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Stagnation city: Exploring Montreal's economic decline


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Montreal's decline is a result of our manufacturing sector. Businesses like Nortern Télécom, Dominion Bridge, Dominion engineering, Jenkins once floorished in Lachine and with it tens of tousands well paid jobs. The City of Lachine had at one point in time, one of the largest industrial quarters in Canada. Factories producing household appliances were thriving . Cars and car parts were made in Montréal (GM,Hyundai). Imagine today if we had kept our main factories alive. I believe with some government effort, it could of gone in a different direction. Lets not make the same mistakes twice and make the effort to keep our industries healthy. Lets not fall in the language trap. The rules have been set: Bilingualism and multi-languages are very welcomed and an asset to our City, but the French language is a must.

 

You have a good point when you talk about the manufacturing sector. We lost a lot of job not (only) because of separation threats but because some of our industries were obsolete or were unable to survive in an north-american working environment (with a minimal wage...). We weren't fast enough to develop new industries to replace some we lost. In we were to suddenly move to a post-automobile economy, Ontario would suffer a lot. We see the same situation in Alberta with the downfall of oïl prices.

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Gaetan Barette comme premier ministre ca serait le fun . Le bulldozer en tasserai des empecheurs d'avancer.

 

D'accord avec toi. Barette is The Fixer.

 

Sa réforme en santé ne réglera rien. Elle va couter plus cher que les économies prévues et ne corrigera pas les problèmes de fond. La réforme du ministre est paresseuse et passe à côté des vrais problèmes d'inefficacité.

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Pas d'accord il est a son affaire Barrette connait le systeme. On voit beaucoup de dechirage de chemise en ce moment des larmes de crocodiles des ordres de medecins .Ils passent des pubs a la tele et la radio pour nous endormir. Ya des foutus limite la santé c'est la moitié du budget. Une infirmiere gagne beaucoup plus ici qu'en europe. On compare avec les USA ok d'abord. Mais aux USA le medecin et l'infirmiere a des comptes a rendre et est aussi plus productif. Les docteurs demandent des hausses de salaire pis apres il baisse le nombre d'heure qu'il travail.L'inneficacité c'est ca . Il demande un plus salaire pour moins travailler j'ai mon foutu voyage. Je coupe le poste de radio quand j'entend un docteur se plaindre.

Sa réforme en santé ne réglera rien. Elle va couter plus cher que les économies prévues et ne corrigera pas les problèmes de fond. La réforme du ministre est paresseuse et passe à côté des vrais problèmes d'inefficacité.
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Pas d'accord il est a son affaire Barrette connait le systeme. On voit beaucoup de dechirage de chemise en ce moment des larmes de crocodiles des ordres de medecins .Ils passent des pubs a la tele et la radio pour nous endormir. Ya des foutus limite la santé c'est la moitié du budget. Une infirmiere gagne beaucoup plus ici qu'en europe. On compare avec les USA ok d'abord. Mais aux USA le medecin et l'infirmiere a des comptes a rendre et est aussi plus productif. Les docteurs demandent des hausses de salaire pis apres il baisse le nombre d'heure qu'il travail.L'inneficacité c'est ca . Il demande un plus salaire pour moins travailler j'ai mon foutu voyage. Je coupe le poste de radio quand j'entend un docteur se plaindre.

 

Je parle au niveau de la réforme de l'organisation du réseau, je suis moins familier avec les problèmes concernant la rémunération des médecins. Mais dans les deux cas, le ministre semble présumer que tout le mondes est également inefficace et impose une solution "one size fits all" sans tenir compte des efforts d'efficacité déployés. C'est probablement plus frustrant pour un médecin consciencieux et efficace de se faire dire que les médecins ne sont pas efficaces que pour un médecin paresseux d'être forcé de travailler selon sa rémunération. Sa réforme sur la rémunération des médecins passerait peut être mieux si le ministre essayait un peu moins de faire le bulldozer.

