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  1. Une Symphonie du jeu video de Montreal presentee par l'Orchestre Metropolitain pour le 375e MONTRÉAL, le 9 juin 2016 /CNW Telbec/ - L'Orchestre Métropolitain, en collaboration avec l'Alliance numérique, présentera en novembre 2017 la Symphonie du jeu vidéo de Montréal dans le cadre des festivités du 375e anniversaire de Montréal ; un spectacle multimédia durant lequel les musiciens de l'Orchestre interpréteront les thèmes de jeux vidéo marquants qui ont été produits à Montréal. Les compagnies de jeux vidéo de Montréal sont invitées dès maintenant à soumettre les trames sonores de leurs jeux pour que celles-ci figurent à la programmation du concert. La sélection finale sera dévoilée à l'automne 2016. « L'Orchestre Métropolitain est fier de présenter cet événement multimédia de grande envergure, à l'image du dynamisme de l'industrie du jeu vidéo de Montréal, a dit Jean Dupré, président et directeur général de l'Orchestre Métropolitain. C'est pour nous l'occasion de décloisonner les formes d'arts et de présenter la musique symphonique dans un contexte nouveau et hautement stimulant ! C'est d'autant plus une grande joie pour l'Orchestre de mettre en valeur le talent créatif des compagnies de jeux vidéo qui font partie intégrante de l'identité de la ville de Montréal. » Le spectacle aura également tout un pôle interactif : en synchronisme avec l'Orchestre, seront projetées sur grand écran des séquences des jeux vidéo. Afin d'ajouter une dimension interactive au concert, une personne du public sera invitée à monter sur scène pour jouer en direct à un jeu vidéo. Sa performance sera projetée et sera accompagnée simultanément par l'Orchestre. « L'Alliance numérique est heureuse d'appuyer l'initiative de la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. Nous sommes enthousiastes quant au succès de cette spectaculaire initiative dans le cadre des festivités du 375e anniversaire de Montréal et invitons les compagnies de jeux vidéo à participer en soumettant leurs musiques. Ce projet offrira une belle visibilité au savoir-faire et à la créativité nécessaires à la création des jeux vidéo de qualité qui font la renommée de notre industrie. », a déclaré Catherine Émond, directrice des services aux membres de l'Alliance Numérique, qui représente les studios de jeu vidéo du Québec. Le concert sera dirigé par la chef Dina Gilbert. Une œuvre originale du compositeur de jeu vidéo Maxime Goulet, initiateur du projet, sera présentée. Composée spécialement et exclusivement pour le concert, cette œuvre servira de thème musical pour la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. Pour guider le spectateur d'un jeu à l'autre, un maître de cérémonie interagira avec le public et fera des liens entre les différentes musiques interprétées par l'Orchestre en dévoilant les caractéristiques recherchées par les auteurs des pièces originales dans le contexte de l'expérience de jeu projeté. La Symphonie du jeu vidéo de Montréal offre aux entreprises de jeux vidéo ayant un studio à Montréal l'opportunité de prendre part à cet événement unique en son genre en soumettant une à la programmation du concert. Pour ce faire, les entreprises sont encouragées à remplir le formulaire sur le site web de la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. « Ce spectacle original et exclusif représente un exemple probant de la programmation du 375e anniversaire de Montréal, a déclaré Alain Gignac, directeur général de la Société du 375e anniversaire de Montréal. La vivacité de la métropole sera célébrée à travers cet alliage entre la puissance d'un orchestre symphonique et l'univers immersif et interactif du jeu vidéo. Une soirée mémorable à ne pas manquer », a conclu M. Gignac. « Voilà l'esprit du 375e anniversaire de Montréal ! Quelle étonnante et intéressante initiative entre l'Orchestre Métropolitain et l'Alliance numérique ! Les compagnies de jeux vidéo de Montréal nous démontreront encore une fois leur volonté d'ouvrir grandes leurs portes aux citoyens, leurs forces créatives et leur attachement à la métropole », a souligné le maire de Montréal, Denis Coderre. « Le gouvernement du Québec est fier de soutenir la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. En concevant ce concert interactif inédit, l'Orchestre Métropolitain confirme la capacité des promoteurs montréalais d'innover pour mettre en lumière le talent de nos musiciens et créateurs. Cet événement original contribuera à la reconnaissance de notre métropole comme chef de file mondial dans