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STM : Station de Métro : Lionel-Groulx


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En faisant passer le SLR par Lionel-Groulx, on raterait l'occasion de desservir Griffintown, la Cité du multimédia et éventuellement peut-être la Cité du havre et le Techno-parc.

 

C'est un SLR de surface.

 

La station Lionel-Groulx serait pour la ligne du SLR qui va dans l'ouest. L-G est déjà une station ''double'', ligne orange-verte. Les gens pourraient prendre le métro et décider de sortir à L-G pour quitter vers l'Ouest. Il a toujours été question du tracé vers Griffintown-centre-ville. Ceci est un autre projet.

Modifié par vivreenrégion
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C'est un SLR de surface.

 

La station Lionel-Groulx serait pour la ligne du SLR qui va dans l'ouest. L-G est déjà une station ''double'', ligne orange-verte. Les gens pourraient prendre le métro et décider de sortir à L-G pour quitter vers l'Ouest. Il a toujours été question du tracé vers Griffintown-centre-ville. Ceci est un autre projet.

 

Avez-vous lu l'article?

 

« Avec l'implantation d'un SLR sur le nouveau pont Champlain, le maire estime que le secteur Lionel-Groulx figure parmi les options à considérer. »

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  • 2 mois plus tard...

via le Journal Métro :

 

Métro Lionel-Groulx: le Sud-Ouest a le feu vert pour développer le secteur

 

Par André Desroches

TC Media

 

L’arrondissement du Sud-Ouest pourra finalement aller de l’avant avec la planification du développement de la zone englobant le métro Lionel-Groulx et le marché Atwater, dans Saint-Henri.

 

Le Sud-Ouest veut se donner une vision d’ensemble pour le développement de ce secteur. En juin 2014, l’administration du maire Benoit Dorais avait adressé une demande d’appui à la ville centre pour ce travail de planification. Mais sa requête était demeurée sans réponse.

 

Le maire Denis Coderre donne aujourd’hui le feu vert à cet exercice, qui sera mené en 2015 avec le soutien du Service de la mise en valeur du territoire de la Ville.

 

Le service «offrira son soutien à l’arrondissement dans le cadre d’une planification à portée locale afin de maximiser les retombées de ce secteur et particulièrement du site du métro Lionel-Groulx, dont la réserve foncière offre un potentiel unique», souligne la Ville de Montréal.

 

On ignore pour le moment quelle forme prendra l’aide de la ville centre. Il y a eu des échanges préliminaires avec l’arrondissement, mais «l’entente de collaboration n’a pas encore été élaborée», indique la Ville.

 

Consultation publique

 

Il est également trop tôt pour dire quelle forme prendra l’exercice de planification.

 

Projet Montréal réclame un programme particulier d’urbanisme (PPU), comme ce fut le cas pour Griffintown. Ce PPU ferait l’objet d’une consultation de l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM). Pour la conseillère municipale de Projet Montréal, Sophie Thiébaut, «il faut que le travail de planification se fasse avec des moyens crédibles».

 

«Les processus de planification sont soumis pour consultations publiques par l’OCPM selon la loi, rappelle la Ville. Le processus n’a pas encore été déterminé pour ce secteur.»

 

La population aura son mot à dire pour déterminer les orientations, assure Benoit Dorais. «On ne sait pas quelle sera la forme, mais il y aura une consultation. C’est sûr et certain. Le public va être mis à contribution», dit-il.

Potentiel

 

Pour Denis Coderre ce secteur «offre un potentiel de revitalisation pour des activités diversifiées et pour un pôle stratégique de transports».

 

En janvier dernier, il avait évoqué un projet de terminus intermodal. La Société de transport de Montréal n’avait pas commenté. «Un projet de gare intermodale dans le secteur du métro Lionel-Groulx fait l’objet de discussions à la Ville», a fait savoir la ville centre, précisant toutefois que les échanges sont «peu avancés».

 

Archivex

 

Benoit Dorais estime par ailleurs que l’exercice de planification ne doit pas empêcher le développement du projet de recyclage de l’ancien entrepôt Archivex situé sur la rue Saint-Jacques près de Greene.

 

Le promoteur veut convertir l’immeuble, qui accueillerait essentiellement des bureaux. À terme, il y aurait création de plus de 1000 emplois. «On n’attend pas. Je pense qu’on peut y aller dès maintenant», estime M. Dorais. Le Sud-Ouest a besoin de ces emplois, qui ne manqueraient pas d’avoir un impact sur l’économie du secteur, notamment pour les commerçants de la rue Notre-Dame.

 

Sophie Thiébaut juge qu’il faut d’abord attendre les résultats de l’exercice de planification. «On ne peut pas avancer avec un projet prévoyant l’arrivée de 1300 travailleurs si on ne sait pas l’ampleur des projets d’à côté, explique-t-elle. Ça nous semble primordial d’avoir toutes les données.»

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  • 4 années plus tard...

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