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L'Économie du Québec


Habsfan

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It's been more than 40 years that the Gazette and anglo medias repeat the same propaganda every day, like if Apocalypse was coming after each PQ election. I am sure they make more damage on economy than anyone else. Though, we can't blame people who just repeat the same negative message all the time. They have only acces to an every day Quebec bashing dose for breakfast. This is how you make people getting paranoïac. And this is why we have surrealistic debates like that.

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The PQ doesn't consciously try to kill the economy mais un gouvernement établit le ton, communique les grandes lignes, les priorités et le ton, grandes lignes et priorités de ce gouvernement ne font rien pour rendre cette province attrayante au niveau économique et, de plus en plus, au niveau sociale.

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L'économie québécoise n'est pas à son meilleur niveau, c'est vrai. Mais de là à toujours rapporter des mauvaises nouvelles (alors qu'il y en a des bonnes aussi), ça devient redondant.

 

Je ne suis pas pour le PQ, vraiment très loin de là. Mais sérieux, vous manquez de jugement et de neutralité si vous pensez qu'il s'agit du gouvernement démoniaque qui fait tout pour détruire le Québec et dont qu'il est la cause de toutes les mauvaises nouvelles économiques... J'ai l'impression que si c'était les Libéraux, les mauvaises nouvelles économiques seraient dû à un contexte mondial, ou à ci ou à ça, mais pas de leur faute... And Mark_ac, everything's not black nor white... everything's grey, so yeah, there are few good things with the PQ, and (maybe a lot) bad things too, same goes with the Lib and CAQ and so on...

 

Bien dit! Je pense exactement la même chose. Et je suppose que je ne suis pas le seul.

 

Je pense aussi pareil et en fait nous sommes la majorité à penser comme vous. Comme je disais un peu plus haut, les interventions de certains membres sont de véritables graffitis et n'ont pour la plupart du temps qu'un but provocateur. Quand ça fait des centaines de fois que la même personne dit les mêmes choses redondantes et souvent insultantes, on finit par en être sérieusement irrités, car ces commentaires finissent par polluer tous les fils. Une attitude anti-sociale évidente qu'il faudra corriger.

 

Habsfan je suis d'accord avec toi pour les frais de scolarité et aussi les garderies, ces services bien qu'essentiels devraient en toute logique augmenter selon le coût de l'inflation. Puisque les salaires et les frais divers, qui sont reliés à ces services, augmentent constamment comme tout le reste d'ailleurs. Je crois que c'est un geste politique qui vise à séduire les électeurs et je m'oppose à ce genre d'opportunisme. De toute façon si on décortiquait tout le programme du PQ, vous seriez surpris de mes oppositions et désaccords. Malheureusement on ne peut pas choisir seulement ce qui fait notre affaire dans un parti, comme dans un menu à la carte. On essaie alors de choisir le moindre mal et c'est ici que les divergences d'opinions peuvent parfois grandement varier.

 

En ce qui a trait au vieillissement de la population. Je ne suis pas sûr que la nouvelle génération vivra aussi longtemps que les précédentes. Une grande majorité est grandement plus sédentaire que la moyenne des autres générations et développe des pathologies reliées au poids, à la mauvaise alimentation et aux mauvaises habitudes de vie en général. Cependant cette observation demeure encore hypothétique, mais si la tendance se poursuit c'est clair qu'il y aura inversement des estimations à long terme. Ce qui ne devrait pas alléger pour autant le budget santé puisque ces gens seront malades plus tôt et plus longtemps. On garde donc le feu rouge bien allumé.

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Pour ceux qui ne l'auraient pas lu:

http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/francis-vailles/201402/06/01-4736123-les-bons-coups-du-quebec.php

 

Les bons coups du Québec

 

Et si l'on voyait les choses autrement? Si l'on s'attardait un instant aux bons coups du Québec, plutôt qu'aux cauchemars économiques publiés au cours des dernières semaines? Car des bons coups, il y en a eu.

 

Entendons-nous, les études de l'économiste Robert Gagné, de HEC Montréal, et de l'équipe Godbout-Fortin-Arseneau, de l'Université de Sherbrooke, gardent leur pertinence. Ces études occultent toutefois les succès du Québec ces dernières années.

 

Essentiellement, la première étude soutient que le Québec vit au-dessus de ses moyens, tandis que la seconde estime que si rien n'est fait, le Québec verra son déficit croître sans cesse d'ici 15 ans à cause du vieillissement de la population.

 

Voyons voir certains de nos bons coups économiques.

 

D'abord, le Québec a fait un rattrapage spectaculaire sur le plan de l'emploi depuis 20 ans. À cet égard, la meilleure statistique pour mesurer la vigueur du marché du travail est le taux d'emploi, soit la proportion de la population qui occupe un emploi. Au Canada, le taux d'emploi en 2013 était de 61,8%.

