Aller au contenu
publicité

Autoroute 10 (Bonaventure - portion au nord du canal (boul. urbain))


mtlurb

Messages recommendés

http://lecourrierdusud.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=121378&id=840&classif=En+manchettes

 

 

Création du corridor Dalhousie : le RTL soutient qu’il ne règlera rien

 

Steeve Mercier

Actualités - Publié le 10 décembre 2009 à 09:00

Actuellement, le RTL et les Commissions interurbaines de transport (CIT) transportent quotidiennement vers le centre-ville de Montréal plus de 42 000 personnes.

219723.dat

Photo : Archives - Robert Côté

RIVE-SUD. La décision de la Ville de Montréal d’autoriser la réalisation des plans et devis du corridor Dalhousie ne soulève pas l’enthousiasme du Réseau de transport de Longueuil (RTL). Si cette voie réservée au transport collectif devait se matérialiser, sa mise en service ne corrigerait pas les problèmes fondamentaux de circulation entre la Rive-Sud et le terminus Centre-ville.

 

Le RTL soutient que si les décisions avaient été prises en faveur du SLR, la problématique de l'utilisation du corridor réservé au transport en commun dans le cadre de la mise au sol de l'autoroute Bonaventure ne serait pas à l’ordre du jour. Actuellement, le RTL et les Commissions interurbaines de transport (CIT) transportent quotidiennement vers le centre-ville de Montréal plus de 42 000 personnes, via 1300 mouvements d’autobus par jour. «La création de ce corridor ne réglera en rien la situation de la saturation du terminus Centre-ville», rappelle Raymond Allard, responsable des communications du RTL.

 

Actuellement, il n'y a plus de place pour ajouter des départs ou arrivées en heures de pointe au terminus Centre-ville. L’an dernier, l’Agence métropolitaine de transport (AMT) avait annoncé que plusieurs lignes d’autobus ne pourraient plus utiliser leur quai habituel au terminus Centre-ville, situé au 1000, rue De la Gauchetière, à Montréal, en raison d’une trop grande demande. Cette décision avait affecté plusieurs organismes de transport en commun, dont le RTL.

 

Terminus satellite

 

L’AMT et la Société du Havre de Montréal (SHM) étudient actuellement des solutions afin d’augmenter la capacité d’accueil à proximité du terminus Centre-ville. Pour cette raison, l’aménagement du corridor Dalhousie n’entrerait pas en conflit, dit-on, avec le choix de la localisation d’un terminus satellite au centre-ville.

 

La SHM estime que le corridor Dalhousie permettrait un transfert modal d’environ 3800 automobilistes et une réduction d’environ 20% des débits automobiles. En septembre dernier, la Ville de Montréal a accordé un délai de 18 mois pour le dépôt des plans et devis de ce corridor. Le coût total associé à la réalisation de ce dernier est évalué à 86 M$.

 

Le RTL soutient une fois de plus que la Rive-Sud a besoin d'un mode offrant plus de capacité de transport dans l'axe du pont Champlain, axe qui compte pratiquement autant de déplacements par période de pointe que la ligne 4 du métro.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 semaines plus tard...
publicité

http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/01/07/002-autoroute-bonaventure-Dalhousi.shtml

 

Vive opposition au projet de réaménagement

 

Mise à jour le jeudi 7 janvier 2010 à 15 h 29

090618projet-quartier-bonaventure-1_8.jpg

Le projet de réaménagement de l'autoroute Bonaventure

 

Tous n'envisagent pas de la même manière la façon dont l'autoroute Bonaventure devrait être réaménagée. L'administration du maire Gérald Tremblay avait annoncé en juin dernier de quelle façon elle entendait refaire l'autoroute.

 

Jeudi, le Conseil de l'arrondissement du Sud-Ouest, sur le territoire duquel serait élaboré ce projet, a adopté un mémoire dans lequel il fait part de son opposition à l'administration Tremblay.

 

Le Conseil d'arrondissement du Sud-Ouest de Montréal tenait d'ailleurs une séance extraordinaire à ce propos.

 

Ce Conseil d'arrondissement est composé d'élus qui sont dans l'opposition à l'Hôtel de Ville. Le maire de l'arrondissement du Sud-Ouest est Benoît Dorais, du parti dirigé par Louise Harel, Vision Montréal. Benoît Dorais fait valoir que des centaines de personnes sont en voie de s'installer dans l'ancienne usine Lowney's, dans le secteur Griffintown.

 

Ces nouveaux propriétaires d'habitations désapprouvent l'idée que plus d'autobus devront passer sur la petite rue Dalhousie.

 

Environ 350 autobus circulent déjà dans le secteur. En vertu du projet, plus d'un millier d'autobus y circuleraient, transportant vers le centre-ville de Montréal les usagers en provenance de la Rive-Sud.

