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L'Économie du Québec


Habsfan

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le Québec a déjà un taux de natalité plus élevé que la moyenne canadienne, et bien plus élevé qu'en Ontario et BC.

 

Ahh oui!? Je dois avouer que je suis agréablement surpris!

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Je sais cela par contre j'ai des collegues de travail qui sont immigrants et sont justement revenu de l'Alberta car il n'y avait plus de jobs pour eux la-bas. Faut arreter de les bloquer nos immigrants. C'est la creme de leur lieu d'origine pour ceux qui sont parti de leur pays cela prend beaucoup de volontés et de sacrifice pour quitter et venir ici.

 

 

Depuis quelques mois, on voit que l'emploi prend du mieux au Québec. On peut espérer que ca aura un impact favorable sur l'intégration des immigrants au marché du travail.

Si l'économie continue de s'améliorer au Québec, il y aura un manque de main d'oeuvre qualifiée. On commence déjà à le sentir d'ailleurs.Notre histoire, à mon avis, explique l'attitude plutot fermée dans le millieu du travail. Le dynamisme d'une économie prospere va changer des choses. Les employeurs et les associations syndicales et professionnelles vont devoir s'ajuster,par la force des choses..C'est un contexte nouveau dans cette province où le taux de chomage a été élevé historiquement. Le plein emploi va faire la différence. Et c'est pour le mieux parce que, comme tu dis, les nouveaux arrivés sont des citoyens tres motivés.

Ainsi, si notre élan économique poursuit sur sa lancée, on peut s'attendre à d'autres bonnes nouvelles, cette fois du coté de l'intégration des immigrants. Une situation gagnant-gagnant.

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Ce n'est pas en diminuant les budgets qu'on va mieux intégrer nos immigrants. On ne peut pas non plus se limiter à l'intégration économique, il faut aussi travailler à leur intégration culturelle pour en faire des québécois à part entière.

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Ce n'est pas en diminuant les budgets qu'on va mieux intégrer nos immigrants. On ne peut pas non plus se limiter à l'intégration économique, il faut aussi travailler à leur intégration culturelle pour en faire des québécois à part entière.

 

 

L'économie est le grand catalyseur et intégrateur. C'est le meilleur moyen d'encourager la participation des immigrants dans notre société. L'intégration culturelle, commence d'abord par un environnement dynamique où il existe de bonnes oppotunités d'emplois de qualité.

Une économie en bonne croissance va en outre à la fois permettre à investir plus dans les budgets d'intégration mais aussi à devenir plus compétitf vis-à-vis l'amérique anglophone et ainsi plus retenir nos nouveaux arrivants et renforcer notre culture québecoise.

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L'économie est le grand catalyseur et intégrateur. C'est le meilleur moyen d'encourager la participation des immigrants dans notre société. L'intégration culturelle, commence d'abord par un environnement dynamique où il existe de bonnes oppotunités d'emplois de qualité.

Une économie en bonne croissance va en outre à la fois permettre à investir plus dans les budgets d'intégration mais aussi à devenir plus compétitf vis-à-vis l'amérique anglophone et ainsi plus retenir nos nouveaux arrivants et renforcer notre culture québecoise.

 

On s'entend la-dessus, mais il ne faut pas négliger les ressources qui dépendent de la volonté politique. Surtout à Montréal, qui accueille l'essentiel des nouveaux arrivants et qui peine à leur fournir les outils nécessaires pour leur intégration réussie, cela dans un délai raisonnable. C'est ici que la communication et la langue deviennent importants, pour qu'ils se joignent justement le plus rapidement possible à la majorité et qu'ainsi on puisse mieux les retenir au Québec.

 

Trop souvent le Québec a été une simple porte d'entrée qui n'a servie que de tremplin vers d'autres provinces. Ce genre de transit nous coûte une fortune et il devient une perte sèche pour l'ensemble de la communauté. Alors faisons les choses correctement. Oui bien sûr il faut de bons emplois et des facilités pour les occuper, mais simultanément il faut accompagner ces personnes et leur fournir le support nécessaire pour qu'elles adoptent définitivement le Québec comme destination finale. C'est donc avec de l'argent, des locaux, du matériel et du personnel en nombre suffisant qu'on y arrivera.

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J'ai des collègues de travail Ghanéen et Nigérien et quand ils sont arriver ils parlaient anglais mais maintenant ils se débrouillent assez bien en francais. *Le travail aide a l'integration. Pour ce qui est de l'integration culturel j'attend toujours de voir des émission de tele et de radio avec le meme ratio de personnes d'origine etrangere que l'on a dans *la société. Pour l'instant c'est pas mal blanc canadien français mur a mur.

Ce n'est pas en diminuant les budgets qu'on va mieux intégrer nos immigrants. On ne peut pas non plus se limiter à l'intégration économique, il faut aussi travailler à leur intégration culturelle pour en faire des québécois à part entière.
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Bizarre quand meme les immigrants francophone ont un plus haut taux de chomage que ceux qui ne le parlent pas. Ils y a un certain racismes meme si on ne veut pas l'avouer. L'integration se fait beaucoup aussi quand ils y a une communauté de la meme origines qui peuvent guider et appuyer les nouveaux arrivants et cela ne coute rien au gouvernement et c'est drôlement plus efficace que des fonctionnaires qui font du 9 a 5.

