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_mtler_

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  3. That is criminal! Wow Sent from my iPhone using Tapatalk
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  5. You're comparing this to a tragedy that took 1500 lives? Go get help. Sent from my iPhone using Tapatalk
  6. Love reading these stories! Thanks for sharing. Will be interesting to see the tourism numbers at the end of the fall. Sent from my iPhone using Tapatalk
  7. Entire lot. Sent from my iPhone using Tapatalk
  8. Fence installed on the perimeter Sent from my iPhone using Tapatalk
  9. _mtler_

    Le Réveil de Montréal

    Le comité de travail sur la fiscalité non résidentielle et le développement économique rend public son rapport : « Pour une métropole en affaires » http://www.newswire.ca/fr/news-releases/le-comite-de-travail-sur-la-fiscalite-non-residentielle-et-le-developpement-economique-rend-public-son-rapport---pour-une-metropole-en-affaires--590912471.html MONTRÉAL, le 22 août 2016 /CNW Telbec/ - Après quelque 5 mois de travaux, le comité de travail sur la fiscalité non résidentielle et le développement économique à Montréal rend public son rapport intitulé « Pour une métropole en affaires », comportant 17 recommandations formulées à l'intention du maire de Montréal. Lors du dépôt du budget 2016, la Ville de Montréal avait fait connaître sa volonté d'offrir aux entreprises des conditions favorisant leur développement et la création d'emplois. C'est dans cet objectif, qu'en février dernier, le maire de Montréal confiait le mandat à un comité travail externe d'analyser la compétitivité de la fiscalité non résidentielle sur le territoire montréalais et d'examiner les outils d'intervention que la Ville de Montréal déploie pour soutenir le développement des entreprises. Le maire avait alors demandé à Mme Anne-Marie Hubert, associé directrice pour le Québec EY, de présider ce comité de travail composé de représentants de la collectivité montréalaise intéressés par le développement de la métropole. Dans le cadre de son mandat, le comité a souhaité s'intéresser à plusieurs volets de l'action municipale et non pas uniquement aux aspects fiscaux et financiers. Il recommande dans son rapport plusieurs pistes d'action administratives et financières pour améliorer la compétitivité de la métropole et favoriser le développement de ses secteurs commerciaux et industriels. Pour une métropole en affaires En matière d'attractivité et de compétitivité, il est indéniable que Montréal dispose de plusieurs atouts stratégiques. Cependant, force est de constater que la croissance économique est nettement en deçà du potentiel d'une métropole comme Montréal. Il faut renverser cette situation pour accroître la création de richesse et améliorer le niveau de vie des citoyens. Nos constats ne surprendront personne. Plusieurs défis identifiés dans ce rapport sont connus de tous les niveaux de gouvernement. Le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal ont amorcé des discussions visant à renforcer le rôle de la métropole comme locomotive économique du Québec. La concrétisation de l'engagement du gouvernement à reconnaître le statut de métropole nous apparaît crucial pour l'avenir de Montréal. Les membres du comité estiment que la Ville de Montréal doit prendre le pari du développement économique et assumer un leadership fort à ce sujet. Montréal a un rôle important à jouer pour accroître la vitalité économique de son centre-ville, de ses zones d'emplois et de ses artères commerciales. Or, un constat général se dégage des travaux du comité : il n'est pas toujours facile de faire des affaires à Montréal. Par sa fiscalité, sa réglementation, ses processus décisionnels et ses services aux entreprises, la Ville de Montréal joue un rôle direct dans le coût et la rapidité de réalisation des projets immobiliers, commerciaux et industriels. Le grand nombre de politiques et de règlements, leur complexité et leur grande variabilité d'un arrondissement à l'autre constituent des irritants majeurs qui compliquent la réalisation des projets sur le territoire montréalais Pour accroitre l'attractivité et la compétitivité de son territoire, le comité recommande les principales pistes d'actions suivantes : Développer une véritable culture de service à la clientèle Parmi les principales conditions de réussite figure d'abord un changement radical de culture organisationnelle qui doit être nettement tournée vers le développement