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L'Économie du Québec


Habsfan

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On parle dans la CMA, les stats sont pour les CMA.

 

oui ça fait du sens, le départ des banques vers Toronto avait été planifié bien avant 1975. First Canadian Place 1975, donc pensé en 1970.

 

 

 

 

Si tu regardes les stats pour Toronto, Toronto s'est échappée de Montréal entre 1981 et 1986 lorsqu'elle a commencé a ouvrir les portes de l'immigration.

 

Donc ça fait 30 ans que Toronto a les portes ouvertes. C'était évident qu'on aurait jamais pu suivre une cadence de 100 000 par an pendant 30 ans.

pourquoi vous vous comparez toujours à Toronto ?

 

Et pourquoi vous ne parlez pas de Montréal qui distance Vancouver en population ?

 

on peut continuer à parler du pourquoi du pourquoi, mais l'histoire ne ment pas

 

dès que les anglophones ont vu la montée des francophones au Québec et à Mtl, ils ont quitté, et ils sont partis avec ce qu'ils avaient. Et ils se sont arrangés pour qu'on ne les rattrape jamais. Maintenant que Toronto n'est plus vraiment canadienne, à part du fait qu'elle est en Ontario.

 

J'veux pas être méchant, mais je crois que tu racontes n'importe quoi!?! Toronto a dépassée Montréal en 1976 et n'a jamais regardé dernière depuis. Je ne vois pas c'est quoi le but de ton argument par rapport au fait qu,ils ont ouverts leurs portes à l'immigration...comme si c'était une mauvaise chose?

 

Montréal distance Vancouver??? Mais de quoi tu parles? La croissance de Vancouver est bien plus impressionante que celle de Montréal. Leur population augmente d'environs le meme nombre de personnes par années que Montréal, cependant c'est une ville qui a seulement 60% de la population de Montréal.

 

Depuis 1971, la population de Montréal a augmentée d'environs 8.25% par Décennie, tandis que Toronto a augmenté sa population d'environs 20.5% par décennie et Vancouver par 22.75% par décennie. Comme tu peux voir, nos deux rivales Canadienne augmentent à un rythme deux à trois fois plus élevé!

 

Pourquoi on se compare à Toronto? Car c'est notre grande rivale. C'est une ville avec qui nous faisons BEAUCOUP d'affaires et c'est une ville qui est assez proche de Montréal. Nous sommes en compétition avec eux pour attirer des gens, de la business, des spectacles etc... On commencera pas à se comparer à Singapour ou à Kobe quand même!

 

Je crois que tu t'imagines des choses...Pourrais-tu m'expliquer comment les méchants anglais se sont arrangés pour qu'on ne les rattrape jamais??

Modifié par Habsfan
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Un autre document, celui-ci opposé à l'exploitation pétrolière au Québec, vient d'être publié par le Devoir de ce lundi matin, 20 janvier. Une vision différente, une interprétation qui soulève des questions pertinentes et fait réfléchir. Dans le premier manifeste pro-hydrocarbure on regarde les avantages en fonction de l'économie québécoise et ce qu'elle pourrait peut-être en retirer, à court et moyen terme. Dans celui-ci, on offre un regard plus large et plus environnementaliste, sans pour autant proposer une démarche économique sans fondement.

 

A mon avis la vérité se trouve entre les deux. Peut-être même que les découvertes sur le terrain nous limiteront justement à une exploitation limitée, qui ne fera certainement pas du Québec un état pétrolier dans le sens propre du terme. Pour l'instant nous nageons dans l'hypothétique pur puisque rien n'est venu confirmer ou infirmer des réserves potentielles exploitables. Le débat est lancé, deux visions s'affrontent et de cet exercise sortira probablement la meilleure démarche à suivre, en ce qui nous concerne en tant que société responsable tournée vers l'avenir.

 

 

http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/397738/manifeste-contre-un-etat-petrolier-quebecois

 

Quelques signataires du manifeste

 

Le metteur en scène Dominic Champagne, l’auteur-compositeur-interprète et cinéaste Richard Desjardins et les anciens députés péquistes Lisette Lapointe et Pierre Curzi figurent parmi les signataires du Manifeste pour sortir de la dépendance au pétrole. Ils réclament notamment une étude environnementale stratégique sur la filière des hydrocarbures.

Contrairement à ce qu’affirment les signataires du récent manifeste en faveur de l’exploitation pétrolière au Québec, nous n’avons aucun avantage à devenir un « État pétrolier ». C’est ce que soutiennent les scientifiques, les écologistes et les politiciens qui signent le Manifeste pour sortir de la dépendance au pétrole. Le document publié lundi et dont Le Devoir a obtenu copie, réclame aussi une évaluation environnementale de la filière.