 

Or, depuis la dernière grande récession, il y a 20 ans, le taux d'emploi au Québec a progressé de 6,3 points de pourcentage, plus que partout ailleurs au Canada. En comparaison, l'Ontario a progressé de 2,0 points de pourcentage, l'Alberta, de 4,8 points, et le Nouveau-Brunswick, de 5,1 points. Pendant ce temps, la Colombie-Britannique a fait du surplace.

 

Aujourd'hui, le taux d'emploi au Québec, à 60,3%, demeure sous l'Ontario (61,3%) et l'Alberta (69,7%), mais il est au-dessus de la Colombie-Britannique (59,9%) et du Nouveau-Brunswick (56,6%). Surtout, le bond du Québec depuis 20 ans est exceptionnel, notamment chez les jeunes, dont le taux de chômage est plus faible que dans le reste du Canada ou en Europe.

 

Deuxième bonne nouvelle: le niveau de vie a davantage progressé au Québec qu'en Ontario, selon l'étude de HEC Montréal. Ce niveau de vie, exprimé par le produit intérieur brut (PIB) par habitant, a crû au rythme annuel de 1,29% au Québec depuis 1981, comparativement à 1,17% en Ontario. Dans l'ensemble du Canada, en dépit du boom des provinces pétrolières, le niveau de vie a bondi de seulement 1,3% par année, guère plus qu'au Québec.

 

Cela dit, le niveau de vie demeure inférieur au Québec, toutes proportions gardées, mais notre économie n'a pas été stagnante.

 

Autre signe de réjouissance: les dépenses publiques annuelles par habitant ont crû moins vite au Québec qu'ailleurs au Canada depuis 30 ans, selon HEC Montréal. Le bond est de 40% au Québec, après inflation, comparativement à 56% en Ontario et 48% dans l'ensemble du Canada.

 

On s'entend, les administrations publiques du Québec continuent de dépenser nettement plus qu'ailleurs au Canada, à 16 139$ par habitant (14 690$ par habitant au Canada). Le Québec offre toutefois plus de services aux citoyens et, surtout, il y a une volonté de contrôler la croissance des dépenses, comme en témoignent les derniers budgets du gouvernement.

 

Autre bonne nouvelle depuis cinq ans: les investissements. Depuis la crise de 2009, le volume annuel des investissements en immobilisations a crû à un rythme légèrement supérieur au Québec que dans celui des provinces non pétrolières.

 

En 2013, le volume des investissements en immobilisations au Québec était de 21,3% supérieur à celui de 2009, comparativement à 20,5% en Ontario et à 20,3% en Colombie-Britannique. En Alberta, le boom se poursuit, avec une croissance de 53% par rapport à 2009. Et au Nouveau-Brunswick, les investissements sont en baisse de 6%.

 

Aujourd'hui, la part des investissements globaux au Québec est même supérieure à celle de l'Ontario, toutes proportions gardées, soit 9,4% du PIB comparativement à 8,4% du PIB chez notre voisin. Ces données ne sauraient masquer le retard relatif du Québec en matière d'investissement dans les machineries et équipements, mais encore une fois, elles donnent une perspective différente de la question.

 

Bien franchement, je crois que le Québec a des défis économiques très importants à relever et qu'il faut éviter de porter des lunettes roses. La dette publique est la plus importante des provinces canadiennes - et de loin - et elle ne cesse de croître. Les dépenses publiques annuelles sont les troisièmes au monde, à 47% du PIB, et les impôts sont aussi à un sommet. Notre productivité est plus faible qu'ailleurs au Canada et beaucoup plus faible que celle des principaux pays industrialisés. Et notre population vieillit.

 

Néanmoins, il est faux de dire que les Québécois n'ont rien fait de bon depuis un quart de siècle et qu'ils sont des incapables, comme le répètent certains détracteurs. Plusieurs données comme l'emploi le démontrent, tout comme le succès mondial de nombreux entrepreneurs, artistes, sportifs et scientifiques.

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The PQ doesn't consciously try to kill the economy mais un gouvernement établit le ton, communique les grandes lignes, les priorités et le ton, grandes lignes et priorités de ce gouvernement ne font rien pour rendre cette province attrayante au niveau économique et, de plus en plus, au niveau sociale.

 

Excellente intervention swansongtoo!!! Vrai que tout n'est pas la faute du PQ, mais ils établissent le ton, et ce qu'ils font présentement ne présage rien ...ou presque rien de bon.

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C'est un bon article http://affaires.lapresse.ca/opinions...-du-quebec.php, merci plb de l'avoir publié.

