais je pense que ça va venir bientôt. »

L’objectif a été fixé par M.  Saint-Hilaire à 10 000 respirateurs au cours des trois prochains mois, sans trop savoir encore si c’est parfaitement réaliste. La production débutera dès que ce sera possible.

« La situation demande qu’il y ait des ventilateurs en quantité suffisante au cours des trois prochaines semaines, et c’est ce sur quoi on travaille. »

Une très bonne nouvelle.

J'espère qu'après la crise les gouvernements vont ENFIN investir massivement en santé publique. On ne peut plus se permettre de faire face à des pénuries de matériels médicaux dans des crises pareilles.

Il va falloir être prêt à faire face à toutes les éventualités à l'avenir. C'est trop important.

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1 hour ago, vivreenrégion said:

Que ce soit extraordinaire ou non, il est presque impossible de préparer des milliards de vaccins en moins de 18 mois et de les distribuer à tout le monde dans les mêmes délais.

 

Pas necessairement des milliards de dose on donnerai le vaccin en priorité au personne agée de plus de 60 ans et aux asthmatique. Pour les plus jeunes on peut attendre.

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Je comprends l'urgence que plusieurs ressentent face à un vaccin, mais agir sans précaution pourrait faire plus de mal que de bien et surtout donner de faux espoir si le vaccin s'avérait moins efficace que prévu. Rappelons-nous que le vaccin pour la grippe de cette année était considéré comme moins performant que la moyenne des autres années. En plus jamais aucun vaccin grippal n'a été sûr à 100%, d'autant que les virus mutent avec le temps.

J'aurais tendance personnellement à faire davantage confiance à un ou des médicaments conçus pour atténuer les pires effets de ce virus. En effet si on réussit à limiter sa dangerosité, on pourrait ensuite laisser les gens attraper le virus en s'inoculant naturellement le vaccin par la formation d'anticorps. Reste maintenant à voir si ce virus ne sera pas récurrent ou qu'il ne mutera pas déjouant tous nos pronostics.

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Il y a 9 heures, IluvMTL a dit :

https://www.journaldequebec.com/2020/04/01/annulation-des-vacances-de-la-construction--les-travailleurs-sy-opposent

Annulation des vacances de la construction : les travailleurs s'y opposent

GENEVIÈVE LAJOIE

 Mercredi, 1 avril 2020 13:16MISE À JOUR Mercredi, 1 avril 2020 13:17

Les travailleurs de l'industrie de la construction refusent que leurs vacances soient annulées cet été. 

• À lire aussi: Près de 500 nouveaux cas au Québec 

• À lire aussi: Les derniers développements de la pandémie 

Après avoir consulté leurs membres, la FTQ-Construction et le Conseil provincial (International) s’opposent à cette proposition du gouvernement Legault, qui souhaite une relance rapide de l’économie après l’épidémie. 

Pas moins de 80% des ouvriers affiliés aux deux syndicats refusent que leurs vacances soient annulées. Les travailleurs de la construction sont aussi contre l’idée de voir leurs chèques de vacances devancés. 

« Les vacances de la construction ne doivent pas être remises en cause. En ce moment, les gens ne sont pas en vacances. Ils sont confinés dans des situations d’anxiété ou de maladie et s’occupent de leurs proches qui sont loin d’être favorables au repos. Les vacances de la construction c’est essentiel non seulement pour la conciliation travail-famille, mais aussi pour la santé des travailleurs», fait valoir Éric Boisjoly, directeur général de la FTQ-Construction, par communiqué. 

«Cette période névralgique dans l’industrie touristique doit être protégée pour faire partie de la relance de toutes les régions du Québec. De plus, il est important de rappeler que ces vacances sont planifiées longtemps d’avance, et ce dans plusieurs autres industries. Il est aussi prématuré que risqué de remettre cela en question», insiste Michel Trépanier, président du Conseil provincial (International).

 

N'est-il pas possible de faire une sorte de compromis ?  C'est à dire de laisser aller en vacances les travailleurs qui le désirent mais laisser travailler ceux qui préfèrent travailler et qui ont peut-être besoin de cela pour compenser les pertes qu'ils ont subi.

Je sais bien que sur certains chantiers ça peut être difficile de continuer avec un manque de plusieurs travailleurs mais je suis aussi convaincu qu'il est possible, pour d'autres chantiers, de continuer les travaux....... ou certains travaux.

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