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L'Économie du Québec


Habsfan

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Justement la bureaucratie aurait besoin d'etre plus efficace.

J'arrive pas a comprendre comment des banques peuvent avoir des systeme informatique complexe et pas le systeme de santé du Quebec

Non, je fais partie de la bureaucratie.
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Cette discussion va dans tous les sens, peut-on rester sur le sujet. On ne parle pas ici de santé mais d'économie. Rappelons-nous au passage qu'il n'y a pas de solution simple à des problèmes complexes, même si les populistes essaient de nous convaincre du contraire.

 

Pour revenir à la discussion, il y a plein de nouvelles économiques et d'investissements avec d'importantes créations d'emplois qui se font actuellement au Québec. Faisons-les connaitre au lieu de tergiverser sur les décisions bureaucratiques en santé ou ailleurs.

 

Certains n'hésitent pas à constamment nous mettre des pertes d'emplois, des fermetures et une économie chancelante dans la face. Où sont ceux qui s'intéressent vraiment à ce qui se passe dans la réalité et qui peuvent expliquer notre bas taux de chômage et un revirement économique qui tourne à notre faveur. Ce fil est une occasion de reconnaitre les bons coups de notre économie, car qu'on le reconnaisse ou pas, notre société distincte ne se porte pas si mal du tout. Quand on se regarde on se désole peut-être? Mais quand on se compare on se console sûrement. Seulement il faut varier nos sources pour bien voir tout le tableau.

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http://affaires.lapresse.ca/economie/201611/10/01-5039742-les-start-up-generent-plus-de-10-000-emplois-a-montreal.php

 

Publié le 10 novembre 2016 à 06h47 | Mis à jour le 10 novembre 2016 à 06h47

 

Les start-up génèrent plus de 10 000 emplois à Montréal

 

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« Montréal se taille une place dans la communauté des start-up », constate Christian Bélair, président de Credo.

Photo André Pichette, Archives La Presse

 

 

 

Réjean Bourdeau

La Presse

 

Propulsés par des entrepreneurs technos, les start-up créent plus de 10 000 emplois à Montréal. Une étude, dévoilée ce matin, présentera, pour la première fois, le portrait de ce secteur. Voici les chiffres.

 

>>> Consultez l'étude

 

Potentiel du secteur

 

« On avait le sentiment qu'il se passait quelque chose, dit Christian Bélair, président de Credo, la firme de services-conseils auteure de l'étude. Avec ce portrait, on voit non seulement l'effervescence, mais aussi le potentiel du secteur. »

Une start-up est une entreprise fondée il y a moins de cinq ans. Ses caractéristiques ? L'utilisation de la technologie numérique et de l'innovation. Et un fort potentiel de croissance.

Île de Montréal

 

Le document de 96 pages se concentre sur les entreprises installées sur l'île de Montréal. Il est le fruit de l'initiative de Credo, de Sylvain Carle, directeur général de FounderFuel, et de Philippe Telio, fondateur du Startupfest.

Les partenaires financiers sont le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal. De même que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.

Emplois estimés

 

 

  • 8000 emplois directs
  • 2500 emplois indirects (entités de soutien)
  • 1800 à 2600 start-up actives
  • 400 start-up individuellement répertoriées

Impact économique

 

 

  • 282 millions: Production directe
  • 322 millions: Production indirecte
  • 190 millions: Masse salariale
  • 92 millions: Retombées fiscales

Financement

 

 

  • 360 millions: Fonds investis depuis 5 ans
  • 400 000 $: Médiane des rondes de financement
  • 2,3 millions: Taille moyenne d'une ronde de financement
  • 61 %: investisseurs de Montréal
  • 9 %: investisseurs de San Francisco
  • 8 %: investisseurs de Toronto

Profil des fondateurs

 

 

  • 80 % homme, moyenne de 33 ans
  • 20 % femme, moyenne de 29 ans
  • 38 % Baccalauréat
  • 29 % Maîtrise
  • 45 % Commerce, gestion, administration
  • 15 % Mathématiques, informatique
  • 12 % Architecture, génie

Enjeux critiques à la croissance

Dans 65 % des cas: financement

 

 

  • 41 % Talents et compétences
  • 33 % Accès au marché
  • 29 % Culture
  • 24 % Leadership
  • 24 % Sensibilisation du grand public

Des recommandations

L'écosystème start-up de Montréal est encore jeune. Pour aider à son essor, plusieurs recommandations sont proposées, explique Jean-François Charette, analyste principal chez Credo.

Parmi elles, faciliter l'intégration et la rétention des talents internationaux. Et initier davantage les étudiants au monde des start-up.

On recommande aussi de privilégier les liens avec les universités, de mettre de l'avant l'importance des femmes et de renforcer la collaboration avec les firmes de capital-risque.