 

Comme quoi tout est relatif et derrière de mauvaises nouvelles s'en cachent toujours de bonnes, et vice versa. Mais les aspirations du Québec ne peuvent pas bien sûr se satisfaire de 50% de bonnes nouvelles, encore moins quand il s'agit de viser une certaine autonomie dans le domaine politique et économique.

 

Cependant on ne pourra jamais arrêter les débats sociaux, ils sont sains, car ils permettent à toute société de s'ajuster aux nouvelles réalités dans un esprit d'inclusion. Tout va tellement vite dans la vie moderne: les traditions, les modes de vie, les courants de pensées, les technologies aux conséquences parfois inattendues, les techniques de gestions, les industries de toutes sortes, les crises économiques successives, la politique, la culture, l'éducation etc. etc. Tout est bousculé, tassé et souvent remis en question, avant même d'avoir terminé son influence dans son propre secteur d'activité. Normal alors de se questionner sur la pertinence des enjeux qui font surface, et rechercher le consensus. Toute nation a le défi d'entretenir une certaine cohésion sociale, tout en voulant maintenir l'harmonie et le bien-vivre collectif. C'est encore plus vrai quand l'immigration est importante, phénomène non seulement québécois, mais bien mondial.

 

Va pour le social, un incontournable qui détermine le bien-être commun et garantit une certaine qualité de vie.

 

Un autre aspect indispensable d'une société donnée, est indéniablement son économie. Elle doit aller de pair avec les défis que nous souhaitons relever, et la place que nous voulons occuper au pays et dans le monde. Ils nous faut impérativement nous donner les moyens de nos ambitions, et mettre une partie importante de nos gestionnaires sur les dossiers économiques. D'ailleurs cela aurait dû, et devrait encore plus être une de nos priorités premières aujourd'hui, face à la compétition mondiale qui finit par appauvrir les moins investis et les moins dynamiques. Il faut donc développer cette deuxième nature qui n'est pas encore devenue une de nos vraies forces, je parle d'une pensée économique aussi développée que notre pensée sociale ou culturelle.

 

On n'a pas à choisir, tout est important. Mais comme l'économie est le soutien à tout le reste, le moteur qui active l'emploi et toute l'industrie, elle doit alors avoir une place centrale dans notre attention, notre planification et nos décisions. On n'a pas à renier nos autres valeurs pour être de bons investisseurs et de bons partenaires économiques. Nous avons d'ailleurs une expertise certaine et une expérience reconnue, avec de beaux succès économiques dans plusieurs secteurs de pointe. Mais ce n'est pas suffisant. Nous devons évoluer plus agressivement dans cette direction, avec des objectifs précis et un plan de match réaliste en accord avec notre potentiel, qui est énorme grâce notamment à notre énergie et nos immenses ressources.

 

A ce propos il faudrait accorder une place de choix aux connaissances économiques durant tout le parcours éducatif, du primaire à l'université. Inculquer cette pensée à l'école dès le plus jeune âge, dans des programmes choisis et qui serviront tout autant à bien gérer un budget, qu'un pays. Il ne s'agit pas de devenir soudainement des esprits matérialistes, car l'argent n'est pas le but à atteindre, il est le moyen, ce qui nous permettra de réaliser tout le reste. Au passage il améliorera le niveau de vie de tout le monde, paiera nos dettes et nous offrira des services de qualité digne des sociétés les plus avancées. L'enrichissement collectif passe par cette compréhension, que l'économie est le nerf de la guerre, la courroie d'entrainement qui fait avancer nos sociétés, nos villes et un pays, quel qu'il soit.

 

Le discours économique est donc à mon avis prioritaire, nos politiques et nos programmes doivent l'inclure au même titre que la culture ou les valeurs sociales et environnementales. Ce n'est pas un secteur parallèle ou une option, mais la base d'une société prospère qui cherche à réaliser un meilleur destin, pour la nation et les générations qui suivront.

 

Je ne veux pas moins de social, je veux seulement plus d'économie et un changement de mentalité vis à vis de l'argent et la richesse en général. A ce propos je serais tenté de revenir sur le controversé discours des "lucides" de Lucien Bouchard, que je ne rejetterais pas d'emblée. Mais qui pourrait être adapté et mieux intégré à nos valeurs et nos attentes en tant que société moderne. Qu'on le reconnaisse ou pas, l'économie sera toujours le fondement de la richesse personnelle, tout autant que collective. C'est l'ensemble des efforts et du travail de tout le monde, qui mis en commun, créé une force de développement puissante et rend tous nos rêves possibles.

