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http://www.taz.ca/pls/htmldb/f?p=105:99:219766909423116::::P99_IM:109

http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/mtl_2025_fr/media/documents/Tazmahal.pdf

 

MAI 2008

 

 

 

C’est un énorme chantier qui a débuté le 15 mai sur l’avenue Papineau, alors que l’ouverture officielle est toujours projetée pour le printemps 2009 !

 

 

 

La recette gagnante : un brin de patience, une pincée de détermination et une bonne dose de persévérance. C’est ce qui nous permet de voir le projet se concrétiser : une roue à la fois, en débutant par le chantier.

 

 

 

Le site offre d’ailleurs un décor des plus inspirants : clôture de chantier, pépinière de transplantation d’arbres, pelles mécaniques, bulldozers… Ça vous démontre que le rêve devient peu à peu réalité, que c’est réellement parti !

 

 

 

Les travaux dans la zone d’excavation ont débuté et la première coulée de béton approche !

 

 

 

Madame Sénécal, Vice-présidente du comité exécutif à la Ville de Montréal, a officiellement fait l’annonce du début de chantier du TAZ lors du Conseil municipal de la Ville de Montréal, du lundi 26 mai dernier. Ce qui nous permet aujourd’hui de vous partager la bonne nouvelle…à vous de la propager !

 

 

 

C’est une équipe de professionnels de plus de 15 personnes qui nous appuie dans la conception et la mise en chantier de cette construction majeure. Les travailleurs débutent leur entrée sur le terrain pour plus de 10 mois de chantier. Ils s’assurent de mener à bon port les travaux pour l’aménagement paysager, l’excavation, l’ingénierie mécanique, électrique et de structure. Tout ça, sous l’œil averti de notre gestionnaire de projet.

 

 

 

C’est le cas de le dire, ça fourmille sur le chantier !

 

 

 

On vous rappelle que cet espace jeunesse sportif est érigé sur un terrain d’une superficie de 280 000 pi² et sa construction totalisera près de 85 000 pi². Localisé au cœur de l’arrondissement Villeray – Saint-Michel – Parc-Extension, sur l’avenue Papineau, en bordure du Complexe environnemental de Saint-Michel et aux abords de l’autoroute Métropolitaine, Le TAZ deviendra l’une des portes d’entrée de ce futur 2e plus grand parc de la Ville de Montréal.

 

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  • 4 mois plus tard...
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Le Taz rouvrira ses portes au printemps

 

Le Devoir

Jeanne Corriveau

Édition du mardi 18 novembre 2008

 

Mots clés : jeunes, planchorome, Taz, Sport, Municipalité, Montréal

 

Après huit ans de tergiversations politiques et de tracasseries bureaucratiques, le Taz rouvrira ses portes au printemps prochain dans ses nouveaux locaux situés dans l'arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension. D'ici Noël, la construction du temple de la planche à roulettes devrait être achevée pour accueillir ses premiers adeptes de sport extrême au mois de mars.

 

Le nouveau Taz, construit aux abords de l'ancienne carrière Miron avenue Papineau, logera un roulodôme et un planchorome (skatepark) dans un bâtiment d'une superficie de près de 8000 mètres carrés dessiné par l'architecte Pierre Thibault. Patin acrobatique, planche à roulettes et BMX (vélo acrobatique) figurent parmi les activités qui pourront y être pratiquées. Des espaces seront également aménagés à l'extérieur du bâtiment.

 

Chassé du Palais du commerce en 2001 pour laisser sa place à la Grande Bibliothèque, le Taz a pu être relocalisé, mais l'opération ne s'est pas faite sans peine. Il fut question de l'installer dans l'Incinérateur des Carrières, dans l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie, jusqu'à ce que la Ville change d'idée pour une raison qui demeure encore nébuleuse pour le directeur général du Taz, Michel Comeau. À plusieurs reprises, le projet a été repoussé; à un certain moment, on a craint qu'il ne soit définitivement enterré.

 

En 2006, l'administration Tremblay a décidé de réduire de moitié sa contribution au projet. Au lieu des 5,2 millions prévus, la Ville a finalement accordé 2,5 millions. Les dirigeants du Taz ont dû renoncer au volet culturel du projet qui pourrait toutefois être réalisé dans le cadre d'une éventuelle expansion.

 

La Ville a cédé le terrain au Taz par l'entremise d'un bail emphytéotique de trente ans. Le projet totalise des investissements de 12 millions, dont 9 millions sont assumés par les trois ordres de gouvernement. Le Taz bordera le nouveau parc qui verra le jour en 2017 sur le site de l'ancien dépotoir. Il s'agira du deuxième parc en superficie à Montréal, après celui du mont Royal.

 

Mettant de côté les mauvais souvenirs, Michel Comeau a fait visiter le chantier au maire Gérald Tremblay et au ministre responsable de la métropole, Raymond Bachand, hier après-midi. Le maire Tremblay a rendu hommage à Julien Deschamps en soulignant sa persévérance. Au fil des ans, le jeune homme avait, à maintes reprises, interpellé l'administration Tremblay pour faire avancer le projet. En 2004, alors âgé de 13 ans, il s'était présenté à une séance du conseil municipal pour plaider la cause du Taz.