le secteur du multimédia », a fait savoir le ministre des Affaires municipales et de l'Occupation du territoire, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de Montréal, M. Martin Coiteux. À propos de l'Orchestre Métropolitain Toujours composé de musiciens d'ici, majoritairement formés au Québec, l'Orchestre Métropolitain est un organisme de calibre international voué au rayonnement de la musique symphonique d'ici et d'ailleurs, au service de toute la communauté métropolitaine de Montréal et de ses divers organismes culturels. Sous la direction artistique de Yannick Nézet-Séguin depuis 2000, la renommée de l'Orchestre Métropolitain n'a cessé de croître et d'évoluer -- à Montréal, au Québec, au Canada et à l'étranger. À propos de l'Alliance numérique Depuis sa création en 2001, Alliance numérique constitue le réseau d'affaires de l'industrie des nouveaux médias et des contenus numériques interactifs du Québec. L'Alliance compte plus de 100 membres actifs dans le secteur du jeu vidéo et du divertissement numérique interactif. Elle soutient leur développement en leur offrant une gamme étendue de services et d'activités. Elle multiplie aussi les partenariats, les rencontres et les échanges sur les scènes nationale et internationale afin de favoriser la croissance, la compétitivité et le rayonnement de l'industrie, dans le respect de tous ses intervenants. L'Alliance agit également à titre d'interlocuteur privilégié de l'industrie auprès des pouvoirs publics. À propos du 375e de Montréal La Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal est un organisme sans but lucratif qui a pour mission d'organiser les festivités et contributions socio-économiques qui marqueront le 375e anniversaire de Montréal en 2017. Privilégiant la mise en valeur de l'expertise montréalaise, elle agit comme un catalyseur des forces dans la réalisation de son mandat : mobiliser la communauté, mettre en œuvre une stratégie de financement, administrer de façon rigoureuse les fonds recueillis, élaborer une programmation de qualité et assurer la promotion des festivités. Animée par la volonté de créer des ponts, elle compte sur l'appui d'un conseil d'administration, d'un conseil des gouverneurs et de plusieurs comités. La Société bénéficie du soutien financier de la Ville de Montréal, du gouvernement du Québec et de 10 Grandes Montréalaises. À propos de Maxime Goulet, compositeur Maxime Goulet a composé plus de 25 trames sonores de jeux vidéo dont Warhammer 40,000: Eternal Crusade, Roller Coaster Tycoon World, The Amazing Spider-Man, Dungeon Hunter-I, II, III, IV, Shrek Forever After, Brothers in arms 2: Global Front, Brothers in Arms 3: Sons of War. Il est également le créateur de la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. Ses œuvres de musique classique, dont Chocolats symphoniques, ont été jouées à travers le Canada, aux États Unis, en Europe et en Amérique du sud, par des ensembles tels l'Orchestre Métropolitain, l'Orchestre symphonique de Montréal, Angèle Dubeau, l'Orchestre symphonique de Vancouver, l'Orchestre philharmonique de Calgary et l'Orchestre du Centre national des Arts. À propos de Dina Gilbert, chef d'orchestre Reconnue pour son énergie, sa précision et sa polyvalence, Dina Gilbert aborde avec passion le grand répertoire symphonique tout en accordant une place importante à la création musicale. Originaire de la Beauce, Dina Gilbert est fondatrice et directrice artistique de l'Ensemble Arkea, un orchestre de chambre montréalais proposant des interprétations innovantes de la musique orchestrale. Avec cet ensemble, elle a collaboré à maintes reprises avec de jeunes compositeurs canadiens, créant plus d'une trentaine d'œuvres en plus de prendre part à plusieurs enregistrements de musiques de films et de jeux vidéo. Depuis avril 2013, elle occupe le poste de chef assistante de l'Orchestre symphonique de Montréal et du Maestro Kent Nagano. Au cours de la saison 2015-16, Dina Gilbert a fait ses débuts avec le Toronto Symphony Orchestra, l'Orchestre Métropolitain et le Sudbury Symphony Orchestra. À l'été 2016, elle fera ses débuts à l'Orchestre philharmonique de Radio France et elle dirigera la première mondiale de la présentation du film Le violon rouge, avec orchestre live et la soliste Lara St. John au Festival de Lanaudière. Dina Gilbert - Home | Accueil Pour en savoir plus sur ce projet : sjvm.ca. Pour plus d'information sur les célébrations du 375e anniversaire de Montréal : 375mtl.com ou visitez notre salle de presse pour des images supplémentaires. Trouvez tout dans notre salle de presse virtuelle ici : Salle de presse | 375mtl.com SOURCE Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal Renseignements : Source Orchestre Métropolitain : Laurie-Anne Riendeau, Responsable des relations publiques, T 514 598-0870, poste 27, C 514 467-2320, lariendeau@orchestremetropolitain.com; Source 375MTL : Isabelle Pelletier, 514 238-4178