 

 

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Les Quebecois sont plus riches qu'il n'y parait | Francis Vailles | Francis Vailles

Publié le 14 novembre 2016 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

Les Québécois sont plus riches qu'il n'y paraît

 

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icoAdd.pngFrancis Vailles

 

 

 

 

La Presse

 

 

Tout pris en compte, les Québécois ne sont pas les 57e plus pauvres en Amérique sur les 61 États et provinces. Le niveau de vie des ménages du Québec se classe plutôt au 31e rang, selon une analyse de notre chroniqueur Francis Vailles. Et leurs revenus ont crû bien davantage que la moyenne américaine depuis 20 ans.

 

 

Depuis des années, les Québécois se font dire qu'ils sont parmi les plus pauvres en Amérique du Nord. Qu'ils ont une économie stagnante, moribonde.

 

Encore récemment, le chef de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault, me répétait que le Québec est au 57e rang sur 61 États nord-américains pour le produit intérieur brut (PIB) par habitant(1). Selon lui, il faut donner un électrochoc à notre économie.

 

Ce constat étonne quand on connaît la grande pauvreté de certains États supposés plus riches que le Québec, comme la Géorgie, la Virginie-Occidentale, l'Alabama, le Nouveau-Mexique, le Tennessee ou la Louisiane, pour ne nommer que ceux-là.

 

Les familles québécoises sont-elles aussi pauvres qu'on le dit ? Pour en avoir le coeur net, j'ai comparé les revenus avant impôt des ménages des 61 États et leur évolution depuis 20 ans. J'ai pris le revenu médian, soit le point milieu de l'échelle de distribution, qui est universellement reconnu comme plus représentatif que la moyenne, elle-même trop influencée par les très hauts revenus. J'ai également tenu compte du coût de la vie de chacune des régions comparées.

 

 

Le portrait change radicalement, mes amis. D'abord, en comparant le revenu des ménages plutôt que le PIB par habitant, le Québec passe du 57e au 46e rang. Ensuite, en ajustant les données pour tenir compte du coût de la vie, nous remontons au 31e rang !

 

Dit autrement, le niveau de vie des Québécois est au beau milieu du peloton nord-américain, devant tous les États nommés ci-dessus, mais également devant la Floride, le New Jersey et le Maine.

 

Concrètement, le ménage québécois médian gagnait 59 200 $CAN en 2014, selon Statistique Canada. Cette somme équivaut à 49 600 $US une fois convertie pour tenir compte des différences de pouvoir d'achat moyen entre le Canada et les États-Unis. Ces 49 600 $US placent le Québec au 46e rang(2).

 

 

Maintenant, le coût de la vie diffère entre les deux pays, mais aussi selon les régions. Par exemple, un steak T-bone au Texas coûte 9,44 $US la livre, comparativement à 11,38 $US en Alaska. Même genre de constat pour le logement, l'habillement, l'essence et tutti quanti.

 

Ainsi, deux ménages semblables à deux endroits différents qui gagnent 60 000 $ chacun n'ont pas le même niveau de vie si les prix sont très différents.

 

Au Canada, Statistique Canada établit les différences de coût de la vie entre les grandes villes des provinces canadiennes. Aux États-Unis, c'est le Council for Community and Economic Research (C2ER) qui fait l'exercice depuis 1968.

 

 

Dans les deux cas, les milliers de données sur les prix, taxes incluses, permettent de faire un indice global, avec une base de 100 pour chacun des deux pays. Par exemple, pour 2014, l'indice est de quelque 134 en Alaska contre 96 au Texas, ce qui correspond à un écart de 40 % dans les prix. À Montréal, l'indice est de 94, tandis qu'il est de 108 à Toronto.

 

 

Bref, en tenant compte de ces indices, il est possible de ramener les revenus sur une base comparable. Ainsi, le revenu du ménage médian du Québec passe à 52 800 $US, ce qui nous place au 31e rang. Au sommet se trouvent les principaux États pétroliers, notamment l'Alberta (78 900 $US), l'Utah (68 200 $US), la Saskatchewan (65 400 $US) ou le Dakota du Nord (60 700 $US).

 

En queue de peloton, loin derrière, on retrouve la Virginie-Occidentale (40 000 $US), durement frappée par les fermetures de mines de charbon ces dernières années, de même que le Mississippi (40 300 $US), dont la croissance des revenus a été anémique (2 % depuis 10 ans !).

 

Il s'agit d'ordres de grandeur, bien sûr, mais ils donnent un portrait plus représentatif de la réalité du ménage type de chaque région que le PIB par habitant. L'onglet suivant présente une carte avec l'ensemble des 61 États et provinces(3).

