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  1. en direction est?? ça me surprendrait, elle serait cachée derrière les plus hautes tours. Peut-être de la 20 en direction est avant d'arriver à turcot.
  2. T'as une source pour ces infos là?? (pas que je doute, mais juste pour ma curiosité).
  3. mtlurb

    Canadiens de Montréal

    Une occasion d'affaire que l'ontarien a vu ici... (que les francophones supporteraient une équipe de francophones).
  4. mtlurb

    Canadiens de Montréal

    L'histoire financière du Canadien de Montréal 11 novembre 2007 - 19h26 La Presse Vincent Brousseau-Pouliot Agrandir Alex Kovalev 1909 L'homme d'affaires J. Ambrose O'Brien, qui a bâti sa fortune dans l'industrie minière en Ontario, crée le Club de hockey Canadien. L'équipe comprend exclusivement des joueurs francophones. Pendant trois saisons, elle sera d'ailleurs la seule équipe pouvant aligner des francophones. 1910 L'homme d'affaires George Kennedy, propriétaire du Club athlétique Canadien, acquiert le Canadien. Si la ligue ne lui accordait pas l'équipe convoitée, Kennedy la menaçait de lui interdire d'employer le nom "Canadien", dont il détenait les droits. Sa première décision comme propriétaire est de déménager le Canadien de la patinoire Jubilee, dans l'est de la ville, à l'aréna de Westmount. 1921 Après le décès de George Kennedy, le Canadien est vendu pour la somme de 11 500 $ à Léo Dandurand, Joe Cattarinich et Louis Létourneau. 1926 Le Canadien déménage au Forum de Montréal, l'aréna de ses rivaux montréalais, les Maroons, qui cesseront leurs activités en 1938. 1935 Léo Dandurand et Joe Cattarinich vendent l'équipe 65 000 $ à Ernest Savard, Maurice Forget et Louis Gélinas. Les trois hommes représentent en réalité la société Canadian Arena, propriétaire des Maroons! 1940 Le Canadien devient officiellement la propriété de la Canadian Arena, une société présidée par le sénateur fédéral Donat Raymond. 1957 Le sénateur Raymond vend le Canadien à un de ses collègues au Sénat, Hartland Molson, et son frère Tom Molson. 1971 Les frères Molson vendent le club à une autre famille bien connue du milieu des affaires montréalais, les Bronfman, qui sont aussi propriétaires de l'équipe de baseball les Expos de Montréal. 1978 Peter et Edward Bronfman vendent le Canadien à la société Molson. 1996 Le Canadien déménage du Forum au Centre Molson, aujourd'hui le Centre Bell, construit au coût de 190 millions US. 2000 L'homme d'affaires américain George Gillett achète 80,1% des actions du Canadien et du Centre Bell au coût de 181 millions US. Molson conserve 19,9% des actions. La Caisse de dépôt et placement du Québec a prêté 140 millions avec intérêts à George Gillett dans le cadre de cette transaction. La Caisse a été remboursée en totalité en 2006. Sources: La Presse et le livre Les
  5. «Montréal, métropole culturelle» - Le directeur du MOMA prend part au débat Isabelle Paré Édition du lundi 12 novembre 2007 Mots clés : Glenn D. Lowry, MOMA, «Montréal, métropole culturelle», Musée, Culture, Québec (province), Montréal Leadership, leadership, leadership. S'il n'y avait qu'un mot à retenir pour faire en sorte que Montréal brille parmi les métropoles culturelles du monde, Glenn D. Lowry, l'influent directeur du Musée d'art moderne de New York (MOMA), choisirait celui-là. showBigBox(); Au moment où le tout-Montréal culturel converge ce matin au rendez-vous «Montréal, métropole culturelle», l'homme derrière la renaissance du MOMA soutient qu'une métropole ne peut se démarquer que si la communauté locale fait preuve d'une volonté assidue et imperturbable de placer la culture au premier rang de ses priorités. «Pour devenir une métropole culturelle, il faut une réelle volonté de faire de la culture la priorité. Cela ne veut pas dire pour autant se désengager d'autres secteurs, comme l'éducation ou la santé. Mais il faut tenir compte du fait que la meilleure façon d'attirer de bons médecins dans une ville, c'est d'avoir des infrastructures culturelles intéressantes à offrir», défend Lowry, considéré comme l'un des hommes les plus influents du monde dans le milieu de l'art à l'heure actuelle. Le directeur du MOMA était de passage à Montréal vendredi dans le cadre d'une tournée nord-américaine destinée à faire connaître la programmation à venir de son musée. Évidemment, Montréal n'est pas New York. Et les recettes new-yorkaises ne peuvent être plaquées ici, affirme Lowry, qui connaît très bien la réalité canadienne. Le directeur du MOMA a dirigé de 1990 à 1995 la très publique Art Gallery of Ontario (AGO) avant d'être pressenti à l'âge de 41 ans par nul autre que Laurance Rockefeller, l'influent financier américain et bienfaiteur de la première heure du MOMA, pour entamer l'importante modernisation du fameux musée d'art moderne de la 53e avenue. Pourvu d'un budget annuel atteignant 150 millions, le MOMA ne touche pas un sou de l'État. «Les leçons de New York ou de Toronto ne s'appliquent pas à Montréal. Mais, si tout le monde pousse dans la même direction, et qu'il y a un plan, on est sur la bonne voie. Le seul vrai ingrédient, c'est le leadership qui doit venir de la communauté locale», estime-t-il. Glenn Lowry, qui parle un français impeccable et dont le fils étudie