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  1. Une tour d'habitation serait dans le colimateur à Place Charles Lemoyne à Longueuil ( Métro Longueuil) sur une terrain avoisinant le 1001 de Serigny, intersection du boul. La Fayette Il s'agirait de 216 unités.
  2. Le vendredi 20 juillet 2007 L'Impact en route vers la MLS? Patrick Leduc. Photo François Roy, La Presse Jean-François Bégin La Presse En embauchant hier l'ex-ministre Richard Legendre à titre de vice-président principal, l'Impact de Montréal a franchi une étape importante sur la route qui pourrait le conduire vers la Major League Soccer. Taille du texteImprimerEnvoyer La nomination de Legendre, qui a présidé à l'agrandissement du stade du parc Jarry à l'époque où il était à la tête de Tennis Canada, est une prise de taille pour l'Impact, dont le nouveau stade est présentement en construction. «Ma priorité sera de mener à bon port la construction du stade et surtout de faire en sorte de le remplir jusqu'à ce qu'il devienne trop petit et qu'il faille l'agrandir de nouveau», a dit M. Legendre lors d'une conférence téléphonique, hier après-midi. L'ancien joueur de tennis referme la parenthèse politique ouverte en 2001. Il avait alors été élu sous la bannière péquiste, lors d'une élection partielle dans la circonscription de Blainville. Candidat malheureux lors la course à la direction du PQ qui avait couronné André Boisclair, il a été défait aux élections provinciales, le printemps dernier. «Je suis content de ce que j'ai fait au cours des six dernières années, mais le 26 mars, la population m'a dit de faire autre chose. Je suis content de revenir dans le sport, car c'était mon premier choix», a dit M. Legendre. Comme ministre responsable du Loisir et du Sport dans le cabinet de Bernard Landry, Legendre avait participé au sauvetage et à la relance de l'Impact à titre d'organisme sans but lucratif, en 2002. «J'ai vu la façon dont il a mené le dossier de l'Impact et les dossiers de sport en général, a dit le président de l'Impact, Joey Saputo. Il va aider l'Impact et le soccer. C'est la personne idéale pour mener notre sport et notre équipe au prochain niveau.» La tentation de la MLS À en juger par les propos tenus hier par M. Saputo, le prochain niveau, ça risque fort d'être la MLS. La ligue née en 1996 offre le meilleur calibre de soccer professionnel en Amérique du Nord. Elle vient d'accueillir en grande pompe sa première authentique super-star, David Beckham, qui fera demain ses débuts dans l'uniforme du Galaxy de Los Angeles, si sa blessure à une cheville est suffisamment guérie. «Dans le passé, je disais non à la MLS, parce que je n'aimais pas la structure de la ligue. Mais celle-ci est en train de changer et mon opinion change aussi», a indiqué Saputo. Tant mieux. Le succès phénoménal de la Coupe du monde U-20, qui a attiré 240 000 spectateurs au Stade olympique, a prouvé hors de tout doute l'appétit des Montréalais pour du soccer de qualité. Or, disons-le franchement, la première division de l'USL, dont fait partie l'Impact, n'offre pas toujours du soccer de haut vol. Les accros de foot européen diront que la MLS non plus, mais ce serait quand même un net progrès. La MLS compte présentement 13 équipes, dont le Toronto FC. L'équipe de la Ville reine a fait ses débuts cette saison et détient l'exclusivité sur le marché canadien pendant trois saisons. Après cela, tout est possible. «Je ne veux pas dire qu'on va être dans la MLS dans deux, trois ou quatre ans, dit Saputo. Mais on va examiner cette possibilité si c'est intéressant. C'est quelque chose qu'on regarde.» La MLS s'est développée en fonctionnant de manière très centralisée, mais elle offre de plus en plus d'autonomie à ses franchises, selon Saputo. «Si ça continue dans cette direction et que le propriétaire peut plus ou moins décider de la direction de son équipe, on est ouvert.» Cette ouverture nouvelle explique sans doute l'optimisme affiché par un haut gradé de l'Association canadienne de soccer, qui me confiait récemment sa conviction que l'Impact se joindrait à la MLS en 2010. Une conviction renforcée par la construction, à l'ombre de la tour olympique, du stade Saputo, qui doit ouvrir ses portes à temps pour la saison 2008 de l'Impact. Le nouvel amphithéâtre pourra accueillir 13 000 spectateurs, mais il sera possible de faire passer sa capacité à 18 000 sièges, de manière temporaire ou permanente. «À 18 000 sièges, ce serait accepté par la MLS», dit Joey Saputo. À titre de comparaison, le BMO Field, domicile du Toronto FC, compte 20 000 places. Il