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On peut pas faire d'omellette sans casser des oeufs. Pas le choix sinon on va depenser 80% du budget en santé d

Je parle au niveau de la réforme de l'organisation du réseau, je suis moins familier avec les problèmes concernant la rémunération des médecins. Mais dans les deux cas, le ministre semble présumer que tout le mondes est également inefficace et impose une solution "one size fits all" sans tenir compte des efforts d'efficacité déployés. C'est probablement plus frustrant pour un médecin consciencieux et efficace de se faire dire que les médecins ne sont pas efficaces que pour un médecin paresseux d'être forcé de travailler selon sa rémunération. Sa réforme sur la rémunération des médecins passerait peut être mieux si le ministre essayait un peu moins de faire le bulldozer.
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On peut pas faire d'omellette sans casser des oeufs. Pas le choix sinon on va depenser 80% du budget en santé d

 

La solution est d'augmenter l'efficacité et une des façon de le faire est d'amener de la compétition, pas de s'amuser à jouer avec des structures.

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Je fait plus confiance a Barette. Qu'aux diferentes ordes des medicinas. Tu a le droit a ton point de vue.

La solution est d'augmenter l'efficacité et une des façon de le faire est d'amener de la compétition, pas de s'amuser à jouer avec des structures.
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The Montreal skyline is dotted with construction cranes as an unprecedented building boom continues to unfold in condo and office construction. On the surface, at least, signs of prosperity abound.

 

But look a little deeper and you’ll see a city that’s slipping behind the rest of the country. Over the last decade, Montreal’s economy grew by an average of just 1.5 per cent — the lowest rate among Canada’s major cities. Personal disposable income is also the lowest among the country’s eight biggest cities, and unemployment is among the highest.

 

Il y a une contradiction ici. Et cette contradiction refait souvent surface surtout parmi ceux qui aiment dénigrer Montréal. Je veux bien que l'économie de Montréal soit stagnante mais en même temps les nombreuses tours en constructions sont le symbole d'une certaine prospérité.

 

En quoi Montréal serait-elle en déclin alors qu'il y a plus de construction que jamais depuis 1976 et plus que toutes les villes en Amérique du nord sauf Toronto et New York ?

 

La seule réponse que je trouve à cela est que Montréal est bel et bien en croissance mais pas au même rythme que d'autres villes comme Toronto, par exemple. Mais tout de même en croissance. Alors le terme déclin, comme utiliser dans le titre ''Montréal's economic décline'', ne devrait pas s'appliquer.

 

The bad news doesn’t stop there. Montreal is living through a period of crumbling infrastructure, widespread corruption, failed governance, inadequate fiscal power, low private investment, an exodus of head offices and an outflow of people.

 

Une partie de ce qui est écrit ici est vrai, surtout pour les infrastructures, la corruption, ''failed governance'' et les taxes/impôts qui sont honteusement trop élevés, aucun doute. Mais je crois que nous sommes en train d’enrayer la corruption et cela devrait être mentionné dans ce genre d’article qui se veut sérieux.

 

Par contre l'investissement privé n'est peut-être pas à la hauteur mais ce n'est pas le désastre du tout. Sinon des entreprises comme Cadillac fairview, Canvar, Groupe Jesta, Ubisoft, Ericsson, Devimco, Framestore, la Société Générale, Sanofi, Tesla, Valeant, Manulife et d’autres investiraient des centaines de millions de dollars à Montréal ?

 

Once again, M. Haddekel, we want more investment, me first, but you can not dismiss all these important private companies investing in here. Let’s be fair !

 

Pour le ''exodus of head offices'', on exagère un peu. Bien sur il y en a eu mais pas autant qu'on aimerait le croire. Et encore une fois, on peut parler constamment des gros départs des années 70 et 80 mais il faudrait aussi parler des nouvelles entreprises qui se sont développées de façons fulgurantes depuis les années 70. En voici quelques unes :

 

Vidéotron/Québécor, Métro, SNC-Lavalin, CGI, Genivar/WSP, MTY, Cirque du soleil, Groupe Jean-Coutu, CAE, Saputo, Couche-tard, Transat, Power Corporation, Fiera Capital, Garda, Gaz métro, Groupe Aldo, Transcontinental, Cogeco, Uniprix, Dollarama, Rona, Dessau etc.