 

http://www.ledevoir.com/2008/11/18/216880.html (18/11/2008 00H21)

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  • 1 mois plus tard...
  • 2 mois plus tard...

:stirthepot: Un beau projet, pas tant par sa facture, qui fait aréna des années soixantes, mais pour son objectif qui redonnera aux jeunes un lieu de dépassement. La carrière Miron est un site extraordinaire qui lentement revient à la population. Dans une dizaine d'années quand il sera entièrement réaménagé ce sera un immense parc qui pourra devenir un nouveau poumon vert pour ce coin de la ville.

 

Le Taz est un investissement social qui consolide l'offre de loisir tout en ouvrant les portes à d'autres investissements du genre. C'est un pas dans la bonne direction et là Montréal gagne de précieux points autant dans le développement durable que dans la récupération d'un espace qu'on croyait perdu à jamais.

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Le Taz renaît enfin de ses cendres

 

Jean-Christophe Laurence

La Presse

Publié le 28 mars 2009 à 08h35 | Mis à jour à 08h37

 

Neuf ans plus tard, le roulodrome rouvre ses portes dans le quartier Saint-Michel. Plus beau, plus grand, mais aussi plus loin... Les «skateux» suivront-ils?

 

Ce fut long. Plus personne n'y croyait. Mais finalement, c'est fait. Neuf ans après sa fermeture rue Berri, le nouveau Taz ouvre ses portes aujourd'hui au 8931, avenue Papineau, à l'entrée de la carrière Saint-Michel.

 

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D'une superficie de 35 000pi2, le nouveau centre compte 80 modules, une aire BMX, un coin pour les débutants, une piste de 200 mètres pour le patin à roulettes, une patinoire pour le roller hockey ainsi qu'une mezzanine avec bowls (la piscine) et zone trial (épreuves). Les travaux, entamés il y a un an, ont été réalisés avec un budget de 12 millions, dont les deux tiers répartis entre le municipal (2,5 M), le provincial (5 M) et le fédéral (2,5 M).

 

À première vue, c'est une bonne nouvelle. Il y a longtemps qu'on attend la résurrection de ce qui fut jadis le coeur de la culture jeune à Montréal.

 

On ne reviendra pas sur ce feuilleton en montagnes russes, assez bien résumé par notre collègue Lagacé dans sa chronique. Mais on peut se demander, au reste, si les «skateux» vont embarquer dans ce Tazmahal revisité. Avec toutes les polémiques qui ont entouré cet interminable dossier, le cynisme a fini par se mettre de la partie. Et l'enthousiasme s'est estompé.

 

«Les sentiments sont partagés, explique Éric Blais, de South Parc, équivalent du Taz sur la Rive-Sud. Les «anciens» ont gardé comme un drôle de goût dans la bouche. D'un autre côté, les jeunes vont avoir un super beau parc pour rider dans un autre quartier de Montréal...»

 

Aléas de la bureaucratie

 

Paula Bersetti, codirectrice et cofondatrice du Taz, est bien au courant de ces «sentiments partagés». Elle et son partenaire, Michel Comeau, ont eux-mêmes un drôle de goût dans la bouche. Car cet inexcusable retard, se défend-elle, n'était pas tout à fait de leur faute.

 

«On n'a pas le goût de passer pour des gens qui ont laissé traîner les choses, résume Mme Bersetti. On a été pris en otages par la bureaucratie et les élections à répétition. Littéralement. Il fallait toujours attendre que les trois ordres de gouvernements soient sur la même longueur d'onde. Pas évident quand les ministres jouent à la chaise musicale. Des fois, on se demandait si on était vraiment pris au sérieux...»

 

Les protestations du concurrent Orkus n'ont pas aidé la cause, ajoute Mme Bersetti. En 2006, ce roulodrome privé en quête de gros sous a réclamé à grands cris les subventions destinées au Taz, toujours inexistant. Pourquoi eux et pas nous? disaient-ils en substance.

 

Aujourd'hui, Orkus a fermé ses portes. Mais cette «campagne de dénigrement» a fait mal, reconnaît Mme Bersetti. Dans le doute, la Ville a retiré un quart de million destiné au volet culturel du projet. De nouvelles études de faisabilité ont été commandées. Et les «skateux» eux-mêmes ont commencé à trouver ça louche. «On nous a accusés de profiter de la lenteur du projet pour faire des sous, lance Mme Bersetti. Il ne faut quand même pas oublier que nous sommes un OSBL...»

 

Moins central

 

Évidemment, le nouveau Taz n'est pas l'ancien. Plus grand peut-être, mais aussi beaucoup moins central. L'ancien Taz était au métro Berri. Pour le nouveau, il faudra prendre un autobus (le 45) aux stations de métro Fabre ou Crémazie.

 

A priori, cela pourrait en rebuter quelques-uns. Mais Paula Bersetti préfère voir à long terme.