d'affaires. Les membres du comité invitent la Ville de Montréal à se fixer des objectifs ambitieux d'harmonisation et de simplification de ses processus administratifs sur l'ensemble de son territoire et instaurer une culture de service à la clientèle dans ses services. Ralentir la croissance de ses dépenses et prendre le virage de l'écofiscalité Une gestion rigoureuse des dépenses municipales et un recours accru à des sources de revenus autres que l'impôt foncier deviennent incontournables si la Ville souhaite réellement accroître sa capacité d'offrir des conditions favorables au développement des entreprises. Avec la signature de la COP21, la Ville doit, sans plus tarder, prendre le virage de l'écofiscalité et poser des gestes forts pour optimiser l'utilisation de certains services municipaux tout en minimisant les impacts environnementaux. Elle doit d'une part, accélérer le rythme d'installation des compteurs d'eau pour les immeubles non résidentiels et explorer des avenues de tarification de l'eau pour les immeubles résidentiels et, d'autre part, implanter rapidement sur son territoire un système de tarification de la collecte des matières résiduelles basé sur le principe de l'utilisateur-payeur. Une politique de tarification de l'eau devrait inclure une forme de crédit pour les ménages dont la consommation serait inférieure à un seuil jugé raisonnable. Réduire l'écart entre le fardeau fiscal des immeubles non résidentiels et résidentiels Le comité invite la Ville à accentuer les efforts qu'elle a entrepris pour réduire la croissance du fardeau fiscal imposé aux immeubles non résidentiels La catégorie des immeubles non résidentiels assume une part importante du fardeau fiscal total qui est imposé à l'ensemble des contribuables montréalais, soit 56,1 % en 2015 alors que l'assiette non résidentielle représente 26,1 % de la base de l'impôt foncier total de la Ville. Ce niveau de contribution est proportionnellement beaucoup plus élevé sur le territoire de la Ville de Montréal que dans les autres villes de la région métropolitaine, ce qui nuit à la compétitivité pour la métropole. Par ailleurs, dans l'optique de soutenir les commerçants de proximité, la Ville de Montréal devrait ajouter à sa structure fiscale un taux différencié réduit qui s'appliquerait à une première tranche de valeur foncière non résidentielle. Poursuivre le rythme de réhabilitation de ses infrastructures urbaines. La qualité des infrastructures et de l'aménagement urbain est un facteur déterminant pour la prospérité économique des villes. Des infrastructures en mauvais état nuisent à l'attractivité et à la compétitivité et, ultimement, au développement économique d'une ville ou d'une région. Sur ce chapitre, la Ville de Montréal fait face à des défis majeurs. Des solutions novatrices de financement telles que la taxe kilométrique, les redevances de développement pour les nouveaux secteurs et les secteurs majeurs de redéveloppement ou la captation de la plus-value foncière doivent être explorées pour réduire la dépendance à l'impôt foncier de la Ville de Montréal. Développer des mesures de soutien pour les commerçants fortement pénalisés par la réalisation de travaux majeurs d'infrastructures Les chantiers majeurs d'infrastructures génèrent des contraintes d'accessibilité et, par conséquent, perturbent les activités commerciales d'une rue commerçante. Il est impératif que la Ville s'assure de bien planifier, communiquer et mitiger les travaux. Afin de diminuer le plus possible les délais de réalisation des travaux, il faudrait privilégier une approche 24 heures/7 jours lorsque c'est possible pour les grands travaux d'infrastructures sur les artères commerciales. Dans les cas extrêmes, lorsque des travaux majeurs ont pour conséquence de fermer une rue ou de sérieusement limiter l'accès aux commerces riverains pendant une période prolongée, la Ville devrait mettre en place un programme de soutien pour compenser une partie de la perte des revenus engendrée par ces travaux. Certes, les défis sont nombreux mais les membres du comité sont optimistes sur la capacité de la Ville à insuffler une nouvelle vigueur à son secteur non résidentiel. En terminant, au nom de tous ses collègues du comité, Mme Hubert tient « à remercier les élus de la Ville de Montréal de leur avoir offert l'opportunité de contribuer à la réflexion sur les mesures à prendre pour optimiser le potentiel de développement économique de Montréal. Nous espérons que les recommandations de ce rapport contribueront à faire de Montréal une métropole attractive et compétitive, un lieu où il fait bon vivre, travailler et faire des affaires. » Sent from my iPhone using Tapatalk