  2. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=22557&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques Montréal crée le Bureau de la Ville intelligente et numérique 26 mars 2014 Montréal, le 26 mars 2014 - Afin que la métropole devienne un chef de file mondialement reconnu parmi les villes intelligentes et numériques, le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le vice-président du comité exécutif et responsable des technologies de l'information, de la Ville intelligente, de la réforme administrative et de la jeunesse, M. Harout Chitilian, annoncent la mise en place du Bureau de la Ville intelligente et numérique qui relèvera directement de la Direction générale. Un budget de 400 000 $ a été accordé par les élus du comité exécutif pour assurer le fonctionnement de ce bureau en 2014. « La création de ce nouveau Bureau au service d'une Ville intelligente et numérique était nécessaire afin de réaliser notre objectif de positionner stratégiquement Montréal au même niveau, voire même plus haut, que les villes de New York, Lyon, Barcelone ou Amsterdam en matière de technologies de l'information. Selon le prestigieux Intelligent Community Forum (ICF), la grande région métropolitaine se taille une place parmi les 21 métropoles intelligentes (Smart 21) sur 400 candidatures retenues pour l'édition 2014. C'est un bon début, mais l'équipe du Bureau va travailler avec nous afin que nous puissions faire concurrence le plus rapidement possible aux positions de tête », a déclaré M. Coderre. « La mise sur pied du Bureau de la Ville intelligente et numérique est un pas important pour que Montréal devienne une ville plus innovante, plus efficiente et plus transparente. Cette démarche unique prendra en considération les attentes des citoyens, s'inscrira dans une collaboration pleine et entière avec les partenaires institutionnels et privés, et s'articulera autour des tendances technologiques contemporaines », a ajouté M. Chitilian. Le Bureau de la Ville intelligente et numérique disposera d'une équipe composée de trois personnes sous la responsabilité d'un chef de bureau - Chief Digital Officer (CDO). Ce dernier agira comme référence dans son domaine et exercera une vision et un leadership mobilisateur au sein de l'administration municipale. Le Bureau de la Ville intelligente et numérique définira d'ici la fin de l'année courante la stratégie de « Montréal, ville intelligente et numérique 2014 », qui s'articulera autour des quatre axes suivants : COLLECTER : TRANSPARENCE DE GESTION; GOUVERNEMENT OUVERT: • Libérer massivement les données et développer des outils de visualisation pour mettre en valeur celles-ci ; • Collecter et analyser les données télémétriques pour accroître le contrôle et l'optimisation de l'usage des ressources publiques. COMMUNIQUER: SYSTÈMES D'ACCÈS; DIFFUSION D'INFORMATION: • Développer une plate-forme web et des applications mobiles pour diffuser l'information en temps réel aux citoyens ; • Déployer les infrastructures de réseaux filaires et sans fil (WIFI) à large bande ; • Mettre en place des centres d'apprentissages et de création locaux des nouvelles technologies. COORDONNER: SERVICES PUBLICS NUMÉRIQUES: • Développer des systèmes intelligents de gestion du transport, des infrastructures, de la sécurité, de l'énergie, de l'eau, et de l'environnement ; • Numériser les services publics tout en préservant les moyens traditionnels (311, émission de permis, etc.). COLLABORER : ACCOMPAGNER L'INDUSTRIE; STIMULER L'INNOVATION ET LA CRÉATIVITÉ: • Accompagner les acteurs privés et institutionnels pour mettre en place un réseau d'incubateurs et d'accélérateurs d'entreprises en technologie ; • Soutenir les besoins des « start-ups » technologiques ; • Favoriser l'usage du domaine public comme laboratoire pour tester des solutions novatrices à des enjeux municipaux. Participez au dialogue via Twitter #innMtl (intelligente, numérique, Montréal)
