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  1. http://www.tvanouvelles.ca/2016/05/15/le-college-royal-militaire-de-saint-jean-reprendra-son-titre-duniversite Ca demeure une bonne nouvelle pour la région de Montréal si ca aboutit
  2. Un auteur dénonce l’«apartheid» universitaire au Québec. Même si le poids démographique des anglophones est inférieur à 6% au Québec, les universités anglophones s’y partagent près de 30% du budget. Aux yeux de l’auteur Louis Préfontaine, c’est à ce problème que devrait répondre le gouvernement lorsqu’il est question du sous financement des universités du Québec. À l’occasion de la sortie du livre Apartheid universitaire, Métro s’est entretenu avec l’auteur. Vous dénoncez le surfinancement des universités anglophones. Le titre de votre livre, Apartheid universitaire, est-il volontairement provocateur? C’est pour faire prendre conscience qu’il y a deux réseaux parallèles d’éducation. On a un réseau francophone qui a une très faible vitalité avec des revenus moindres. La minorité anglophone du Québec jouit d’un réseau d’éducation largement mieux financé per capita que celui de la majorité francophone. On peut donc considérer qu’il y a une forme d’apartheid entre les réseaux. C’est une forme de discrimination à l’égard du Québec. On a qu’à regarder notre réseau pitoyable d’universités francophones. Mais oui, il y a une composante de provocation dans mon titre, mais il est assumé. Selon vous, la solution est de financer les universités anglophones selon le poids démographique des cette communauté au Québec? On ne prend pas les moyens d’assurer la vitalité de notre langue. Ce que je propose dans mon livre est de régler une injustice et de financer les universités anglophones en fonction de leur poids démographique. Et même en faisant cela, on leur donnerait plus que ce que les minorités des autres pays reçoivent. À ce sujet: McGill et Concordia blâmées par les étudiants Les étudiants s’inquiètent du taux d’emploi Des Belges se disent intimidés pour avoir porté le carré rouge Si on finançait de manière équitable les universités au Québec, il faudrait franciser les Universités Bishop, McGill et la moitié de Concordia. Ça vous donne une idée de l’ampleur du surfinancement. -Louis Préfontaine, auteur d’Arpatheid universitaire Mais il n’y a pas que des anglophones dans ces universités… C’est vrai et c’est correct. Mais ce serait bien aussi qu’il y ait des anglophones dans les universités francophones. Il y a aussi beaucoup d’étudiants étrangers dans ces universités qui sont financés avec nos impôts. On attire des gens (et notamment des Français) qui ne souhaitent pas de participer à la culture québécoise mais plutôt à la culture majoritaire anglophone nord-américaine. En soit, ce n’est pas un problème. Le problème c’est que nous payons pour ça. S’il y avait une université privée, elle pourrait faire ce qu’elle veut. Mais en ce moment, 50% des étudiants de McGill ne viennent pas du Québec. Et nous, nous payons pour ces gens-là. Sans McGill, le Québec ne se classerait pas dans les meilleurs palmarès d’universités… Oui McGill est une très bonne université, mais c’est une université qui ne favorise pas l’ouverture à la culture québécoise. Et si on donnait à l’UQAM les sommes que l’on donne à McGill ou si on donnait une faculté de médecine à l’UQAM on améliorait sa réputation et sa qualité. McGill, historiquement, est un symbole de la domination de la minorité de langue anglaise au Québec et ils n’ont jamais accepté le fait qu’ils ne sont plus une minorité canadienne, mais une minorité québécoise. Et c’est la clé pour comprendre le problème actuel. Votre livre sort dans un contexte propice où le financement universitaire est dans l’actualité. Oui. Je n’en parle pas directement dans le livre, mais c’est aussi un argument aux étudiants pour le dire regardez il y a moyen de réaménager les choses pour aller chercher les sommes dont le gouvernement a besoin. Le cas McGill L’université McGill reçoit 1,2 G$ du 1,7 G$ que les universités anglophone reçoivent (71%) du Québec. En prenant le financement de chaque institution séparément (et non pas en réseau comme le réseau de l’Université de Montréal qui comprend HEC et Polytechnique), McGill est l’université la plus financée au Québec. Et un étudiant sur deux à McGill vient de l’extérieur du Québec. M. Préfontaine se demande donc pourquoi ce serait au Québec de financer cette situation. http://journalmetro.com/actualites/national/65422/un-auteur-denonce-lapartheid-universitaire-au-quebec/
  3. Un investissement de 120 M $ L'UdeS projette de construire deux tours à Longueuil Claude Plante La Tribune Sherbrooke L'Université de Sherbrooke construira tout près de la station de métro de Longueuil un complexe universitaire qui commandera l'investissement de 120 millions $ en deux phases. Le projet comporte l'érection de deux tours, l'une de 17 étages et l'autre de 12 étages, ce qui représente quelque 45 000 m2 de plancher. Ce premier complexe universitaire sur la Rive-Sud permettra à l'Université d'y loger son Campus de Longueuil dès 2008 pour répondre aux besoins croissants de la population longueuilloise et montérégienne, indique un communiqué. La première phase, de l'ordre de 75 millions, comprend la tour universitaire de 17 étages et un atrium qui seront ouverts en 2008, a-t-on indiqué en conférence de presse à Longueuil lundi avant-midi. La seconde phase, de l'ordre de 45 millions, consiste en une tour de 12 étages dont la construction pourrait débuter d'ici cinq ans en fonction du développement des activités du Campus de Longueuil, a indiqué le recteur de l'Université de Sherbrooke, Bruno-Marie Béchard. Active en Montérégie depuis plus de quatre décennies, l'Université de Sherbrooke a fondé son Campus de Longueuil en 1989. Il compte aujourd'hui quelque 10 000 personnes en lien avec les neuf facultés de l'Université, aux niveaux du baccalauréat, de la maîtrise comme du doctorat. Le Campus de Longueuil offre plus de 90 programmes, majoritairement en formation continue pour les professionnels en exercice, en plus de loger des activités de recherche, notamment en collaboration avec l'Hôpital Charles LeMoyne, affilié à l'Université de Sherbrooke, et plusieurs organismes et entreprises de la Montérégie.