 

« Nos choix économiques doivent prendre en considération l’incontestable réalité des changements climatiques et l’impact économique et social des limites de nos ressources. Le Québec ne peut s’enliser davantage dans la voie du pétrole. Notre responsabilité collective est de diminuer notre consommation d’énergie et de favoriser l’utilisation des solutions de remplacement aux énergies fossiles. Sur cette question, il y a réellement urgence », soulignent les auteurs de ce manifeste.

 

 

En tout, 28 personnes appuient cette réplique au texte pro-pétrole signé récemment par des personnalités publiques comme Bernard Landry, Monique Jérôme-Forget et Joseph Facal. On y retrouve notamment des écologistes et des représentants autochtones, mais aussi des personnalités politiques comme Pierre Curzi, Lisette Lapointe et le président de Québec solidaire, Andres Fontecilla. L’ancien commissaire au développement durable du Québec Harvey Mead y figure également, de même que Richard Desjardins et le metteur en scène Dominic Champagne.

 

 

Consultante en développement régional et coauteure du manifeste, Kim Cornelissen juge que Québec est beaucoup trop prompt à vouloir lancer le Québec sur la voie des énergies fossiles. « Nous sommes en train de devenir un État pétrolier, tout le gouvernement semble d’accord avec cela, mais il n’y a eu aucun référendum et aucune consultation. Et je suis convaincue qu’au Québec, nous voulons autre chose que ce qu’avance le manifeste des pro-pétrole, qui a été écrit pour soutenir le gouvernement, qui veut avancer dans le pétrole », fait-elle valoir dans une entrevue au Devoir.

 

 

Potentiel hypothétique

 

 

Le manifeste « pour tirer profit collectivement de notre pétrole », publié au début du mois, presse en fait le gouvernement d’autoriser l’exploitation d’éventuels gisements de pétrole. Selon les signataires, il serait « irresponsable » de fermer la porte à ce scénario, qui permettrait de réduire les importations d’énergie fossile et de générer des revenus pour l’État, comme le fait la Norvège.

 

 

Le plaidoyer contre l’exploitation d’or noir au Québec réplique que s’il est vrai que l’importation de pétrole coûte cher, il est « irresponsable » de prétendre que d’éventuels gisements québécois permettraient de réduire ce déficit commercial. « Le potentiel pétrolier du Québec est souvent surestimé, écrivent-ils. Les ressources en pétrole du Québec, même selon les estimations hypothétiques que font circuler les promoteurs de son exploitation, ne pourraient remplacer qu’une très faible partie de ce qui est actuellement importé. »

 

 

Pour le moment, le secteur de Haldimand, à Gaspé, est celui qui serait le plus près d’une exploitation. Le sous-sol du secteur, contrôlé par Pétrolia, renfermerait 7,7 millions de barils de pétrole. Cela équivaut à 23 jours de consommation au Québec. Quant aux autres régions ciblées par les pétrolières, « aucun gisement n’a encore été découvert », malgré des décennies d’exploration, affirme Andres Fontecilla dans un entretien.

 

 

« Le déficit engendré par nos importations de pétrole, il faut l’attaquer un milliard à la fois : nous pouvons prendre dès maintenant les moyens pour devenir autosuffisants en remplaçant notre consommation de carburant fossile par des énergies de sources renouvelables dont regorge déjà le Québec », font donc valoir les auteurs du manifeste.

 

 

Selon Kim Cornelissen, le fait de lancer le Québec dans le pétrole risque au contraire d’accroître notre dépendance à l’or noir. « Un principe économique simple veut que plus on augmente l’offre, plus la demande risque d’augmenter. On se tire dans le pied en voulant augmenter l’offre. » La ministre des Ressources naturelles, Martine Ouellet, estime plutôt qu’il est possible de réduire notre consommation tout en produisant ici et en recevant du pétrole de l’Ouest par pipelines. L’objectif de Québec est de réduire notre dépendance aux hydrocarbures de 30 % d’ici six ans.

 

 

Le modèle norvégien

 

 

Il serait par ailleurs totalement « illusoire » d’espérer reproduire au Québec le modèle de la Norvège, où l’exploitation pétrolière a permis de générer des centaines de milliards de dollars en revenus pour l’État. Les signataires rappellent ainsi que dans ce pays, c’est le gouvernement qui contrôle la majorité de l’actionnariat de l’entreprise Statoil, fondée il y a déjà plus de quarante ans. Au Québec, tous les droits d’exploration ont plutôt été cédés au secteur privé. Et selon Mme Cornelissen, « le Québec n’est pas reconnu pour sa bonne gestion de la question des redevances. Nous n’avons qu’à regarder le secteur minier pour comprendre ».