 

The term ‘’exodus’’ is way off line M. Haddekel. You should have mentioned the rise of many new enterprises that have become powerhouses in the local economy.

 

Pour le ''outflow of people'', il faudrait aussi dire que la majorité des gens qui quittent Montréal s'en vont de l'autre coté des ponts, donc ils restent dans le grand Montréal. C'est pratiquement la même chose que dans la plupart des grandes villes de la cote est, incluant New York.

 

Cela ne veut pas dire de ne pas essayer de mieux faire pour retenir ceux et celles qui quittent pour d'autres villes car il y en a encore trop, il faut le dire, et Montréal devrait être plus proactif dans la rétention de ces gens. Mais ici on laisse croire que la population de Montréal est en déclin alors que ce n'est pas vrai. La population du Grand Montréal ne cesse d’augmenter. La preuve, il n'y aurait pas autant de ''traffic jam'' de voiture un peu partout en ville, n'est-ce pas ?

 

Even the real estate activity that’s dominating private investment in Montreal these days is of some concern to economists. They point out that it’s largely speculative and does little to improve productivity, innovation or the knowledge base of the local economy.

 

Ici on dit que le ‘’real estate’’ domine l’investissement privé, et plus tot on a dit que le ‘’Skyline is dotted with construction cranes as an unprecedented building boom continues’’

 

Alors si on dit qu’il y a un ‘’unprecedented boom’’ dans le skyline et que le ‘’real estate acitivity’’ domine le ‘’Private investment’’….et bien il doit y avoir quelque chose qui se passe en quelque part provenant de l’investissement privé !

 

De plus, on s’inquiète que tout cela soit spéculatif et ne bénéficie pas à la productivité, l’innovation ou le savoir de l’économie local. Mais pourquoi cette théorie s'appliquerait à Montréal mais pas à Toronto ou Vancouver ? Et en quoi cela ne compte pas dans l’activité économique de la ville ?

 

We’re starting to see the long-term cost of the city’s economic decline. What if Montreal had simply kept pace with the Canadian average over the last 25 years? A November report from the Institut du Québec..., found that if the metropolitan area had grown at the Canadian average since 1987, per capita income would be $2,780 higher today and income for the province as a whole would be up even more.

 

Je sais bien que l'économie est importante autant pour les individus que pour une ville, mais je crois que les gens du ROC sont plus préoccupés par l'économie que les québécois, alors que ces derniers sont plus préoccupés par une sorte d'équilibre entre un revenu décent et une qualité de vie qui inclut des activités culturelles, gastronomiques etc. Ceci explique peut-être en partie pourquoi les anglophones parlent de ‘’déclin’’ basé sur la performance économique alors que la plupart des francophones ne voient pas les choses de la même façon.

 

Encore une fois, il faut faire mieux, aucun doute, mais il faut relativiser et ne pas voir que l’économie dans le succès ou non d’une ville. Il y a d’autres facteurs importants à prendre en considération.

 

“Despite its strengths and obvious attractions, Montreal suffers from major economic shortcomings compared with Canada’s other large urban areas,” said the report. “It fails to adequately fill its role as driver for the provincial economy.”

 

That role becomes more important in a global economy that relies on cities as engines of growth. We are witnessing intense competition between cities for capital, talent and ideas — a race that risks leaving Montreal behind.”

 

Oui, c'est vrai, et c'est en bonne partie la faute de Québec. Je suis d’accord sur ce point en ce sens que la province a trop longtemps négligé Montréal et ne prend pas au sérieux le rôle de Métropole que doit et peut jouer notre ville. On espère que cela va changer cette année.