  10. City of Côte-St-Luc eyes CP rail yards for development http://montrealgazette.com/news/local-news/city-of-cote-st-luc-eyes-cp-rail-yards-for-development The Canadian Pacific rail yards take up about one-third of Côte St-Luc — land that the city would like to re-purpose. Mayor Mitchell Brownstein says owning that land “would be a great boon for the city,” which “desperately needs” the land for housing and business development. The railway company has owned the land well over 100 years, and Brownstein said CP could make a profit by selling. “I do believe that it’s a reality that could happen in the next five to 10 years with the proper plan,” the mayor said in an interview with the Montreal Gazette, adding developments similar to the future Quinze40 shopping complex in Town of Mount Royal and a residential redevelopment of the former Blue Bonnets racetrack on Décarie Blvd. in the Côte-des-Neiges—Notre-Dame-de-Grâce borough could increase the value of the rail yard land. Brownstein, who has been in office since April, said during that time he has met with CP to discuss moving the train yard off island to Les Cèdres near Vaudreuil, and that the company wouldn’t be opposed to the idea as long as a reasonable development project were proposed. Brownstein said CP could make a financial gain by selling the land and relocating. But the Coalition for the Relocation of the St-Luc Rail Yards — a non-profit organization led by a former mayor of Côte-St-Luc and former MNA for D’Arcy-McGee, Robert Libman — says city hall isn’t doing enough, “and this is why citizens felt the need to create something to make it happen.” “(The rail yards) are located at the geographic epicentre of the island of Montreal,” said Libman, an architect and real estate lobbyist. “It’s somewhat of an obstacle to economic development.” If train operations were moved off the island, Libman said, Côte-St-Luc would find itself with 2.04 million square metres (though the city estimated it at 1.6 million square metres) of land in a prime location, which he valued at least $1 billion. Libman, who now runs Libcorp, an urban-planning consulting firm, said he has no intention of becoming personally involved in developing the land. “The even number I used was based on the relative value of residential land in that area, which about $50 a square foot,” he said in an interview. The city said it couldn’t confirm the land’s potential value. Potential developers would buy the land directly from CP. “Côte-St-Luc has right now the second-highest tax rate on the island,” Libman said. “And one way to expand Côte-St-Luc’s tax base would be to allow the rail yards to leave.” Libman’s coalition has asked a class of graduate students at McGill University’s School of Urban Planning to come up with a redevelopment plan and feasibility study for moving the yards, including possible decontamination. In the meantime, the coalition sent a letter to CP Rail in mid-July to present its vision. CP hasn’t responded yet, Libman said. The CP rail yard in Côte-St-Luc is one of largest in Canada, linking Eastern Canada to the West and the United States. A variety of products, including wood, chemicals, plastic, metals, minerals, consumer products and oil pass through the yards, which also border St-Laurent, Lachine and the CN-owned Taschereau yards. Since the Lac-Mégantic disaster of 2013, which saw 47 people killed after a runaway oil train jumped the tracks and blew up in the centre of town, several cities have expressed concern about hazardous materials being shipped through their territories by rail. Libman’s group call the rail yards in Côte-St-Luc “a threat to safety and security” because of the dangerous elements that are handled there. Mauricio Guitta lives on Wentworth Ave. close to the freight cars. He considers the move a welcome proposal. “My friend … he (lives) right in front of the trains. The whole house shakes and the lights shake and everything,” he said. Still, not everyone in the neighbourhood agrees. Yao Liu said he’d never heard of the idea and would rather keep the yards because they block off traffic and provide security to the family-friendly area. “We don’t have a lot of traffic on our side,” he said. “Even in summertime when I open the windows, I hear nothing.” The city’s communications manager, Darryl