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Place Banque Nationale - 40 étages


_mtler_

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Il y a 6 heures, internationalx a dit :

It's going to be the same height at VslP.  

Oui mais le toit la BN sera une douzaine de mètres plus bas que le haut de la pointe du VLSP. 

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Le nombre de bureaux vacants au centre-ville va encore grimper

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PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

La Place Ville Marie

Déjà à un sommet de 20 ans, la proportion de bureaux vides au centre-ville de Montréal n’a pas fini d’augmenter, révèle une étude.

Publié à 6h00

 

ANDRÉ DUBUC LA PRESSE

Dans le pire des scénarios, la diminution de l’attrait du centre-ville pour les travailleurs d’entreprises de services va contribuer à vider l’équivalent de 11 gratte-ciels comme la Place Ville Marie, d’après un document dévoilé vendredi par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM).

Cette étude vient compléter la précédente du 25 février dernier qui portait sur les nouveaux modes d’organisation du travail et de consommation du centre-ville. Celle-ci traite plus spécifiquement de la gestion des bureaux excédentaires.

Sans tenir compte d’autres facteurs, le centre-ville se retrouverait ainsi avec des bureaux excédentaires d’une superficie de 107 550 mètres carrés (ou 11,4 millions pieds carrés). Le taux d’inoccupation des bureaux au centre-ville, actuellement à un sommet de 20 ans, à 15,8 %, pourrait grimper jusqu’à 21 %. Avant la pandémie, le taux s’élevait à 5,4 % seulement.

Le centre-ville est frappé de deux côtés

D’abord, la popularité du télétravail affecte à la baisse la demande de bureaux au centre-ville. « À l’horizon 2022, l’adoption des modèles de travail hybride viendra réduire le nombre de travailleurs présents quotidiennement au centre-ville de 19 à 25 % », est-il écrit dans le document dont la rédaction s’est inspirée notamment d’un sondage réalisé auprès de 255 jeunes entreprises et PME.

Le choc potentiel sur la demande de bureaux risque de s’étaler dans le temps parce qu’environ 7 % des baux viennent à échéance par an, souligne-t-il.

Double malheur, à cette crise de la demande, le centre-ville assistera à livraison de nouvelles tours de bureaux dans le même laps de temps, lesquelles ajouteront au total 147 000 mètres carrés (ou 1,58 million de pi²) à l’inventaire. On pense, entre autres, au nouveau siège social de la Banque Nationale.

La CCMM est toutefois persuadée que la réalité sera moins dramatique parce que Montréal attire des investissements étrangers et certaines des entreprises du centre-ville sont en croissance. Néanmoins, les immeubles de bureaux plus vieillots, ceux dits de catégorie B et C, souffriront.

En vue de limiter les dégâts à court et moyen termes, la Chambre se montre proactive et propose Espaces et cie, une place de marché virtuelle, qui facilitera la collaboration entre les entreprises ayant des bureaux excédentaires et les entreprises en recherche de bureaux, surtout des PME et jeunes pousses en croissance. Le but est de « miser sur les avantages concurrentiels du centre-ville, comme le prestige et son accessibilité ne transport collectif et redynamiser les espaces de travail », lit-on dans l’étude.

Des allures de « sauve-qui-peut »

Au premier trimestre 2022, les grandes entreprises ne se sont pas gênées pour remettre de grandes superficies en sous-location, observe l’agence immobilière CBRE dans son plus récent rapport sur l’état du marché au centre-ville. L’équivalent de deux tours comme le 1000 de la Gauchetière sont actuellement offertes en sous-location dans le quartier des affaires. La Banque Laurentienne, de plus en plus gérée à partir de Toronto, a libéré 10 800 m² (ou 116 000 pi²) en sous-location au 1360, boulevard René-Lévesque Ouest. Autre exemple, Shopify, d’Ottawa, a remis 11 350 m² (ou 122 000 pi²) de bureaux en sous-location au 525, avenue Viger Ouest. « Plusieurs bureaux de grande superficie ont été libérés puisque les entreprises ont tâché de réduire leurs locaux afin d’offrir un milieu de travail flexible », explique CBRE

https://www.lapresse.ca/affaires/2022-04-22/le-nombre-de-bureaux-vacants-au-centre-ville-va-encore-grimper.php?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_campaign=algofb&fbclid=IwAR2RYKOYTvB9efMnXj10tkVFeDj7QgyNHHBh-zLAvIziOhNGiGRZR5e3HaI

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Faut pas trop dramatiser concernant le « double malheur » des 1,6 millions de nouveaux pi2.