  3. Montréal, 22 octobre 2013 – Le prestigieux Intelligent Community Forum (ICF) vient de reconnaître la grande région métropolitaine de Montréal parmi les 21 métropoles intelligentes de l’année (Smart 21). L’annonce a été faite à North Canton, Ohio, lors du dévoilement des demi-finalistes du concours Intelligent Community of the Year, édition 2014. La candidature du Grand Montréal a été déposée par TechnoMontréal, la grappe des technologies de l’information et des communications du Grand Montréal, en partenariat avec Montréal International, la Ville de Montréal, la Conférence régionale des élus (CRÉ) de Montréal, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et le Conseil des arts de Montréal. Depuis 1999, le concours Intelligent Community of the Year reconnaît annuellement les communautés (villes ou territoires) qui s’illustrent dans le développement des villes intelligentes. Les critères d’évaluation sont composés de cinq thèmes récurrents (réseaux haut débit, innovation, économie du savoir, fracture numérique et promotion) et d’un thème annuel, soit « la culture » en 2014. Le Grand Montréal s’est distingué par la qualité et la quantité de ses projets de développement du numérique, et par la place prépondérante occupée par la culture au sein de la cité. «L’avancement et le potentiel du Grand Montréal à titre de métropole intelligente sont méconnus du grand public. La métropole compte déjà une vingtaine d’initiatives “smart” indépendantes, et plusieurs chantiers majeurs sont en branle. Depuis 2011, TechnoMontréal regroupe ces initiatives et coordonne des projets structurants au sein d’une vision de développement intitulée Montréal métropole numérique, qui vise à hisser la région métropolitaine au rang des grandes “Smart Cities”. En marge de ce projet fédérateur, nos partenaires ont mis en œuvre des projets qui, ensemble, créent un tout plus grand que la somme des parties. Si ce travail de longue haleine est aujourd’hui reconnu par la plus haute instance internationale en la matière, c’est grâce à tous les joueurs qui ont cru aux retombées positives d’une vision numérique pour la métropole», a déclaré Lidia Divry, directrice générale de TechnoMontréal. En plus de ses atouts en matière de numérique, la candidature du Grand Montréal s’est distinguée au chapitre de la thématique annuelle culturelle. «La créativité est une composante phare de la culture montréalaise. La métropole est déjà reconnue pour le foisonnement et la qualité de ses productions artistiques et depuis quelques années elle se démarque de plus en plus au plan international dans plusieurs créneaux du numérique, que ce soit dans l’industrie des jeux vidéo, de la production de logiciels, des applications citoyennes ou des arts numériques. D’ailleurs, les acteurs du milieu se mobilisent actuellement pour offrir en 2014 un Printemps numérique qui sera un événement mémorable», a déclaré Marie-Claire Dumas, directrice générale de la CRÉ de Montréal. Le Grand Montréal est reconnu comme une ville du savoir qui s’appuie sur un riche écosystème d’établissements d’enseignement supérieur et d’entreprises visionnaires. «Il s’agit d’une importante distinction qui vient souligner l’expertise de nos entreprises du secteur des technologies de l’information et des communications. Cette reconnaissance confirme, si besoin était, que la métropole figure effectivement parmi les régions métropolitaines les plus avancées dans l’application de nouvelles technologies. Il importe maintenant de maximiser les retombées de cette annonce afin d’attirer de nouveaux investissements dans ce secteur clé de notre base économique», a ajouté Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Cette distinction accordée par l’ICF est le premier jalon d’un processus de 10 mois, qui mènera au choix des sept villes les plus avancées en janvier 2014 (Top 7), et ultimement à la nomination du grand gagnant en juin 2014. À propos de l’Intelligent Community Forum (ICF) L’Intelligent Community Forum (ICF) est un organisme de recherche à but non lucratif situé à New York, qui étudie le développement des villes du 21e siècle. Le groupe de réflexion indépendant est voué à la création d'emplois et au développement de l'économie du numérique. L’ICF, centre essentiellement sur la recherche, les conférences, les services-conseils, les services éducatifs et un concours annuel, identifie et partage les meilleures pratiques en développement des villes intelligentes. Le concours Intelligent Community of the Year Depuis 1999, le concours Intelligent Community of the Year reconnaît annuellement les communautés (villes ou territoires) qui s’illustrent dans le développement des villes intelligentes. L’objectif du concours est de souligner le travail et les succès des communautés qui orientent leur développement vers l’économie numérique, et de nourrir en