à Concordia, connaît Montréal sur le bout de ses doigts. Il est marié à la fille de la très respectée journaliste Gretta Chambers, ex-chancelière de l'université McGill. Un mariage d'intérêt Dans la Grosse Pomme, explique-t-il, le mariage entre affaires et culture coule de source. Siéger au sein du conseil d'administration d'un grand musée est même considéré comme le summum d'une carrière pour un homme d'affaires, insiste M. Lowry. Ici, c'est une tout autre affaire. Seulement 13 % des sommes versées par le milieu des affaires en commandites vont au soutien aux arts, contrairement à 26 % dans le reste du Canada. À New York, on n'a en effet pas lésiné sur les moyens pour assurer la résurrection du MOMA en 2004. Près de 900 millions, dont 825 provenant de sources privées, ont été investis par la communauté -- seulement 65 millions par la ville de New York et 10 millions par l'État de New York -- pour rénover le bâtiment, agrandir la collection et doubler la superficie du MOMA. Pour mener à bien cette immense opération logistique et financière, le MOMA, fondé en 1929 par la famille Rockefeller, ne rogne pas non plus sur le salaire versé à son directeur, qui touche 1,28 million par année. Pour s'assurer de garder Lowry aux commandes du MOMA, un fonds spécial a même été créé entre 1995 et 2004 par Rockefeller pour arrondir son salaire, notamment pour lui payer un appartement et lui verser des primes qui ont totalisé 5 millions en huit ans. Bref, on a accordé au directeur du MOMA un traitement équivalent à celui que reçoit n'importe quel p.-d.g. d'une grande entreprise new-yorkaise. La même pratique prévaut d'ailleurs dans d'autres musées, mêmes ceux en partie financés par l'État, dont le célèbre Metropolitan Museum of Art, et il ne se trouve personne à New York pour s'en offusquer. Coup de barre du milieu, coup de pouce de l'État Au moment où la Chambre de commerce du Montréal métropolitain invite ses membres à s'engager pour l'avenir culturel de Montréal, Glenn Lowry croit que le milieu ne doit pas compter que sur les pouvoirs publics pour insuffler un renouveau culturel à Montréal. «Les grandes villes ne sont pas bâties par les gouvernements. Au bout du compte, ce sont des individus qui font la différence. Ce sont les gens qui créent les villes. Ce que les gouvernements peuvent faire, par contre, c'est créer des conditions favorablesÝ, explique-t-il. Glenn D. Lowry donne l'exemple de la renaissance culturelle de Londres, facilitée par les investissements massifs faits par le gouvernement britannique et la Ville de Londres, notamment pour créer la Tate Modern. «Depuis, les galeries s'y sont multipliées, et c'est devenu le centre culturel et économique de l'Europe. Les gouvernements peuvent contribuer à donner l'élan», affirme ce gestionnaire. Même portrait pour Barcelone. Le renouveau de la capitale catalane a été propulsé par le plan savamment élaboré pour les Jeux olympiques de 1992 et par la volonté politique du maire de l'époque, Pasqual Maragall, juge M. Lowry. Depuis, Barcelone brille au panthéon des nouvelles capitales culturelles d'Europe les plus visitées. New York a connu le renouveau de son quartier des spectacles sous le règne Giuliani, Barcelone, celle de plusieurs quartiers centraux sous la coupe de Maraguall, Montréal devra-t-elle se trouver un Maragall pour accéder au club restreint des capitales culturelles? Selon l'influent directeur, les milieux d'affaires ne doivent pas voir le soutien aux arts comme une dépense, mais bien comme un investissement. «La Ville de New York, qui hésitait à financer notre opération, a déjà recouvré la totalité de son investissement, simplement grâce aux revenus supplémentaires de taxes», explique l'ex-directeur de l'AGO. Les 65 millions investis par la Ville de New York, qui devaient être recouvrés en cinq ans, l'ont été en à peine trois ans. La modernisation du MOMA, redessiné par l'architecte nippon Yoshio Taniguchi, a connu un succès inespéré. Le nombre de ses visiteurs, qui était de 1,7 million avant la rénovation, a bondi à 2,2 millions en 2006, dont 70 % sont des touristes étrangers. Cela se traduit non seulement par des revenus supplémentaires pour le musée, mais aussi pour les restaurants, les hôtels, le milieu culturel, la Ville de New York et la communauté en général. «La clé n'est pas seulement l'argent, croit-il. La clé se trouve dans la volonté de la communauté de trouver l'argent nécessaire à la réalisation de ces priorités. Est-ce que les leaders croient que la culture est essentielle? Vous avez déjà plusieurs atouts à Montréal, plusieurs grandes universités, une longue histoire, un plan urbain intéressant. Il y a déjà en place plusieurs des ingrédients essentiels pour réussir.»
  6. J'ai plus l'impression que cette partie est peut être utilisée par le Louis-Bohème.
  7. Qu'est-ce qu'ils font sur l'îlot Balmoral en ce moment?? Y'a de la machinerie, c'est clôturé et on dirait qu'ils nivellent la partie nord du terrain.
  8. non non. Industrielle Alliance ne possède plus de terrains non-développés au centre-ville. Habsfan, tu es sûr que la personne ne parlait pas de la rénovation de l'immeuble jsute à côté du terrain? (640 cathcart) Quoi qu'il en soit, voici le terrain :
  9. mtlurb