1,1 millions d'entre eux sont situés dans le nouveaux siège social de la BN qui occupera la quasi-totalité de cette superficie même s'il est indéniable que certains employés le feront sur une base hybride. 

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23 minutes ago, yarabundi said:

Le nombre de bureaux vacants au centre-ville va encore grimper

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PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

La Place Ville Marie

Déjà à un sommet de 20 ans, la proportion de bureaux vides au centre-ville de Montréal n’a pas fini d’augmenter, révèle une étude.

Publié à 6h00

 

ANDRÉ DUBUC LA PRESSE

Dans le pire des scénarios, la diminution de l’attrait du centre-ville pour les travailleurs d’entreprises de services va contribuer à vider l’équivalent de 11 gratte-ciels comme la Place Ville Marie, d’après un document dévoilé vendredi par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM).

Cette étude vient compléter la précédente du 25 février dernier qui portait sur les nouveaux modes d’organisation du travail et de consommation du centre-ville. Celle-ci traite plus spécifiquement de la gestion des bureaux excédentaires.

Sans tenir compte d’autres facteurs, le centre-ville se retrouverait ainsi avec des bureaux excédentaires d’une superficie de 107 550 mètres carrés (ou 11,4 millions pieds carrés). Le taux d’inoccupation des bureaux au centre-ville, actuellement à un sommet de 20 ans, à 15,8 %, pourrait grimper jusqu’à 21 %. Avant la pandémie, le taux s’élevait à 5,4 % seulement.

Le centre-ville est frappé de deux côtés

D’abord, la popularité du télétravail affecte à la baisse la demande de bureaux au centre-ville. « À l’horizon 2022, l’adoption des modèles de travail hybride viendra réduire le nombre de travailleurs présents quotidiennement au centre-ville de 19 à 25 % », est-il écrit dans le document dont la rédaction s’est inspirée notamment d’un sondage réalisé auprès de 255 jeunes entreprises et PME.

Le choc potentiel sur la demande de bureaux risque de s’étaler dans le temps parce qu’environ 7 % des baux viennent à échéance par an, souligne-t-il.

Double malheur, à cette crise de la demande, le centre-ville assistera à livraison de nouvelles tours de bureaux dans le même laps de temps, lesquelles ajouteront au total 147 000 mètres carrés (ou 1,58 million de pi²) à l’inventaire. On pense, entre autres, au nouveau siège social de la Banque Nationale.

La CCMM est toutefois persuadée que la réalité sera moins dramatique parce que Montréal attire des investissements étrangers et certaines des entreprises du centre-ville sont en croissance. Néanmoins, les immeubles de bureaux plus vieillots, ceux dits de catégorie B et C, souffriront.

En vue de limiter les dégâts à court et moyen termes, la Chambre se montre proactive et propose Espaces et cie, une place de marché virtuelle, qui facilitera la collaboration entre les entreprises ayant des bureaux excédentaires et les entreprises en recherche de bureaux, surtout des PME et jeunes pousses en croissance. Le but est de « miser sur les avantages concurrentiels du centre-ville, comme le prestige et son accessibilité ne transport collectif et redynamiser les espaces de travail », lit-on dans l’étude.

Des allures de « sauve-qui-peut »

Au premier trimestre 2022, les grandes entreprises ne se sont pas gênées pour remettre de grandes superficies en sous-location, observe l’agence immobilière CBRE dans son plus récent rapport sur l’état du marché au centre-ville. L’équivalent de deux tours comme le 1000 de la Gauchetière sont actuellement offertes en sous-location dans le quartier des affaires. La Banque Laurentienne, de plus en plus gérée à partir de Toronto, a libéré 10 800 m² (ou 116 000 pi²) en sous-location au 1360, boulevard René-Lévesque Ouest. Autre exemple, Shopify, d’Ottawa, a remis 11 350 m² (ou 122 000 pi²) de bureaux en sous-location au 525, avenue Viger Ouest. « Plusieurs bureaux de grande superficie ont été libérés puisque les entreprises ont tâché de réduire leurs locaux afin d’offrir un milieu de travail flexible », explique CBRE

https://www.lapresse.ca/affaires/2022-04-22/le-nombre-de-bureaux-vacants-au-centre-ville-va-encore-grimper.php?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_campaign=algofb&fbclid=IwAR2RYKOYTvB9efMnXj10tkVFeDj7QgyNHHBh-zLAvIziOhNGiGRZR5e3HaI

107,550 sq. meters does not equal 11.4 miilon sq.ft.

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