données les recherches de l’ICF. Les critères d’évaluation sont composés de cinq thèmes récurrents : L’infrastructure haut débit (broadband) L’innovation L’économie du savoir (knowlegde workforce) La fracture digitale (digital inclusion) La promotion (marketing and advocacy) En plus de ces cinq critères, un thème annuel guide la sélection des finalistes. Le thème retenu pour 2014 est la culture, en son sens élargi (art, patrimoine et mentalité). Le concours Intelligent Community of the Year s’échelonne sur un processus de 10 mois. Au premier jalon, Smart 21, l’ICF sélectionne les 21 communautés intelligentes demi-finalistes, dont les noms ont été annoncés le 21 octobre. S’en suit la soumission d’un second dossier de candidature, sur la base duquel on choisira les sept finalistes (Top 7, en janvier 2014). Les finalistes se soumettent finalement à un audit, piloté par un groupe indépendant, qui permettra de nommer, à l’occasion du sommet annuel de l’ICF en juin, l’Intelligent Community of the Year. Lauréats du prix Intelligent Community of the Year 1999-2013 2013 – Taichung, Taïwan 2012 – Riverside, Californie, États-Unis 2011 – Eindhoven, Pays-Bas 2010 – Suwon, Corée du Sud 2009 – Stockholm, Suède 2008 – Gangnam-Gu, Corée du Sud 2007 – Waterloo, Ontario, Canada 2006 – Taipei, Taïwan 2005 – Mitaka, Japon 2004 – Glasgow, Écosse, Royaume-Uni 2002 – Calgary, Canada et Séoul, Corée du Sud 2001 – New York, État de New York, États-Unis 2000 – LaGrange, Géorgie, États-Unis 1999 – Singapour Qu’est-ce qu’une ville intelligente (ou Smart City)? Depuis 2007, une personne sur deux dans le monde vit en ville. Les métropoles consomment 75 % de l’énergie de la planète et produisent 80 % des CO2. Cette tendance s’accentue de jour en jour : on compte un million d'habitants de plus chaque semaine dans les villes du globe. D’ici 2050, plus de 70 % de la population mondiale vivra dans les métropoles, générant 60 % de la croissance du PIB. L'urbanisation mondiale connaît aujourd’hui une croissance sans précédent, qui a un impact sur la gestion des villes et transforme les services aux citoyens liés notamment aux transports, aux soins de santé, à l’éducation, à la gestion des ressources et à l’administration. Devant ces défis, des centaines de grandes villes dans le monde emboîtent le pas dans le développement des villes intelligentes. Les villes intelligentes (ou Smart Cities, smart grids, etc.) utilisent la technologie pour optimiser les services aux citoyens. Il existe des centaines d’exemples concrets : À Singapour, un système peut prédire la vitesse du trafic avec près de 90 % de précision; Un système de gestion intelligent du trafic à Londres a ramené le volume de circulation au niveau des années 1980; Les systèmes de gestion énergétique à Dublin, en Irlande, sont composés d’une infrastructure de capteurs pour obtenir des données en temps réel sur le transport et l’énergie; Barcelone en Espagne a libéré 500 séries de données publiques, générant le développement d’applications qui permettent aux citoyens de contribuer directement à la vie démocratique; Stockholm en Suède a installé un million de mètres de fibre permettant le développement d’une multitude de services publics tels que la téléassistance et les téléservices à la personne. Tous ces grands projets mettent à profit les TIC pour faciliter le quotidien des citoyens, appuyer le développement économique, réduire les impacts environnementaux et optimiser les services collectifs. http://www.montrealinternational.com/le-grand-montreal-nomme-parmi-les-21-metropoles-intelligentes-de-lannee/
  4. Le Silo no 5, citadelle numérique? Le Silo no 5 de la Pointe-au-Moulin, à l’ouest du Vieux-Port de Montréal, aurait tout ce qu’il faut pour devenir un centre très recherché de stockage de serveurs informatiques. L'effet vient avec la cause. La numérisation de nos vies quotidiennes fait, partout sur la planète, s'empiler des serveurs informatiques dans d'immenses entrepôts baptisés data centers. Ce marché du stockage explose. Il sourit également au Québec, à son climat nordique et même à des éléments de son patrimoine. Un silo à grain construit avant les Années folles peut-il devenir un symbole fort de la modernité? C'est le pari que veut relever la compagnie Vert.Com qui, depuis quelques mois, propose une drôle de transformation dans le Vieux port de Montréal: celle du Silo à grain no 5 en... centre de données — data center, comme disent les Anglos —, ces entrepôts de serveurs informatiques qui se multiplient pour répondre au flux grandissant à un rythme exponentiel