 

Pour accroître encore davantage la circulation d'autobus, le projet prévoit d'ouvrir en plusieurs endroits un viaduc sur lequel passent déjà des trains du Canadien National.

 

Pour Benoît Dorais, le coût de l'entreprise, soit 118 millions de dollars, est nettement trop élevé.

 

« Le projet dans son ensemble coûterait 142 millions de dollars, affirme Benoît Dorais. On voit bien que ça ne fonctionne pas, c'est beaucoup trop cher! »

 

Les opposants au projet de réaménagement aimeraient mieux que la Ville jette son dévolu sur un scénario de train léger, c'est-à-dire un Service léger sur rails (SLR) qui permettrait aux résidents de la Rive-Sud de se rendre au centre-ville, en passant par le pont Champlain. Il va sans dire que ce scénario entraînerait de nombreux et coûteux travaux au pont Champlain...

 

Une petite rue trop achalandée

 

Louise Harel, du parti Vision Montréal, avait qualifié « d'odieux » cet aspect du plan de réaménagement qui transformerait la vocation de la petite rue Dalhousie en véritable couloir pour les bus.

 

À son tour, Steeve Lemay, candidat défait du parti Projet Montréal aux dernières élections municipales, entend faire pression pour que la rue Dalhousie ne subisse pas pareil assaut.

 

<<Présentement, les bus sont à la queue leu leu, parce que le 1000 de la Gauchetière n'est pas suffisamment grand pour les accueillir. Imaginez quatre fois plus d'autobus, ça va bloquer. Ce ne sera pas un corridor d'autobus, mais une ligne d'autobus dans notre quartier.>>

— Steeve Lemay, citoyen à la tête d'un mouvement d'opposition au projet de réaménagement de l'autoroute Bonaventure

 

Steeve Lemay parle au nom de centaines de propriétaires de condominiums qui s'opposent au passage d'autobus, à proximité de leur domicile.

 

Il est par ailleurs prévu qu'une portion de l'autoroute Bonaventure soit transformée en artère urbaine.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Change! Elevated highways in dense urban settings are, of course, ugly. On that basis, it has been "decided" that Bonaventure expw downtown must be torn down. Fair enough, but one must realize that this might very well reduce road capacity. If that is the primary goal, or if such capacity is not really needed, then by all means, proceed! In Quebec City's Lowertown, some of the elevated ramps of A-440 (Montmorency-Dufferin) were recently demolished, but note that they were unused. Here on the Bonaventure, the proposed bus corridor would create another barrier, perhaps not in the form of a structure, but rather in terms of a somewhat continuous flow of buses. So you would get a "change" (a rather expensive one at that!), but will you like it? Better know what you wish for! In the mega-cities of the Third World, you find few elevated road structures, but a hell lot of traffic...

 

Oh! BTW, in some instances, elevated highways (or even railways) can be "transformed" into spectacular settings with greenery on top and boutiques underneath (could also include bus-only lanes, if needed) at a much lower cost. Need to be inventive! Look around for examples.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

where are all of these buses coming from ?

 

why would a light rail track need to be built on champlain bridge ? .. there are already tracks that go to the south shore, they should just be used in accordance with the current demand for transit .....

Modifié par pedepy
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

A relic of the concrete-centric 1960s, the elevated Bonaventure Expressway is a blight on Montreal’s downtown.

 

It’s a drab entry point for motorists arriving from the South Shore, a no-man’s-land for pedestrians at ground level, and an unattractive zone for developers.

 

The Quartier Bonaventure proposal is supposed to change all that, even as it reduces the number of cars in downtown Montreal and improves public transit for tens of thousands of South Shore commuters crossing the Champlain Bridge by bus.

 

It would cost $260 million – $141 million to dismantle the highway and rebuild roads and $119 million for a new bus corridor on Dalhousie St. (up from the original $86-million price tag).

 

The plan is being praised for some elements.

 

Many agree that the highway should be razed, the area under the Canadian National Railway viaduct should be revived, and once-vibrant Griffintown – devastated by construction of the Bonaventure and the viaduct – is in desperate need of a makeover.

 

But critics say parts of the proposal are fatally flawed.

 

The plan, supported by Mayor Gérald Tremblay, is being put forward by the Société du Havre de Montréal (SHM), created and funded by the city of Montreal to develop the harbourfront. The SHM has spent $7 million on the Bonaventure plan, much of it on studies.

 

The Office de consultation publique de Montréal is to hold public hearings on the plan on Tuesday, Wednesday and Jan. 18.

 

(Courtesy of The Montreal Gazette)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


publicité


×
×
  • Créer...