  4. Y a-t-il trop d'immigrants? Publié le 12 décembre 2009 à 05h00 | Mis à jour le 12 décembre 2009 à 05h00 Claude Picher La Presse Le marché du travail n'est plus capable d'offrir des emplois de qualité à tous les immigrants qui arrivent au Canada. Il faut donc se demander si le temps est venu de revoir les plafonds d'immigration à la baisse. La question n'est pas posée par un quelconque groupe de pression xénophobe, mais par Peter Grady, un économiste de grande réputation. M. Grady, ancien haut fonctionnaire au ministère des Finances, a notamment été consultant à la Commission Macdonald et président du Groupe de travail sur l'emploi saisonnier et l'assurance-emploi. Dans un article publié dans la dernière livraison de Fraser Forum, la revue mensuelle de l'Institut Fraser (1), M. Grady rappelle qu'en 2006, plus de 250 000 immigrants se sont installés au Canada. Il propose d'introduire une nouvelle cible beaucoup plus basse, à 100 000 par année. D'emblée, il reconnaît que sa proposition risque de faire des vagues. «Avec le système de sélection actuel, il est impossible d'intégrer harmonieusement 250 000 nouveaux arrivants par année sur le marché du travail, écrit-il, mais bien peu de gens sont prêts à l'admettre, et encore moins à faire quelque chose pour corriger la situation.» Pourtant, la situation des immigrants sur le marché du travail se détériore constamment depuis un quart de siècle, y compris chez ceux qui détiennent un diplôme universitaire. Jusqu'en 1980, la position des immigrants sur le marché du travail épousait un modèle bien connu : un immigrant récent (arrivé depuis moins de cinq ans) pouvait s'attendre à gagner plus ou moins 80 % du salaire d'un travailleur né au Canada. Au bout d'une période variant de 10 à 20 ans, la plupart des immigrants réussissaient à combler cet écart, et souvent à faire mieux. Le scénario ne tient plus. Ainsi, en 1980, un homme immigrant récent, diplômé universitaire, gagnait en moyenne 79 % du salaire d'un travailleur né au Canada. Ce pourcentage est passé à 61 % en 1990, 59 % dix ans plus tard, et seulement 48 % en 2005. Concrètement, cela signifie qu'en dollars ajustés pour tenir compte de l'inflation, le salaire de l'immigrant est passé de 48 500 $ en 1980 à 30 300 $ en 2005. Pendant la même période, le Canadien d'origine a vu son salaire passer de 61 400 $ à 63 200 $. Autrement dit, le travailleur né au Canada a réussi à maintenir son pouvoir d'achat, et même un peu plus, tandis que la condition de l'immigrant, même titulaire d'un diplôme universitaire, s'est fortement détériorée. Le même raisonnement s'applique aux hommes et aux femmes, aux diplômés et aux non diplômés, aux travailleurs qualifiés comme aux autres. Sur tous les fronts, la situation des immigrants empire. Non seulement les revenus des immigrants reculent, mais ils ont plus de difficulté à trouver un emploi. En 2006, le taux de chômage était de 5,2 % chez les hommes nés au Canada et de 9,3 % chez les immigrants récents. Les chiffres équivalents pour les femmes sont 5 % et 14,3 %. Mais pourquoi donc les immigrants n'arrivent-ils pas à de meilleurs résultats? M. Grady rappelle qu'en 1993, Immigration Canada a apporté des changements à son système de pointage. Traditionnellement, un candidat à l'immigration se méritait un certain nombre de points, distribués selon une série de critères (âge, éducation, connaissance d'une des deux langues officielles, expérience de travail, emploi déjà garanti au Canada, etc). Ce système a été modifié pour mettre davantage l'accent sur les qualifications professionnelles et l'éducation. Avec des résultats probants, du moins sur papier. Depuis 1995, la majorité des immigrants adultes qui s'installent au Canada sont des travailleurs qualifiés. Et depuis 2000, les diplômés universitaires sont également majoritaires. Or, il y a une énorme différence entre les chiffres officiels et la vrai vie. Sur le terrain, il est clair que les employeurs n'accordent pas beaucoup d'importance à l'expérience de travail acquise à l'étranger, et encore moins aux diplômes étrangers. Dans ces conditions, la situation des immigrants continuera à se détériorer. Pour M. Grady, la seule façon de corriger le problème est de rehausser les critères de sélection. Selon ce raisonnement, plus on est rigoureux dans le choix des immigrants, plus on restreint forcément le nombre de nouveaux arrivants; en revanche, ceux qui sont admis auront de plus fortes chances de se tailler une belle place sur le marché du travail. Mais ce n'est pas demain la veille que cela arrivera. Réaliste, l'auteur conclut : «Ce ne sera pas facile d'introduire cette réforme. Tous les partis politiques sont soumis à d'énormes pressions pour maintenir l'immigration à des niveaux élevés, sans égard pour les conséquences économiques.» ----- (1) On peut télécharger gratuitement la revue (disponible en anglais seulement) à partir de la page d'accueil de l'Institut : http://www.fraserinstitute.org
  5. Au moment où le secteur de l'automobile canadien souffre des malheurs nord-américains de GM, Ford et Chrysler, 54 projets ont reçu hier un financement totalisant 20 M$. Pour en lire plus...