 

 

À l’instar de M. Landry, les signataires du nouveau manifeste insistent sur la nécessité de mener un débat « scientifique » sur la question pétrolière. Selon eux, il est impératif que le gouvernement « lance une étude environnementale stratégique sur l’ensemble de la filière des hydrocarbures qui couvrirait tous les impacts sociaux, environnementaux et économiques liés à l’utilisation du pétrole et aux conséquences dans le fonctionnement de notre société ». La première ministre Pauline Marois a déjà fermé la porte à cette possibilité.

 

 

Ils estiment en outre que le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement devrait être mandaté pour étudier chacun des projets d’exploration prévus. Québec devrait aussi adopter « un moratoire permanent sur toute forme de fracturation hydraulique, et ce, sur l’ensemble du territoire ». Les compagnies pétrolières prévoient procéder à des opérations de fracturation sur l’île d’Anticosti pour déterminer le potentiel pétrolier. De tels travaux pourraient avoir lieu dès l’été prochain.

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Vous dire bien honnêtement, je ne crois pas que nous allons y aller de l'avant avec l'exploitation de notre pétrole. Nous allons en débattre pendant une décennie, nous allons commander étude après étude (qui va nous couter quelques dizaines de millions de plus) et finalement rien ne se fera.

 

Business as usual in this province...

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Vous dire bien honnêtement, je ne crois pas que nous allons y aller de l'avant avec l'exploitation de notre pétrole. Nous allons en débattre pendant une décennie, nous allons commander étude après étude (qui va nous couter quelques dizaines de millions de plus) et finalement rien ne se fera.

 

Business as usual in this province...

carrying out studies that's a major industry in Quebec, remember when they couldn't decide where to put the new CHUM? after 3 or 4 years (or more) of studies the rocket scientists finally settled on the original site (St. Luc), so much for the multi million dollar studies

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carrying out studies that's a major industry in Quebec, remember when they couldn't decide where to put the new CHUM? after 3 or 4 years (or more) of studies the rocket scientists finally settled on the original site (St. Luc), so much for the multi million dollar studies

 

Les retards et les reports sont bien davantage l'apanage des changements de gouvernement. Un nouveau arrive et remet les décisions de l'autre en disant qu'il peut faire mieux. C'est comme ça depuis des générations et ce sera encore vrai pour bien d'autres élections, et pas seulement ici.

 

En ce qui a trait au nouveau manifeste contre le pétrole, il fallait s'y attendre puisque deux visions ont cours dans la société. L'adversité n'est pas un obstacle en soi, mais un défi qui nous oblige à bien faire nos devoirs. C'est ça faire le jeu de la démocratie. La pensée unique n'existe pas, et là où elle semble se manifester, c'est parce qu'un gouvernement totalitaire dicte sa volonté sans autre formalité. J'en conclue que cette opposition est saine et fera avancer le Québec vers une décision, qui reflétera non seulement la volonté de la majorité, mais sera aussi en respect avec l'environnement et les risques inhérents pour lesquels nous devrons être préparés.

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Une autre fois, un article tendancieux du journal The Gazette est remis en question, à cause de vices de procédures et de conclusions erronées et bâclées. On n'a pas besoin de convaincre quiconque de l'inflation verbale de ce journal qui se prétend sérieux, et qui pourtant enfreint toutes les règles de neutralité journalistique. Interpréter la nouvelle plutôt que de simplement la diffuser, est un manque de professionnalisme flagrant, que l'on retrouve généralement dans les médias de droite. Alors côté crédibilité, chaque fois que je vois sur ce forum des articles de ce journal, j'en reconnais tout de suite la provenance.

 

Ce journal ne fait pas, comme il se doit, de l'information, mais de la politique. Et il est une antenne du Post dont on connait très bien les opinions et les aversions vis à vis de tout ce qui est québécois. Voici le texte qui apparait au Devoir d'aujourd'hui et le lien qui y correspond http://www.ledevoir.com/politique/quebec/398092/exode-des-quebecois-une-etude-trompeuse

 

En terminant on peut faire dire n'importe quoi à des statistiques, si on n'utilise pas la rigueur dans leur interprétation. C'est l'outil préféré des démagogues, parce qu'avec des chiffres ont donne l'impression de présenter des faits indéniables. Il est donc facile de manipuler certaines données, aussi d'en omettre d'autres qui pourraient être cruciales, tout en laissant le lecteur sur l'impression d'avoir tout le tableau.

 

J'ai finalement pris la liberté de mettre en caractère gras une phrase qui peut sembler anodine et dont l'auteur dénonce le caractère abusif. Un bel exemple de ces méthodes de publications peu orthodoxes, qui frappent insidieusement les esprits, et augmentent artificiellement la gravité d'une situation, pourtant bien banale au départ.