 

 

Selon les économistes Pierre Fortin et Luc Godbout, la méthode tient la route. « Dans l'ensemble, c'est une belle approximation des écarts de revenus », dit Luc Godbout.

 

« La méthode m'apparaît bien correcte, dit Pierre Fortin. Et les résultats permettent aux Québécois d'arrêter de s'autoflageller. »

 

Certains pourraient arguer que les Québécois paient plus d'impôts qu'ailleurs et qu'il faudrait comparer les revenus après impôts. Le hic, c'est qu'aux États-Unis, les Américains doivent assumer une facture plus lourde qu'au Québec avec leurs revenus après impôts (santé, médicaments, électricité, assurance auto, universités, garderie, etc.).

 

 

François Legault n'a pas tort de dire que le Québec est au 57e rang sur 61 pour le PIB par habitant, et il faut s'en préoccuper. Outre les différences de prix entre les régions, trois raisons peuvent expliquer l'écart entre cette approche et celle des revenus des ménages (31e rang).

 

 

Premièrement, le PIB par habitant s'apparente à une moyenne de revenus par personne plutôt qu'à une médiane. Or, la moyenne est poussée vers le haut aux États-Unis en raison des très hauts revenus.

 

 

Deuxièmement, les mécanismes de redistribution plus importants au Québec et au Canada ont tendance à rehausser les revenus médians, davantage qu'aux États-Unis.

 

 

Troisièmement, le revenu des ménages n'est qu'une des trois composantes du PIB. Le revenu net des entreprises est l'autre principale composante et, dans une moindre mesure, celui des gouvernements. Il est possible qu'au Québec, les entreprises aient un revenu moindre qu'aux États-Unis, toutes proportions gardées, ce qui ferait baisser le PIB par habitant.

 

 

Quoi qu'il en soit, le ménage type du Québec gagne pratiquement autant que son équivalent américain, tout pris en compte. Et ça change drôlement la perception de notre niveau de vie relatif.

 

***

1. Les 61 régions sont les 10 provinces canadiennes et les 50 États américains, auxquels il faut ajouter la capitale Washington, dans le district de Columbia.

2. Au Canada comme aux États-Unis, les ménages comptent en moyenne 2,5 personnes. Au Québec, c'est 2,3.

3. L'indice des coûts de la vie a été difficile à estimer pour l'État de New York parce que les écarts entre les villes sont très grands. Le quartier de Manhattan a un indice de 220, tandis que la ville de Buffalo est à 102. Nous avons estimé l'indice pour les neuf principales villes de l'État de New York à 125, mais il faut garder cette réserve à l'esprit.

 

 

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  • 3 semaines plus tard...

Une chance que nous venons de signé une entente de libre échange avec l’Europe ! c'est venu a point.

 

ça va faire mal, mais je pense que les américains, vont en souffrir autant que nous. Si nous gardons le libre échange avec le Mexique, il y aura moyen d'avoir des produits pas cher... Parce que bon, s'il font ça, c'est sur que le canada va leur foutre une taxe de 20% sur les produits américain en retour.

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Not exactly Montreal news, but surely good news for Quebec!

 

 

L'Industrielle Alliance rachète HollisWealth à la Banque Scotia

 

Le groupe financier Industrielle Alliance a annoncé lundi avoir conclu une entente qui lui permettra de racheter la firme de conseil HollisWealth des mains de la Banque Scotia.

 

Selon le chef de la direction de l'Industrielle Alliance, Yvon Charest, l'acquisition fera l'assureur de Québec «une des plus grandes firmes-conseils non bancaires en gestion de patrimoine au Canada», avec des actifs sous gestion totalisant 75 milliards $.

 

HollisWealth compte des actifs sous gestion atteignant 34 milliards $, en plus de 800 conseillers autorisés, 400 000 comptes actifs de clients et plus de 300 bureaux au Canada.

 

La firme était passée sous le giron de la Banque Scotia en 2011, lorsque cette dernière avait acquis DundeeWealth, qui comprenait en outre la firme de gestion d'actifs Dynamic Funds. Dynamic ne fait pas partie de la transaction annoncée lundi et restera chez la Scotia.

 

Le prix de l'acquisition dépendra de la valeur de l'actif sous gestion au moment de la clôture de la transaction, laquelle est prévue pour le troisième trimestre de l'an prochain.

 

L'opération sera financée à même les liquidités de l'Industrielle Alliance, ainsi qu'à l'aide d'une émission d'actions ordinaires. À ce sujet, l'Industrielle Alliance s'est entendue avec un syndicat de preneurs fermes dirigé par Valeurs mobilières TD sur l'achat de 2,5 millions d'actions au prix de 55,65 $ chacune, pour un produit brut de 139 millions $.