 

At the dawn of the 1960s, the case could still be made that Montreal was Canada’s business capital.

 

The city was home to the head offices of the Bank of Montreal and the Royal Bank of Canada, as well as insurance giant Sun Life. Both the Montreal Stock Exchange and the Canadian Stock Exchange served a large community of brokerage and investment firms.

 

...factories that made Montreal hum: metal and machinery plants, appliance manufacturers and rail-equipment makers, food processors and cigarette plants. The so-called soft sectors of the manufacturing industry were thriving in the days just before Asian imports began. Montreal was Canada’s leader in clothing, textiles, leather and shoes, with the industry providing well over 100,000 jobs.

 

The St-Lawrence Seaway opened up the shipping industry through the Port of Montreal while the city served as headquarters for both Canadian National and Canadian Pacific Railways...

 

The head office operations of the Bank of Montreal and the Royal Bank gradually shifted to Toronto.... Political tensions over language and the issue of Quebec sovereignty hurt private investment and drove some of the wealthiest and best educated people out of the province. Sun Life left in a huff in 1978 after the Parti Québécois took power.

 

The Canadian Stock Exchange closed its doors in 1974, ..... The fancy new airport built in Mirabel didn’t take off as promised, with Toronto becoming the hub for Canadian air travel. At the same time, the city’s aging industrial base felt the first effects of globalization as imports from Asia began to hurt the textile and clothing industry.

 

On revient encore ici aux années 60 et 70. On se sert encore de cette époque pour évoquer le départ des sièges sociaux. On le sait tous que l'arrivée des souverainistes au pouvoir a eu des conséquences. On le sait tous que les batailles linguistiques ont eu des conséquences mais La Gazette n'arrête pas de soulever cela comme si c'était encore le cas année après année. Je m’excuse mais il y a un sérieux manque d’objectivité ici.

 

Encore une fois, les anglophones font une obsession du départ des sièges sociaux et de certains anglophones vers l’ouest pour parler de déclin pendant que les francophones parlent plus de l’expo 67, des Olympiques de 76, de l’arrivée du métro, de l’émancipation du Québec inc, du succès d’hydro-Québec etc.

 

The Montreal economy tried to reinvent itself and got a boost from free trade in the 1990s. Industries such as aerospace gained in importance thanks to the success of aircraft maker Bombardier Inc. while investment also picked up in pharmaceuticals and information technology.

 

Finalement ici on mentionne que Montréal a ''essayer'' de se réinventer mais on n'y consacre que 2 lignes et demi alors que pour les histoires des années 60/70 on en parle sans arrêt !

 

De plus, il ne fait que mentionner le succès de Bombardier et de quelques pharmaceutiques pour parler de renouvellement (to reinvent itself).

 

Pourquoi il ne parle pas de toutes les entreprises qui n’existaient pas dans les années 60 ou qui ont connues un essor fulgurant depuis ce temps, comme celles mentionnées plus haut (Québécor, Métro, SNC-Lavalin, Dessau etc…) ?

 

Et pourquoi ne mentionne-t-il pas les nombreux succès qui illustrent bien que Montréal a non seulement réussi à se réinventer mais qu’elle s’est aussi diversifiée. Donc outre les Bombardier et les pharmaceutiques, voici quelques exemples comment à su se réinventer :

 

1-L’arrivée des nombreux studios de jeux vidéos et d’effets spéciaux qui font travailler des milliers de jeunes. 2-Le développement impressionnant des entreprises de l’ingénierie. 3-L’aérospatial. 4-La grappe autour de Montréal international (OACI, IATA et plus de 40 autres organisations). 5-Le développement des universités (Montréal 2eme en Amérique du nord pour le nombre des étudiants). 6-L’explosion de l’offre culturelle avec les nombreux festivals, le Quartier des spectacles, Spectra, Evenko, le Cirque du soleil, l’humour etc. 7-La naissance d’une multitude de micro-brasserie dans le grand Montréal et au delà. 8-Les nombreux tournages de séries et de films québécois et américains. 9-Les grappes de recherches (en médecine et en pharmaceutique par exemple). médecine 10-L’industrie touristique surtout avec le grand succès des congres internationaux. Sans oublier l’attrait indéniable du Vieux-Montréal qui s’est transformer de façon spectaculaire.