d'informations numériques produit chaque jour par l'humanité. Baptisé Siloctet, le projet, sur les tables à dessin, consiste en l'installation de 112 000 serveurs informatiques savamment placés à la verticale dans les 44 espaces cylindriques totalement désaffectés depuis 1994 de l'annexe B1. Il attend toujours, pour prendre forme, le feu vert de la Société immobilière du Canada (SIC), propriétaire des lieux depuis 2010. Unir le monde du grain à celui de la communication numérique qui s'écrit sur iPhone et iPad: l'idée semble folle, mais elle est surtout cohérente, assure Éric Mateu, responsable du projet, puisque «les grains et les données informatiques ont besoin finalement du même environnement pour leur conservation», dit-il. «Cela va donner aussi une nouvelle vie à ce vestige industriel», tout en inscrivant Montréal dans un présent numérique qui aurait tout pour sourire au Québec. «En matière d'installation de centres de données, il y a un intérêt marqué pour le Québec qui se retrouve dans la liste des cinq endroits les plus prometteurs au monde, avec l'Islande, la Norvège, la Finlande et la Suède», résume M. Mateu. Et le coût de l'énergie qui prévaut ici — les centres de données sont énergivores —, les hivers et les lois moins intrusives en matière de surveillance électronique ne sont pas étrangers à la chose... Environnement et Patriot Act C'est qu'en se multipliant, les serveurs informatiques commencent en effet à mettre une pression énorme sur l'environnement partout sur la planète. Pour cause. Les centres de données sont en effet de gros consommateurs d'énergie, pour faire fonctionner ces concentrations de serveurs, mais aussi pour assurer leur refroidissement par climatisation. Les pays nordiques, avec leurs climats typiques se présentent désormais comme des lieux de prédilection pour l'implantation de ces centres, et encore plus quand les ressources énergétiques y sont à bon prix. Mais il y a plus. Plusieurs entreprises européennes qui jusqu'à maintenant allaient déposer des données numériques dans des centres de données aux États-Unis commencent à réviser cette décision, au bénéfice du Québec, et ce, pour plus de sécurité et... de confidentialité, prétend M. Mateu. La raison? Le Patriot Act, cette législation américaine adoptée dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001 et qui renforce le pouvoir des autorités dans les mondes numériques, entre autres. «Dans ce cadre légal, dit-il, le FBI peut entrer dans les serveurs des centres de données sans trop de difficulté, ce qui fait réfléchir des entreprises européennes qui s'en servent pour y conserver des copies de sauvegarde de leurs brevets, de leurs plans, de leurs rapports, de leurs communications internes.» Une prolifération logique Les effets de cette nouvelle délocalisation des données commencent d'ailleurs à se faire sentir, comme en témoigne l'inauguration au début de l'année d'un nouveau centre de données à Beauharnois, dans la région de Montréal. La compagnie française OVH est derrière ce projet qui, à terme, pourrait rassembler sur le site de l'ancienne usine de Rio Tinto Alcan, dans cette petite ville de 12 000 âmes, pas moins de 360 000 serveurs informatiques. Au même moment, Technoparc Montréal et Canix Colo, une boîte canadienne spécialisée en traitement de données, planchent également sur un projet de vaste entrepôt de serveurs dans le sud de la métropole. «Ce n'est pas un phénomène de mode, résume M. Mateu. C'est une réponse normale à un besoin logique» alimenté chaque jour par les usagers de technologies de communication, internautes et entreprises qui revendiquent une existence en ligne. Pause technique: en faisant se multiplier dans l'environnement social toujours plus d'appareils de communication portable (tablettes, téléphones intelligents), en succombant à l'appel de l'informatique en nuage qui permet le fonctionnement de blogues, de la plupart des services de Google, de Facebook, de Twitter, de YouTube... les humains encouragent de manière naturelle la multiplication de données numériques et, du coup, des serveurs permettant de stocker ces données. «Les appareils que nous utilisons, pour être toujours plus petits, doivent réduire leur capacité de stockage. Or, quand on dématérialise cette capacité dans nos outils de communication, il faut la rematérialiser ailleurs, dans le nuage [informatique] qui, lui, a une existence physique: le centre de données». Les chiffres sont étourdissants. Selon CISCO, en 2015, nos vies numériques devraient entraîner la conservation dans les seuls centres de