y a encore beaucoup de fils à attacher avant que la MLS débarque à Montréal. Le succès de foule de l'Impact repose en bonne partie sur des billets peu coûteux qui permettent aux familles d'assister aux matchs. Il faudrait maintenir le plus possible cette accessibilité. Mais ce serait une progression logique pour l'Impact que de passer dans les grandes ligues. Les Raging Rhinos de Rochester ou le Battery de Charleston, c'est bien beau, mais Montréal mérite mieux. Impact international Le succès de la Coupe du monde U-20 a convaincu Joey Saputo qu'il serait viable pour l'Impact de disputer des matchs internationaux pendant la saison morte, à l'automne ou au printemps, contre des clubs mexicains ou sud-américains. Mais pour jouer en avril ou en novembre, il faut jouer à l'intérieur, au Stade olympique. Et pour jouer au Stade, il faut une surface artificielle. L'Impact examine présentement la possibilité d'investir pour garder au Parc olympique la surface synthétique amovible acquise par la Fédération de soccer du Québec en prévision de la Coupe du monde U-20. Cette surface fait présentement l'objet d'un appel d'offres et pourrait être vendue à une municipalité si une entente n'est pas conclue pour qu'elle reste au Stade. La faisabilité d'une telle entente serait plus forte si l'Association canadienne de soccer donnait des garanties que l'équipe nationale disputera plus souvent des matchs à Montréal. «L'Association canadienne a vu qu'un match international à Montréal peut avoir du succès et qu'il n'y a pas qu'Edmonton ou Toronto», dit Joey Saputo. Une histoire à suivre.
  3. Fin de non-recevoir de citoyens au projet d'hippodrome à Laval Karim Benessaieh La Presse Après les organismes communautaires de Pointe-Saint-Charles, au tour des jeunes mères de Laval de partir en croisade contre un projet de Loto-Québec. Cette fois, c'est l'arrivée d'un hippodrome et d'un salon de jeu de 1300 appareils dans un secteur rural de Laval qui suscite la mobilisation générale. Le vaste champ à la croisée des autoroutes 440 et 13, à Sainte-Dorothée, dans un magnifique coin champêtre, est un des endroits privilégiés pour la construction d'un nouveau complexe de jeu baptisé Ludoplex. Et les résidants du coin, une dizaine de mères en tête, n'en veulent pas. Elles affirment avoir accumulé quelque 6500 signatures en guise de protestation. «Laissez-nous la nature, on est ici pour ça, lance Carole Poirier, une des trois leaders du mouvement. J'ai choisi cet endroit parce que c'était familial; je ne veux pas élever mes enfants dans le béton.» On n'a toujours aucune confirmation officielle de l'endroit choisi pour ce complexe. Tant du côté de Loto-Québec que du promoteur privé de l'hippodrome, Attractions hippiques, propriété du sénateur libéral Paul J. Massicotte, on se montre discret. Quatre emplacements avaient été identifiés l'automne dernier, à Boisbriand, à Blainville et à Laval. Les municipalités de Boisbriand et Blainville ont adopté en janvier dernier une résolution s'opposant fermement à l'arrivée de ce projet. Un des terrains lavallois, une immense carrière abandonnée près du palais de justice, serait nettement plus coûteux à aménager, une facture supplémentaire de près de 100 millions, selon le sénateur Massicotte. Restent les terres agricoles à Sainte-Dorothée, à l'intersection de deux axes routiers fréquentés. Rien pour le quartier Selon la fiche technique rendue publique par Loto-Québec, on offrira 1300 «positions de jeux» - essentiellement des appareils de loterie vidéo - et divers restaurants, bars et terrasse totalisant un millier de places. L'hippodrome sera quant à lui exploité par Attractions hippiques, qui gérera également les paris mutuels. L'achalandage serait de cinq à 6000 personnes par jour, le projet créerait 320 emplois dont 60 % à temps complet et le tout serait prêt fin 2008. L'investissement serait de 99 millions. Ces arguments n'ébranlent guère les opposantes. «On est inquiètes : un salon de jeu, ça amène une clientèle peu appréciée dans un quartier résidentiel, estime Marie-Claude Brouillette, la deuxième organisatrice. On aimerait bien avoir quelque chose qui correspond plus à nos valeurs.» Sainte-Dorothée, estime Carole Poirier, a besoin de bien des infrastructures avant de se doter d'un pareil complexe de jeu. «De l'espace pour nos écoles, une cité des jeunes, par exemple. Et on n'a même pas de piscine intérieure.» «Immoral» Les contestataires ont pris connaissance avec ironie des propos du sénateur Massicotte qui a précisé que Loto-Québec visait une clientèle «plus jeune» dans