    Square Cartier: 5 étages

    Mais il y a les autres phases aussi.
  10. bon les amis, continuez le sujet dans le coin discussion général ou dans la section "projets abandonnés"... mélangeons pas les cartes!
  11. Gilbert c'est vrai que le casino avait promis de favoriser l'emploi du quartier avant les autres. Oublie pas avec un hôtel et salle de spectacle, t'as beaucop de jobs peu ou pas spécialisés (genre placier, femmes de ménage, personnel au stationnement, à la cuisine, manutention, et une panoplie de jobs reliés aux services rendus au visiteurs). Moi je crois qu'avant tout ce projet aurait permis à des centaines de familles de sortir du cercle vicieux et de remettre les commerces locaux sur les rails. Il y a pas une règle qui dit que les employés du casino ne peuvent pas jouer au casino?? Ça aurait réglé une partie du problème de jeu que ça aurait créé pour les habitants du quartier.
  12. Y'en a justement pleins de maisons là bas. La phase 1, qui est déjà construite depuis 1986, est assez spéciale à regarder parce qu'elle est en pleins quartier résidentiel. Je crois que Industrielle Alliance veut simplement développer tout leur terrain, et non pas seulement une partie.
  13. J'en prend note. Merci de m'avoir corrigé. Je l'ignorais.
  14. Il s'agit en fait de 2 tours de 12 étages. Elles ont une partie plus basse de 8 étages qui aura un toit vert. Les deux tours seront des bureaux et auront une superficie de 260 000 pi2 chaque.
  15. désolé monctezuma, mais ça ressemble a une stratégie qu'on sort quand on se rend compte que notre projet peut ne pas fonctionner. Peut-être que c'est vrai qu'ils voulaient employés du monde de pointe st-charles, mais on s'entend aussi que y'en a pas beaucoup de jobs disponibles pour eux. La plupart demande une formation et ça coute de l'argent. Bref, j'y aurais cru une fois le casino constuit et les employés engagés. Edit : Ils font quoi comme travail tes amis?
  16. J'ai répondu au sondage. J'ai hâte de voir ils vont en faire quoi.
  17. C'est vraiment dommage de la part du fédéral... Le planétarium aurait vraiment sa place au parc olympique. On pourrait considérablement augmenter le nombre de visiteurs. Même si l'astronomie ne m'intéresse pas, je m'oblige à y aller le premier mois de son ouverture, si jamais le projet abouti.
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