données de la compagnie de 4,8 zettabytes de données informatiques — une valeur astronomique —, soit trois fois plus que la quantité évaluée l'an dernier à 1,5 zettabytes. Sur l'ensemble de la planète, ces flux d'informations en format numérique se mesurent désormais en millions d'exabytes, dont quelques milliers pourraient bien un jour passer par un des 44 cylindres du Silo no 5 de Montréal. Le lieu, qui trône depuis le début du siècle dernier sur la Pointe-au-Moulin à Montréal, n'a jamais réussi à trouver son deuxième souffle après une fermeture complète il y a près de 20 ans. Des transformations en musée, en hôtel et même en climatiseur géant ont été envisagées. En vain. «Le centre de données est sans doute le seul capable de donner une valeur économique à ce bâtiment tout en respectant sa nature», prétend M. Mateu qui évalue entre 150 et 200 millions de dollars le coût d'implantation de ce centre de données à la verticale. Mieux, l'endroit viendrait du coup soustraire de l'environnement un énième centre de données qui, construit de manière traditionnelle, occupe de grandes surfaces au sol. «On voit donc l'intérêt d'investir des bâtiments désaffectés pour les centres de données, comme cela a été fait dans une partie du vieux port de New York, dit-il. Construit au sol, Siloctet occuperait l'équivalent de cinq terrains de football américain», conclut-il. Des surfaces bien concrètes, surtout dans les zones urbaines étriquées, qui donnent corps et matière à des vies sociales et professionnelles qui tendent à en avoir de moins en moins. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/345941/le-silo-no-5-citadelle-numerique
  5. Les actifs comprennent une licence de radiodiffusion, un portefeuille d'environ 30 000 abonnés à ses services de télévision numérique et ses services Internet, de même qu'un spectre d'environ 1000 MHz. Pour en lire plus...
  6. En vertu de l'entente, Odeon installera des systèmes de projection numérique Imax dans deux de ses complexes de cinéma à Londres. L'installation des deux systèmes devrait être complétée en décembre. Pour en lire plus...
  7. Les studios de Hollywood, y compris Walt Disney Co. et trois sociétés de cinémas, investiront 525 millions US pour équiper les salles de cinéma de manière à ce qu'elles puissent projeter des films numériques. Pour en lire plus...
  8. Les détails financiers de l'acquisition ne sont pas dévoilés. Rastar est une entreprise américaine de marketing direct et dans l'impression numérique de données variables. Pour en lire plus...
  9. jeudi, 08 novembre 2007 Le fournisseur de logiciels d'affichage numérique BroadSign International investira 4,5 millions$ dans ses installations de Montréal. Cette firme du Minnesota compte faire passer son effectif montréalais de 30 à 60 employés au cours de la prochaine année. Richard Boudreault, un Québécois qui a notamment travaillé pour Sofinov, division de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Oerlikon Aérospatiale et le Centre de technologie aérospatiale, vient par ailleurs d'être nommé président de son conseil d'administration. "Montréal nous offre la possibilité de recruter et de conserver des gens de talent, explique ce dernier. C'est aussi un environnement très prisé par les Européens et les Américains, les coûts d'apprentissage sont bas et nous bénéficions de crédits d'impôts." BroadSign conçoit et développe des logiciels destinés au fonctionnement de réseaux de panneaux d'affiche numérique. L'entreprise utilise une technologie inventée à Montréal au début des années 90 par LPS, devenue entre temps BroadSign Canada. Au Canada, elle compte parmi ses clients Zoom Média, Blast Media et Neo Advertising. Sa technologie est présente dans les centres commerciaux de Fairview Cadillac, la chaîne Tim Hortons et l'aéroport Montréal-Trudeau. "Nous sommes surtout aux États-Unis et en Europe, mais nous voulons étendre notre marché au Canada et en Asie", dit Richard Boudreault. Aux États-Unis, BroadSign fournit notamment des logiciels pour les réseaux CBS et pour Ascent Media, qui équipe en écrans numériques les cliniques médicales. L'investissement de l'entreprise s'explique en grande partie par l'essor que connaît l'affichage numérique, selon Richard Boudreault. Une étude réalisée par Rocsearch, un institut de recherche privé, révèle que le marché nord-américain, qui représentera 7 milliards$ en 2008, pourrait atteindre 15 milliards$ en 2011. "Google et Microsoft commencent à s'y intéresser, dit-il. Tout comme Publicis, en Europe."
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