 

Une option de surallocation pourrait augmenter ce produit brut de 13,9 millions $. La clôture du placement devrait avoir lieu vers le 14 décembre.

 

L'action de l'Industrielle Alliance a clôturé la séance de lundi en baisse de 21 cents à la Bourse de Toronto, à 56,78 $.

 

L'Industrielle Alliance rachète HollisWealth à la Banque Scotia

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  • 3 semaines plus tard...

<header> L’economie du Quebec se porte mieux que prevu | Le Devoir

 

PIB L’économie du Québec se porte mieux que prévu

 

La bonne tenue du marché du travail sauve les meubles

 

</header> 22 décembre 2016 |Le Devoir | Actualités économiques

<figure class="photo_paysage"> image.jpg <figcaption> Photo: Olivier Zuida Le Devoir Les ménages soutiennent l’économie, notamment par des dépenses de consommation en progression. </figcaption> </figure> L’économie du Québec se porte mieux que prévu. La bonne tenue du marché du travail va permettre de sauver les meubles cette année.

Le PIB a augmenté de 0,5 % au troisième trimestre 2016, suivant une croissance de 0,9 % au premier trimestre et de 0,3 % au deuxième. Pendant ce temps, au Canada, la croissance rebondit à 0,9 % au troisième trimestre, à la suite d’un repli au trimestre précédent (- 0,3 %). Après neuf mois, le PIB du Québec augmente de 1,7 % par rapport à la même période en 2015, alors que l’économie canadienne croît de 1,2 %, souligne l’Institut de la statistique du Québec.

 

L’ISQ résume. Au troisième trimestre, la progression de l’économie québécoise est stimulée principalement par les dépenses de consommation des ménages et la reprise de l’accroissement des stocks, alors que les dépenses des administrations publiques se contractent. Les investissements demeurent stables, et le solde négatif du commerce extérieur s’amplifie.

 

Consommation en progression

 

Les ménages soutiennent donc l’économie. Les dépenses de consommation sont en progression de 0,8 %, inscrivant une hausse pour un cinquième trimestre consécutif. «La croissance cumulative des dépenses de consommation finale des ménages s’élève désormais à 2,2% en 2016, en regard d’une hausse de 1,1% pour l’ensemble de l’année 2015. Les dépenses de consommation finale des administrations publiques sont pour leur part en baisse (– 0,2%).»

 

L’ISQ observe également une contribution positive des entreprises en matière d’investissements. «Pour un troisième trimestre consécutif, la formation brute de capital fixe des entreprises augmente (+ 0,1%), suivant une période de neuf trimestres consécutifs de contraction.»

 

Quant au secteur extérieur, les exportations ont progressé de 0,8 % au troisième trimestre mais les importations ont également augmenté, de façon plus prononcée (+ 1,3 %), «ce qui mène à une deuxième détérioration consécutive du solde du commerce extérieur».

 

Les exportations du Québec ont toutefois diminué, de 4,6 %, en octobre, alors qu’elle baisse de 0,3 % au Canada. En volume, pour les 10 premiers mois de 2016, le recul est de 2,6 % comparativement au niveau enregistré pour la période correspondante en 2015, contre une hausse de 1 % au Canada dans l’intervalle. Pour leur part les importations ont reculé de 5,3 %, de 6,1 % au Canada, en octobre. Leur volume cumulatif pour les dix premiers mois est inférieur de 3,4 % au niveau enregistré pour la même période en 2015 alors qu’il est en baisse de 0,4 % au Canada.

 

Exportations

«Les exportations internationales en volume vont terminer l’année fort probablement à un niveau inférieur à celui de 2015. Cependant, les importations vont diminuer davantage, si bien que le solde commercial international contribuera malgré tout à la croissance en 2016», a souligné Marc Pinsonneault, économiste principal à la Banque Nationale.

 

Revenant au PIB, «après trois trimestres, l’économie du Québec se porte beaucoup mieux qu’attendu. La revitalisation de la demande intérieure finale, qui avait périclité au cours des trois années précédentes constitue l’agréable surprise.» Marc Pinsonneault pointe en direction de la bonne tenue du marché du travail. Elle a stimulé les dépenses de consommation des ménages, «en voie de croître au-delà de 2% cette année, ce qui constituera la meilleure performance depuis 2010, ce qui sera aussi le cas de la construction résidentielle.»

 

Des jours meilleursPour les entreprises, et même si les investissements sont en retrait par rapport à l’an passé, «la reprise des bénéfices des entreprises au troisième trimestre nous permet d’envisager des jours meilleurs […] Pour autant que le marché du travail continue de performer, une croissance soutenue des dépenses de consommation est prévisible. Nous révisons notre prévision de croissance économique du Québec de 1,5% à 1,7% en 2016.»

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