 

Failing to recognize and/or to mention these success M. Haddekel is a serious lack of objectivity.

 

But as the new millennium began, more negative trends had crept in: offshoring, outsourcing, contracting out. Companies had found new ways to cut costs by sending work to places like China, India and Mexico at a fraction of local wage rates. More industrial plants began to shut their doors.

 

Et rapidement de retour sur le négatif. Sans dire que cela n’est pas propre à Montréal mais cela a affecté plusieurs autres villes de la cote est et du midwest.

 

Economist Mario Lefebvre, president of the Institut de Développement Urbain du Québec, points to a number of failures along the way. Perhaps the biggest, he says, is Montreal’s inability to adapt its transportation network to the new realities of the global economy. The airport, the port, the rail network and the highway system need to work seamlessly together.

 

Je suis totalement d'accord avec cela. Le transport à Montréal est déficient et est digne des années 80. Autant le transport en commun que les infrastructures lourdes. C’est indéniablement un des points négatifs pour Montréal. Par contre tout est sur le point de s'améliorer dans les prochaines années. Enfin, on l'espère tous.

 

One of the biggest obstacles facing Montreal is its low rate of population growth. Among the country’s eight biggest cities. Montreal’s population grew at an annual average of one per cent, vs. 1.6 per cent for Toronto and nearly three per cent for Edmonton and Calgary.

 

C'est le même phénomène aux États-Unis. Des villes de l'ouest comme Phoenix, Las Vegas, San Jose, Austin, Dallas, Houston, Salt Lake city, San Antonio et d'autres villes du sud comme Atlanta, Miami, Jacksonville ont connues a ‘’bigger population growth’’ que les ‘’vieilles villes comme Detroit, Baltimore, Boston, New York, Chicago etc.

 

Edmonton, Calgary et Vancouver sont des villes ‘’nouvelles. Il est tout à fait normal que leurs progressions soient supérieur à celles des ‘’vieilles’’ villes de la cote est.

 

The low birthrate and the low rate of immigrant attraction explain part of the trend.

 

Montréal n’est pas assez attrayante pour les immigrants ? Ce n’est pas très sérieux de dire cela. L’immigration récente est en train de transformer le visage de Montréal comme jamais auparavant. Encore une fois, pas parce que Vancouver ou Toronto en reçoivent davantage qu’il faut insinuer que Montréal n’en reçoit presque pas.

 

But perhaps most serious, according to the Conference Board, is that on average more than 16,000 people a year leave the metro area for other parts of Quebec or other provinces and countries.

 

This is misleading M. Haddekel. It lets people believe the population of Montreal is declining, which is false, totally false.

 

.... the Quebec government has been pushing a Plan Nord strategy to develop natural resources in the northern regions, but what Quebec really needs is a Plan Sud that helps Montreal develop its knowledge-based economy.

 

The payoff would be so much bigger, he argues, not only for the city but also for the province. A dollar of additional economic activity in Montreal generates at least another dollar for the province in spinoffs and benefits. Montreal funds more than half the government’s spending, 53 per cent of provincial GDP and more than 80 per cent of all research and development.

 

Along with a Plan Sud, the government should at last recognize that Montreal needs new tools to manage its economy, Lefebvre says, including new fiscal resources and powers to promote investment, integrate immigrants and train workers. The property tax base has reached the limit of its ability to fund those new services. While such legislation has been promised, it’s not yet clear how much real power will be conferred on Montreal.

 

Oui, d’accord à 100%. Je crois que nous sommes tous d’accord sur ce point. Ceci devrait être une priorité pour Montréal ET pour le Québec.