 

Je rejoins donc en grande partie le commentaire d'Habsfan et swansongtoo à propos du PQ mais ajouterais: aucune de nos valeurs ne doit être en opposition avec les autres. On peut être un bon social-démocrate et chercher légitimement à être prospère économiquement parlant. Tout est une question de dosage, et avouons ici que l'économie demeure encore le parent pauvre de la politique québécoise. Je veux que cette dernière prenne enfin sa véritable place au centre de toutes nos préoccupations, car c'est bien beau de rêver à un avenir meilleur. Si on ne prend pas sérieusement les moyens pour y arriver, on restera avec notre petit pain.

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http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/emploi-quebec-demarre-2014-en-force/566101

 

Alors, ils sont où nos oiseaux de malheurs? On ne les entends pas beaucoup... C'est qui le premier qui va dire: "oui, mais ce sont des jobs à temps partiel"?

 

Emploi: Québec démarre 2014 en force

 

La région métropolitaine de Québec se distingue au chapitre de la création d’emplois en ce début d’année. À l’échelle canadienne, elle arrive au deuxième rang des villes les plus dynamiques avec la création de 6000 emplois en janvier. Seule Vancouver la devance avec 10 400 emplois.

 

Dans toute la province du Québec, 12 700 emplois ont été créés; la région de la capitale nationale a donc contribué pour près de la moitié de ces gains.

 

La croissance de l’emploi (+1,4%), supérieure à celle de la population active (+0,9%), a fait reculer le taux de chômage à 4,3%, ce qui représente le plus faible taux au pays. À l’échelle du Québec, le taux de chômage a reculé de 0,2% à 7,5%.

 

La région de Québec comptait 431 900 emplois en janvier, ce qui approche du nombre record de 432 300 atteint en avril 2012.

 

La performance du marché du travail dans la région métropolitaine de Québec est surtout attribuable au secteur des services et au secteur manufacturier. Le secteur de la construction, quant à lui, laisse entrevoir une pause.

 

L’ombre au tableau, c’est que depuis l’automne 2013, ce sont davantage des emplois à temps partiel qu’à temps plein qui sont créés, note l’économiste principal de Québec International, Louis Gagnon. Malgré tout, les entreprises continueront à chercher des candidats dans un marché qui atteint le plein-emploi.

 

Un sondage Léger sur la confiance des entrepreneurs publié en janvier par Québec International, la Chambre de commerce et d’industrie de Québec, et la Chambre de commerce de Lévis a révélé que 61% des chefs d’entreprises de la région prévoyaient des embauches au cours de 2014.

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Le taux de chômage a diminué au Canada:

 

Le taux de chômage dans les provinces du Canada en janvier

 

Voici le taux dans les principales provinces du pays (le chiffre du mois précédent figure entre parenthèses):

 

- Québec 7,5 (7,7)

 

- Ontario 7,5 (7,9)

- Manitoba 5,6 (5,5)

 

- Saskatchewan 4,3 (3,9)

 

- Alberta 4,6 (4,8)

 

- Colombie-Britannique 6,4 (6,6)

 

 

Tiens tiens ..Ontario ce paradis sur Terre :)

 

 

Le taux de chômage dans les grandes villes du Canada en janvier:

 

Montréal 7,9 (8,0)

 

Toronto 8,4 (8,5)

 

Condoléances à la ville 'Reine'....

 

 

http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201402/07/01-4736546-le-taux-de-chomage-a-diminue-au-canada.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS9

 

nb:bravo à Québec 4.3% tout un succès aussi,mais bon qui dit capitale dit fonctionnaires c'est plus facile

D'ailleurs on le voit aussi entre les taux de Victoria et Vancouver.

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Le taux de chômage a diminué au Canada:

 

Le taux de chômage dans les provinces du Canada en janvier

 

Voici le taux dans les provinces du pays (le chiffre du mois précédent figure entre parenthèses):

 

- Terre-Neuve-et-Labrador 12,0 (10,8)

 

- Île-du-Prince-Édouard 11,3 (11,6)

 

- Nouvelle-Écosse 8,6 (9,2)

 

- Nouveau-Brunswick 9,9 (9,7)

 

- Québec 7,5 (7,7)

 

- Ontario 7,5 (7,9)

- Manitoba 5,6 (5,5)

 

- Saskatchewan 4,3 (3,9)

 

- Alberta 4,6 (4,8)

 

- Colombie-Britannique 6,4 (6,6)

 

 

Tiens tiens ..Ontario ce paradis sur Terre :)

 

 

Le taux de chômage dans les grandes villes du Canada en janvier:

 

Montréal 7,9 (8,0)

 

Toronto 8,4 (8,5)

 

Condoléances à la ville 'Reine'....

 

 

http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201402/07/01-4736546-le-taux-de-chomage-a-diminue-au-canada.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS9

 

nb:bravo à Québec 4.3% tout un succès aussi,mais bon qui dit capitale dit fonctionnaires c'est plus facile

D'ailleurs on le voit aussi entre les taux de Victoria et Vancouver.

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