  6. La terrasse du Pub de l'Université Laval aura un nouveau visage à l'été 2008. Deux jeunes étudiants en architecture ont revampé la terrasse... Projet impressionnant, unique et magnifique!En 48 heures, deux jeunes étudiants de l’Université Laval ont modernisé la terrasse du Pub universitaire. Ils ont élaboré les plans d’un «parasol» géant surplombant la plus grande terrasse de la ville de Québec.Le concours était ouvert à tous les étudiants en architecture de l’Université Laval, tous les niveaux confondus. Les grands gagnants sont des étudiants de deuxième année au baccalauréat, Alexandre Guilbeault et Jean-Daniel Mercier. «Le concours a été organisé par la CADEUL, l’association étudiante de l’Université Laval. C’était de réorganiser la terrasse du Pub de l’Université Laval», explique Alexandre. Les participants au concours ont commencé à mijoter leur projet un certain vendredi à 15h00 pour remettre les plans et dessins finaux le dimanche suivant à 16h00. Et selon leurs dires, le café a été essentiel à l'élaboration de ces plans. «On a dormi deux heures en 48 heures», ajoutent-ils d'un commun accord. «On a voulu donner à la terrasse une image plus corporative. En créant un grand «parasol». Donc, les gens, en pensant Pub universitaire pourraient penser au grand «parasol»», souligne Alexandre. «C’est un élément qui vient créer l’identité du projet», ajoute Jean-Daniel. Ce marathon architectural en valait la peine puisque le «parasol» géant se matérialisera, si tout va bien, à l’été 2008. Les deux étudiants participeront aux travaux qui devraient se mettre en branle dès le printemps 2008. Le «parasol» géant n’a pas qu’un côté esthétique, il se veut utile et a pour but de rendre le séjour au Pub universitaire encore plus agréable et convivial. «Ça vient protéger contre le soleil les gens sur la terrasse. Ça vient régler le problème du vent. Il y a beaucoup de vent sur le campus. Les parasols partaient au vent. En ayant un parasol fixe, ça vient régler ces problèmes!», conclut Jean-Daniel. Les toiles du «parasol» sont amovibles et le soir venu, ces toiles se transforment en une décoration nocturne. Canoë a rencontré les deux gagnants au Pub de l’Université Laval et a eu la chance d’observer les plans finaux de ce projet qui souhaitons-le, deviendra le point de ralliement des étudiants de l’Université Laval! SOURCE http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/12/20071220-125353.html VIDÉOS MONTRANT LE REPORTAGE ET LES PHOTOS DU PROJET http://espace.canoe.ca/MCForest/video/view/30393
  7. 09/11/2007 Le classement 2007 du Times Higher Education Supplement publié aujourd’hui consacre la place de l’Université de Montréal dans le groupe des 100 meilleures universités au monde. L’UdeM arrive au 93e rang de ce classement établi par l’hebdomadaire britannique à partir de données transmises par les universités et les réponses obtenues à un sondage auprès de milliers de personnes travaillant dans le milieu universitaire. Au 93e rang de ce classement mondial, l’UdeM est la première université de la Francophonie. Cette excellente performance de l’UdeM représente un bond important en comparaison avec le 181e rang obtenu l’an dernier et s’explique, entre autres, grâce aux efforts soutenus de l’UdeM pour accroître son rayonnement national et international. De plus, le Times a apporté certaines modifications à sa méthodologie afin de mieux reconnaître les contributions scientifiques en d’autres langues que l’anglais. Le classement du Times, tout comme celui produit par l’Université de Shanghai où l’UdeM figure parmi les 200 meilleurs, évalue l’excellence de la recherche universitaire à l’échelle mondiale. Ce sont les classements les plus représentatifs de l’environnement dans lequel évolue l’UdeM.
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