Levine, said the city would work with developers by re-zoning parts of the new district for both residential and commercial buildings. He added that Côte-St-Luc hopes property taxes from new business and homeowners would make up for losing revenue from CP’s property taxes CP. As well, Levine said, the rail yards have for years stalled progress on a plan to connect Cavendish Blvd. from Côte St-Luc to St-Laurent. “You have to build an overpass to go over all the tracks that are in the CP rail yard and you may also have to build an underpass beneath some of them and that’s hugely expensive,” Levine said. “It’s an important missing link in the road network.” This summer, the city of Montreal put a reserve on a parcel of land adjacent to the yards necessary to build the missing link of Cavendish Blvd. and allay traffic woes in the area. Yet the city would encourage potential developers to create a neighbourhood built around people rather than around cars, Levine said. *** CP Rail would not confirm or deny holding relocation talks with Brownstein, but emailed The Montreal Gazette a pamphlet of its relocation policy, which describes the moving of rail lines out of a city as a “complex and serious issue,” requiring an extensive review to “determine the impact to customer service and the full cost to all stakeholders, which will be significant.” Three Canadian prairie cities that are among the fastest growing metro centres in the country are similarly eyeing such spaces for development. Regina is working on plans to redevelop the site of a former CP rail yard located in the heart of the city. Saskatoon is considering the possibility of relocating its rail yard. And the Manitoba provincial government even hired former Quebec premier Jean Charest to head a task force to analyze rail yard relocation efforts in Winnipeg. 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  11. Lengthy article in the International Railway Journal: http://www.railjournal.com/index.php/north-america/montreal-embraces-public-public-infrastructure.html Sent from my iPhone using Tapatalk
  12. I think he sent a "drunk text" to mtlurb Sent from my iPhone using Tapatalk
  13. Baseball stadium to the rescue Sent from my iPhone using Tapatalk
  14. Downtown condo tower project criticized for lack of green space http://montrealgazette.com/news/local-news/downtown-condo-tower-project-criticized-for-lack-of-green-space There is a marked lack of “social acceptability” and a high level of disappointment among downtown residents over a proposal to build two 19-storey condominium high-rises on René-Lévesque Blvd., a report from Montreal’s public consultation board revealed Thursday. Residents worry the twin towers will create a soaring architectural blight in a community of low-rise buildings and Victorian-style homes. They’re concerned the towers will loom over two adjoining heritage buildings and render them insignificant. Most of all, they’re disappointed the one remaining possibility for a large green space and perhaps a soccer field in their high-density neighbourhood is likely lost. And this after years of efforts by community groups and residents that resulted in an official urban plan adopted in 2012 that prioritized the need for green spaces, community centres and playgrounds. Sent from my iPhone using Tapatalk
  15. This wasn't there yesterday! Robert Hardy inc. specializes in restauration. http://www.roberthardyinc.com/en/home.html Sent from my iPhone using Tapatalk
  16. Beauty! Sent from my iPhone using Tapatalk
  17. Topped? Sent from my iPhone using Tapatalk
  18. http://www.jll.com/Research/Global-Office-Index-Q2-2016.pdf Sent from my iPhone using Tapatalk
  19. http://affaires.lapresse.ca/economie/transports/201608/09/01-5008770-taxelco-dalexandre-taillefer-achete-taxi-diamond.php La firme Taxelco d'Alexandre Taillefer a annoncé mardi l'acquisition de Taxi Diamond, la plus grande entreprise du secteur à Montréal. La valeur de la transaction n'a pas été dévoilée. Diamond s'ajoute à Taxi Hochelaga, acquis l'an dernier par Taxelco, et à Téo, un service de taxis électriques lancé il y a quelques mois. Avec les 1100 voitures de Taxi Diamond, Taxelco compte désormais une flotte de 1720 véhicules. Sent from my iPhone using Tapatalk
  20. J'aime l'optimisme mais il faut être réaliste aussi. A mon avis on aurait vu beaucoup plus de projets à 'Le Montréal du futur" si c'était le cas. Sent from my iPhone using Tapatalk
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