les hippodromes en leur offrant un divertissement à caractère familial. «C'est immoral», soutient Sonia Verreault, la troisième chef du groupe. «Quand j'entends cet argument familial, j'ai de la misère, ajoute Mme Poirier. L'enfant va se baigner dans la piscine pendant que son père va aller perdre l'argent du loyer, c'est ça qu'on veut?» La sortie en février dernier de 18 directions de la santé publique, qui qualifiaient de «situation préoccupante» la combinaison d'hippodromes et de salons de jeu, est venue confirmer leurs craintes. Pétition à la ministre Courchesne Après plus de deux mois de mobilisation, les trois jeunes mères - qui ont enrôlé près de 70 bénévoles - poseront aujourd'hui leur premier geste officiel. Leur pétition sera déposée au bureau de la députée du coin, la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, Michelle Courchesne. Il a été impossible de joindre cette dernière hier. Dans une entrevue il y a deux semaines au Devoir, Mme Courchesne a assuré ses électeurs de Sainte-Dorothée qu'elle se ferait l'«écho» de leur mécontentement. «On ne peut pas s'imaginer qu'un tel équipement vienne s'installer dans un quartier sans tenir compte de l'avis de la population. En 2007, c'est impensable.» Rendez-vous ensuite ce soir à l'assemblée municipale de Laval, où les opposants interpelleront le maire Gilles Vaillancourt. Et ensuite? «On va contacter les partis d'opposition, on va essayer de faire bouger ce gouvernement minoritaire, répond Carole Poirier. Dans Pointe-Saint-Charles, ils ont réussi.»
  4. Presse Canadienne 11/03/2007 Le Parti vert propose d'investir 15 milliards $ au cours des 20 prochaines années dans le transport en commun dans la grande région de Montréal. Le chef de ce parti, Scott McKay, a déclaré dimanche que la métropole du Québec est toute désignée pour faire de l'écologie un moteur de son développement économique. M. McKay a rappelé que c'est le transport qui remporte la palme en matière d'émissions de gaz à effet de serre, d'où la nécessité de s'y attaquer en posant des gestes concrets. C'est pourquoi il souhaite doter Montréal d'un réseau de 200 kilomètres de tramways électriques, fabriqués par Bombardier, qui serait financé à même les revenus de postes de péage installés sur les ponts. Le chef du Parti vert a indiqué que le tarif de ce péage serait établi à 2 $, ce qui permettrait de recueillir une somme d'environ 500 millions $ par année dont les trois quarts seraient investis dans le réseau du transport en commun et le reste devant servir à une baisse de taxe pour les résidents de l'Ile de Montréal. Par ailleurs, Scott McKay s'est dit déçu de ne pas avoir été invité à participer au débat télévisé des chefs mardi soir prochain. Pour lui, «ce sera un triste jour pour la démocratie au Québec». Il a rappelé que les Québécois ont déjà vécu des débats à cinq, à l'époque de l'Union nationale et de l'arrivée de René Lévesque à la tête du Parti québécois, ce qui avait été une étape marquante pour la démocratie.
  5. Un musée plus grand? Photo: Jean-Claude Dufresne/©Le Québec en images, CCDMD Église Erskine & American (image modifiée) Le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) met en marche son projet, caressé depuis longtemps, de transformer l'église Erskine & American en pavillon d'art canadien, rapporte La Presse. Inoccupé depuis 2004, l'édifice patrimonial du 19e siècle jouxte le pavillon Michal et Renata Hornstein du MBAM. L'arrondissement de Ville-Marie se prononce vendredi sur le projet, lit-on dans le quotidien. La nef serait convertie en salle de concert, de réception et de conférence. Selon l'arrondissement, le Musée souhaite aussi démolir la partie arrière de l'église. Un bâtiment « de facture contemporaine » serait érigé à la place et abriterait des salles d'exposition. L'étude du projet en est à sa première étape. L'arrondissement doit d'abord modifier son plan d'urbanisme. Le projet ne pourra aller de l'avant que lorsque le conseil municipal de Montréal l'aura adopté. Des détails la semaine prochaine Le MBAM doit tenir une conférence de presse la semaine prochaine afin de donner plus de détails sur le projet. L'institution de la rue Sherbrooke tente depuis des années d'intégrer l'ancienne église Erskine & American dans son giron muséal. Divers scénarios ont avorté, faute de financement. En 2004, un projet estimé à 12 millions n'avait notamment pas vu le jour faute de financement, rappelle La Presse. Rien n'a été précisé sur le montage financier du projet actuel.
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