 

D'ici quelques années, le complexe environnemental Saint-Michel doit être transformé en immense parc, qui comprendra un skate plaza et un parcours ferré (ou via ferrata). Avec tout ça, le Taz pourrait finir par être un peu plus qu'un grand hangar au milieu de nulle part.

 

«Il faut se donner du temps pour relancer la machine, dit-elle. Mais c'est un gros défi. On est partis d'un endroit où on ne payait pas cher de loyer à un édifice d'une valeur de 12 millions, qu'il va falloir entretenir, chauffer et éclairer.»

 

Rappelons que les subventions ne concernaient que la construction du bâtiment. Désormais, le Taz devra se charger seul de ses coûts de fonctionnement. En principe, les activités courantes devraient suffire à financer les activités. Mme Bersetti vise 30 000 entrées la première année et souhaite atteindre 100 000 entrées dès la troisième année. «C'est notre chiffre magique.» Mais le nouveau Taz n'exclut pas la possibilité de partenariats et de commandites, question de multiplier les sources de revenus.

 

«Le premier Taz a fonctionné par le bouche à oreille. Je ne vois pas pourquoi ça ne marcherait pas avec le nouveau» conclut Mme Taz. «Ce n'est peut-être pas la génération de l'ancien Taz qui va en profiter. Mais nous avons tenu notre promesse. Nous sommes revenus.»

 

Le Taz est situé au 8931, avenue Papineau. Information: 514-284-0051 ou http://www.taz.ca.

 

http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200903/28/01-841147-le-taz-renait-enfin-de-ses-cendres.php (28/3/200921H27)

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:) Impressionnante cette video qui montre bien en même temps la qualité des lieux. Dommage que le projet ait pris tant de temps à se matérialiser en sacrifiant presqu'une génération d'amateurs. Mais au moins c'est un nouveau départ qui encore là amènera d'autres projets qui enrichiront l'offre dans d'autres disciplines.

 

Les jeunes ont besoin de dépassement et d'adrénaline, voilà qui devrait leur offrir une alternative aux gangs de rue en les encadrant dans une activité qui pourrait en plus potentiellement en faire des champions. Rappelons-nous les débuts des sauts à ski dans les Laurentides qui sont devenus une discipline internationale et où le Québec s'est fortement démarqué.

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  • 3 années plus tard...

Affaires

La Ville de Montréal sauve le Taz de la faillite

6 avril 2012 | 07h51

Agence QMI

Montréal se portera acquéreur du Taz, un skatepark et roulodôme, afin de lui éviter la faillite, a fait savoir la Ville, jeudi.

 

Sarah Bélisle

Agence QMI

 

Montréal se portera acquéreur du Taz, un skatepark et roulodôme, afin de lui éviter la faillite, a fait savoir la Ville, jeudi.

 

« Les obligations financières liées au bâtiment étaient trop lourdes pour l'organisme à but non lucratif (OBSL) propriétaire. Nous avons donc décidé de prendre à notre charge le bâtiment pour que ce dernier demeure ouvert », a expliqué Manon Barbe, responsable des sports et des loisirs au comité exécutif de la Ville.

 

Ainsi, les amateurs de planches à roulettes, vélo BMX et patins à roues alignées pourront continuer d'y pratiquer leurs sports sur roues, alors que le Taz continuera à se charger de la gestion quotidienne de l'endroit et de son entretien.

 

L'acquisition du bâtiment coûtera 4,3 millions $ à la Ville, dont 2,3 millions $ proviennent d'une subvention du gouvernement provincial.

 

Investissements publics par le passé

 

L'injection de 10 millions $ par différents paliers de gouvernement, dont la Ville de Montréal, avait permis la réouverture du roulodôme en 2009.

 

Malgré les efforts de redressement de la situation financière du Taz mis de l'avant depuis, « force est de constater que ce n'est pas suffisant », a déploré Mme Barbe.

 

L'achat de l'actuel édifice du Taz a notamment pour objectif de « sauvegarder l'investissement majeur public » qui avait alors été fait, a-t-elle souligné.

 

« Ça fait partie de la mission de la Ville de Montréal d'offrir toute une gamme de services. On va ajouter Taz à cette offre au même titre que les piscines », a ajouté Mme Barbe.

 

D'autant plus que les jeunes sportifs sont au rendez-vous, a souligné l'élue.

 

L'acquisition du Taz par la Ville sera soumise au conseil municipal en avril.

 

Gestion irresponsable de la Ville

 

« Le groupe Taz a des problèmes financiers. On lui donne de l'argent, puis on rachète l'endroit et on lui en redonne la gestion », a dénoncé Anie Samson, élue sous la bannière Vision Montréal.

 

Elle s'explique mal pourquoi la Ville n'a pas plutôt recours à un appel d'offres public en ce qui a trait à la gestion de cet endroit.

 

La mairesse de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension exige de plus de voir les bilans financiers de l'organisme Taz. « Le vérificateur général devrait également s'intéresser au dossier », a-t-elle ajouté.

 

« Je veux savoir ce qui s'est passé avec l'argent des contribuables », a conclu Mme Samson.

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