 

The city has suffered other blows. One is the decline in the number of head offices that call Montreal home. Between 1999 and 2012 Montreal lost nearly 30 per cent of its head offices, according to an estimate by the Institut du Québec. Toronto suffered a five-per-cent loss as economic weight shifted to Western Canada, but the impact on Montreal was far more painful.

 

Il revient encore sur cette perte des sièges sociaux. Mais cette fois-ci il focus sur la période 1999-2012. Mais il ne dit pas que ses pertes sont parmi les 500 plus grandes entreprises du Canada et non pas parmi toutes les entreprises. C’est assez fondamental dans une économie de PME.

 

De plus, la force d’attraction de Calgary est énorme et toutes les villes canadiennes en ont souffert, Toronto plus que nous. Voici un paragraphe de Claude Picher écrit en 2011 à ce sujet.

 

’Ainsi, à Montréal, le nombre de sièges sociaux par tranche de 100 000 habitants est passé de 2,9 à 2,1, un recul de 27%. C'est une bien mauvaise nouvelle. Mais il y a pire. À Toronto, les chiffres correspondants sont de 4,7 à 3,0, une chute de 36%. Autrement dit, Toronto demeure de loin le premier choix des sièges sociaux; mais, toutes proportions gardées, ses pertes sont plus importantes qu'à Montréal. Toujours en tenant compte de la population, le recul atteint 30% à Winnipeg et 29% à Vancouver.’’

 

http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/claude-picher/201110/12/01-4456307-sieges-sociaux-un-gagnant-quatre-perdants.php

 

Part of the solution is to create more such companies in Montreal in the first place, Ménard says. Quebec is suffering from a deficit in entrepreneurship and can’t expect to replace these corporate losses without growing new success stories. “If you look at a company like Stingray Digital, it didn’t even exist seven years ago. It’s now in 110 countries,” Ménard says about the Montreal-based provider of digital music services. “I’m on the board of directors and I have seen the company grow to where it now has 200 high-paying jobs in its headquarters.”

 

Alors voici une bonne nouvelle. Il aurait pu en mentionner plus pour équilibrer sont articles mais c’est mieux que rien. C’est à nous de faire le reste.

 

...., it’s not easy for companies and professionals to move here. Companies are often deterred by the weight of regulation and red tape in Quebec while professionals face barriers such as the recognition of their credentials or concerns about French-language requirements and schooling.

 

When 50 top executives were interviewed last year by the Boston Consulting Group on the challenges facing Montreal, several said that the emphasis on French in the immigrant selection process restricts the pool of talent on which Montreal can draw.

 

Voilà ou je suis en accord. Il y a des irritants qui sont facilement ‘’ajustables’’, selon moi. On doit absolument trouver une façon d’accélérer et de faciliter la reconnaissance des diplômes étrangers sans compromettre sur la qualité. Je suis certain qu’on peut le faire.

De plus, et je ne veux pas partir un autre débat linguistique ici, mais je suis d’accord pour une plus grande souplesse au niveau de la loi afin de permettre à des anglophones hors Canada, dont la connaissance du français est limité de venir vivre ici et d’envoyer leurs enfants à l’école anglaise. Il faut seulement renforcer l’apprentissage du français dans les écoles anglaises.

 

Idem pour la langue d’affichage. Laissons libre choix au gens d’afficher comme ils le veulent dans leurs commerces. Il faut arrêter d’interdire, vraiment, il faut cesser ce jeu.

 

Je suis honnêtement tanné, voir écœuré de ce débat de langue qui nuit constamment à Montréal et à son développement. Surtout que cela n’améliore en rien la qualité du français. Il est temps de passer à un mode de promotion du français et non plus de protection.

La liberté d’expression n’est pas seulement pour Charlie Hebdo, mais pour tous !

 

They argued it would be better to cast the net wider and invest more in French language promotion rather than in defensive measures.

Voilà qui est sage !

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