On s'entend la-dessus, mais il ne faut pas négliger les ressources qui dépendent de la volonté politique. Surtout à Montréal, qui accueille l'essentiel des nouveaux arrivants et qui peine à leur fournir les outils nécessaires pour leur intégration réussie, cela dans un délai raisonnable. C'est ici que la communication et la langue deviennent importants, pour qu'ils se joignent justement le plus rapidement possible à la majorité et qu'ainsi on puisse mieux les retenir au Québec.

 

Trop souvent le Québec a été une simple porte d'entrée qui n'a servie que de tremplin vers d'autres provinces. Ce genre de transit nous coûte une fortune et il devient une perte sèche pour l'ensemble de la communauté. Alors faisons les choses correctement. Oui bien sûr il faut de bons emplois et des facilités pour les occuper, mais simultanément il faut accompagner ces personnes et leur fournir le support nécessaire pour qu'elles adoptent définitivement le Québec comme destination finale. C'est donc avec de l'argent, des locaux, du matériel et du personnel en nombre suffisant qu'on y arrivera.

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Bizarre quand meme les immigrants francophone ont un plus haut taux de chomage que ceux qui ne le parlent pas. Ils y a un certain racismes meme si on ne veut pas l'avouer. L'integration se fait beaucoup aussi quand ils y a une communauté de la meme origines qui peuvent guider et appuyer les nouveaux arrivants et cela ne coute rien au gouvernement et c'est drôlement plus efficace que des fonctionnaires qui font du 9 a 5.

 

Tant mieux pour ceux qui peuvent déjà se débrouiller, mais s'intégrer à sa communauté d'origine est loin d'être suffisant pour s'intégrer réellement à la société québécoise. Ne mélangeons pas les objectifs. Quant aux fonctionnaires, il faut cesser de dénigrer leur travail. A ce que je sache, ce sont eux qui appliquent les politiques d'intégration, pas les communautés culturelles.

 

Alors le laisser-faire est contre-productif et a justement contribué au départ de dizaines de milliers de "transiteurs" depuis nombres d'années. C'est donc à la société d'accueil de déployer les efforts d'accompagnement, d'éducation et de formation aussi longtemps que nécessaire. Et ici il n'y a pas d'économie à faire, puisqu'il faut considérer le geste comme un investissement hautement rentable à long terme.

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Tu mets de coté une partie importante de mon propos je parle d'immigrants qui parlent deja français et n'arrivent pas a trouver du travail. Ils ne sont pas intégrer car ils ne travaillent pas mais ils parlent français. Je n'ai rien contre les fonctionnaires mais faut quand meme comprendre que la nature humaine fait que l'on est attirer par nos semblables. Alors si je suis un éthiopien nouvellement arrivé j'aurai tendance a aller voir des gens de ma communauté. Qui parlent la meme langue que moi et qui connaissent le parcours d'integration au Canada. Quoi de mieux. (et cela ne coute rien au gouvernement ) Et pour la langue on doit investir dans les cours de français ca oui. Et faire comme au pays-bas comme m'a dit un ami ayant vécu la-bas 7ans et donner des cours obligatoire de 6 a 12 mois aux immigrants pour apprendre les rudiments de la langue. Le reste ce fait tranquillement en travaillant apprendre une langue c'est un work in progress ca prend des années a l'apprendre.

Tant mieux pour ceux qui peuvent déjà se débrouiller, mais s'intégrer à sa communauté d'origine est loin d'être suffisant pour s'intégrer réellement à la société québécoise. Ne mélangeons pas les objectifs. Quant aux fonctionnaires, il faut cesser de dénigrer leur travail. A ce que je sache, ce sont eux qui appliquent les politiques d'intégration, pas les communautés culturelles.

 

Alors le laisser-faire est contre-productif et a justement contribué au départ de dizaines de milliers de "transiteurs" depuis nombres d'années. C'est donc à la société d'accueil de déployer les efforts d'accompagnement, d'éducation et de formation aussi longtemps que nécessaire. Et ici il n'y a pas d'économie à faire, puisqu'il faut considérer le geste comme un investissement hautement rentable à long terme.

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J'ai des collègues de travail Ghanéen et Nigérien et quand ils sont arriver ils parlaient anglais mais maintenant ils se débrouillent assez bien en francais. *Le travail aide a l'integration. Pour ce qui est de l'integration culturel j'attend toujours de voir des émission de tele et de radio avec le meme ratio de personnes d'origine etrangere que l'on a dans *la société. Pour l'instant c'est pas mal blanc canadien français mur a mur.

 

Je suis d'accord. Le problème, c'est que la diversité est essentiellement une réalité montréalaise. Les gens des régions ne voient pas cela chez eux, ou très peu. Donc, une émission correspondant à la réalité montréalaise deviendra "étrangère" pour les téléspectateurs des régions. C'est très dommage. Je pense que la diversité débutera plus facilement dans l'emploi, mais aussi dans des arts moins "identitaires" qui peuvent mieux survivre à montréal, le théâtre par exemple. Les téléromans, c'est possible, mais je pense que ce sera plus long, pcq pour réussir, cette forme a trop besoin de cotes d'écoutes provenant bcp des régions.

Modifié par MtlMan
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