 

 

Libre opinion - Exode des Québécois? Une étude trompeuse

24 janvier 2014 | Alain Bélanger | Québec

Le 9 janvier, le quotidien The Gazette publiait un article intitulé « Number of Quebecers leaving the province is on the rise ». On y rapporte les résultats d’une étude du Canadian Institute for Identities and Migration. On peut y lire, par exemple, que le nombre de sortants du Québec vers une autre province canadienne enregistré entre janvier et septembre 2013 atteignait le niveau le plus élevé au cours du « siècle » pour une période de trois trimestres. En entrevue, Jack Jedwab, historien et vice-président exécutif de l’Institut, signale que cette hausse n’est pas liée au débat sur la charte de la laïcité, mais ne peut résister évidemment d’en parler. Il s’empresse aussi de signaler qu’une telle hausse des départs correspond normalement à une grave crise économique alors qu’en réalité, nous ne sommes pas en récession. Du même souffle, il note que cette période coïncide avec la présence du Parti québécois au gouvernement et que si cela devait persister pour un autre trimestre, on serait en droit de penser que des considérations non économiques (lire politiques) seraient à l’oeuvre ici. Il laisse ainsi habilement planer le doute sur le fait que cette hausse puisse être le début d’un exode des anglophones et des immigrants récents vers l’Ontario pour des raisons politiques : élection du Parti québécois et débat sur la charte de la laïcité. L’article a été à l’origine d’un reportage semblable à CTV News, d’un blogue sur Yahoo actualités et bien sûr de centaines de commentaires plutôt défavorables au Québec sur leurs sites Web respectifs.

 

 

Malheureusement, l’étude est trompeuse, car elle utilise des données de sources différentes qui ne sont tout simplement pas comparables entre elles. Il existe deux sources de données utilisées par Statistiques Canada pour estimer les mouvements interprovinciaux : les fichiers de prestations fiscales pour enfant et les fichiers de déclarations de revenu. La première source, moins fiable mais plus précoce, est utilisée pour établir les estimations provisoires, et la seconde pour calculer les estimations définitives. L’agence statistique nationale met en garde ses utilisateurs sur les risques de comparer les estimations provenant des deux sources, mais Jack Jedwab omet de le souligner.

 

 

Pour toutes les provinces, pas seulement le Québec, les données provisoires surestiment généralement le nombre de sortants interprovinciaux par rapport aux données définitives disponibles quelque 18 mois plus tard. En ce qui concerne le Québec, pour un même trimestre, le nombre de sortants provenant des données provisoires est en moyenne (depuis 1996) de 21 % supérieur à celui des données définitives. C’est entre autres grâce à cette surestimation bien connue que Jack Jedwab a pu affirmer que le nombre de sortants du Québec atteignait le niveau le plus élevé au cours du siècle au cours des trois trimestres de 2013. Sans compter qu’utiliser le terme « siècle » pour qualifier une période de 13 ans depuis l’an 2000 apparaît abusif, il aurait mieux valu comparer les données provenant d’une même source. Ainsi, si on analyse des données comparables (données provisoires) pour les trois premiers trimestres d’une année, on se rend compte que le nombre de sortants pour les trois premiers trimestres de 2013 est inférieur à celui estimé pour les trois premiers trimestres de 2000, 2001, 2002, 2006, 2007 et 2008, soit presque une année sur deux depuis le début du « siècle ».

 

 

Alain Bélanger - Professeur agrégé et directeur des programmes de démographie, Institut national de la recherche scientifique Centre Urbanisation Culture Société

 

L’auteur a travaillé pendant 17 ans à Statistique Canada, où il a notamment été chef de l’analyse et de la recherche à la Division de la démographie pendant plusieurs

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Merci pour les chiffres vivreenrégion, cependant, il faut faire attention. Techniquement, Montréal n'est pas 3e, mais bien 4e. Ce qui est quand même excellent. Burnaby est une banlieu de Vancouver et devrait être compté avec la ville centre....donc ils devraient dire que Vancouver a 35 projets de plus de 35 mètres en construction.

 

Je me demande combien de projets sont en construction qui ont plus de 12étages/35mètres à Laval et Longueuil?? Car si on ajoute les 12 tours de Burnaby pour Vancouver, il faudrait faire la même chose pour MOntréal!

 

En tous cas, que nous soyons 3e ou 4e, c'est une excellente nouvelle. Ce qui me fait un peu peur c'est que nous allons certainement glisser un peu plus bas sur cette liste dans les prochaines années. Notre mini-boom semble être terminé!

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Many of them english speakers. Don't believe it - go spend some time with anglo/allo's and see how many people they know have moved on.

Oui, il y a probablement beaucoup d'anglophones qui quittent,

 

pk modérer... sur 800 000 anglophones, la probabilité que le nombre de francos les dépassent en nombre total est assurée. pour 1 anglo , il y aura 8 francophones. On compare ceux qui quittent le Qc, mais pk on ne parlent pas de ceux qui quittent Toronto ?

L'Ontario perd plus de monde que le Qc.

Modifié par vivreenrégion
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